Une nuit particulière.~ [PV. Samuel Sullivan]

Le premier qui m'pique c'te code j'l'égorge. 8D
La nuit commençait à tomber, Aoi était sorti voir son frère. Sa guitare à l'intérieur d'une housse, mise en bandoulière sur son épaule, Aoi rentrait chez lui à pied étant donné que son jeune frère habitait qu'à quelques pas de chez lui. Complètement vêtu de noir, il ne passait pas inaperçu, certaines personnes se retournait pour le regarder, se fut un petit garçon curieux accompagné de sa mère qui le fit réagir:
-"Maman, pourquoi le monsieur il se maquille comme les madames? Papa aussi il fait ça?"
Irrité, Aoi s'était retourné pour pouvoir écouté la réponse de la mère, mais elle ne dit rien, gêné, elle n'avait fait qu'un léger regard pour s'excuser, le guitariste avait alors continuer son chemin sans rien dire, il ne pensait qu'à donner un coup de pied à l'enfant. La nuit commençait de plus en plus à tomber, jusqu'à se que la lune soit visible et que les lampadères s'étaient allumé. L'asiatique commençait à ralentir le pas sans s'en rendre compte à cause de la fatigue, sa nuque commençait à lui fait de plus en plus mal, il s'était alors assis un moment sur un banc, ayant posé sa guitare à côté de lui, il posa sa main sur sa nuque et réfléchi un moment:
-*P'tain... Sa me fait de plus en plus mal... J'espère que c'est normal.*
Sur cette pensée, l'un de ses "sourcil" à peine visible s'était relevé. Il sorti alors de sa poche un briquet et une cigarette puis l'alluma avec calme. Plus loin, il vit un homme soul qui marchait de travers, Aoi le regarda un moment avec un ennuie jusqu'à se que l'homme tomba, ayant mal monté le trottoir, le guitariste se mit alors à rire mais il cessa vite lorsque sa nuque lui fit soudainement mal, comme si on l'avait piqué avec une aiguille, il fit alors un sifflement de douleur. Puis, il sentit se guitare bouger, lorsqu'il la regarda, il vit un homme qui essayait de lui voler, il se releva de plus belle pour ensuite lui donner un coup de poing sur le nez, l'homme lacha alors la guitare et tomba en arrière, le nez en sang, Aoi lui hurla alors:
-"Allez, casse toi enfoiré!"
L'homme se releva alors pour courir loin d'Aoi. Ce dernier se rassit alors, mais cette fois il posa sa guitare entre ses jambe, posé au sol, et mit ses mains sur le bout du manche. La douleur de sa nuque le faisait tellement souffrir qu'il posa sa tête sur ses deux mains et ferma les yeux un moment.

Je le vois au loin, ce petit japonais, chinois, je ne pourrais dire avec la tonne de maquillage qu'il a sur le visage. D'ailleurs cela lui va plutôt bien. Je n'ai jamais rien eu contre les garçons qui se maquillaient, il m'arrive quelquefois de me mettre un peu de crayon noir de temps en temps. Alors je ne me permettrait jamais de les juger, surtout lorsqu'ils sont si agréables à regarder ...
Non mais regarde-moi ces yeux, regarde-moi ces lèvres qui ne demandent qu'à être embrassées ...

Samuel, tu n'es pas venu pour l'admirer mais pour le recruter, ne l'oublie pas. Non mais t'es pas possible toi, un vrai pervers sur patte ! Calme tes ardeurs ! Comment calmer mes ardeurs alors qu'il ne faut pas que je le quitte des yeux ... C'est dur, tellement dur ...
Je le vois rire, sourire simplement parce que un homme est tombé. Je ne regarde pas l'homme, quelqu'un l'aidera sûrement à se relever, non, celui que je regarde, c'est lui ...
Ce japonais, chinois, bref, cette beauté !

Avec mon déhanché habituel qui m'est si cher, je m'approche de lui, avec un grand sourire au visage.
Je m'assois à coté de lui et commence à admirer sa belle guitare qu'il a entre les jambes ...

Je relève les yeux et constate qu'il me fixe.

J'affiche l'un de mes plus beaux sourires vers lui et lui dis :

- Belle, la guitare, Aoi ...

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Pratiquement endormit, il fut réveiller lorsqu'un homme s'assit à ses côtés. Il mit un moment sa main sur sa nuque et sentit que celle-ci ne lui faisait plus tellement mal, rassuré qu'il n'avait rien, il fit un long soupir de soulagement. C'est lorsqu'il jeta sa cigarette terminé dans la bouche d'égout près du banc qu'il vit que l'homme à côté de lui le regardait curieusement, en particulier entre ses jambes... Pendant un moment il se demandait se que cet inconnu pouvait regarder avec un tel regard, Hyena ou.... En pensant à ça, Aoi commençait à légèrement s’inquiète, l'homme lui dit alors:
- "Belle, la guitare, Aoi ..."
Il fit soudainement un long soupir et dit d'un ton soulagé:
- "Aah, merci."
Puis il se rendit compte que quelque chose n'allait pas:
-" Aoi.... Eehh? J'te connait?!"
Il regarda un moment l'inconnu, il ne se rappelait pas avoir vu un tel homme, sinon il s'en souviendrait surement. Pour éviter quoi que se soit, Aoi reprit sa guitare et la posa sur ses jambes. Il reprit alors une cigarette de sa poche et l'alluma. Puis un idée lui vint, cet homme était peut-être quelqu'un qui travaillait dans son ancienne maison de disque ou simplement un fan, il se rattrapa alors avec un ton plus calme:
-" Oh.... Pardon, je peux faire quelques chose pour toi?"

Et voilà, à peine je regarde près de son entre-jambe qu'il croit de suite que je le mate ! S'il croit qu'il est plus intéressant que sa guitare, eh bine, il a raison, non mais ! Euh c'est pas exactement ce que je voulais dire, si ? Bref. Il te regarde bizarrement, maintenant, Samuel. Et pourquoi change t-il a guitare de place ? Oh simplement pour que tu arrête de regarder par cet endroit-là, non ?

Tss, Ok, allez remonte les yeux pour lui faire plaisir.
Tiens, son regard devient différent. Ah, il est malin, il doit sûrement se dire : mais d'où il sort mon nom, je le connais, celui-là ?
Hin hin hin, chère Lydia, merci d'être là pour me montrer notre future famille .
Et dire que cette rebelle de Tokyo en fera partie, je ne t'en remercierai jamais assez ! Merci de tout coeur, Lydia !

Bref, maintenant, un peu de conversation, non mais .. Il va me prendre pour un psychopathe à le fixer comme ça ! Et ce n'est pas ce que nous voulons ...

Quoi ? Que me demande t-il ? Ce que je veux ? mais lui, ma parole ! Euh non, je ne voulais pas dire ça !

- Je veux simplement que tu m'accompagnes ... lui dis-je d'une voix suave. avant de poser l'une de mes mains sur sa cuisse .

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- "Je veux simplement que tu m'accompagnes ..."
Lui avait-il répondu avant de poser sa main sur la cuisse du guitariste.
*Mais c'est quoi son problème à celui là? En tout cas j'ai intérêt à faire gaffe* Se dit-il au fond de lui.
Il retire alors la main de l'inconnu et réfléchi un moment sur les paroles de cet étrange inconnu. Il se releva du banc, mit sa guitare en bandouillère à l'aide de la sangle et se retrouvé en face de l'homme, il lui dit alors d'un ton ferme et menaçant:
-"Mais merde, c'est quoi ton problème?! Et... T'accompagner? J'pense que t'a plus l'âge pour que quelqu'un t'accompagne quelque part."
Et oui... Décidément, Aoi restera un sale égoïste, et en plus de ça avec un sale humour. Mais d'un côté, qu'auriez vous fait si un homme venait, en pleine nuit, vous regardez d'un air étrange, qui vous touche la cuisse et qui vous demande de l'accompagner on ne sait où? Je ne pense pas que vous resterez tranquille.

-"Mais merde, c'est quoi ton problème?! Et... T'accompagner? J'pense que t'a plus l'âge pour que quelqu'un t'accompagne quelque part."

Il n'a pas tout saisi, là. Et pourquoi me regarde t-il comme ça ? Je ne vais pas lui voler, sa guitare, je ne sais même pas en jouer ! Mais attends .... C'est moi qu'il regarde comme ça, et il n'a pas mis sa guitare en arrière mais devant lui, comme une protection. Ah, je viens de comprendre ! Il me prend donc pour un vieux pervers, le petit Jap' ! Tiens, ça fait longtemps que l'on ne m'avait pas pris pOur un pervers. Amusant ... Jouons avec ce petit Japonais, tiens !

- Oh, mais pas la peine de te montrer si agressif, Bruce Lee ! Je ne voulais qu'être aimable, c'est tout ! Et au fond, je vais te dire, tu as raison. On peut aussi faire nos petites affaires ici, pas la peine de bouger. Très bonne idée .. finis-je en souriant perversement.

Je m'approche doucement de lui, mode déhanché activé ( Avec accompagnement de mordillage de lèvre ? Comme vous voulez ! )

Je le pousse d'un coup contre moi, et le tient fermement par la taille.

- Alors, qui dirige la danse, maintenant, Pretty Babe ?

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- "Oh, mais pas la peine de te montrer si agressif, Bruce Lee ! Je ne voulais qu'être aimable, c'est tout ! Et au fond, je vais te dire, tu as raison. On peut aussi faire nos petites affaires ici, pas la peine de bouger. Très bonne idée ..."

-"Hein?" Avait-il répondu, ébêté.
*Ouais... J'ai du mal comprendre.*
Puis l'homme s'était levé pour se diriger vers lui avec une certaine démarche plutôt douteuse en se mordillant les lèvres, il prit alors fermement Aoi par la taille pour le mettre contre lui:
- "Alors, qui dirige la danse, maintenant, Pretty Babe ?"
*En fait nan, ce que j'ai entendu était bien vrai.*
Il essaya alors de se sortir des bras de l'inconnu mais celui-ci le tenait bien de façon à se qu'il ne puisse se débattre. Il n'avait pas le choix que de le convaincre de le relâcher par la parole, mais Aoi était bien trop entêté (et bête?) pour sortir de bonnes paroles de sa bouche:
-" Attend, t-tu compte quand même pas... Ici en plus?!"
En pensant à se qu'il risquait, Aoi se débattait de plus en plus mais en vain, il avait même essayer de prendre le manche de guitare pour essayer de lui donner un coup à l'aide de la tête du manche, mais tout se qu'il avait réussi à faire c'est empirer sa douleur à la nuque se qui le fit faire un cri de douleur, puis soudain, il s'était arrêter net de bouger. Le douleur lui faisait si mal qu'il en ferma les yeux et serra les dents. Il se détendit alors et dit calmement:
-" O-okay... Qu'est-ce que tu veux?"
*Merde, mais c'est quoi cette question? Ça se voit que c'est moi qu'il veux...*

-"Attend, t-tu compte quand même pas... Ici en plus?!"

Je le sens se débattre, ce petit Jap'. Il a de la force, dites-moi ! Mais j'en ai bien plus, dommage pour lui. Je le sens se débattre contre moi, je sens sa poitrine contre la mienne. Je sens son souffle s'accélerer.

Il s'imagine quoi ? L'endroit est peu important, au fond. C'est l'acte qui l'est plus. Infiniment plus.

- Oh, oui. Tutoie-moi, c'est déja bien mieux ... chuchote-je avant de glisser ma tête sous la sienne pour lui souffler dans le cou. Ma main se glisse dans sa douce chevelure pour les lui caresser lentement, comme si chacun de mes doigts voulaient toucher chaque cheveu.

-"O-okay... Qu'est-ce que tu veux?"
Tiens, ai-je bien entendu ? Il veut savoir ce que je veux ? Mais voyons, je pense qu'il le sait lui même !

- Tu n'as donc pas compris ce que je veux ?lui réponds-je, amusé, en posant mes mains contre son torse. D'une pulsion, je le pousse et il tombe dans l'herbe.

Je me précipite sur lui, et me couche sur son corps allongé, mon visage, très près du sien ...
Plus que quelques centimètres avant l'impact qui pourrait changer notre vie à jamais .

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- "Oh, oui. Tutoie-moi, c'est déja bien mieux ..."

Lui avait il chuchoter avant de lui souffler au cou, Aoi commençait de plus en plus à paniquer mais sa douleur à la nuque l'empêchait de se débattre et de donner toutes sa force, de plus, l'homme le tenait bien trop fort pour qu'il puisse lever ses bras et le pousser par le torse. L'inconnu lui se mit alors à doucement lui caresser les cheveux:
- "Tu n'as donc pas compris ce que je veux ?"
Lui avait-il répondu avant de poser ses mains sur son torse et de le pousser sur le sol. Pensant à sa guitare, Aoi avait fait en sorte de tomber sur le côté pour éviter à sa guitare de se prendre violemment le sol mais il était tombé si rapidement et violemment qu'il sentit sa nuque craquer, Aoi lâcha alors un cri de douleur.
Il eux tout juste le temps de retirer sa guitare pour vouloir se relever que l'homme s'était allongé sur lui se qui le fit retomber sur le dos, fort heureusement pour lui, sa chère Hyena n'était plus accroché à lui, mais il fut tout de même prit de panique lorsque l'autre avait approché sa tête à quelque centimètre de lui.
*Il compte vraiment....?* Avait-il pensé en le voyant s'approcher de plus en plus de son visage. Le jeune guitariste détourna alors la tête sur le côté, serrant les dents, puis il posa ses mains sur le torse de l'inconnu pour le repousser.

Je le sens sous moi ... Je sens sa chaleur, je sens ses mains sur moi. Je sens .. Hey, je sens qu'il me repousse ! Tut tut tut ... Ce ne sont pas les règles du jeu, voyons ... Sois un gentil petit Jap', je te le conseille.
Je le sens bien, impossible de dire comment, mais plus je passe ce moment avec ce Japonais, plus je me dis que quelque chose nous lie, mais quoi, telle est la question.

Je relève de quelques centimètres seulement mon torse, histoire que sa main sur moi se retrouve dans le vide. J'attrape sa main et la glisse sous mon Tee-Shirt blanc.
Rien que de sentir sa main sur ma peau me fait lâcher un soupir.

- Méchant petit Jap', va ... Pourquoi me repousser, pourquoi repousser cet instant ? Si tu t'inquiètes que l'on nous voie, sache que à cette heure-ci, cet endroit est vide, lui chuchote-je dans un souffle en avançant mon visage près de son oreille.

Mes lèvres posent un léger baiser sur le cou nu du Japonais. Cette peau, si douce, cette peau de bébé ...

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Il releva alors son torse puis prit la main d'Aoi pour la glisser dans son T-Shirt blanc, le guitariste se sentit alors celle-ci trembler lorsqu'elle s'était poser sur le torse de l'homme, puis il dit avant de lâcher un soupir:
- "Méchant petit Jap', va ... Pourquoi me repousser, pourquoi repousser cet instant ? Si tu t'inquiètes que l'on nous voie, sache que à cette heure-ci, cet endroit est vide."
Chuchota-t-il avant de lui souffler sur l'oreille, c'est lorsque qu'il fit un léger baiser à son cou qu'Aoi se sentit rougir, il prit soudainement l'herbe du sol et la serra entre ses mains:
-"Ngh! P-pas plus, s'il te plait... Même s'il n'y a personne, j-je n'accepte pas de faire ça avec un inconnu. Et... Entre hommes... J-je ne pense pas que cela soit possible."
Il retira alors sa main du torse de l'homme et attendait que celui-ci le relâche car il avait beaucoup trop mal à la nuque pour se débattre d'avantage.
*Et moi qui pensait que ce genre de chose allait m'arriver avec une fan-girl...*

Tiens ? il détourne donc la tête de moi ? mais attends une minute .. Ce ne serait pas de la peur que je vois sur son visage ? Je lui fais peur ? Ouhlala ! Mais je ne veux pas lui faire peur!

Je me relève subitement, étonné de moi même et commence à lui tendre la main pour l'aider à se relever.

Tsss, imbécile Samuel ! Tu as failli le violer et voilà que tu crois qu'il va prendre ta main ? Vraiment naïf, toi, décidément ! Allez, la seule chose utile à faire pour toi, c'est t'éloigner le plus possible de lui, tant qu'il est temps. Tu l'as assez traumatisé, ne crois-tu pas ?

Je le regarde tristement une dernière fois, avec de la culpabilité dans le regard, et me retourne. Je vais donc terminer la nuit comme ça ? Seul, et en ayant traumatisé un jeune homme ? Tu es bon à quoi Samuel ? Parfois je me le demande.
Depuis que tu n'as plus Vanessa, c'est bien dur, tu le sais. Mais pas la peine non plus de sauter sur tout ce qui bouge ! De plus, ce n'est pas ton genre ! Qu'est-ce qui t'a pris avec lui ? Je ne me reconnais même plus ... Jamais tu n'avais fait cela. Alors pourquoi ce soir ?

Parce que c'est lui ...

Me revoilà, arrêté en plein parc, seul avec mes pensées qui ne vont vers qu'un seul homme, celui derrière moi ...

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Soudain, l'homme s'était relevé, il avait l'air surpris. Il tendit la main alors à Aoi, ce dernier se releva seul et reprit sa guitare, il regarda la main un instant avant de la pousser du dos de sa main gauche:
-"Pas la peine, je sais me relever seul."
Oui, mais il n'arrivait pas à se relever de se qu'il venait de vivre, il en restait même muet. Il n'osait plus parler, ayant peur de la façon dont pourrait réagir l'inconnu, mais ce dernier s'éloignait d'Aoi, le guitariste vit alors de la tristesse dans ses yeux ainsi que de la culpabilité, il sentit alors son visage reprendre sa pâleur habituel, désormais il n'était plus rouge. C'est lorsque l'homme s'était retourné qu'il eu enfin la bonne idée de l'identifier grâce à son pouvoir, même si l'homme était retourné il pouvait lire parfaitement son nom, son prénom et ses dates:
-"Samuel.. Sullivan, hein?"
Oui. Aoi avait comme sale habitude de toujours lire à voix haute le nom et le prénom de la personne pour les surprendre, mais là, c'est plutôt lui-même qu'il a surprit: *Merde, et s'il se retourne et vient vers moi j'fait comment maintenant?!* Avait-il pensé, prit de panique. Il fit alors un pas en arrière et sa guitare de sa housse, près à en jouer pour défendre et même le tuer... S'il le faut.

Attends, est-ce que j'ai bien entendu mon nom ? Samuel Sullivan ... ? Oui, c'est bien moi ! Mais le truc, c'est que je ne me souviens pas du tout m'être présenté à ce petit Japonais.
Je me rapproche doucement de lui, mon regard triste disparu pour laisser place à celui de la colère qui monte. Et lorsque j'ai ce regard, cela n'annonce rien de bon pour la personne qui l'a déclenché ...

- Attends, tu peux ... répéter les deux derniers mots qui sont sortis de ta minuscule p'tite bouche, le Jap' ? dis-je avec un semblant d'amusement dans ma voix.

J'étais plus proche de lui maintenant. Asseez près pour réussir a le prendre par le col et à le faire décoller du sol.

- Comment tu me connais ? T'es un agent ? Tu viens supprimer ma famille ? T'es un des leurs ? hurla-je sur le visage du japonais.

Sans en prendre conscience, quelques parties du parc s'effondrèrent et il me fallut quelques secondes avant de réaliser que mon pouvoir prenait le contrôle seul sur la situation. Il fallait d'urgence que je me calme sinon à cette vitesse, j'allais faire effondrer tout le parc !

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- Attends, tu peux ... répéter les deux derniers mots qui sont sortis de ta minuscule p'tite bouche, le Jap' ?
Aoi n'eux pas le temps de répondre que le dénommé Samuel l'avait prit par le col de sa chemise et le porter or du sol:
-"Comment tu me connais ? T'es un agent ? Tu viens supprimer ma famille ? T'es un des leurs ?"
Autour des deux hommes, la terre commençait à s'effondrer, Aoi regarda à nouveau au dessus de la tête de l'homme: *Putain, j'aurais du faire gaffe à la marque au lieux d'ouvrir ma bouche* Avait-il pensé. Oui, car grâce à son pouvoir notre guitariste était capable de savoir si la personne était un mutant ou non grâce à un petit point marqué à côté de la date de mort de la personne.
Irrité par ce changement d'humeur si soudain et du fait que cet homme pouvait abîmer sa guitare, Aoi le poussa de ses deux mains pour pouvoir être relâché. Une fois que ses pieds avaient retouché le sol, le guitariste recula à quelques mètres de Samuel pour ensuite sortir son médiator noir et doré de sa poche. Du bout de son index il entoura le nom et le prénom de l'homme puis il frotta de son médiator les cordes de sa guitare se qui fit jaillir un mélodie comme si la guitare était en colère; des cordes apparu alors, celle-ci lia alors Hyena à Samuel. Chaque cordes s'étaient enroulé autour d'un membre de l'homme: les bras, les jambes, puis le corps et le cou. Un large sourire se traça alors sur le visage d'Aoi:
-"Bon! Alors d'abord on va s'calmer et le mieux serait que t'évite de trop bouger, les cordes de Hyena sont coupante quand elle s'énerve."
Il frotta alors légèrement de son médiator la corde qui entourait le torse de l'homme se qui déchira sa chemise. Il poursuivit alors:
-"Je ne te veux rien, si je sais ton nom c'est parce je suis comme toi, un mutant. C'est tout. Sérieux quoi! J'ai une tête à être un agent?! J'suis dans un groupe et j'ai une carrière solo, j'ai pas qu'ça à faire de courir après les autres. Et puis... T'a une famille? Alors c'était quoi s'que tu m'a fait tout à l'heure?! Je suis ni homo', ni un jouet."
*Et je t'est déjà toi, Hyena...* Avait-il pensé en caressant de sa main droite sa guitare, puis il posa le bout de son médiator sur la corde qui était relié au cou de l'homme:
-"Tu vient de dire qu'on est seul ici n'est-ce pas? Alors je pourrais jouer sans qu'on me dérange. Il suffit que je joue de cette corde pour que tu perde la vie. Alors un conseil: rejoint ta famille et oublie moi."
Le guitariste leva alors la tête vers le ciel, il sentit son coeur rater un battement lorsqu'il avait imaginé que les médias avaient su se qu'il s'était passé il y a un instant; dans ce cas sa carrière serait fini il n'aurait pas le choix de rentrer au Japon avec son frère. Mais il reprit vite ses esprits et il regardait l'homme que tenait Hyena, le regard plein de rage.

-"Je ne te veux rien, si je sais ton nom c'est parce je suis comme toi, un mutant. C'est tout. Sérieux quoi! J'ai une tête à être un agent?! J'suis dans un groupe et j'ai une carrière solo, j'ai pas qu'ça à faire de courir après les autres. Et puis... T'a une famille? Alors c'était quoi s'que tu m'a fait tout à l'heure?! Je suis ni homo', ni un jouet."

Ces paroles pleines de colère m'atteignirent de plein fouet, tout comme ces lianes qui sortaient de nulle part.
En moins de deux secondes, me voilà entouré de ces lianes se serrant de plus en plus, m'étranglant presque.
Dès que je voulais bouger l'un de mes membres, les lianes se serraient encore plus jusqu'à ouvrir des plaies sur mon corps.

Je voulais lui répondre, mais imaginer une liane entrer dans ma bouche me dégoûtait assez pour laisser ma bouche fermée pour le moment.
Quoique, au fond de moi, cela pouvait rester une idée pour quelques autres occupations ...

-"Tu vient de dire qu'on est seul ici n'est-ce pas? Alors je pourrais jouer sans qu'on me dérange. Il suffit que je joue de cette corde pour que tu perde la vie. Alors un conseil: rejoint ta famille et oublie moi."

Alors là, je ne pouvais me retenir. J'ouvris ma bouche et hurla, au risque de me retrouver la liane dans ma bouche :

- Toi, écoutes-moi Aoi ! Rejoins ma famille, nous sommes tous comme toi. Tu es comme nous. Nous sommes pareils en gros! Tu es une grande star de la musique, je te connais. Mais ce n'était pas la première raison de ma visite. Je voulais t'inviter à rejoindre mon Carnaval, à rejoindre ta vraie famille.
Tu chantera pour des gens qui sauront qui tu es véritablement, plus besoin de te cacher, Aoi !
Ah, et dernière chose ... dis-je d'un ton bien plus inquiétant.
Si tu crois que tes menaces me font peur, rêves toujours...

Cette fois-ci je laissa faire la colère en moi me contrôler et la terre autour de Aoi trembla. Les liens se défirent d'un coup et je retrouvai l'usage de mes membres.

- Je ne te sauterai plus dessus, je ne sais même pas ce qu'il m'a pris au fond. Alors ensuite à toi de voir si tu veux continuer à vivre pour des personnes qui ne savent pas qui tu es réellement. Des personnes qui ont peur de nous et cherchent à nous éparpiller pour mieux nous contrôler.

Sur ces derniers mots, je lui tourna encore le dos et alla m'assoeir sur l'un des derniers bancs en bon état, ne jetant aucun coup d'oeil sur Aoi et contemplant les restes du parc.

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- Toi, écoutes-moi Aoi ! Rejoins ma famille, nous sommes tous comme toi. Tu es comme nous. Nous sommes pareils en gros! Tu es une grande star de la musique, je te connais. Mais ce n'était pas la première raison de ma visite. Je voulais t'inviter à rejoindre mon Carnaval, à rejoindre ta vraie famille.
Tu chantera pour des gens qui sauront qui tu es véritablement, plus besoin de te cacher, Aoi !
Ah, et dernière chose ... Si tu crois que tes menaces me font peur, rêves toujours...
La terre autour du guitariste se mit alors à bouger, tellement bouger qu'Aoi en fut déstabiliser, les cordes secondes cordes de Hyena disparu alors, la laissant redevenir une simple guitare: *Tch! Fait chier.* Avait-il pensé, irrité. L'homme poursuit alors:
-"Je ne te sauterai plus dessus, je ne sais même pas ce qu'il m'a pris au fond. Alors ensuite à toi de voir si tu veux continuer à vivre pour des personnes qui ne savent pas qui tu es réellement. Des personnes qui ont peur de nous et cherchent à nous éparpiller pour mieux nous contrôler."
Aoi eux alors une pensé pour son frère, Kai. Lui seul le comprenait et vivait la même chose que lui; tout les deux avait un carrière, des parents disparu et un pouvoir dépendant à un instrument, de plus, son groupe savait aussi se qu'il était et cela suffisait amplement à notre jeune guitariste. Celui-ci vit alors l'inconnu lui tourné le dos pour ensuite sur le banc où il était assis auparavant. Aoi se baissa alors pour reprendre la housse de sa guitare et remit sa chère Hyena à l'intérieur, après avoir fermer la housse et l'avoir mit à son épaule à l'aide de la bandoulière, il fit un léger pas hésitant, n'osant pas s'approcher plus du dénommé Samuel, il dit alors:
-"J'ai déjà une famille, mon groupe, mon frère...Ils savent se que je suis et l'accepte. C'est peut-être une petite une petite famille mais cela me suffit amplement, que tu le croit ou non. Je ne me répéterais plus: rejoint la tienne et oublie moi."
Il tourna alors les talons, le regarda une dernière fois avant d'ajouter:
-"Et... Autre chose. Touche à un seul cheveux de mon groupe, et je m'occuperais moi-même de t'arracher la tête."
Avant de continuer son chemin, une pensée lui fit alors raté un battement de son coeur: *Il m'a peut-être suivit depuis chez Kai, il ne faudrait pas qu'il aille le voir.* Avait-il pensé, paniqué.
Il prit alors le chemin pour se rendre chez son jeune frère, vu l'heure, celui-ci dormait sans doute, mais Aoi voulait s'assurer que ce Samuel ne lui ferait pas de mal durant son absence, quitte à le réveiller...

Spoiler:

» Monsieur papillon (pv Samuel Sullivan)
» La nuit
» Par une nuit calme [PV Emmett]
» Lettre de Winston à Samuel
» Rencontre étonnante ( PV Samuel )