°°° Garer avec son taxi °°° [Libre]

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Cela faisait déjà quelques jours que Mohinder avait vu l’homme dans l’appartement de son père, pour le moment, il ne préféra pas y retourner pour éviter de retomber dessus. Depuis cet évènement, le jeune suresh n’était préoccupé que par cela. Son père avait de nombreux ennemis, et ce pourrait il que tout ces théories s’avéraient véridique ? Il n’en était encore pas sur, et il en était encore très loin de l’être. Il avait besoin de beaucoup plus de preuve, il devait poursuivre ainsi les recherche de son père. D’ailleurs, ce dernier lui aurait certainement laisser des indices avant de se faire assassiner.

Mohinder venait de se garer sur le coté, attendant un éventuel client. Il venait à l’instant de ramener une vieille dame dans les rues est de New-York. Ce travail n’était pas bien pationnant, mais il était plutôt cool encore et cela ne l’affectera pas dans les recherches de son père.

Mohinder poussa un léger soupire tout en se passant une main sur le front. Il n’était pas obligé de faire ce que son père faisait, et cela le rendrer peut être aussi fou que lui. Le jeune homme s’en posait bien des questions, il entendit soudain la voix de quelqu’un…

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Peter avait eu bien du mal à se lever ce matin. Encore plongé dans un de ses rêves, il avait eut du mal à entendre le réveil sonner. Encore une fois, il était en haut d'un immeuble, il regardait le ciel, levait les bras en l'air comme s'il était en trance,... puis il mettait un pieds dans le vide et son poids faisait le reste. S'ensuivait une vertigineuse chute de plusieurs étages qui se finisait par un envol et un voyage sur la ville.
Il avait finalement écrasé le bouton de son réveil et était sortit de son lit, avait pris une bonne douche avant de réalisé qu'il était en retard et qu'il avait du travail chez monsieur Deveaux.

Il courrait donc dans les rues de New York, les gens le regardant passer et ce demandant ce qui prenait à cette infirmier en manteau de courrir comme s'il devait sauver quelqu'un. Puis il vit un Taxi sur le bas côté. Bingo ! Il ne serais pas si en retard que ça... peut-être.
Il monta dans le véhicule et s'installa en donnant sa destination.

Central Park s'il vous plait !

Il mis ses mains dans ses poches à la recherche de ce qu'il avait pût oublier et réalisa qu'il avait ses lunettes pour l'éclipse. Il sourit et les garda un petit moment dans sa main sans rien en faire. Celle-ci allait être bientôt et il pourrais la regarder ici même !

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Pendant un instant, il resta silencieux, encore un peu embrouiller par ses pensées.
Il devrait certainement retourner dans l’appartement de son père le lendemain, voir ce qui pourrait éventuellement manquer.
L’homme qu’il avait pu voir n’était pas la pour rien, il avait voler des documents. Mohinder finit par lever les yeux vers son nouveau client.
Dans son rétroviseur, Mohinder regarda la personne qui venait d’entrer dans le taxi. C’était un garçon plutôt jeune, il avait l’air pressé, et certainement en retard. Il lui donna une destination qui était central park.

Mohinder hocha simplement la tête puis commença à démarrer la voiture vers le lieu demandé.
Sur la route, il y avait pas mal de monde, mais à cette heure de la journée, tout le monde aller au travail c’était normal.

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Quand le taxi démarra, Peter fut comme soulagé. Parfois, les chauffeur de taxi pouvais vous envoyer balader sans ménagement si c'était leur pause par exemple.

Merci !

Peter soupira légèrement, et inaudiblement heureusement pour lui ! Être en retard il détestait ça ! Ses patients comptait sur lui plus que sur eux même pour la plupart et même si monsieur Deveaux était quelqu'un d'extrêmement solide, s'il arrivait en retard et qu'il ne pouvait pas lui donner ses médicaments et faire les vérification d'usage à l'heure, il pourrais avoir de gros problèmes ! Et surtout sa bonne image pourrais en prendre un coup. Il n'y était pas aussi attaché que son candidat aux elections de frère mais dans son métier, un bon infirmier devait avoir une image de quelqu'un de sérieux et pas de quelqu'un qui arrive en retard. Même si ça arrivait une seule fois en un an.

Il appuya sa tête sur le haut de son siège, enfila ses lunettes pour l'éclipse et regarda le soleil encore brillant sans même vraiment savoir l'heure exacte où ça devait se produire.

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Le garçon le remercia, il paraissait soulager que Mohinder avait démarré. C'était vrai qu'il aurait pu croire que le jeune homme attendait quelqu'un d'autre puisqu'il était garer sur le coté. En fait, cela dépendait. Le garçon semblait très pressé, surement son travail.
Comme la plupart des personnes qui couraient dans la rue d'à coté, en criant : "Taxi" C'était normal.

Mohinder resta silencieux, mais afficha tout de même un léger sourire quand il vit que l'homme venait de mettre ses lunettes pour l'eclipse.
Mohinder avait mis les siennes sur le siège d'à coté.

"Vous vous êtes déjà préparé pour l'eclipse. D'après mes informations, elle a lieu bientot. Avec les bouchons qu'il y a habituellement ici, vous risquez de la voir sur ce lieu même."

Mohinder afficha un nouveau sourire confiant, puis mis à son tour les siennes.
Il se pencha vers la radio pour la mettre en marche, mais pas trop fort non plus. Pour ne gêner personne.

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Peter sourit en l'écoutant et redressa la tête vers son chauffeur. Oui il c'était préparé comme ça pour l'éclipse mais il était presque sûr à se moment là qu'il la ratterais parce qu'il serais déjà chez Monsieur Deveaux. Mais bon apparemment non il n'allait pas la raté. Tant mieux ! Après tout un évènement comme celui ci ne se produit qu'une fois dans une vie n'est-ce pas ?
Une question le tarodait depuis un moment et comme le chauffeur semblait bien s'y connaitre en éclipse, Peter en profita pour la poser !

Vous pensez qu'elle sera complète ?

Une éclipse complète c'était magnifique à ce qu'il parrait. Il ne pourrais dire il n'en avait jamais vu ! D'ailleurs même en replongeant dans ses souvenirs, c'était la première de sa vie alors... Il ne pouvait pas dire.
Il repencha sa tête en arrière pour regarder le soleil à travers ses lunettes.

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Mohinder restait tout de même concentrer sur la route, attendant tout de même une éventuelle réponce de la part de son client. Ce genre d'éclipse ne se produisait presque tout les cent ans, c'était dommage de le rater. Mohinder resta silencieux, quand le garçon lui demanda s'il pensait qu'elle serait complète. Mohinder regarda à travers son retroviseur en disant dans un sourire :

"Normalement oui, si il n'y a pas de problème."

Bien sur, il n'y aurait pas de problème, ni de catastrophe à ce moment là. Mohinder retourna à sa contemplation de la route tout en hochant légèrement la tête. Rien n'était plus intéressant qu'un véritable dialogue, Mohinder ne connaissait encore que très peu de personne à New York puisqu'il venait d'arriver depuis peu.

Et cette discution, lui permettrait certainement de pensé à autre chose que ce qui s'était passé quelques jours plus tôt dans l'appartement. Pendant un instant, il leva à nouveau les yeux vers l'homme qui se trouvait à la banquette arrière de son taxi, puis demanda :

"Je m'appelle Mohinder, et votre nom ?"

C'était la moindre des choses, quand une conversation était engagé, se présenter. Même si Mohinder ne pensait pas retrouver un jour cet homme tellement New York était grand. Mohinder reposa ses yeux sur la route, tout en attendant une réponce. Après tout, il n'était pas obliger de répondre s'il ne le souhaitait pas.

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Peter regarda l'homme à travers le rétroviseur intérieur de la voiture et vit que celui-ci faisait de même.
Le chauffeur sembla vouloir entamer la conversation puisqu'il lui donna son nom (à moins que ce ne soit son prénom plutôt) et lui demanda le sien. Ce que l'observation physique du chaffeur avait apporté comme déduction à Peter se confirma lorsqu'il lui donna son identité. Il n'était pas originaire des Etat-Unis. Par contre il aurait été incapable de dire d'où venait l'homme. Il aurais penché pour l'Inde mais sans conviction profonde.

Peter ! Peter Petrelli !, annonça-t-il enfin.

Il regarda encore un peu le chauffeur, puis remit sa tête en arrière pour regarder le soleil, avant de relever encore la tête vers le pare brise. S'il restait la tête en arrière trop longtemps il aurait des courbatures c'est sur et puis il n'avait pas envie de rester à regarder le ciel tout le temps.

Dites... je peux vous poser une question ? Est-ce que vous croyez en la destiné ?

Peter était convaincue d'en avoir une et Nathan lui disais que le destin n'était rien d'autres que ce qu'on en faisait, alors, inconsciemment, il cherchait désespérémment à se convaincre qu'au fond lui il avait raison et que d'autres personnages partageaient le même avis que lui.

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Par la suite, son client se présenta sous le nom de Peter Petrelli. Le nom de famille du garçon lui rappela vaguement quelque chose, puis il se souvint des affiches qu’il avait pu voir collé sur les côtés des bus. Certainement un membre de sa famille qui participait aux élections. Mais il ne s’attarda pas trop sur ses pensées, ce n’était pas à lui de demander quoi que ce soit et cela ne le regarder en rien. Mohinder hocha simplement la tête après que l’homme se soit présenté, le jeune Suresh restait tout de même concentré sur la route même si elle était quelque peu encombrée. Il ne cherchait pas à bloquer les autres véhicules, ni d’avoir de problème à peine arrivé. Malgré tout, Mohinder était attentif à ce que lui disant Peter. Ce dernier finit par lui demander s’il pouvait lui poser une question.

« Est-ce que vous croyez en la destinée ? »

La question qui suivit le rendit pendant un instant silencieux, méditant sur ces propos. Il leva pendant un court instant les yeux vers le rétroviseur, croisant le regard de Peter, puis Mohinder répondit d’un ton bref :

« -On peut dire que j’y crois, cela dépend des circonstances aussi. »

La réponse qu’il lui avait donné était plutôt brève, mais levant les yeux à nouveau vers son client, il finit par comprendre qu’il avait besoin de parler sérieusement. Il entama donc :

« -Il existe la sélection naturelle qui permet à certains individus d’être plus spéciaux que d’autres. Quelques personnes portent en eux l’ADN qui conduira à la prochaine étape de l’évolution. C’est aussi ça le destin, certains l’acceptent, d’autres non. »

Mohinder devint à nouveau silencieux, en effet, son esprit s’était tourné vers le fait du pourquoi il était arrivé ici. C’était peut être cela, sa destinée.

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Peter l'écouta lui répondre brèvement au début, puis plus explicitement ensuite. Dans l'ADN ? Le destin était une histoire d'évolution de l'ADN ? Ca se pouvait remarque, chacun avait sa petite théorie ! Peter quand à lui ne savais plus vraiment que croire ! Après tout il avait se sentiment irréprécible d'être destiné à quelque chose de grand mais il ne savais pas quoi... mais il avait besoin de le savoir pour pouvoir agir.
Il regarda son chauffeur par le biais du rétroviseur et fut encore une fois assaillie de question. La première sortie après un petit moment de silence.

En quoi ils sont... spéciaux ses gens ?

Peter avait l'impression que ce chauffeur était bien plus callé en science qu'un simple chauffeur de taxi mais ça ne l'étonnait pas beaucoup. C'était connue qu'à New York, beaucoup d'Universitaire, de professeurs et autres scientifiques méprisé ou rejetté faisaient chauffeur de taxi pour "joindre les deux bouts".
Tant de question était maintenant dans sa tête et tournait à une vitesse folle.

*Est-ce qu'ils parlent de gens aussi spéciaux que moi ? Est-ce qu'il se pourrais que je ne soit pas le seul à ressentir cette impression d'être voué à autre chose que ce que j'ai toujours cru être ma voix ? Est-ce que cette spécificité n'est qu'une histoire d'évolution ?*

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Y croire c’était une chose, mais avoir des preuves s’en étaient une autre. Mohinder savait très bien que son interlocuteur avait besoin d’en savoir d’avantage, il avait même l’air beaucoup plus intéressé par ses propos que les autres ce qui l’interpella. Pendant un instant, le jeune indien sembla maintenir son regard dans le rétroviseur. Il croisa celui de Peter qui le fixait également avec insistance. Mohinder avait peut être un peu trop parler de ce sujet, il avait le choix de clôturer la conversation, ou de la poursuivre. Pendant un cours moment, Mohinder cligna deux fois des yeux, ne quittant pas Peter du regard. Parfois il n’était pas bon de mettre trop d’espoir dans les gens, même lui n’était pas sur que la théorie qu’il avançait été totalement juste. Il suivait simplement les traces de son père, mais lui essayait dit croire à cette théorie. Mohinder avait même quitté l’Inde pour aller dans l’ancien appartement de son père, pour suivre cette voie qui n’était même pas la sienne.

Les voitures étaient toutes l’une derrière l’autre, il était impossible de doubler pour le moment, cela pourrait mettre en danger des gens. Le regard de Mohinder parcourut les diverses voitures situées dans les alentours, il constata que cela allait se libérer un peu au prochain quartier. Mohinder finit par reporté son attention vers la question que venait de poser Peter. S’il n’était pas sur le route, l’indien se serait certainement complètement retourné pour lui demandé pourquoi cette question. Mais il s’abstint. Il se contenta du rétroviseur, d’ailleurs Mohinder répondit :

"Ils ont quelque chose de différent."

Mohinder ne savait pas encore grand-chose des recherches de son père, d’ailleurs, il ne connaissait rien du tout à part sur le plan génétique. Mohinder baissa un instant son regard sur sa montre alors qu’il venait de regarder l’horloge il y a à peine quelques minutes. Puis reposa son regard dans la glace du rétroviseur en disant :

"Ces personnes découvrent au fur et à mesure que le temps passe qu'ils possèdent des dons. Ces dons les rendent, excpetionnels."

HJ: Je suis désolé de te faire autant attendre à chaque fois... mais le taff... mes heures sont vachement pas régulière... et je rentre souvent à moitié creuvé chez moi....

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HS : T'en fait pas je t'en veux pas ^^ Tu avais déjà prévenue alors je peux pas t"'en vouloir ^^

Peter regarda le chauffeur a travers le retroviseur et essaya d'analyser les gestes et regard de celui-ci. Il était constamment en train de regarder à un endroit où à un autre. Jamais trop longtemps un regard trop fixe. Si la circulation avait été fluide, ça ne lui aurais rien fait de spécial mais là, coincé dans les ambouteillages, les véhicules ne bougeant que très rarement et très lentement sur très peu de centimètres, ça voulais plutôt dire qu'il réfléchissait extrêmement vite. Mais il réfléchissait à quoi au juste ? A ce qu'il allait dire à Peter ou à autre chose ?
Puis enfin, il répondit aux interrogation de l'infirmier. Toujours de manière très énigmatique mais avec déjà un semblant de réponse. Des dons exeptionnel ! Comme voler ? Est-ce qu'il y avait des gens un peu partout dans le monde qui avait les mêmes présentiments que lui ? La même impression de ne pas être à sa place dans le monde "normal" ?
Peter n'osait poser la question, de peur de parraitre ridicule. Même s'il avait un grand besoin de réponse, il gardait les pieds sur terre. Même si Nathan ne croyait pas en ses paroles, il n'appelait pas l'asile ou les flics. Les autres personnes seraient beaucoup moins compréhensives que lui.
Il ne dit donc rien et se contenta de rester plongé dans ses questions et ses réflexions internes, se demandant encore et toujours s'il n'était pas réellement fous, et sinon à quoi il était destiné avec son pouvoir de voler.

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Mohinder avait constater le silence qui régner maintenant dans le taxi. Le jeune professeur ne préférait pas parler d’avantages, sans oublier qu’il n’était même pas sur lui même d’avancer quelque chose de véridique. C’était plutôt flou dans sa mémoire, mais cela aurait pu s’éclaircir s’il pouvait rapidement rentrer à nouveau dans le bureau de son père. Au bout de quelques minutes, les bouchons commencèrent à s’estomper. Laissant une circulation plus fluide. Mohinder ne reporta que quelques fois son attention dans le rétroviseur. Quelques minutes plus tard, Mohinder se gara sur le coté en disant dans un léger sourire :

Vous êtes arrivés.

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HJ : Attention aux nombres de lignes règlementaire pour les personnages principaux

Peter avait fermé les yeux une nouvelle fois pendant le trajet, comprenant que le silence resterais problement le temps qu'il lui restait passer dans le taxi. Et comme il était un peu fatigué, il pouvait en profiter pour reposer un peu ses yeux. Pas s'endormir sinon il faudrais sans doute une masse pour le réveiller, mais au moins reposer ses yeux. Peter se levait tôt en générale mes ses rêves incessant ses derniers temps l'en empêchait. Pire, ils le fatiguaient plus qu'il ne le reposait et un sérieux manque de sommeil commençait à se faire sentir. C'était sans doute pour ça qu'il avait ce besoin de savoir où ses rêves le menait. Pourvue qu'il arrive à garder pleine possession de ses moyens, notamment dans son travail. Mr Devaux comptait sur lui même s'il avait trop d'orgueil et d'amour propre pour l'avouer, mais l'aide précieuse de son infirmier était importante.
Il ne rouvrit les yeux que lorsque le taxi s'arrêta enfin, et que le chaffeur lui annonça qu'il était arrivé. Il sourit légèrement en l'entendant. D'habitude, les chauffeur ne lui disait que cinq mot pendant tout le trajet et seulement à la fin "Ca vous fit X$". Il aurais pût donner une somme mais ne il aurait eu peur de se tromper. Il se positionna donc au bord de la banquette arrière, l'avant bras sur celle de devant, et fourra ses lunettes dans sa poche avant de prendre son porte feuille et de l'ouvrit là où se trouvait ses billets.

Je vous doit combien ?

Il aurait pût regarder le compteur car à présent et à force de prendre les voiture jaune, il avait comprit que c'était çà qui indiquait au chauffeur le prix d'une course, mais il n'avait jamais sût les lires, malgré que la plupart des gens disent que c'était facile ! Il confondait toujours le temps passé dans la voiture et le prix qui était indiqué côte à côté.

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