Taxi [Pv Sam Cainrad]

Le temps n'était pas des plus beau pour une journée d'été. Le soleil était dissimulé par de gros nuage noir et même s'il ne pleuvait pas encore le temps n'allait pas tarder à se gâter. Henry avait pris son dimanche de congé et il savait déjà ce qu'il voulait faire de sa journée. Il avait attendu la fin de la semaine avec impatience car ça faisait un long moment qu'il voulait allez dans l'un des lieux, près de new-york, les plus connus au monde. Dernièrement il avait d'ailleurs été vu et revu à la télévision et c'était une bonne occasion de faire un examen minutieux des lieux. Quelqu'un avait peut-être laissé tomber son porte feuille et c'était déjà une piste pour atteindre son objectif et donc un pas de plus vers Peter Petrelli.

Le quadragénaire remonta le col de son long manteau et après quelques minutes de marches il se mit à attendre un petit moment que le vent ce décide à arrêté de soufflé et que la fine pluie qui avait commencé à s'abattre décide de disparaitre. C'était qu'un début avec la grande pluie qui allait jusqu'à vous percé les os et il fallait donc que l'homme d'affaire trouve un Taxi sans plus d'attendre. Il était presque midi et il devait encore manger et à cette heure il n'y aurait pas forcément beaucoup de chauffeur disponible.

Il se mit sur le coin du trottoir et il amena ses doigts au niveau de sa bouche avant de sifflé de manière puissante pour attiré l'attention d'un taxi-man.

-Yep taxi par ici.

Tandis que je passe par là, je remarque un passant qui siffle à mon attention. On dirait bien que celui-là doit se rendre à une destination proche. Il m'a l'air de mon âge, mais mieux habillé, et plus sûr de lui. Ce genre de gars doit avoir une voiture,e t une belle. Si il m'appelle c'est pour rejoindre un endroit pas trop éloigné, en évitant la pluie. Il doit considérer que prendre sa voiture est inapproprié. Après je dit ça, je dit rien. Par chance, je parvient à me garer tout prêt de mon nouveau client.
Ce dernier se dépêche d'ouvrir la porte et de rentrer. Dans mes rétroviseurs j'aperçois cet homme de manière plus précise: il a effectivement une allure de personnage très affairé, mais je me demande même si je ne l'ai déjà pas vu quelque part. A la télévision peut-être ? Oh et puis j'en sais rien. Je hais tout ces médias de toute manière. Médias... voilà un mot qui m'horripile. Je ferais mieux de ne plus y penser.

Comme à mon habitude, je laisse s'installer mon client, pendant que je songe quelques secondes. Il ne serait pas dans les assurances celui là ? Je me demande si ça marche bien les assurances en ce moment, après tout on ne sait plus se qui fonctionne ces derniers temps, avec tout ces changements radicaux.
Les tensions entre mutants et "humains" rendent la vie impossible pour les actionnaires qui ne savent plus quel valeur est sûr. Personne n'y pense à tout ça.
En tout cas, moi j'ai beau être mutant et taxi, j'ai une existence assez paisible. Tout compte, j'ai énormément de chance. Même si je vit seul. Inutile de penser au passé. C'est terminé.

Je me sort de mes pensées, mon client me fixe, bien qu'un peu songeur aussi. Il est temps de faire mon boulot, et correctement.

-"Alors l'ami, où est-ce que je peux t'emmener ?"

J'espère avoir raison, j'espère qu'il va demander de l'amener à quelques kilomètres tout au plus, comme ça je pourrais me reposer à nouveau sur mes pensées. Aujourd'hui je ne me sens pas travailleur.
L'argent que je gagne me convient parfaitement, et je ne suis pas fan des extras. Encore une fois, j'ai la chance de pouvoir me permettre de flemmarder au boulot.
Et mince, à tout les coups on va être pris dans les embouteillages, j'entends les klaxons d'ici ! J'avais oublier ces petits contretemps. Heureusement, ce gars n'a pas l'air bien causant.
A tout les coups je vais le déposer un peu plus loin, je n'aurais même pas vu le temps passer.

-"Alors ?"

Le langage du taximan était un peu familier et un homme d'affaire important et distingué aurait pu très facilement être vexer de ce sentir l'égale d'un simple chauffeur et bien qu'Henry correspondait à la description d'un parfait gentleman, il ne se sente pas offusqué pas les propos du mutant. Il avait choisi les assurances pour le contact humain même si la profession ne lui permettait pas très souvent de passé le pas de la porte surtout depuis quelques années mais il ne désespérait pas et un jour peut-être il pourrait avoir des discussions intéressantes avec ses clients mais pour le moment un climat de méfiance était beaucoup trop présent pour que ce soit possible.

-Liberty Island.

C'était pas vraiment très loin, une grosse demi-heure en voiture si ça circulait bien mais le quadragénaire n'avait jamais vraiment été du genre chanceux et il se doutait que le voyage allait être long. Sam n'aura certainement pas une pause avant longtemps mais à part s'il voulait discuté, le voyage se passerai en silence, près sous un aspect solennel. La pluie frappait contre la vitre et l'homme d'affaire avait du mal à voir ce qui se passait dehors et c’était peut-être mieux comme cela en fin de compte. Voir la ville à moitié détruite lui brisait le coeur et lui rappelait beaucoup de mauvais souvenir mais les humains étaient vraiment une espèce fascinante.

Le drame secouait encore les coeurs de millions voir des milliards de personnes et pourtant telle des fourmis, ils avaient repris le cours de leurs vie. Ils se contentait de travailler et de reconstruire les bâtiments détruit en espérant que la vie reprenne son cours et que les mutants se tiendrais tranquille et que tout ce qui touche à eux de près ou de loin sortent des mémoires. C'était comme ça qu'Henry voyait les choses car c'était sa manière de traversé l'épreuve mais tout le monde n'avait peut-être pas envie de faire un bond en arrière et reprendre le travail, certains restait probablement chez eux ou était des mutants et s'amusait avec leurs pouvoir comme il le pouvait.

*Le plus embêtant avec cette vermine c'est que l'on sait jamais ou elle se cache. Tout le monde pourrait être mutant même moi*

Le veuf examina son compagnon de voyage et il se demandait s'il faisait partie du clan des mutants ou ceux des humains. Il pouvait ne faire partie d'aucun clan ça c'était déjà vu aussi mais à moins de lui posé la question, il ne pourrait certainement pas savoir s'il était monté dans une voiture piégé avec un mutant près à lui faire la peau ou un humain qui tenterai de lui faire les poches en pensant qu'il était riche ou bien un sympathique mutant qui voulait juste vivre normalement parmi les humains et les choix pouvaient être vaste. Il y avait tellement de manière de réagir pour un humain et l'homme d'affaire ne savait pas exactement s'il y avait autre chose que les pouvoirs qui différenciait sa race de celle des gens comme Peter petrelli.

Liberty Island. Génial. Plus d'une demi-heure de route avec les embouteillages, plus la pluie !
Décidément, je ne sais pas si j'arriverais à me perdre dans mes songes normalement. Et puis ce client me parait plutôt sympathique, quoique mystérieux. Son regard perdu dans le vide m'évoque le mien, sauf que j'arrive à déchiffrer son esprit: j'entraperçois une lueur d'inquiétude teinté de morosité. Il doit être en train de penser aux désastres liés aux mutants, et se que nous réserve l'avenir. Une guerre ? Un massacre ? Une épidémie ? Une évolution à l'échelle internationale ?
Si il est dans la bourse, il va être bien dans la merde quoiqu'il arrive. Hé, hé.
Bref, je pars direction Liberty Island. Pourvu que tout se passe bien. De nos jours, on peut se retrouver dans une bagarre de supers-pouvoirs en traversant la rue. Heureusement j'ai toujours mon arme secrète dans ma boite à gant. Ca risque de me servir un de ces quatre.

Tiens. Ca a l'air de ne pas trop mal rouler. Cela dit la pluie devient de plus forte: on dirait presque le monde qui s'écroule. Une image qu'on a tendance à voir à tout bout de champ ces temps-ci.
Comme prévu, je finis par m'arrêter derrière d'autres voitures. Voilà un bouchon digne de ce nom.
Bon bah, puisque mon client à l'air de s'emmerder à force de penser aux mêmes trucs, il n'y a qu'à entamer les bavardages. Après tout, je risque pas grand chose.

-"Eh l'ami. Tu travaille dans la bourse non ? C'est dur en ce moment le business, pas vrai ?"

Il tourne la tête vers moi, comme réveillé et confus. Je le sens soudain en train de s'échauffer la langue. J'espère juste qu'il n'a pas l'âme d'un politicien, et le verbe d'un avocat, parce que sinon je suis marron.
On serait partir pour des monologues qui n'en terminent plus. Et se serait entièrement de ma faute. Con que je suis. Je devrais le savoir depuis le temps que je fais ce boulot qu'on ne doit discuter avec un client seulement quand le trajet est pas trop long, que la route est stable, et surtout, quand le client n'est pas un privé. Enfin là je suis pas sûr que se soit un privé. Peut-être que si. J'en sais rien, en fait !
Il va répondre et je devrais faire mine de l'écouter, le fait est là. Et puis peut-être que ça va être intéressant se qu'il va dire. Qui sait ?
Oh et puis pourquoi je parle de business aussi !
Je regarde la route: ça n'avance toujours pas. Ca va être très long !
Je dois changer de sujet, vite.

-"Ah et tien ! T'en pense quoi de tout ces évènements en ce moment. Avec les autres là... Phones of... ou Sons of anarchy. Enfin je sais plus ! Toute ces histoires d'évolutions, de pouvoirs, de confrontations (pour, contre ou pas d'avis sur les mutants)etc... qu'est-ce que t'en dis ?!"

Et puis il a peut-être pas envie de parler. Ho il me répondra bien. Il a l'air aimable.
Si il est réellement bavard, on aura peut-être un sujet intéressant. On n'en parle pas tant que ça au final, de tout se qui se passe. Et ca nous ferait pas de mal. Il faudrait dire aux gens d'arrêter de faire l'autruche: le changement est là ! Il faut l'accepter... et peut-être envisager le pire.

-"Hein ?"

-"Eh l'ami. Tu travaille dans la bourse non ? C'est dur en ce moment le business, pas vrai ?"

La rumeur qui disait que les taximan était les nouveaux barman semblait être vrai. Il tachait de faire la conversation et qui sait peut-être pensait-il qu'après la course que son client serai plus heureux pour retourner dans le monde cruel qui l'attendais à moins qu'il ne le faisait que pour un gros pourboire. Henry espérait juste qu'il n'allait pas sortir de l'alcool en court de route car il ne voulait pas non plus se retrouver à l’hôpital à la fin de la journée. Le temps qu'il réfléchisse à sa réponse et à la meilleur manière de lui présenté la chose il se faisait déjà embarqué dans un autre sujet.

-"Ah et tien ! T'en pense quoi de tout ces évènements en ce moment. Avec les autres là... Phones of... ou Sons of anarchy. Enfin je sais plus ! Toute ces histoires d'évolutions, de pouvoirs, de confrontations (pour, contre ou pas d'avis sur les mutants)etc... qu'est-ce que t'en dis ?!"

Le courtier en assurance répondit par un petit sourire et attendit quand même un peu pour répondre. Ca ne le gênait pas vraiment de répondre aux questions mais comme Sam tentait de ne pas mettre mal à l'aise son client en changeant de sujet, il était préférable d'attendre de savoir s'il le laisserai parler ou s'il essayerai encore de changer de sujet.

-Je suis pas dans la bourse mais je dirais que si on investit dans l'armement ça doit être assez porteur le métier de la bourse. Non moi je suis dans les assurances. Et pas de panique euh ... Sam je ne vais pas essayer de vous vendre quelques chose.

Le quadragénaire avait porté son regard sur le cache soleil au dessus du volant et il avait assez facilement trouver le nom et prénom du mutant même si ça ne l'avançait pas à grand chose car il était loin des personnes qu'il recherchait. La deuxième questions était plutôt délicate et il était pas vraiment utile de sortir toute les appréhensions qu'il avait sur le sujet il y alla donc avec des gants.

-J'ai un peu suivi l'affaire avec les sons of Liberty mais j'avoue ne pas être très emballé par leurs programmes. Je ne vois pas pourquoi un groupe d'individus choisi qui a le droit d'être en haut de l'échelle et qui devrait être en dessous et l'histoire nous la prouvé plus d'une fois qu'il ne sont pas sur la bonne voie. Une dictature ne marchera pas et je suis plus d'accord avec les opinions de Sylar sur le sujet. à savoir tant qu'on ne se fait pas remarqué ou s'oppose pas au mutant on nous laisse tranquille. C'est peut-être faire l'autruche mais c'est le style de vie que j'ai choisi pour le moment.

C'était un assez long monologue mais il y avait tellement plus a dire sur le sujet que c'était qu'un avant gout de ce qui pourrait être dit sur le sujet. Henry espérait juste qu'il ne venait pas de descendre les sons of liberty devant un de leurs membres sinon il risquait de sortir du taxi les pieds devant.

-et vous l'ami vous en pensez quoi du fait que tout le monde peu être mutant? car je suis persuadé qu'un jour il inventerons une formule pour que se soit à la porté de tous. En plus on ne sait jamais qui peu être mutant alors si on ne les aimes pas on peux vite devenir parano.

-"Et vous l'ami vous en pensez quoi du fait que tout le monde peut être mutant ? Car je suis persuadé qu'un jour ils inventeront une formule pour que se soit à la porté de tous. En plus on ne sait jamais qui peut être mutant alors si on ne les aimes pas on peux vite devenir parano."

L'ami ? Intéressant.
C'est quelqu'un de plutôt familier. Je me dois de poursuivre la conversation. Et puis qui sait ? Cela va peut-être être instructif. Personnellement, j'ai un avis à la fois vague et très poussé sur la question.


-"C'est sûr. Moi même je fais confiance à peu de personnes. D'ailleurs je crois que les scientifiques du monde entier travaille plutôt sur la manière d'exterminer les mutants, ces armes de destructions massives, plutôt que de se servir d'eux pour faire évoluer la société, les faisant devenir des "super-prédateurs.""

Comme expliqué dans un film récent, au dessus de la hiérarchie animale, il y a le super-prédateur. Pendant longtemps ça été l'homme. Si aujourd'hui le super-prédateur devenait les mutants, l'homme ne laisserait pas sa place dans se laisser faire. Ca c'est sûr.
Voilà une pensée qui me réconforte, moi même je suis en haut de la hiérarchie. Malgré le fait que beaucoup de gens me considère déjà comme "vieux", je représente l'avenir.
Tout en tenant le volant avec une forte poigne, un immense sourire se forme sur mon visage. Mon client ne le remarque pas, et tant mieux. Il se demanderait à quoi je pense.
Si il savait que si le désir m'en prenait, je pourrais le tuer en ouvrant cette boite à gant. Naturellement, il faudrait me mettre à couvert, mais bon...
Mais au fond je m'en fiche, je m'accommode très bien de ma situation. Je n'ai jamais eu de regret vis à vis de mes supers pouvoirs, mais cela ne m'a jamais promulgué une ambition hors du commun, non plus.
Cependant, quelques fois je regrette que mon pouvoir n'ai pas été de faire disparaitre mes névroses obsessionnelles. Au loin, les embouteillages n'en finissent plus. Ca va durer encore un petit bout de temps. Poursuivons donc notre petite discussion:

-"J'ai parfois l'impression de vivre dans une fiction, vous savez... c'est à la fois fantastique et très angoissant. Pour une fois on est pas le spectateurs, on est les acteurs de se qui nous arrive. On a le choix, et si on le veux réellement, on peut tout faire changer. Les mutants ont du pouvoir, et grâce à ça on atteindra des sommet inimaginables: mais pour ça, il faudra attendre que les conflits se résolvent. Il faudra que les bêtises comme le terrorisme cesse, et surtout l'oppression des gouvernements.
Pensez un moment, que des dons encore jamais rêvé par l'homme sont entre les mains de certains d'entre eux. Aujourd'hui on peut tout faire, et si jamais on parvenait à s'allier, toutes les mésententes passé, on accomplirait tout nos objectifs les plus impossibles. Mais ça ne se fera pas en quelques jours.
...
Et puis en plus ! Vous savez... le gouvernement et les autres flipettes de conservateurs auront beau chercher et peut-être même trouver un moyen de tuer les mutants, ca ne changera rien. Ils pourront accumuler tout l'argent, tout le pouvoir et toute l'influence qu'ils ont, ils ne pourront jamais stopper l'évolution et la nature. Cela les dépasse. Vous comprenez ?
C'est un changement qui dure depuis longtemps, et qui s'accroit. Se n'est pas un virus. Plus ça ira, et plus les gens naitront avec des pouvoirs. On devra vivre avec. Nous sommes l'avenir... je veux dire, ils sont l'avenir... les mutants... hum... vous ne pensez pas ?."

[hrp: désoler pour la longue attende pour la réponse j'étais occupé et je n'avais pas vue ta réponse]

Les propos du chauffeurs de taxi étaient vraiment intéressant et il semblait être plus du côté des mutants que du côté des humains mais c'était pas une raison pour lui jeter la pierre ou pour tenter de le cataloguer comme mutant. Après tout il y avait pas mal de chercheur qui s'intéressait au mutant et qui n'avait pas un grave de cette "espèce supérieure" dans leur veines. De tout temps et à toute époque l'évolution avait intéresser la population alors se retrouver en pleine évolution avait de quoi être attirant mais c'était également effrayant.

-Vous avez raison, une balle dans la tête ne suffit pas à empêcher l'évolution et même si c'était la cas pourquoi l'empêcher si nous évoluons c'est pour mieux nous adapter à notre environnement et c'est donc une nécessité pour survivre. On ne peux donc rien reprocher à ses super-prédateurs sauf d'être plus aptes à survivre que nous et c'est pas une raison pour les enfermer ou les tuer.

Henry n'avait rien contre les mutants "normaux" et il n'allait pas laisser sa haine contre Peter mettre en cage et exterminer des centaines de milliers de mutants s'il pouvait l'en empêcher. Oui, il était en colère mais elle n'était dirigé que contre une seule personne, elle était donc totalement contrôlée et ne l’empêchait pas d'avoir un raisonnement juste et logique.

-Le seule problème c'est que ses super-prédateurs comme vous dites sont également totalement humain avec leurs pulsions de vouloir faire du mal au gens et s'il ont un pouvoir destructeur alors ils peuvent devenir dangereux pour eux comme pour la société. On voit à la télévision des mutants extrêmement puissant et qui semble vouloir détruire tout sur sont passage et malheureusement tout le monde met les mutants dans cette catégorie car les "bon" mutant ne se font pas remarquer eux.

une analyse correct et qui reflétait un problème lier au média et à la société mais pas du au mutant. n'importe qui devenait dangereux avec une arme mais les mutants eux pouvait être dangereux rien qu'avec leurs mains car ils ne souffraient d'aucune limite. Ils étaient terrifiants et fascinant à la fois. Il fallait donc s'en méfier mais de manière contrôlée.

-Retirer leurs pouvoir aideraient peut-être quelques temps mais pas très longtemps car si l'envie de faire du mal au autres fait parties des super prédateurs, il pourront le faire après sans problème surtout en des temps aussi troublé ou une arme est facile à trouver. Il faut trouver simplement un moyen de les intégrer parmi nous et leurs faire comprendre que leurs pouvoirs peuvent aussi être utile à la société qu'il peuvent la détruire et avec un peu de doigter il ne déciderons de ne plus s'en servir du tout et il ne seront donc plus une menace.

C'était dire que l'avenir c'était la société et sa capacité à panser ses plaies. Pour Henry, les mutants étaient juste des marginaux dont il faillait aidé à se trouver une place car il restait avant tout des êtres humain. Après temps qu'il ne faisait pas de mal il pouvait être le prochain pas de l'évolution ça lui était égale.

Pour Henry, les mutants sont juste des marginaux qu'il faut aider car ils restent avant tout des êtres humain. Après tant qu'ils ne font pas de mal ils pourraient bien être le prochain pas de l'évolution, cela lui était égale.
Je suis d'accord avec cet état d'esprit et du coup, d'accord avec Henry. Un client censé.

En revanche, malgré sa confiance en moi, je garde toujours une sorte de malaise vis à vis des êtres plus que dangereux qui peuvent être partout. La peur rôd dans New-York et se n'est pas prêt de changer.
C'est pour cela, que je reste prudent que je me fait peu d'amis. Mieux vaut ne pas avoir d'attaches en ces temps troublés et de resté un solitaire prêt à protéger sa modeste existence.
Je ne suis qu'un simple taxi, bourré de questions existentielles, mais je sais que c'est aussi mon devoir de connaitre les réactions justes qu'il faut avoir face aux mutants. Je veux dire: aux AUTRES mutants.
Je peux me vanter de savoir différencier ceux qui me veulent du mal, et ceux qui ne cherchent qu'à être tranquile, maisparfois on arrive pas toujours à déceler ce brin de folie et d'ivresse que provoque le pouvoir fabuleux que possède une personne. Beaucoup sont redoutables, car leur force leur confère des ambitions folles et des objectifs malsains. Le pouvoir ne réussit à personne.
D'ailleurs c'est une remarque à dire:

-"Le pouvoir ne réussit à personne, vous savez ? C'est pur cela que notre époque est plus dangereuse que toutes les autres. Certains ont le pouvoir et d'autres non. Du coup cela produit une inégalité effrayante, et pour certains, anéantir ce pouvoir démesuré semble être la seule solution. Même si c'est impossible."

Une conclusion satisfaisante. Mais ce mot: pouvoir. Il est bien grand, bien innaccessible. Souvent, il y a des mots que je ne supporte pas; ou alors qui me panique sans raison. Mais celui là, il est juste... intimidant. C'est sans doute ce mot qui a bâtit toute notre histoire.
Finalement, si on devait se poser une seule question se serait...

-"Il va la bouger sa putain de caisse cet abrutit !?"

Enfin bref. Je ne sais pas si cette conversation arrive à son terme, mais si le type devant moi se décide à bouger, je pense que mon client pourra arriver à destination.
Un client agréable, une course sympathique, et une bonne prime. C'est pas si mal.

-"On y est l'ami. Réglez se que vous me devez et passez une bonne journée !"

Une course plus longue que prévue mais qui ne fut pas très désagréable et heureusement pas trop couteuse non plus car avec les bouchons le compteurs à continuer à tourné et même si Henry en personne aisée avait largement les moyens de sortir des grosses sommes d'argent, surtout qu'il avait personne à charge chez lui et que personne ne l'attendait, il n'avait quand même pas dans son porte feuilles des sommes monstrueuses au cas où il se ferrait agressé, il valait mieux ne pas avoir trop sur soi sinon on perdait beaucoup.

Le vendeur d'assurance donna l'argent à son coursier ainsi que sa carte avec son nom, prénom ainsi que l'adresse de son bureau et son numéro de téléphone c'était toujours utile d'être bien assuré par les temps qui courait et comme partout dans ce monde de dingue il valait mieux avoir des contacts un peu partout si on voulait s'en sortir correctement.

-S'il faut que tu change d'assurance vient me voir je te ferrai un prix.

Smits sorti tranquillement de la voiture et il parti en direction de la statue de la liberté symbole d'espoir pour le futur et c'était également l'endroit où beaucoup d'animation c'était dérouler ses derniers temps. Une journée un peu bizarre venait de se finir mais le veuf ne regrettait absolument rien de sa rencontre avec cette étrange taximan.