Au pied du bureau de Nathan Petrelli [Libre]

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James s'aretta dans la rues et regarda autour de lui l'air interloqué... Plus ils avaient avancé vers le bureau plus ils avaient plus admiré la déchéance de cette ville, de plus en plus de destruction et de cadavres... L'air vicié puait la mort a plein nez, et, pour se calmer, James refroidissait son sang, car sinon la sueur dégoulinerait et une fièvre grandissante aurait depuis longtemps prit pieds en lui. Mais il se sentait tout de même mal a l'aise parmit tous ce chaos ambiant... Relevant les yeux il regarda ce qu'il restait de l'immeuble Petrelli ,et, se concentrant, éteignit un affiche qui brulait en augmentant fortement l'humidité de l'air l'entourant jusqu'a ce qu'il pleuve doucement sur elle. Légérement essoufler après cet effort, qui, sans contact, lui coutait, il regarda le visage de Nathan Petrelli a moitié brulé sur l'affiche et se tourna vers ses compagnons.

"J'en doutait mais maintenant c'est certain, voila ce qu'il reste des bureaux de Nathan Petrelli"

Il ponctua sa phrase d'un geste presque théatral vers le tas de décombre derrière lui.

"Si ce Nathan Petrelli est toujours vivant, ce n'est pas ici que nous allons le trouver..."

James hésitait lourdement entre les trois options qui se présentait a eux maintenant, quitté New York, chercher l'épicentre, ou chercher Sylar et ses compagnons pour leur apprendre a vivre... La dernière était celle qui l'enchantait le plus mais ses pouvoirs n'était pas fameux, du moins pour l'instant et même si il entrait en transe comme ce matin et amplifiait ainsi ses capacités, il resterait a la suite de celle-ci très vulnérable !

"Que faire maintenant ?"

[Ordre de post : James Newman/Max Lebrun/Gabrielle Mester]

[James m'a dit que je pouvais répondre...]


Quelques temps plus tôt, Gabrielle avait entendu l'explosion du centre ville. Heureusement pour elle, la jeune fille vivait à l'extrémité de la ville, là où les effets de l'explosion ne furent que des dégâts mineurs. Lors de cette catastrophe, ses parents, qui travaillaient énormément, ce trouvaient au centre ville. Ils y laissèrent la vie tout les deux. Le bureau où ils travaillaient était l'édifice au côté du bureau de Nathan Petrelli. Gabrielle, qui n'était pas en cours, se doutait bien qu'il était arrivé quelque chose à ses parents puis la détresse et la panique apparu en elle. Elle était partit vers le centre ville lorsqu'elle su que l'explosion était terminé. Elle marcha longtemps pour atteindre l'endroit touché par la bombe. Elle fouilla du regard chaque recoins des rues, espérant voir ses parents. Envaĩt par la peur et la panique, Gabrielle se mit à courir jusqu'au bureau de ses parents. Elle croisa beaucoup de gens apeurés et plusieurs blessés. Plus elle s'approchait du centre ville, plus le décors était désertique. La jeune fille retins des nausées car plus elle avançait, plus elle voyait de cadavre brulé vif. Partout où elle allait, elle ne voyait que morts, débris et poussière. Des larmes ruisselaient sur ses joues tel des gouttes de diamants liquides. Toujours en courant, Gabrielle se rendit, non sans difficulté, devant le bureau de ses parents. Il ne restait plus rien de l'édifice. Lorsque la jeune fille arriva, il n'y avait personne. Elle se rendit devant l'édifice qui, jadis, lui était si familier. Elle se laissa tombé à genou sur un morceau de verre solitaire qui lui entailla le bas de la cuisse. Gabrielle ne sentit pas la douleur ni le sang coulé de sa blessure. Elle ne ressentait que le vide, que la solitude que l'on ne voulait pas. Elle aurait pu essayer de se réconforté en se disant qu'il y avait bien des gens qui vivait maintenant la même situation qu'elle. Mais sa peine était si grande qu'elle ne pouvait que pleuré devant les ruines du bureau. Elle fut surprise d'entendre soudainement le bruits de pas dans la poussière. Les yeux remplis d'eau, la jeune fille tourna la tête pour voir qui était là. Elle vit un homme, qui lui ne l'avait pas vu, éteindre une affiche en flamme. Elle ne fut pas sur de ce qu'elle vit car sa vision était flou à cause de ses larmes. Elle remarqua alors que l'homme n'était pas seule. Elle essaya dons de se faire petite. Elle retourna sa tête de façon à ce qu'elle voit le sol lorsqu'elle regardait droit devant elle et que ses cheveux d'or cachent son visage. Les larmes continuèrent de couler sur ses joues mais silencieusement. Sans trop savoir pourquoi, Gabrielle voulait entendre ce que ces gens disait.

Le silence s'installa. Max regarda les deux jeunes femmes , elles étaient comme précédement passives , comme tétanisées par la situation. Elle les comprenait car elle aussi était boulversée par les événements mais faiasait de son mieux pour garder la tête froide. Elle se tourna alors vers James qui faisait aussi de son mieux pour rester calme. Il rompit le silence en acceptant l'invitation de Max.

" Bien , alors ne traînons pas ici."

Elle entendit ensuite un bruit. Elle se prépara tout comme james à devoir utiliser son pouvoir. Elle apperçue la frimousse blonde d'une jeune femme alors qu'elle s'appreta à fuir, jameslui courut après, max fit de même. Arrivait près d'elle James tenta de la rassurer. N'y parvenant pas James regarda Max pour lui faire comprendre que la balle était dans son camps. Biensûr celui ci ne pouvait savoir que Max est assistante sociale et que si elle ne parvenait pas à calmer la jeune femme elle devrait songer à changer de boulot. Elle s'approcha d'elle et remarqua alors à quelque point elle est effrayé par la situation. Ele lui parla alors d'une voix douce.

" Hé , comme il l'a dit je m'appelle Max et nous voulons en aucun cas vous faire du mal. Nous ne cherchons qu'à vous aider si vous le vpulez bien. Mais si je peux vous donnez un conseil suivez nous. Nous allons chez mon père , vous pourrez y retrouver vos esprits et vous ravitailler."