Nombre de messages : 3076 Age : 32 Pouvoirs : Controle des maladies, Contrôle de la folie Côté Coeur : Une belle blonde semble y faire sa place... Date d'inscription : 19/10/2008
:::Votre Perso::: Age du perso: 23 ans Relations avec d'autres personnes: Elizabeth Black(+++), Edmond Van Buren(++), Daniel Langton(++), Caïn Ezechiel(+/-), Christie Saymev(+/-),Alexis Kane(-), Sylar(-) Billy Summers(-), Symphony K. Yardley(-), Rory Daniels (--), Elleanore Bishop(--), Nathan Petrelli(--), Peter Petrelli (---) Travail: Révolutionnaire à la retraite et bourreau des coeurs!
Sujet: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Dim 3 Avr - 17:41
(Circulez, y'a rien à voir xD)
Les pièces du puzzle étaient toutes en place, il fallait maintenant solidifier le tableau avec la base de toute organisation : d’autres membres. Rick y travaillais depuis déjà quelques jours, farfouillant sur son ordinateur les bases de données de Primatech, tentant de trouver les parfaits candidats pour parfaire son équipe. Il avait tout son temps, Alexis s’occupant d’en apprendre un peu plus sur cette précieuse Claire. Le Bostonien connaissait bien son bras droit; il ne se jetterait pas dans la gueule du loup sans en savoir un peu plus sur la cheerleader. Ça laissait une marge d’opération pour le recrutement. Rick ne voulait donc rien laisser de coté, scrutant chaque profil à la loupe, cherchant autant des pouvoirs intéressants qu’un caractère qui lui plaisait bien, ou du moins, excellerait dans les tâches à combler.
Pendant quelques jours (et surtout de nuit), Rick avait noté les noms, adresses, numéros de téléphone et autres détails importants sur une feuille de papier. Maintenant que le travail de recherche était accompli, il fallait passer à l’action. Les délicates démarches qui allaient mener au recrutement de chacun de ces New Yorkais devaient s’enclencher. Il devait étudier leurs habitudes, leurs intérêts, leurs résidences et lieux de sortie préférés. Chaque détail prenait des proportions extrêmes pour la suite des choses. Il se concentra donc sur le premier nom de la liste : Elizabeth Black.
Cette belle blonde avait été recruté par l’OWI dans ce que Rick se plaisait bien à appeler la « préparation anti-Pinehearst ». Primatech avait même été jusqu’à le recruter lui, un de leur prisonnier de guerre, pour combattre la compagnie d’Arthur Petrelli. Bref, lorsque Black avait comprit la raison de son recrutement, elle avait dut s’être sentit flouée, trahie. Exactement le genre de sentiment que Rick cherchait chez une future Sons of Liberty. De plus, son pouvoir lui permettait d’avoir quelqu’un pour se rappeler des chaque détail sur chaque personne rencontrée. Et il ne fallait pas oublier qu’elle était très très très charmante. Bref, tous les détails nécessaires étaient comblés. Il fallait maintenant trouver cette jolie demoiselle…
Les informations circulent toujours très rapidement lorsque l’on sait s’y prendre. Après avoir rencontré quelques anciennes connaissances, il avait vite appris qu’Elizabeth avait un problème de drogue. Quoi que « problème », c’était vite dit. La jeune blonde semblait adorer l’abus de bonnes choses : drogue, alcool et fête, c’était ça façon de faire les choses. Et en fouillant un peu, Rick avait déterré une information capitale. Black avait l’habitude de passer ses soirées dans le Dante, un club très hype dans Manhattan. Ainsi, pendant trois jours, le Bostonien se présenta au Dante, sans jamais la voir. Après tout, elle ne devait pas se présenter là chaque soir. Plus le temps passait, et plus Rick se disait qu’il détestait l’endroit. Stroboscopes, musique tantôt électro, tantôt underground, des types de tout les âges, les plus jeunes passant du bon temps grâce au portefeuille bien garni de papa, et les plus vieux tentant de faire partie de la masse, d’éviter de vieillir. Bref, une foule des plus pathétiques. Rick contrastait particulièrement avec la clientèle cible d’un tel club: veston de cuir, verre de whisky à la main, barbe de quelques heures. Rien de semblable aux nombreux buveurs de martini qui taraudaient l’endroit.
Au quatrième soir, il n’eut même pas le temps de la chercher qu’il l’a vu danser sur le rythme infernal que le DJ balançait. Elle semblait très à l’aise, se déhanchant, évoluant parmi une foule de danseurs et danseuse, mais trouvant tout de même le moyen de se démarquer. Elle était dans son élément, le père des Sons of Liberty en était bouche bée. Cependant, cette masse empêchait physiquement Rick d’aller la rejoindre et de lui proposé son offre. Soupirant, le Maître des virus se dirigea vers le bar et se commanda un verre de whisky, au grand déplaisir du tenancier qui semblait irrité de le voir à touts les soirs. Rick retourna son attention vers Elizabeth, qui venait tout juste de quitter le dancefloor. Elle se dirigea vers un type qui se tenait seul. Lorsqu’ils se serrèrent la main, Rick compris immédiatement qu’il venait d’être témoin d’une transaction de drogue. Ecstasy, crack, cocaïne? Elle était friande de quoi notre belle blonde? Probablement un comprimé quelconque puisqu’elle porta rapidement sa main à sa bouche avant de prendre place sur un divan. Quelques minutes plus tard, son regard fixe vers le plafond laissait deviner à Rick une transe des plus intéressantes. Que de souvenir! Lui-même était un utilisateur fréquent de ce genre de friandise, avant qu’il ne parte pour New York. Ça datait un peu…
Le Bostonien fut tiré des ses souvenirs de jeunesse lorsqu’un trio d’homme dans la trentaine s’approchèrent du divan sur lequel était étendu Elizabeth. Déjà, Rick comprenait se qui allait se passer. Une colère brulante l’envahi. Comment osaient-ils s’en prendre à une jeune femme loin d’être en état de se défendre? Bon, ils n’avaient encore rien fait, mais ce n’était qu’une question de temps. Justement, un des hommes déposa sa main sur la cuisse d’Elizabeth, la remonta lentement…
Rick avala son whisky d’une traite et se leva brusquement. En moins de temps qu’il en fallait pour dire « truite », il s’était retrouvé derrière le type qui semblait être sur le point d’exposer certaines parties du corps de la future recrue des Sons. Il le saisi par les cheveux avant de lui envoyer une droite directement sur le nez, puis une autre. Craquement sonore lorsque l’os se brisa, suivit d’un ruissèlement abondant de sang. Les deux acolytes de la nouvelle victime de Rick s’emblèrent vouloir initier une contre-offensive, mais ils tombèrent rapidement au sol, une fièvre surnaturelle les envahissant rapidement. Avant de s’abandonner à sa colère, Rick lâcha l’homme au nez cassé avant de se retourner vers Elizabeth. Il la souleva du divan et la guida vers une des cabines où les couples un peu pressés vont pour se… satisfaire. Il aida la jeune blonde à s’étendre sur le lit. En essuyant le sang qui recouvrait son poing, il commença à discuter avec Elizabeth, malgré l’état second de cette dernière.
« Elizabeth Black, je suis enchantée de vous rencontrer en personne. J’ai une offre à vous faire, mais avant tout, je dois savoir si vous êtes en état de bien me comprendre. Sinon, ça pourra attendre. Alors…? »
Dernière édition par Rick Baneson le Jeu 14 Avr - 4:32, édité 1 fois
Elizabeth Black
Nombre de messages : 603 Age : 30 Pouvoirs : Mémoire décuplée - Manipulation de la Mémoire Côté Coeur : Mystère ! Date d'inscription : 27/12/2009
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Dim 3 Avr - 18:04
Le sexe, la drogue et l'alcool. La vie de la jeune Elizabeth Black ne se composait que de ces mots, ils résonnaient dans sa tête, emplissaient sa vie et se succédaient dans une cadence infernale. Depuis la perte de son pouvoir, la jeune femme n'était que l'ombre d'elle même, elle était seule et les rares personnes, qui auraient pu l'aider à ce souvenir, n'étaient pas en mesure de vouloir l'aider.
Aujourd'hui, c'était un jour comme les autres. Elizabeth se réveillait à peine et ne savait déjà plus où elle était. Elle repoussa la main qui enpoignait son sein gauche et poussa ensuite le bras de l'homme endormi tout contre elle, en ouvrant les yeux, le soleil l'aveugla et réveilla son maux de tête de la veille, il devait être 15h, la ville était déjà éveillée depuis longtemps. Elle saisit alors sa paire de solaire, signée Ray Ban, noire comme d'habitude. Elle se leva, dévoilant son corps nu et finit par retrouver ses dessous de grand couturier et les mit avec délicatesse pour ne pas réveiller l'homme, elle se souvenait de son nom, Stephen, Stephen Bolen. Son père l'avait nommé responsable du siège de sociale new yorkaise de son entreprise immobilière, il adorait se piquer et prendre les filles par derrière pour relâcher la pression qui pesait sur ses épaules, pauvre petit prince dans un monde si cruel, c'est si difficile de devoir tout payer avec l'argent de papa. La jeune femme s'amusait de la situation. Malgré cela, même en ayant les effets néfastes de l'alcool, la jeune femme avait la malchance supplémentaire de se souvenir de ses mésaventures de la veille. Elle regarda l'homme avec une sorte de mépris et dégoût, elle le trouvait pitoyable et se trouver pitoyable. Elle passa devant un préservatif usagé qui se trouvait posé négligemment sur son sac à main, elle la jeta à la poubelle avec dégoût. La jolie russe se sentait sale, d'être devenue ainsi, pourtant, elle aimait ça.
Aprés quelques secondes de réflexion, elle se dirigea dans la salle de bain et se déshabilla à nouveau. Elle adorait sentir le satin de ses dessous glisser le long de son corps, elle commença à faire couler l'eau et songea. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'elle avait retrouvé son pouvoir et cela ne l'enchantait guère. Le fantôme de la compagnie planait sur elle et lui gâchait l'existence. Durant la période où elle avait tout oublié, elle faisait d'affreux cauchemars mystérieux sur une attaque, elle y voyait des visages, mais ne pouvait les reconnaître. Désormais, elle les reconnaissait, Ethan Sorrow, qui s'était chargé de son recrutement et qui l'avait trahie, Logan Taylor, son partenaire, qui l'avait abandonnée. Elizabeth voulait désormais oublier et vivre comme si elle n'était que la petite blondasse russe qui gaspille le fric de papa. Pleine de ces souvenirs, elle sortit de la salle de bain, elle entra dans le dressing, elle choisit un simple jean Diesel et une tunique blanche Dior. Elle saisit des escarpins Jimmy Choo à lanières dorées et réapparut dans la chambre pour attraper son sac à main. Stephen avait disparu, comme les autres. Il pensait qu'elle l'aurait attendu en sortant de la douche, car évidemment c'est les hommes qui font ça. Et bien, soyons clair, Elizabeth était déjà partis avant lui, à sa manière. Elle découvrit sur sa table basse, une enveloppe. Elle contenait 5 000 dollars, dommage pour la jeune femme, il ne s'était pas montré génèreux. Elle traversa sa cuisine, attrapa une pomme et la croqua, tout en marchant vers l'entrée, elle saisit une nouvelle paire de lunette cette fois rouge et sortit de son appartement. Elle avait rendez-vous avec Misha à 16h, devant Colombus Circle ou ce qui prenait sa place.
La jolie rousse semblait contrariée, à vrai dire, elle avait toute les raisons du monde puisque Elizabeth avait 30 minutes de retard. Misha se mit à hurler durant 10 minutes puis un rail plus tard, elles firent les boutiques comme tout les jours depuis deux semaines. Misha était la petite fille de l'ancienne rédactrice en chef de Vogue et détenait 20% des parts de l'entreprise. La rouquine avait des contacts dans chaque boutique et tout ce qu'elle prenait était gratuit, elle en faisait donc partager sa nouvelle meilleure amie Elizabeth. Après, 3 paires de chaussures, deux robes et un sac à main chacune, elles dinèrent au City Hall Restaurant dans le quartier de Tribeca et filèrent au Dante vers 22 heures, aprés s'être changées.
Cela faisait trois jours que Miss Black n'était pas apparu au club. En effet, Misha l'avait emmené pour le week-end à Paris où elles avaient fait la fête avec de jeunes français. Elle eut également la chance de croiser Stephen sur le vol Première Classe Paris-New York et après s'être envoyé en l'air à plusieurs reprises dans les toilettes de l'avion, ils continuèrent dans le taxi et à l'appartement de la jeune femme. Cela expliqua donc, l'étonnement du barman lorsqu'il aperçut la jeune femme. Il faut dire qu'il devait craquer pour elle depuis le premier soir où elle lui avait commandé de la vraie vodka. Il lui offrit donc son verre, comme tout les autres. Tout était comme à chaque fois, les hommes dansaient contre les jeunes femmes, ils se rejoignaient dans les cabines. Certains se buvaient, d'autres se droguaient. Cependant, cette fois quelqu'un attira son attention avec une facilité déconcertante.
L'homme du bar. Celui là, elle l'avait vu venir de loin. Lexis, héritière d'un empire hôtelier et accro à la coke, lui expliqua qu'elle le voyait tout les soirs assis au bar à guetter, comme s'il attendait quelqu'un et cela durait depuis trois jours. La jeune femme ne fit pas très attention, après tout, elle avait suffisamment ingéré d'alcool pour perdre le contrôle de son pouvoir et ne pas se souvenir de qui il était. Elle continua à danser et finit par apercevoir Greg, son dealer, toujours aussi élégant en complet Armani. Il lui donna trois pilules violettes comme à son habitude à cette heure là, elle lui donna une liasse de billets. Elle en avala une et mit les deux autre dans son Chanel, un sac classique à rabat en agneau matelassé, à fermoir Cc et à chaîne entrelacée, autant être précise lorsque l'on a du goût, déjà que sa silhouette la mettait en valeur, ainsi que sa robe plongeante YSL, mais le sac bleu électrique attirait finalement l'oeil sur les rares personnes qui ne l'avait pas encore eu le goût de poser leurs yeux sur Mademoiselle Black.
Elle commença à sentir les effets, elle partait déjà ailleurs et alla donc s'allonger sur un de ses divans en velours rouge les jambes légèrement entrouvertes les bras tombant sur le côté et les yeux fixés sur le plafond, il avait de belles couleurs et la russe voyait apparaître des créatures sur celui ci, des créatures descendant sur elle. C'est lorsqu'elle regardait l'une de ses créatures se poser sur l'homme du bar. C'est à ce moment que Mitchell, Byron et Ted décidèrent de venir lui rendre une petite visite. Ils l'entourèrent rapidement, ils étaient ivres, comme à leur habitude et comme à leur habitude, ils allaient s'amuser avec Elizabeth en la laissant souillée par la suite puisqu'elle est constamment incapable de se défendre face à eux. Byron, sans doute le plus repoussant des trois, avec son tailleur gris souris Kenzo de la saison dernière, était déjà entrain de caresser la cuisse de la jeune femme qui ne pouvait rien faire. Cependant, elle se souviendrait de tout, tout les détails seraient gravés en elle. Au fond, c'est à ce moment là qu'elle aurait voulu oublier à nouveau, mais elle ne pouvait plus.
La jeune femme sentait à peine contact de la main de l'homme vers son intimité, elle soupira. Puis son regard se posa sur l'autre, Mitchell, elle visualisait son costume d'un vert éclatant, lors qu'il avait été noir quelques minutes avant. Soudain, alors que les rires autour d'elle se troublaient, elle vit l'ombre qu'elle avait déjà aperçu au bar. Il frappa Byron, elle vit du sang et, sans même savoir pourquoi, le sang pour elle devint d'un bleu vif et finit par envahir la piéce. Lorsque cette hallucinations prit fin, on l'avait transporté ailleurs. Elle se sentait déjà mieux, mais son mal de tête était persistant. Elizabeth fixa le jeune homme qui était en train de parler.
« Elizabeth Black, je suis enchantée de vous rencontrer en personne. J’ai une offre à vous faire, mais avant tout, je dois savoir si vous êtes en état de bien me comprendre. Sinon, ça pourra attendre. Alors…? »
Il était charmant, mais son expression accentua la légère inquiétude de la jeune femme. Elle l'avait déjà vu quelque part. Il avait donc un rapport avec la compagnie, selon ces dires et ce qui c'était passé plus tôt, il devait avoir un pouvoir puissant. Elizabeth réfléchissait trop, cela devenait de plus en plus flou. Elle se redressa doucement et avant même de prononcer un mot, vomi juste à côté du jeune homme, qui la laissa faire. Elle se retourna vers la tablette d'elle et sortit du tiroir l'attirail de la gentille droguée, elle se fit un rail puis se tourna vers celui qu'elle pensait connaître sous le nom de Baneson.
Désolée, ça fait toujours ça en début de soirée...
Elle désigna le vomi sur le sol puis sortit un miroir et se repoudra le nez tranquillement comme s'il n'était pas là. Elizabeth tenta de se lever, mais trébucha aussitôt.
Je gère ça va très bien !!
Elle finit par se rasseoir calmement, passant une main dans ses cheveux, elle regarda à nouveau.
Pourquoi venez vous me chercher? Petrelli fait peut être un barbecue avec tout les anciens agents, alors il sort de sa tombe ?
L'accent russe de la jeune femme avait sifflé dans les airs laissant apparaitre sa colère.
Quoi qu'il en soit, je ne ferai plus jamais rien pour eux. Tu peux rentrer chez toi Rick. Et puis, tu n'aurais pas dû t'afficher comme ça juste pour une blonde que tu ne connais pas. Parce que moi je te connais, mais tu ne peux pas dire la même chose de moi. Tu devrais partir, ils risquent d'appeler les flics s'ils te revoient...
Rick Baneson --Down with the Sickness --
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Dim 3 Avr - 18:17
Le rythme résonnait dans tout le club, les basses vibrant jusque dans la poitrine de Rick. Que de souvenirs de sa vie antérieure, lorsqu’il découvrit ses pouvoirs, lorsqu’il se débarrassa de ses parents, le Bostonien devint exactement le genre de jeune homme qu’il avait toujours détesté : un rebelle cruel et égoïste, un brise-cœur impénitent et un fêtard constant. Il avait probablement pris plus de drogue en quelques mois que plusieurs personnes pendant leurs vies entières. Il avait profité des filles en manque d’affection, des dépendantes, de celles qui n’avait aucun respect pour elles-mêmes. Bref, Rick était un trou du cul. Lorsque Rory l’avait libéré de sa folie, il avait pris de bonne habitude, une sorte de conscience que sa vie ne pouvait durer ainsi, mais il finit par se faire rattraper par la facilité de vivre égocentriquement, de façon seulement centrée sur sa propre personne. Cependant, la drogue était maintenant hors de question. Il ne pouvait se permettre une dépendance, du moins pas avant le début des opérations des Sons of Liberty. Au fond, il était devenu un trou du cul, mais plus alcoolique que drogué.
Elizabeth semblait comprendre ce que Rick lui disait, même si les comprimés qu’elle avait ingurgités quelques minutes plus tôt commençaient à l’étourdir intensément. Sans plus d’avertissement qu’un rapide haut-le-cœur et qu’un blêmissement soudain de son teint déjà pâle, la jeune Black se pencha pour vomir au sol, juste à coté de Rick, qui ne put s’empêcher d’arquer un sourcil. Ça commençait bien. Il espérait seulement qu’elle pourrait suivre ses paroles sans les interpréter de manière erronée. La blonde se redressa et s’excusa, désignant le dégât qu’elle venait de régurgiter. Après une petite séance de « repoudrage », elle tenta de se relever, mais la drogue ne permet parfois même pas ce genre d’action. Par orgueil, elle lui assura qu’elle gérait bien, avant de se rassoir. Rick l’écouta parlé. Apparemment, elle savait pour la mort de Petrelli, ce qui était assez impressionnant si on prenait en compte que même Alexis, un des agents de Pinehearst auxquels Arthur faisait (du moins en apparence) le plus confiance, n’était même pas au courant de la mort du Patriarche. Lorsque le discours d’Elizabeth pris une tournure un peu plus colérique, le Bostonien ne put s’empêcher de sourire, du même sourire amusé qu’il abordait en quasi permanence. Il n’avait rien de bien arrogant, mais ce rictus laissait paraître que Rick possédait une longueur d’avance, juste assez pour pouvoir saisir quelque chose d’amusant dans les paroles de son interlocuteur. Lorsqu’elle arrêta de parler, le père des Sons pris place sur le lit, à coté d’elle.
« À ce que je peux voir, tes sources sont très efficaces, être au courant de la mort d’Arthur Petrelli relève de l’exploit. Même ses plus fidèles agents ne sont pas encore au courant du décès de cet homme. Mais bon, comme je peux voir, tu le portais dans ton cœur autant que moi. Non, je ne suis pas ici pour Pinehearst, mais bien en mon nom personnel. Et comme tu me connais bien, tu sais que mes intérêts à moi ne sont pas les mêmes que ce supposé géni. »
La fluidité des paroles de Rick laissait paraître une assurance hors de l’ordinaire, tel un businessman devant des investisseurs, ou un gourou devant ses sectaires. La douceur du miel marquait sa voix, la texture du velours enrobait chacun de ses mots. Il était à l’aise, dans cette cabine où un nombre incalculable de couple (de trios, de quatuor, etc.) complètement bourrés s’était adonné à des pratiques sexuelles souvent malsaines. Il se pencha d’une façon qui semblait vouloir paraître amicale, mais qui était trop proche pour ne pas cacher d’autres intentions.
« Et je ne veux pas te décevoir, mais je n’ai pas l’intention de retourner chez moi si tôt! On commence à peine à s’amuser. Elizabeth, je peux t’appeler Elizabeth, non? Bref, tout ça pour te dire, que si je suis ici, c’est parce que les ères Petrelli, autant celle d’Angy que celle d’Arthy, sont terminées. Et bien sur, c’est pour le mieux. Ses gens, avec leurs connections et leurs portefeuilles gigantesque croyaient pouvoir se servir de gens comme nous comme de simple pantins. Et bien une fois que Primatech s’est fait défoncer, où elle était, Angy, pour ses agents? Elle avait disparue, poof! Je te le dis, pour eux, nous ne sommes rien, et il est temps que ça change. Il est temps que tous ensemble, nous leur prouvions que nous en avons assez des magouilles dans nos dos, nous en avons assez d’être de simples marionnettes dont on peut disposer lorsque le plan est terminé. Nous pouvons être nos propres patrons, Elizabeth. Nous pouvons être libres, entièrement, complètement libre de toutes contraintes sociales et juridiques. Certes, tu t’amuses bien pour l’instant, à te faire tripoter par des types qui se prennent pour des ladies man alors que tu hallucines, mais imagine maintenant une société où en plus de pouvoir agir ainsi, rien ni personne ne pourraient t’en empêcher, rien ni personne ne pourrait t’arrêter. Tu serais libre, Elizabeth, car peu importe ce que l’on veut bien croire, nous ne le sommes pas dans ce monde présent. Des politiciens tirent les ficelles dans l’ombre, n’en sortant que pour le temps des élections. Dans le monde que je veux, il n’y aura pas de lois, pas de domination. Nous serons libres. Ça t’intéresse? »
Rick venait probablement de piquer la curiosité de la jeune blonde, qu’elle l’aime ou qu’elle ne l’aime pas, elle ne pourrait probablement pas s’empêcher d’être intéressée. Il avait mis le tapis pour le recrutement, il ne lui restait plus qu’à voir la réaction de mademoiselle Black.
Elizabeth Black
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Lun 11 Avr - 20:03
Il est vrai, que cette fois ci, Elizabeth n'avait pas été trés réceptive à la présence du jeune homme. Autant, autrefois, la jeune russe avait été un modéle de compassion, de chaleur et d'amour. Autant, le gout du vomi dans la bouche, l'effet de la drogue dans son cerveau, la musique écrasant ses tympans et la présence de Rick Baneson, la rendait exécrable. Il parlait tellement qu'elle s'allongea sur le lit, le regardant de biais. Il lui demanda si elle était en état de comprendre. Elle mit quelques secondes avant de réagir, préférant se replier sur elle même, en position foetale. Silencieuse, elle le scruta avec curiosité, il avait l'air si grave et à la fois si amusévde la situation, elle s'efforça de parler, ne sachant même pas ce qu'elle pouvait bien dire.
Tu n'as pas fais tout ce chemin pour attendre que j'ai les idées claires... Soyons honnêtes, ça ne risquera pas. Parle, j'écoute.
Il la flatta briévement, ce qui la fit sourire et rire légérement, comme elle en avait l'habitude. Cpendant, elle regretta presque aussitôt cela lorsqu'il commença à déblater son long et pompant discours. A vrai dire, elle écoutait à peine, sachant qu'elle se souviendrait tout de même de chacunes de ses paroles, la drogue se dissipant, son pouvoir reprenait sa place. Elle soupira à nouveau et se tourna vers la petite table basse pour utiliser le kit de cocaïne qui s'y trouvait. Elle détestait avoir les idées claires, cela lui rappelait à quel point, elle avait été stupide durant ces trois derniéres années et finalement, toute sa vie. Pendant que le jeune homme parlait, elle eut une sorte de flash, renvoyant son pére et Arthur Petrelli en face d'elle, lui demandant de rejoindre leur compagnie, puis elle se rappela qu'elle avait refusé à cause d'Ethan, alors que ce dernier n'avait pas hésité à la trahir. Lorsqu'elle revint à elle, Rick parlait du fait qu'ils n'étaient rien que des pions. Elizabeth s'appuya péniblement sur le rebord, lorsqu'il commença à parler de libertés, elle se tourna vers lui d'un air attentif.
Soudain, elle se rendit compte qu'elle n'avait jamais été réellement libre, on avait toujours choisis tout pour elle, son pére, Ethan, Logan, Angela, Arthur et au final, cela ne lui avait apportait rien que du malheur et une souffrance qu'elle ne pouvait plus effacer. Elle se souvint qu'elle avait meme voulu abandonner ses pouvoirs, sa vie ici, permettant de les oublier durant de courts instants, mais jamais elle ne s'était résulue à les perdre pour toujours, perdre ce qui faisait d'elle, un être unique, quelqu'un d'unique. Elle serait enfin libre, pouvant faire ce qu'elle voudrait, elle n'aurait besoin de personne. Au fond c'est ce qu'elle avait toujours souhaité. Le mélange des différentes drogues provoqua en elle, une réaction étrange, à la fois consciente et insconciente, elle réalisa le choix qui s'offrait à elle. Baneson n'avait pas fait tout ce chemin pour rien et elle saurait en savoir plus. Il finit son discours et Elizabeth bougea doucement, comme elle en avait l'habitude, elle posa sa jambe gauche entre celles du jeune homme, le faisant basculer sur le lit pour s'asseoir sur son entrejambe.
Si ça t'intéresse, ça m'intéressera aussi.
La jolie russe le fixa longuement, tout en défaisant la ceinture qu'il portait, lorsqu'elle eut finit, elle la lança à l'autre bout de la petite piéce. Cependant, quelqu'un ouvrit la porte, alors qu'Elizabeth s'apprêtait à se pencher sur sa victime. Eliza ? C'est toi ? OOOh avec un nouveau ! Qu'il est mignon ! Trisha... Va sucer ailleurs veux tu ? Bon trés bien, appelle moi quand tu as finis !
La porte se referma aussitôt, Elizabeth se retourna alors vers son compagnon de chambre avec le plus grand sérieux du monde, sérieux qu'elle réussit à avoir malgré toutes les drogues et l'alcool qu'elle avait dans l'estomac. Elle s'allongea sur lui, s'amusant à glisser contre son corps, pour attraper la bouteille de vodka qu'on avait laissé là, par hasard, elle en prit une longue gorgée, puis la tendit avec nonchalence.
Ce n'est pas de la bien bonne, mais ça fera l'affaire où en étions nous ?
Elle lui sourit d'un air taquin et lui donna la bouteille.
Rick Baneson --Down with the Sickness --
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Jeu 14 Avr - 4:21
I don't want to go to hell, but if I do It'll be 'cause o'you. Every young man's gonna make mistakes 'Till he hits the breaks My heart's on fire With a strange desire.
Rick aimait être bien entouré. Décidément, depuis que le Maître des Virus avait quitté son Boston natale, il avait traîné avec des personnalités d’exceptions, des êtres aussi intéressants que dangereux, certains plus imprévisibles que la nature elle-même, d’autres bienveillants à des extrêmes qui échappait à l’ancien agent de Pinehearst. Dès qu’il avait posé son regard sur le dossier d’Elizabeth Black, il avait compris qu’elle méritait grandement une place dans ce palmarès, ce club des gens intrinsèquement intéressant qui attirait Rick à un point inimaginable.
Le Bostonnais pris le temps d’observer un peu l’endroit, et se dit que tout ici semblait être fait pour le détourner de sa propre mission de recrutement. L’ambiance transpirait la sensualité à l’extrême, avec son grand lit aux draps rougeâtres, ses nombreux miroirs qui ramenaient vers la perversion que pouvait renfermer l’endroit. De quoi plaire à tous et toute, tant que votre but initial soit aussi simple que : passer un bon temps. Rick avait plus que ça en tête, contrairement à ce à quoi il était habitué. Cette future organisation devait surpasser tout ce qu’il pouvait ressentir, et sombrer dans de bas instincts représenterait un échec cuisant de sa part.
Elizabeth jugea que le temps était à la fête, et sniffa sans plus attendre une autre bonne dose de cocaïne, ce qui fit sourire Rick. Si ça n’avait pas été une mission personnelle, il aurait tellement aimé festoyer avec elle, boire du Jack Daniels jusque dans les tréfonds de la nuit, ça avait été dans ses cordes depuis un bon bout de temps. Malheureusement, pour la première fois depuis qu’il avait découvert son pouvoir, il mettait le travail avant la fiesta sur sa liste de priorité.
Rick déblatéra son discours, espérant dans son inexpérience une réponse immédiate, un accord qui assurerait qu’Elizabeth prendrait part active dans la suite des choses. C’était évidemment une grande erreur. Comment pouvait-il croire un seul instant que la belle blonde, avec une telle quantité d’alcool et autre substance dans le corps, allait être en état de prendre une décision sur champs? Encore pire, comment pouvait-il croire qu’un tel discours, aussi barbant et ennuyant, allait pouvoir l’intéressé alors que tout ses sens ne cherchaient qu’a être stimulé, d’une façon ou d’une autre? Rick avait mal évalué la situation, chose qui, en d’autres occasions, aurait pu se révéler fatale. Heureusement pour Pestilence, cette rencontre n’était pas une rencontre qui reposait sur un but capital, simplement un recrutement. Cependant, il sembla attirer l’attention jusque là déficient d’Elizabeth en élaborant sur le thème de la liberté. Il vit dans son regard une étincelle, celle d’un esprit qui veut voler sans contrainte dans un ciel libéré des orages législatifs et gouvernementaux. Cette étincelle se transforma rapidement en un feu que Rick reconnu immédiatement : celui du désir. Il l’avait vu tant de fois, dans tant de regards féminins, mais venant d’Elizabeth, l’effet fut monstre. Il y avait un certain magnétisme chez elle, un charme physique très puissant que Baneson n’avait que rarement connu.
Rick la questionna sur son intérêt sur le sujet, s’imaginant recevoir une réponse sous forme de parole. Encore une fois, la délicieuse blonde trouva un autre moyen de le surprendre, le renversant sur le lit. Toutes volontés de conserver un certain professionnalisme dans la rencontre de ce soir quitta l’esprit du jeune homme. Dans sa tête, le deal allait prendre des allures beaucoup plus passionnelles. Une union physique pour sceller une contribution, c’était bien plus symbolique. Une connaissance d’Elizabeth fit irruption dans la pièce, arrachant par le fait même un sourire à Ricky au passage. Trisha se fit rapidement retourner par la nouvelle geôlière du Bostonnais, cette dernière retournant vite à où elle en était d’un air sérieux. Elle s’allongea de tout son long sur le corps de Rick, glissant lentement pour atteindre une bouteille de vodka qui traînait par là. Elizabeth se désaltéra longuement et passa la bouteille au jeune homme, un air taquin ponctuant une remarque sur la qualité de la boisson nationale Russe. Ça importait peu à Rick, qui, en tant qu’Irlando-Bostonnais, avait plus grande préférence pour ses Whisky chéris. Il accepta tout de même la bouteille, le même regard allumeur marquant son visage et en bue une gorgée impressionnante.
D’un geste rapide, Rick fit basculer sa conquête d’une nuit, de façon à ce qu’elle se retrouve étendue sur le lit. Il préférait ça comme cela, être en contrôle de la situation, de ce qui allait arriver. Il déposa la bouteille là où la Russe l’avait prise, un sourire des plus passionné au visage. Il aimait la situation, il aimait la tournure des évènements, bref, il aimait être là, corps contre corps, yeux dans les yeux avec cette déesse issue des contrées nordiques. Rick s’agenouilla, enleva son manteau de cuir usé et le jeta dans le même coin que sa ceinture, l’abandonna l’instant de cet ivresse sensuel qui envahissait le couple. Il retira aussi son t-shirt noir, révélant son torse nu à celle qui tenait présentement sous son emprise. Il se repencha vers elle, ses lèvres effleurant délicatement son oreille.
« Je te donnerai un avant goût de cette liberté cette nuit. »
Ce doux murmure se transforma rapidement en de fougueux baisers au niveau du coup. Le tout était passionnel, presque minutieux, sans devenir ennuyant. Rick semblait choisir le timing de chaque baiser avait une importance capitale pour la suite des choses, comme si Elizabeth était sur le point d’exploser et qu’il devait à tout prix y aller avec parcimonie. Sa main droite effleura lentement la poitrine de la belle blonde, continuant un tracé extatique sur son ventre, finissant sa lente descente au niveau des hanches. Ça perdura ainsi pendant quelques minutes, le temps que la jeune Russe se retrouve avec les nerfs enflammés par le même désir ardent qui avait brûlé dans son regard, puis le Bostonnais s’arrêta pour saisir la fameuse bouteille de vodka. Il en restait une bonne quantité, environ le quart, que Rick bu entièrement en quelques secondes avant de se retourner vers Elizabeth.
« Où en étions-nous? »
Rick affichait son sourire le plus charmeur. Il nageait dans son élément, allant et venant entre les mailles de règles préétablies dont il faisait nonchalamment fi. Il n’y avait qu’un seul but : passer une nuit inoubliable, et s’arranger pour que ce soit de même pour sa merveilleuse compagne.
Elizabeth Black
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Mer 4 Mai - 20:33
Ce soir, dans l'une des nombreuses cabines privées du sulfureux club le Dante, personne n'aurait pu soupçonner que les deux jeunes gens, allongés sur le lit, étaient des gens dotés de capacités surnaturelles. Evidemment, ce n'était qu'un simple détail parmi tant d'autres, mais s'ils n'avaient pas eu ce lien qui les unissait, ils n'auraient sans doute, jamais entendu parler l'un de l'autre. Le hasard était le déclencheur de beaucoup d'événements, surtout dans ce lieu, où vous pouviez coucher avec n'importe qui, à n'importe quel moment. Le hasard avait donc décidé de mener Rick Baneson à Elizabeth, cette dernière qui ne semblait pas manifestement s'en plaindre. Elle venait à peine de lui adresser la parole depuis dix minutes, qu'elle était déjà allongée sur lui de tout son long en lui proposant de boire de la votka.
Officiellement, la jeune russe n’y était pour rien, elle était sous l’emprise de plusieurs substances illicites, (on pourrait même se demander comment elle arrive à tenir, mais ça c’est son secret). En réalité, la jeune femme était tout à fait consciente de ce qu’elle faisait et à cet instant précis, elle était même excitée de le faire avec autant de facilité, comme si ces longs mois de débauches avaient réussis à lui donner l’extravagance de mener à bien toutes ses envies, même les plus folles. Autrefois jamais elle n’aurait été assez dévergondée prendre autant de liberté avec un homme, encore moins avec un homme de ce genre. Baneson était le parfait cliché du beau brun ténébreux, l’homme mystérieux qui vous hérissait les poils et déclenchait une longue décharge électrique le long de votre nuque. Lorsqu’il avait parlé de liberté, elle avait aussitôt ressentis cette décharge excitante, qui lui ordonna de faire ce qu’elle fit donc. Elle ne se souciait pas réellement de la réaction du jeune homme, bien trop habitée par son propre désir et influencée par l’habitude de voir les hommes lui obéir dans ces cas-là.
Elizabeth le regarda alors boire la bouteille du breuvage russe, il la finit rapidement et cette vue, elle commença à rire, le genre de rire discret et idiot que vous avez à quinze ans quand on vous drague pour la première fois, vous voyez ? Elle avait l’impression que son esprit s’évaporait alors que le contact avec le jeune homme s’intensifia, elle tenta de continuer son avancé corporelle, lorsque Rick préféra prendre le contrôle de la situation, ce qui n’étonna pas la jeune femme, qui n’attendait que ça. Elle se fit docile, contredisant telle une enfant, les avances qu’elle avait elle-même débutées. Ses yeux bleus se mirent à fixer ceux du jeune homme avec fascination, elle ne savait pas réellement pourquoi mais elle était irrévocablement attirée par lui, comme s’il n’y aurait pas pu y avoir aucunes autres issues possibles. Baneson ôta rapidement son manteau de cuir, qui lui donnait son air de bad boy, puis sa ceinture et enfin il lui révéla son torse. La jolie blonde se mordilla la lèvre d’envie, se colla à lui, laissant la chaleur de l’autre corps envahir le sien. Il lui susurra alors au creux de l’oreille :
« Je te donnerai un avant goût de cette liberté cette nuit. »
Ces mots et le souffle chaud qu’ils apportaient à son oreille, électrisèrent Elizabeth qui sembla défaillir au point de le laisser continuer sa route. Elle rit nerveusement comme une enfant et le laissa embrasser sa nuque, tout en lui maintenant le visage contre elle en lui caressant les cheveux, elle ne voulait surtout pas que cela se termine, à l’inverse de ces nuits précédentes. La jeune russe avait l’impression d’être enfin vivante, alors qu’ils venaient à peine de faire connaissance. Puis, il osa aventurer l’une de ses mains de plus en plus loin, ce qui ne gêna nullement la belle, qui n’attendait que cela à vrai dire. Elle frissonna frénétiquement à chacune des caresses de Rick, vibrante et attentive à la moindre sensation que pouvait ressentir son corps. Elle ne dit rien ne voulant pas satisfaire l’homme en lui disant qu’il était doué, après tout, elle devait conserver le fait qu’elle avait connu trop d’hommes pour être impressionnée par un seul. Ce fut cependant trop tard et elle lâcha un soupir de plaisir qui se finit sur un gémissement à peine audible, après tout, d’expérience, Eliz savait que les murs n’étaient pas bien épais. Il l’abandonna un instant pour se rafraîchir buvant ce qu’il restait de votka. Lorsqu’il eut finit, il lui fit l’un des sourires les plus charmants qu’elle n’avait jamais vu.
« Où en étions-nous? »
Elle lui sourit à son tour, saisissant l’une de ses mains pour en embrasser chaque centimétre de sa peau, elle continua quelques secondes pour finir par lui répondre.
Je ne sais pas. Si cela te gêne nous pouvons recommencer du début…
Un sourire en coin malicieux se dessina sur son angélique visage, elle continua ses baisers, goûter à chaque centimètre de sa peau au goût de sel, le tirant vers elle, elle lui arracha un baiser passionné tout e profitant de son inattention pour l’encercler de ses jambes et inverser leurs places.
J’espère que tu ne vois aucun inconvénient à ce que soit une femme qui dirige…
Son ton se voulait moqueur et nonchalant, elle n’attendit pas sa réponse préférant faire ce qu’elle voulait, elle glissa doucement de tout son corps vers le bas, embrassant le torse de son compagnon. Lorsqu’elle arriva à la bonne hauteur, elle le libéra tranquillement de son pantalon et comme si cela était devenu naturel chez elle, s’attela à rendre au brun ténébreux ce qu’il lui avait donné. Elizabeth adorait faire plaisir aux autres, surtout si c’était pour se faire plaisir à elle-même de cette façon. Elle tortura donc de longues minutes son partenaire de jeux, jusqu’à ce qu’il soit au bord de l'explosion. Elle releva la tête vers lui, d'un air si innocent et si taquin qu'on n'aurait pu soupçonner ses occupations.
J'ai fais ma part du contrat ?
Spoiler:
Vous avez compris hein !
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]** Mer 11 Mai - 5:20
Le sexe. Il occupait une place centrale au centre de la société moderne, et c’était en de pareille soirée, lorsque la tension est à son niveau le plus élevé, que l’on pouvait comprendre pourquoi. Chaque caresse prenait ici une dimension inimaginable, chaque soupire de plaisir coupable devenait d’une importance capitale. Rick était devenu un expert en la matière, il jaugeait chaque mouvement, chaque réaction, analysait la situation. Certains pourraient dire que c’était bien trop mécanique comme façon de penser, de voir l’acte en tant que tel, mais bien au contraire. Le Bostonnais avait beau rechercher une partenaire partout où il passait, son but premier était d’abord et avant tout le plaisir de sa compagne d’une nuit. C’est un peu ce qui faisait son charme. C’était probablement aussi une question d’ego surdimensionné, découlant directement de sa mégalomanie.
L’ambiance était à son plus chaud, le couple était enlacé et enrobé par la passion qui nimbait le moment. Leurs corps nus ne faisait qu’un pendant cet instant insaisissable de plaisir et de liberté pure, tout comme leurs esprits. Après moins d’une heure après leur rencontre, ils s’adonnaient dans des domaines d’intimité presque total, comme s’ils s’étaient toujours connus et que c’était plus que naturel. Aux yeux du Bostonnais, c’était tout comme. Il avait l’impression qu’ils étaient destinés à se rencontrer, que leurs chemins respectifs étaient faits pour se croiser encore et encore. Le son de la musique était assourdissant, mais Rick réussi tout de même à entendre la taquine réponse d’Elizabeth avant que cette dernière lui fasse le même coup qu’il lui avait quelques minutes plus tôt. Le jeune homme se retrouva étendu sur le dos, sa déesse personnelle s’aventurant toujours plus bas, embrassant son torse avec une passion qui pouvait se comparer à celle que Rick faisait preuve en général envers la gente féminine. Ils étaient en symbiose dans leurs sexualités, comme deux âmes-sœurs physiques, des jumeaux de passions qui se rencontraient enfin. Pestilence fut alléger du port de son pantalon, se qui ne fut pas pour lui déplaire, bien au contraire même. Les minutes qui suivirent furent pour lui divines. Il avait l’impression de voler des parcelles de paradis et de se permettre d’y goûter, lui qui n’aurait jamais accès à cette récompense. Un démon et une ange déchue, confuse, unis l’espace d’un instant, pour se nourrir du fruit interdit.
Elizabeth fini de s’affairer sur Rick, qui quitta lentement le ciel pour redescendre sur Terre. Ses plans pour les Sons of Liberty lui revinrent en tête, il fut à nouveau accablé par le stress et les doutes qui marquaient son projet. Devant lui, l’air enfantin et angélique de sa compagne contrastait cyniquement avec tous les problèmes qu’il pouvait avoir. Rick ne pu s’empêcher de lui sourire en retour, un sourire dans lequel on ne pouvait retrouver aucune joie. Pestilence réalisait que ce genre de tracas n’était pas du tout son genre, mais ils revenaient toujours à lui, toujours plus présents. Elizabeth avait touché en lui une corde sensible, une parcelle de son cœur qui n’avait pas été explorée depuis un sacré bout de temps. Était-ce de l’amour? Non, définitivement, ce n’était pas ça. C’était plus une sorte d’attachement émotif, une symbiose équilibré entre l’aspect physique et psychologique. Une relation humaine pure, comme rarement on peut en voir dans la société Occidentale. Rick soupira fortement, et se pencha sur le bord du lit pour fouiller dans la poche de son manteau. Il en sortit son Zippo et deux cigarettes, une qu’il s’alluma et l’autre qu’il proposa à la personne qui comptait le plus à ses yeux pour le moment. Le Maitre des virus pris quelques bouffées de nicotine, caressant machinalement la cuisse d’Elizabeth, le regard perdu et vague. Ce petit moment de quiétude fut de courte durée.
« Elizabeth, je… Les choses vont se compliquer. Les évènements seront difficiles pour moi et tous ceux qui embarquent dans le projet des Sons of Liberty. Je ne veux pas que tu y prennes part active, ça serait trop dangereux. Bientôt… »
Rick pris une pause. Il n’avait révélé ses plans à personne jusqu’à maintenant, pas même à Alexis ou Edmond, ses deux partenaires les plus dignes de confiances. Elle qu’il n’avait rencontrée que depuis une trentaine de minutes, comment pouvait-il lui révéler le tout, et vivre avec un stress additionnel parmi les autres? La peur d’être trahi le frappa. C’était probablement une des premières preuves qu’il n’était pas en amour avec la belle blonde.
« Bientôt, ma tête sera mise à prix. On me chassera, partout où j’irai. Le Gouvernement Américain sera à mes trousses, et je serai obligé de changer d’apparence et de quitter la ville. Tu comprendras que je ne peux te dire où j’irai. Probablement qu’ils vont finir par m’avoir, par me tuer ou encore me capturer… Peu importe. Je vais venir te revoir un jour, probablement avec une autre tronche que celle-là, mais nous nous reverrons, fais moi confiance. »
Il l’embrassa dans le cou, délicatement, mais avec tout autant de passion. Un geste qui contenait mille promesses, toutes plus charmantes les unes que les autres. Le Bostonnais plongea son regard dans les iris de la Russe, ils étaient si près l’un de l’autre, mais un gouffre se creusait entre eux dans l’esprit du jeune homme. Un cri strident se fit entendre en dehors de leur cocon, malgré la puissante musique. Comme s’il s’y attendait, Rick ne fit que murmurer :
« Ils arrivent… »
La suite des choses fut brusque et floue. La porte s’ouvrit à la volée, deux grands gaillards firent irruption dans la pièce. Rick était déjà prêt, la main levée dans leur direction. Ils tombèrent presque instantanément en portant leur main à leurs ventres, poussant d’étranges cris de douleurs pendant quelques secondes, puis le silence. Pestilence enfila ses vêtements avec presse, ne regardant pas Elizabeth avant d’avoir attaché son manteau. Elle semblait confuse, alors que lui transpirait la confiance en lui-même. Il sembla hésiter un instant, puis lui vola un dernier baiser, du genre à rester graver dans leurs mémoires. Leurs lèvres se détachèrent. Il la regarda pendant une seconde qui sembla durer une éternité.
« Ne me suis pas, mais fuis. Les flics arriveront bientôt. »
En moins de deux, Rick était parti. Il avait été bien trop orgueilleux pour montrer à Elizabeth à quel point ça le déchirait de l’abandonner ainsi sans plus d’explication, sans l’amener avec lui. Il franchi le plancher de danse, recouvert de corps inertes, inconscient et fiévreux. Ses virus avait fait l’effet escompté. Il faut dire qu’il était évident que ceux qui avait voulu abuser d’Elizabeth et qui avait subi le courroux de Pestilence allait tenter de se venger une fois sur pieds. Le Bostonnais soupira en franchissant le seuil de la porte, vérifiant une dernière fois que la jeune blonde ne le suivait pas. La scène qui s’offrait à son regard était tellement typique à ses yeux, et pourtant, horriblement significative. Des dizaines de corps meurtris, poussé vers le précipice de la mort par le pouvoir du Maître des virus. Il ne pouvait la voir, mais Rick savait qu’Elizabeth était là, dans le petit cubicule, tentant de comprendre ce qui avait bien pu arriver en si peu de temps. Des corps inertes et un cœur saignant, c’était ce qui Rick laissant dans le Dante. Pestilence se lança dans la nuit, ses problèmes le suivant de très près. Le Démon laissait son bout de paradis derrière lui, regagnant l’enfer de ses pensées et de ses machinations futures.
[Je te laisse clôturer le tout, et je me réserve un RP avec toi une fois que Rick sera libéré ]
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Sujet: Re: One of those nights... (Pv. Eliz)**[HOT]**