Par où commencer? (Libre)

4 heures plus tôt.
Un petit avion atterrit dans un aéroport en dehors de New-York. Dans cette avion il ya environ 30 personnes mais un passager est disons plus spécial que les autres. Une femme de 26 ans qui répond au nom de Dylan, suivons son histoire!
Aprés être descendu de l'avion Dylan ce dirige vers l'extérieur de l'aéroport, comme bagage elle à juste un sac à dos. La jeune femme prend un taxi et direction l'intérieur de New-York. Le trajet durera à peut prés 20 minutes, le chauffeur s'arrête prés du motel le moins cher ,et encore debout, de la ville. Dylan descend du taxi mais elle n'a pas le temps de faire un pas dehors que le chauffeur l'appelle.

Hey mademoiselle! Vous n'oubliez pas quelque chose?
Dit-il en agitant les doigts d'un signe que tout le monde connait, il veut être payer pour le trajet.

Dylan s'approche donc de lui et elle passe deux doigts sur la main du chauffeur, un gel grisâtre ce dépose sur sa main et s'infiltre dans sa peau en quelques secondes.

Oublier quoi?!

Le chauffeur ce sent un peu bizarre et il affiche un grand sourire pour rien. Il ne ce rappelle plus trop ce qu'il étais entrain de penser mais il ce sent d'humeur sympathique et il a envie d'être généreux et de ne pas faire payer cette jeune femme. Aprés tout si elle voulait partir sans payer c'est peut être qu'elle n'en a pas les moyens.

Ho rien. C'était gratuit! Bonne journée.

Le chauffeur reprend alors la route. Dylan regarde sa main droite en fessant un petit sourire puis elle ce dirige vers la porte du motel pour y rentrer. Une fois dedans elle demande une chambre et l'homme de l'accueille lui donne la clef de la chambre 16. Dylan monte des escaliers pour ce rendre un étage plus haut et elle tourne à droite une fois arrivé en haut et elle cherche le numéro 16. L'avant-dernière porte à gauche c'est elle. Dylan ouvre la porte à l'aide de la clefs et elle entre en fermant derrière elle.
La piece est carré, il ya une fenêtre en face de l'entrée, le lit est juste à droite de la fenêtre avec une petite table coller, prés du mur de gauche il ya un meuble avec une télé dessus et à deux mètre de ce meuble il ya une porte entre ouverte. Sur le mur gauche il y a une autre fenêtre et dans le coin prés de la porte il ya un fauteuil.
Dylan avance dans la pièce, elle pose ses affaires sur le lit et elle ce dirige vers la porte entre ouverte. Elle ouvre la porte et elle voit une salle de bain. A droite il ya un lavabo, avec un miroir et une petite étagère et en face la douche et dans un petit renfoncement il ya les toilettes.

Dylan retourne prés du lit, elle ouvre son sac et elle prend des affaires propre. Ensuite elle retourne dans la salle de bain pour prendre une douche et prés ca elle met les vêtement qu'elle à prit dans son sac juste avent, un débardeur gris et un jean bleu troué au genoux.
Elle jette ses affaires sale sur le fauteuil avant de s'allonger sur le lit. Dylan s'endort pendent environ 3 heures... Ce qui nous ramène dans le présent. Aprés un court sommeille qui lui suffit largement, Dylan ce réveille d'un coup. Elle ce lève et elle va ce passer un peu d'eau sur le visage et par la même occasion elle ce maquille un peu vite fait. Aprés ca Dylan prend une veste en cuir noir et elle sort de sa chambre puis du motel.
Une fois dans la rue Dylan bouscule quelque personne sans faire exprès mais les gens ce sentent toujours obliger de raler.

Vous pourriez faire attention! Dit un homme assez âgée

Et vous excuser c'est de trop? Rajouta une femme

Dylan entend les gens qui râlent, elle ralentie le pas et tourne à peine la tête.

Allez vous faire pendre!

Aprés avoir dit ca Dylan reprend un pas un peu plus rapide. Laissant les gens râler dans leur coin. Certes elle pourrait éviter de bousculer les gens mais elle n'aime pas les gens alors pourquoi faire attention? Et puis elle n'aime pas les réflexions n'ont plus donc elle ce sent obliger de dire des méchanceté au gens. Encore ca va elle ne dit pas d'insultes. Enfin bref...
Dylan marche dans les rues de New-York, l'état de certain endroit confirme bien tout ce qu'elle a entendu sur les évènements qui ce sont passer ici. Elle ce demande un peu ce qui va ce passer pour elle dans cette ville, elle va peut être rencontrée des gens intéressant. Et elle sais trés bien qu'elle ne tiendra pas longtemp sans provoquer des discordes grâce à ses pouvoirs. Déjà que c'est la guerre entre les gentil et les méchants, avec l'arrivée de Dylan ca va être pire pasque tout le monde va ce taper dessus sans aucune raison. Ca risque d'être marrant!
Suivant les rues qu'elle prend il ya parfois pas mal de gens et elle est parfois presque seule. Le soir commence à avancer, c'est l'heure où les rues ce vide petit à petit. Dylan essaye déjà de ce familiariser un peu avec cette ville, elle ne pourra pas tout visité ce soir mais elle veut au moins voir de quoi ca à l'air en générale. Dans le genre ville qui à explosé c'est quand même pas mal comme endroit...
Pour sa première sortie dans cette ville, Dylan ce sent assez bien, elle est à peu prés calme, elle ne ressent pas l'envie d'arracher la tête au gens et elle n'a pas de crise de tremblement. Mais bon elle à quand même toujours un air assez glacial, faut bien quelque chose qui montre en permanence que la gentillesse n'est pas son point fort.

Listen / Tainted Love - Soft Cell ( Synthpop)

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Assise sur l’appui de fenêtre d’une maison dans la rue, Bianka se reposait de ses cinq heures de marches incessantes. Son fidèle bâton posé à son côté, la jeune recrue de l’O.W.I balançait ses jambes, meurtries par cette longue randonnée citadine. Rencontrer des gens, les persuader (sans succès) que la Compagny pouvait les aider et repartir bredouille, tout cela était fatiguant. Tout cela ne parvenait pas à décourager Bianka qui était intimement convaincue d’agir pour la bonne cause. Elle se souvint de ce matin même, où ses membres inférieurs étaient encore en parfait état de fonctionnement. Cette journée avait pourtant si bien commencée, dans sa chambre douillette (Ô, doux souvenir) jamais elle n’aurait songé qu’en cette heure trouble elle serait terrassée par une traître fatigue. En vérité (et bien qu’elle ne l’admettra jamais) cette journée l’avait déçue au plus haut point, elle aurait voulu tellement plus que renseigner des enfants sur l’endroit où ils se trouvaient où encore donner une pièce à un clochard. Mais bon on ne se refait pas, quand on est optimiste on le reste (en principe).
Sur son perchoir, Bianka croisa les jambes et, après dix bonnes minutes d’une apparente méditation elle amorça sa descente mais, oubliant de calculer la hauteur à l’aide de sa canne, elle atterrit -comme un chien qu’on aurait lancé du haut d’un arbre- sur les genoux.

La douleur fût cuisante, aigüe, Brève.
Ne pouvant se relever, car n’ayant pas recouvré la totalité de ses esprit, la jeune aveugle se pensa l’espace d’un instant dans la jungle, sous l’emprise de lions féroces qui n’attendaient que le moindre de ses mouvements pour se jeter sur elle et n’en faire qu’une bouchée. La tête basse, le nez penché vers son genou meurtri, elle rampa tâtons vers un mur s’y adossa et allongea sa jambe. La figure vers le sol, ses boucles rousse lui recouvraient le visage et elle se saisit d’un mouchoir en tissus puis , à tâtons toujours ,elle localisa l’endroit d’où coulait le sang( et par la même occasion le trou dans son Jean ) .Prenant appui sur le mur , Bianka se releva et demanda à plusieurs personnes de l’aider à ramasser son bâton, mais le fait est qu’elle était totalement ignorée par les passants qui ,sans même lui adresser un regard, marchaient droit devant eux et faisaient comme si de rien n’était.
Alors qu’elle tournoyait sur elle-même, à présent apeurée, non seulement elle doutait de son éternelle bonne humer mais elle entendait les pas des gens qui se rapprochaient, ce qui contribuait à l’angoisser encore plus, eux ils s’en moquaient, ils la poussaient sans aucuns états d’âme.
Elle entendit soudain une voix qui se rapprochait

« Allez vous faire pendre ! »

disait la voix
Non seulement elle n’avait pas l’air de bonne humeur mais en plus, elle avait l’air passablement agacée par quelque chose que Bianka ignorait.
Elle parvint enfin à récupérer son bien (C’est-à-dire sa canne chérie) et se rangea sur le côté du mur, souffla un grand coup et reprit sa marche, bien décidée à abréger son passage dans cette rue de malheur. La ″Voix-en-Colère″ l’avait dépassée maintenant .Elle se sentait soulagée et un vent (comme par hasard) léger et agréable soufflait sur le passage de la demoiselle qui tentait de faire le vide, de penser à autre chose. Elle n’était en rien couarde à la base, le fait de ne distinguer rien de ce qui l’entourait la rendait mal à l’aise voir instable et lui donnait le sentiment d’être une machine, pas vraiment humaine. Marchant vite, le Mp3 présentement sur les oreilles, elle arriva, sans s’en rendre compte à la hauteur de Dylan et lui administra un coup de canne.

« Oh, Pardon ! J-j-j-j vous prie de m’excuser .Vous ai-je fait mal ? »

Dit-elle. L’angoisse la faisait toujours bégayer de la sorte. Elle inspira l’air et reconnu une odeur déjà croisée auparavant. Son regard s’était arrêté sur la jeune femme bousculée et ne s’en détachait plus, indépendamment de la volonté de Bianka.

Justement - Louise Attaque

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« Si vous m’aviez fait mal vous ne seriez déjà plus de ce monde »

Répliqua la voix. Bianka fût soudain submergée par une vague de joie (ou de quelque chose d’à peu près semblable), pour une fois on la malmenait avec équité. Sans blague, elle en avait marre de tout ces gens qui, sous prétexte qu’elle était aveugle faisaient des rondes jambes et disaient tout par derrière. En vérité, elle appréciait la franchise malgré que celle de son interlocutrice soit un peu … Effrayante.
Après tout, ne dit on pas « Franchise effrayante, franchise payante » ?!? Non ! On ne le dit pas, mais ca n’est pas le sujet. A la suite de cet excès de petite joie sans importance, Bianka passa par un mini stade de crise de larmes(ou de projet de crise de larmes).Eh oui, elle était (bien contre son grès).
Pour ce genre de comportement, un seul mot assez fort : Borderline !
« Le trouble de la personnalité borderline est un trouble de la personnalité qui s'exprime par des humeurs changeantes, par des relations humaines délicates et par un manque de confiance en soi-même. » Dixit le dico.
Bref, les gens Borderline sont … bah comme le dit le terme consacré difficile à suivre et à l’heure ou je vous le conte, l’état de Bianka s’est encore modifié. Désormais elle angoisse de répondre à la femme en face d’elle.
Aussi la demoiselle se mit elle à se parler toute seule, pour elle-même et dans sa tête.



• Petit Dialogue intérieur *

- Je ne peux décemment pas la laisser me souhaiter la souffrance comme ça …

- Mais si jamais ça tournait mal … Si elle n’apprécie pas ce que tu dis …
- Eh bien tu ne l’auras pas fermée comme d’habitude … Réagis nom d’un chien !!
- Mais …M-m-m mais … tu ne vas pas te mettre à traiter comme une vieille loque toi aussi
- Je veux que tu te défendes pour une fois …

- M-m-m-m mais...
- CHUT ! Trouves quelque chose à lui répondre sinon moi je ne réponds plus de rien ! Understand ?

- … Oui ….

• Fin du p’tit Dialogue Intérieur *


Bianka tendit l’oreille, une chose lui semblait flagrante, voir même impossible à ignorer : les battements du cœur de Dylan. Le palpitant de la jeune femme battait si fort, une personne dans un tel état d’énervement n’est pas bonne à contrarier. De ce fait, et à la suite de ce dialogue qu’elle avait eut avec elle-même, et d’une attitude qu’elle voulait belliqueuse (mais qui ne l’était pas), Bianka bredouilla

« Et pourquoi ne serais je plus de ce m-m-monde … Je veux dire, je n’ai pas fait exprès. Enfin non mais je… je …. »

• Être intérieur, seul *

- Ah bah Bravo …

* Fin *

Bianka regrette d’avoir prononcé ces paroles et redoute de courir droit à sa perte. Si elle avait sût, elle serait restée chez elle ce jour là. Mais il fallait rester digne ! Après ça, allez prouver à vos récents employeur que vous n’êtes pas une trouillarde, Non c’est décidé, il faut qu’elle cesse avant tout de bégayer pour un oui et pour un non.
Puisque de toute manière elle ne trouve rien de cohérent à dire, elle décide de guetter, l’oreille à l’affut de quoi que ce soit qui trahirait une quelconque faiblesse …

[ Hrp]: Excuses moi du retard et de la taille du post, mais mes épreuves de Brevet blanc se sont finies ce matin et j'ai pas eut le temps de me consacrer pleinement à ma réponce ( ni de poster dans les absences d'ailleurs^^ )[/Hrp]

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Sleep -My Chemical Romance

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Bianka n’y comprenait plus rien. Cette femme échappait à toute logique. En théorie, elle aurait dû être abominée qu’une demi portion comme la rouquine ose lui répondre, lui sauter à la gorge, la plaquer contre un mur, sortir un cutter et l’égorger, comme ça, sans foi ni loi.
Mais non, au lieu de cela elle lui avait répliqué, une once de sadisme dans la voix, que c’était bien tentée mais qu’elle aurait pût mieux faire. Non mais ! Alors, allant de surprise en surprise, aucun battement de cœur, de sang coulant dans les tempes, de bruit de mains que tordait dans ses poches n’émanait de cette personne. Elle parvenait à rester parfaitement stoïque, tel un ersatz d’être humain (Bien que Bianka ne se considéra comme une menace, loin de là, mais d’habitude les gens font du bruit, ou un minimum tout de même).
Il y avait quelque chose dans la voix de cette personne qui intriguait, comme ci elle l’avait déjà entendu auparavant. Oui, hors du fait que quelques minutes à peine plus tôt elle était passé en menaçant de la potence des gens dont on se fiche éperdument, il y avait quelque chose de familier dans la voix de cette femme. Quelque chose que Bianka n’avait alors reconnu que chez les personnes douées d’aptitudes spéciales, comme elle.
C’était presque inexistant mais c’était comme une sorte de suffisance, le fait de savoir que quoi qu’il arrive on s’en sortirait quand même, qu’on sait faire quelque chose d’extraordinaire en issue de secours. Mais non, Bianka était sure de se tromper, une personne qui parvient à s’énerver sans s’énerver, sans même que son rythme cardiaque accélère se serait peut être déjà servie de son pouvoir. Comme on n’est jamais surs de rien et que Bianka n’a pas envie que son compagnon de tête vienne lui tenir la conversation, elle recule, mais elle a beau reculer, ca ne lui indique pas quoi répondre.

« Dommage…Ah … »

Prononce t elle, tandis qu’une brise légère viens souffler mais seulement là où se trouve sa créatrice, sans que cette dernière ne s’en rende compte.

« Vous savez, faut pas se fier aux apparences, on est à New York ici … »

Pff, si elle n’était pas elle-même elle aurait explosé de rire, une réponse qui paraissait encore plus décalé qu’elle avait été délivré comme une mise en garde, comme si cette femme, plus grande qu’elle et certainement plus forte devait se méfier !
Tandis que Bianka ne cessait de se surprendre et de tente d’être menaçante, la brise ses tût