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 Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]

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Daniel Langton
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MessageSujet: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeJeu 17 Mar - 18:36

Daniel Langton était assis dans un bar, il sirotait son verre de whisky. Il fallait dire que la soirée ne c'était pas passé comme prévu. Mr Langton avait commencé définitivement a tiré un trait sur ce qu'il était avant. C'était une renaissance, maintenant Daniel assumait pleinement ce qu'il était...

Il y a quelques heures de cela:

Dans une des banques de New-York, Daniel était venu faire le plein. Ce n'était pas dans l'habitude de Mr Langton de faire des braquages mais il fallait bien remplir le frigo. Cependant, Daniel n'était pas un habitué des braquages.

Daniel marchait vers ce qui semblait être la salle des coffres. Mais il n'avait pas vraiment fait preuve de discrétion. L'alarme sonnait maintenant depuis cinq minutes. Cependant, la police avait réagi en trombe à cette intervention. Les hommes étaient déjà en train d'établir un périmètre de sécurité autour de la banque. Mr Langton avait prit la forme de Clayface depuis longtemps, il savait que les policiers étaient là. Il les avaient entendus ouvrir la porte d'entré.

Maman, Maman.... Vous n'auriez pas vu ma maman?


La voix de Daniel raisonnait à présent dans toute la banque. La créature d'argile était présente devant la porte blindé du coffre fort. Son bras droit prit alors la forme d'une lance et avec une vitesse surprenante s'enfonça dans la porte blindé qui se trouvait alors à quelques mètres devant lui. Le bruit de l'acier qui pliait à cause de la force se propagea comme un bruit assourdissant dans la banque. Les policiers en avaient profité pour suivre les traces de Clayface jusqu'au moment où ils arrivèrent dans le croisement qui donnait sur Clayface en train d'arracher la porte de la salle des coffres.

C'est la police! Rendez-vous sans faire d'histoire!


Les yeux émeraudes de la créature se braqua alors sur les policiers qui le tenaient en joug avec leurs armes. Dans l'instant qui suivi, Clayface arracha la porte blindé et la lança sur les invités. Les hommes l'esquivèrent de justesse mais la porte fini sa course dans l'un des murs de la banque.

Et un peu de sucre en poudre... J'en prendrai deux s'il vous plait.


Le bras droit de Daniel parti en direction du coffre et commença à se saisir de tous les billets qu'il pouvait. Pendant ce temps les policiers étaient sortis de leur léthargie et commençait à aboyer des ordres dans leur Talkiewalkie.

C'est Clayface! Oh putain! Il vient de nous balancer la porte du coffre sur nous! Attendais j'arrive même pas à soulever 80 kilo avec mes deux bras... Envoyer nous des Renforts! Vite!

Le stress était présent chez les policiers, ces derniers c'était réfugié vers l'entrée de la banque. Ils attendaient les renforts avec impatience. Il faut dire que le monstre avait fait une démonstration de force qui les a plus qu'effrayé.

Les minutes passa jusqu'à que les renforts arrivent. Cependant, il n'y avait aucun bruit, plus rien. L'équipe d'intervention était posté pour essayer d'arrêter le monstre. Néanmoins, une fois arrivé à la salle des coffres, Clayface avait mis les voiles. Par ou? Comment? Personnes n'avaient compris.

Enfaite, Daniel avait du fuir par les conduits d'aération. Mr Langton n'avait pas pu prendre tout l'argent qu'il espérait. Ce dernier devait se contenté de prendre ce qui pouvait rentrer dans ses poches.

Maintenant:
Daniel était dans un petit bar du Bronxe sous sa forme humaine. L'homme était devenu un habitué. On pouvait venir boire ici sans attirer l'attention. L'ambiance gangster des années 70 en faisait un endroit plus qu'agréable. C'était un de ses rares endroit où on pouvait se sentir bien. Personne ne posait des questions et on y faisait ce qu'on devait faire. Cette fois si par contre. Il était une heure du matin, Daniel sirotait toujours son whisky. Clayface réfléchissait à la soirée qu'il venait de passer. Soudain la télé montra un reportage sur le braquage que Daniel avait effectué juste avant. Il s'adressa alors Au barman.

Excuse- moi, est-ce que vous pouvez mettre plus fort? S'il vous plait...
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Rick Baneson
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeMer 6 Avr - 18:29

Alexis Kane savait très clairement se faire attendre, et ça commençait à tomber sur le système nerveux de Rick. Depuis qu’il avait chargé le Ténébreux de retrouver la cheerleader, le Bostonnais n’avait put obtenir de nouvelles du trois quart de ses effectifs. Les Sons of Liberty était un groupe fantôme au noyau complètement désorganisé, et ce n’était rien pour mettre un leader en confiance. Symphony, Kerry et Dino manquait tout bonnement à l’appel, impossible de les rejoindre d’une quelconque façon. Avaient-ils abandonné le projet, laissant Rick seul avec Edmond et Alexis, deux êtres totalement différents qui peinait plus que tout à coordonner leur effort. De plus, Kane était sauvage, et chien fou qui servait ses propres intérêts via les efforts de Rick. Il était imprévisible, incohérents pour l’humain moyen. Chaque conversation avec lui était un effort surhumain de diplomatie et de réflexions pour s’assurer de ne pas faire de faux pas, et de se mettre une force incontrôlable à dos. Dans le cas d’Edmond, c’était plutôt le contraire. Il était assez docile, et tout ce qu’il y avait de plus évident, mais sa colère et ses pulsions destructrices faisaient de lui une force non négligeable, et Baneson saurait en faire bon usage.

Décidément, rien n’allait pour le mieux. Le stress et la pression sur les épaules de Rick était insupportable, du moins, pour un être humain normal. Rick se dorait dans son orgueil de pouvoir résister, que ses nerfs étaient d’acier et indestructibles malgré les misères que lui infligeait le destin. Aux yeux du Bostonnais, un seul remède lui avait toujours permis de ne pas flancher, de passer à travers tout ces obstacles de la vie, du moins, temporairement : l’alcool. Bière, whisky et autre rhum avaient toujours sut lui tenir compagnie dans ses moments sombres, question de lui brouiller la vision et de lui faire oublier pendant l’espace d’une nuit tout problèmes qui étaient siens. De plus, l’ambiance du pub moyen avait quelque chose de magique. D’un coté, les âmes en peine se réunissait autours du jukebox, ce dernier crachant péniblement des vieux succès des Doors, ou pire encore, des Stranglers, mêlant la nostalgie au désarroi des peines quotidiennes. De l’autre coté, de jeunes blancs-becs festoyaient aux mêmes rythmes, jouant au billard ou aux dards et ingurgitant des quantités incroyables d’alcool en tout genre, au grand plaisir du propriétaire qui s’en mettait plein les poches. Si le paradis existait, c’était assurément un gigantesque pub stellaire.


***

Malgré les dégâts que l’explosion avait pu causer à New York, particulièrement les quartiers externes, la reconstruction allait bon train, et le Bronx avait maintenant des allures plus que valables. Les zones résidentielles étaient presqu’entièrement remises à neuf, et on commençait déjà à voir quelques commerces ouvrir leur portes. Bien sûr, lorsqu’il y a de la misère et du désespoir, le business qui fonctionne le mieux reste celle de l’alcool, et le propriétaire du Big River, petit pub rustique qui semblait tout droit sorti d’un film des 70’s, l’avait très bien compris. Rick avait adopté cet endroit depuis quelques jours, enchainant les stouts Irlandaises qu’il adorait tant aux traditionnels Jack Daniels on the rocks, décidément le Whisky le plus sexy du coin selon les papilles gustatives du Maître des Virus. Le barman était un type sympa, qui semblait habitué aux baragouinages des alcooliques qui occupait son univers l’espace d’une nuit.

Alors que l’horloge tapait les 1h du matin, l’endroit était quasiment désert. Si on mettait de coté le barman et Ricky, accoudé au bar, il ne restait plus qu’un autre habitué qui sirotait un whisky un peu plus loin, et un groupe de trois jeune, visiblement trop saoul pour comprendre quoi que ce soit à ce qui les entourait. L’ambiance était morte, l’alcool avait pris le dessus sur la majorité des gens présents, et seul le son d’un poste de télévision accroché au dessus du bar venait troubler le tintement régulier des verres qu’on redéposait sur le comptoir après une grande gorgée. L’autre habitué demanda au barman de monter le volume de la télé, ce que ce dernier fit sans objection. Rick leva instinctivement le regard vers le bulletin de nouvelles qui détaillait un braquage de banque. Ce qui rendait cette nouvelle extraordinaire, c’était l’identité du voleur : Clayface, un mutant apparemment capable de contrôler l’argile et le modeler de façon à protéger son corps des balles, ou défoncer une porte de coffre-fort, par exemple. Le Bostonnais avait entendu parler de lui auparavant, et avait une certaine admiration pour cet être spécial qui osait se lever contre la société et imposer ses propres règles, un peu comme Rick voulait faire à grande échelle. Un sourire malicieux s’étira sur son visage.


« Ça, Jack, c’est exactement ce de quoi je te parlais. Si un individu est capable de se lever et d’imposer sa loi, c’est qu’il mérite fortement son due. Clayface est décidément un exemple pour nous tous, spéciaux. »

Rick avait parlé d’une fois forte, ses inhibitions clairement disparu suite à l’ingurgitation d’alcool. Il n’en avait rien à foutre que quelqu’un l’aille entendu, après tout, il avait son pouvoir pour se défendre, et tuer ne lui avait jamais fait peur. Il se retourna vers le type qui avait demandé qu’on monte le son de la télé, curieux de voir sa réaction.

« J’espère que je t’ai pas choqué… En fait, ça importe peu. T’en pense quoi de Clayface, mhmm? »

Paroles d’alcoolique. Rick avait déjà quelques whisky derrière la cravate, et le stress énorme de son projet Sons of Liberty le poussait à commettre des imprudences qu’il ne ce serait jamais pardonné en état de sobriété. Ce qui était dit ne pouvait être effacé, mais bon, ce n’était pas comme si Rick avait déjà été du genre à s’en faire pour les conséquences de ses actes.
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Daniel Langton
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeJeu 7 Avr - 17:23

Daniel regardait la télévision, il avait foutu un sacré Boxon. Il se rappel encore de la réaction tétanisé des gardes quand il avait envoyé la porte sur eux. L'adolescent gardait son sourie en plein. Le bar était quasiment désert. Il ne restait plus qu'un groupe de jeunes ainsi qu'une autre homme. Ce dernier n'intéressait absolument pas Daniel. C'est pas parce qu'il était bien fringué de Mr Langton allait faire attention à cette personne. Non, ce qu'il l'intrigua c'était les verres de Jack Daniel. Si cet homme buvait du Jack Daniel, c'est obligatoirement qu'il a bon goût donc c'était obligatoirement quelqu'un de sympa. Du moins c'était ce qu'il en avait conclu avec ses innombables cuites dans les bars.

Cependant, l'homme au bar, l'inconnu eu une réaction plus que bizarre vis-à-vis de ce reportage. La majorité des gens auraient qualifié de Clayface juste de monstre. Bon en même temps arriver à faire plier un coffre de banque comme ça... Mais revenons à notre sujet. L'homme se voyait offrir les lauriers de l'inconnu mais pourquoi?

« Ça, Jack, c'est exactement ce de quoi je te parlais. Si un individu est capable de se lever et d'imposer sa loi, c'est qu'il mérite fortement son due. Clayface est décidément un exemple pour nous tous, spéciaux. »

C'était donc ca... Ce dernier était un monstre comme lui... Il se souvenait de ce que lui avait juste dit Mlle Tomas il y a de cela quelques heures. Rencontre quelqu'un qui pourra te sauver... Mais dans la situation, vu l'odeur d'alcool que dégageait ce mystérieux interlocuteur, c'était plus Daniel qui allait l'aider ou le rejoindre dans son état d'alcoolisation. La deuxième option semblait toujours la meilleure. Une bonne cuite c'était toujours un moment a passé.

Jack envoi moi le petit frère s'il te plait.

Cependant, l'inconnu vint donc à sa rencontre. El senior dégageait quelque chose, une espèce de truc malsain comme quand on voit un pervers sexuel.

« J'espère que je t'ai pas choqué... En fait, ça importe peu. T'en pense quoi de Clayface, mhmm? »

Qu'allait'il dire? C'était la question de Daniel se posait. Il pourrait bien faire « Euh moi c'est Clayface, et je vais te bifler ». Il pourrait aussi rien dire mais vu le caractère agressif, c'était une mauvaise idée rien qu'en y repensant.

Oula mon grand... Tu sais aujourd'hui plus rien ne me choque. Quand je vois ce que font les Sons aujourd'hui je me dis « Un peu plus ou un peu moins.... ».

Dans le même temps, Jackie était venu au bar pour servir le verre que Daniel lui avait demandé. Mr Langton avait perdu le sourire quand il regardait l'inconnu.

De Clayface, je pense qu'il a compris qu'il était le fils non désiré de Dieu. C'est ainsi que les Sons lui ont montré la voie. Il faut dire que j'ai particulièrement aimé le couinement des agents de police quand j'étais dans la banque c'était tellement mignon... Il faut croire que Clayface veut juste boulverser l'ordre établi pour semer un peu d'anarchie dans cette ville.
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeMar 12 Avr - 5:08

Rick pris le temps pour la première fois de regarder son interlocuteur en détail. Il était jeune, environ son âge, il entamait sa vie, du moins, la vraie version de la vie. Pas le monde imaginaire dans lequel nous font grandir nos parents, ni la simili-réalité qu’on tendance à se créer les adolescents, mais bien la vraie histoire, le deal complet avec taxes, dettes, problèmes et tout le tralala. Il portait des vêtements assez décontractés, et son air de « bon garçon » contrastait étrangement avec l’ambiance du pub. Cependant, quelque chose émanait de lui, une certaine confiance en lui-même qui laissait clairement voir qu’il était à sa place dans ce genre d’endroit, même qu’il nageait dans son élément. Sans vraiment le connaitre, le Maître des virus appréciait déjà cet inconnu. Il voyait en lui quelque chose qu’il reconnaissait en sa propre personne, un reflet d’une jeunesse typiquement frustré de n’être que de la chair à canons pour les guerres empiriques économiques. Chaque matin, les soldats Pepsi se rendait dans les usines, dans les centres de ventes et menait une guerre ardue contre les soldats Coca-cola, qui faisait de même de leur coté. Même chose pour les soldats McDonalds et Burger King, Chrysler et Ford. Les PDG pointaient l’ennemi, un peu à la façon des présidents pendant les grandes guerres. Alors que le ‘Nam n’avait duré qu’un certain temps, ces guerres étaient éternelles pour la jeunesse, forcée de vivre dans cet enfer ou de s’enlever la vie un soir en rentrant seul après trop de verres.

C’était clairement une des raisons d’êtres des Sons of Liberty, donner un sens à tant de vie. Un sens dans le sang, dans la sueur, dans les larmes. Rick voulait lever une armée pleine de potentiel, une armée jeune et amère, anéantie face à la platitude du quotidien, prête à tout faire pour s’empêcher de tomber dans cette atrocité de vie qui leur était destiné.




Rick écouta la réponse de son interlocuteur, et un sourire amusé s’étira sur son visage alors qu’il regardait le jeune homme lui décrire se qui était, selon lui, les raisons de faire de Clayface. Décidément, le Bostonnais aimait bien ce type, qui semblait voir les choses sous le même angle que lui.

« Un peu plus d’anarchie… Un brin de chaos… J’aime bien. Décidément, je ne me trompais pas en disant que nous aurions besoin de plus de gens comme lui. »

Rick sorti un petit boitier de métal dans lequel il rangeait ses cigarettes et saisit une Marlboro qu’il alluma nonchalamment, inspirant une grande bouffée de nicotine qu’il savoura pleinement. Certes, il était illégal de fumer dans un quelconque établissement public, mais Jack s’en foutait loyalement. C’est ce qui faisait un peu le charme de l’endroit aussi, dernier bastion de je-m’en-foutisme dans ce bas pays qui osait se targué de l’étiquette de « Porteur de Liberté ». Liberté à deux balles, liberté qui venait au prix de l’esclavage social.

« Alors tu étais à la banque, tu dis? Pas mal, Clayface t’as laissé survire, t’étais donc pas un flic. Tu te prenais un dépôt pour virer une bonne cuite, c’est ça? »

Terminant son verre d’une traite, Pestilence regarda sa nouvelle connaissance, son visage exprimant une certaine lucidité malgré toute l’alcool consommée, le genre de lucidité que seules peuvent permettre des années d’habitude à l’ivresse excessive.

« Je m’appelle Rick Baneson, et j’ai des plans pour l’Amérique. Des plans qui pourraient clairement t’intéresser, Clayface… Tu veux en entendre plus? Je te préviens, ça ne sortirait pas de tes cordes ; ça reste dans le domaine de la création de chaos.»
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeLun 25 Avr - 11:50

20Daniel avait le regarde vide pendant un instant. Il était un peu perplexe tenu par les paroles de cet inconnu mais après tout Daniel ne se sentait que bien dans l'obscurité de cette ville. Il retrouvait cette envie de faire le con et de semer un peu d'anarchie dans un monde qui semblait bien fade. Il est vrai que Mr Langton prenait un réel plaisir à faire ça.

Il avait créé ce nom de Clayface... L'idée il l'a eu quand il s'est regardé dans la glace. Il se rappellera toujours cette phrase qu'il avait sorti au mec avec la caméra qui lui demandait son nom. C'était depuis sa rencontre avec le groupe de Tokio Hotel et du clodo sur le toit de l'immeuble que Daniel savait ce qu'il devait devenir.

Mais actuellement Daniel était bourré et quelque peu perplexe par les propos de l'homme. Mr Langton ne connaissait personne qui était comme lui. La seule personne qui était comme lui Mme Tomas lui avait amicalement indiquer la sortie. Il devait trouver quelqu'un pour être moins seul. C'était les propos qu'elle lui avait tenu.

Daniel avait été seul, il l'avait toujours été. Il ne se plaignait pas, l'homme avait appris à vivre avec... Il était devenu Clayface.. Bientôt il étendrait son influence sur le quartier entier de Manhattan...Ce n'était encore qu'un projet mais il fallait voir les choses de manière concrète maintenant.


Le monde évolue sans cesse.... Il m'a paru logique de suivre le mouvement, les Sons ont commencé une vendetta.... C'est une manière de voir les choses. vous étiez à l'avant de la vague et vous avez permis à des gens comme moi de savoir quoi faire en ce monde.


Mr langton bu alors une gorgée de son whisky tout en écoutant ce que disait son interlocuteur. Daniel. Il était intéressé par ses propos, Mr Langton cherchait ou était le piège. S'il devait prendre peur ou pas? « Des plans pour l'Amérique »... Les yeux de Daniel s'illuminèrent alors.


Oh non je suis pas flic... Je suis juste quelqu'un comme vous qui veux faire changer les choses. Il faut dire que dans ce monde je n'ai qu'a me baisser pour ramasser de l'argent. Cependant qu'est-ce-que vous attendez de moi? Je ne suis pas un de ces types qui veulent instaurer un nouvel ordre tyrannique. Non, je veux juste profiter de la vie. Vous savez ne pas me réveiller en ayant quarante ans et me disant « merde j'ai raté ma vie »


Mr Langton fumait cigarette sur cigarette ce soir et à calmer ses pulsions, il fallait dire que l'individu était un électron libre et n'arrivait guère à rester en place cinq minutes sans faire une connerie. Daniel tira une latte et regarda l'inconnu.


J'ai croisé quelqu'un comme nous... Il était habillé bizarrement, il était habillé en Joker et il m'avait aussi dit qu'il avait des plans pour New-York. J'ai rarement eu peur mais vu sa tête et les cicatrices qu'ils se trimballaient...Ca donnait un genre Old school. Il est avec vous? J'ai quelque question à lui poser... Sinon appelez moi Clayface enchanté Mr Baneson.
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeDim 1 Mai - 18:21



Rick fumait comme une cheminée. Depuis qu’il avait quitté Boston pour mener sa vie de renégat, il avait pris cette habitude. Il enchainait clope après clope, inhalant son goudron, sa nicotine qui lui apportait tant de réconfort. Il se savait accroc, mais il s’en foutait. Il ne craignait pas les troubles de santé que ça pouvait engendrer, et ça n’avait rien à voir avec son pouvoir. Il était jeune et inconscient et prônait en grande partie la philosophie du « au jour le jour ». Il se ne prenait jamais en compte les conséquences futures de ses actions, du moins, c’est ce qu’il laissait transparaitre par ses réactions et agissements en tout genre…

Pestilence fixa longuement Clayface, silencieux et pensif, comme s’il l’évaluait du regard, comme si ses iris de jade cherchaient à percevoir l’existence d’un infime détail que le jeune homme cacherait au plus profond de ses tripes. Il ne semblait même plus affecté par l’alcool, comme s’il avait fait croire qu’il avait but toute la soirée. En fait, le Bostonnais avait tout simplement une incroyable tolérance, son corps s’adaptant facilement lorsqu’il en ressentait le besoin. Si on mettait de coté une voix un peu plus grave et son verre déjà vide, rien ne témoignait qu’il avait dégusté les délicieux effluves de son liquide ambré de prédilection.

Ce jeune homme était un être qui, en moins de quelques minutes, avait réussi à capter l’intérêt de Rick. Il régnait en lui un énorme potentiel au niveau de sa capacité, un potentiel qui était utilisé à l’aveuglette, sans but précis. Pestilence aimait cela, il aimait le chaos qu’un tel homme pouvait générer dans son sillage et ça l’impressionnait. Dans un cas habituel, le Bostonnais aurait tenté de le recruté chez les Sons of Liberty, de le rallié à la cause juste. Cependant, il savait que Clayface n’était pas de ce genre à se faire embrigader, et de toute façon, il voyait un autre futur pour lui. Il prit une grande bouffée de sa cigarette, un léger sourire à peine perceptible perçant vaguement au coin de ses lèvres.

Un homme avec des cicatrices déguisé en Joker… Aucune erreur possible, il s’agissait très clairement de Joe Kenter. Rick avait travaillé avec lui à Pinehearst, ils avaient tout deux été les agents qui avaient poussé la compagnie dans le précipice en aidant Sylar à mener ses plans à termes. Le Maître des virus était loin d’être surpris d’apprendre que le Clown Prince of Crimes avait ses propres plans pour la Grosse pomme, lui qui aimait tant voir le monde à sa façon, d’un œil tourné vers l’anarchie et le chaos. Depuis la destruction de Pinehearst, jamais plus Rick ne l’avait croisé. Une connaissance à renouveler, qui sait…

Rick sorti de sa torpeur et sorti son portefeuille, déposant quelques billets sur le comptoir pour payer pour sa soirée de plaisirs alcoolisés.


« Écoutes, je ne m’éterniserai pas. Je ne te demanderai pas grand-chose en fait, pas pour l’instant. Continue de faire ce que tu fais le mieux, instaurer ce chaos si nécessaire pour notre société moderne, pour leur faire comprendre que nous n’avons pas besoin de cet ordre préétablie qui ne nous avantage tout simplement pas à notre juste valeur. De mon coté, je ferai mes affaires, tranquillement. »

Rick adressa un discret juste de tête en direction du barman qui vint se saisir de son argent, pour signaler que la soirée se terminait pour lui. Il plongea par la suite son regard de jade dans celui de Clayface, sérieux comme un moine.

« Cependant, tu peux te douter que les Sons of Liberty vont en choquer plus d’un. J’aurai le gouvernement au cul, ainsi que des justiciers improvisés, capables de me laquer la gueule en claquant des doigts. Si c’est le gouvernement qui m’attrape en premier, ils vont m’emprisonner, probablement pour m’étudier ou simplement pour me torturer après tout ce que j’aurai fait dans le monde. Ils vont utiliser les médias pour se vanter de cet exploit, trop fiers pour réaliser qu’ils se mettent ainsi dans la merde. »

Pestilence fit un signe de la main au barman, ce dernier hochant la tête pour signaler qu’il avait compris, et apporta un stylo et un petit bout de papier, apparemment déchiré à partir d’une feuille de journal. Il écrit un numéro de portable, sa calligraphie étant relativement soignée pour un anarchiste alcoolique en puissance.

« Lorsque je serai fait captif, j’aimerais que tu interviennes. J’aimerais que tu contactes ce numéro. Le type au bout du fil se nomme Edmond, il est magnétiste. Ne l’appelle pas avant, il a un tempérament de merde, t’as pas idée. Il pourra trouver où ils m’auront cloisonné, et j’aimerais que les deux, vous vous occupiez de me sortir de mon trou. »

Le Bostonnais se leva et attacha son manteau de cuir, signe qu’il ne comptait rester dans le bar bien plus longtemps. Il regarda Clayface dans les yeux.

« Je sais que mes idées de fou ne te touchent pas particulièrement. Je sais que tu n’as aucune raison de faire ce que je te demande, mais au fond, tu sais que je c’est pour le mieux. Pourrai-je compter sur toi, lorsque le moment arrivera? »
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeVen 6 Mai - 16:36

Daniel était attentif à ce que disait El Senor Baneson. L'homme allait lui montrer ce qu'il était. Le monstre commença à sortir. Le corps de Daniel commença à fondre, toutes les couleurs commencèrent à disparaître pour laisser place à une couleur grisâtre uniforme. Les yeux bleus de l'individu étaient devenus verre émeraude, c'était comme s'ils dégageaient de la lumière. Clayface se tenait toujours devant l'inconnu mais il avait confiance... De toute façon sous cette forme d'argile peu de choses pouvait l'effrayer.

Les jeunes étaient en train de comater quant au Barman, il ne disait rien comme à son habitude. Du moment qu'on ne casse rien et qu'on paye ce qu'on consomme.

Le gouvernement? Le gouvernement devrait avoir peur des gens comme nous. Il est temps de leur fait comprendre que nous sommes la nouvelle phase de l'évolution. L'anarchie est uniquement présente pour leur faire comprendre que dans leurs derniers moments la plupart des gens révèlent qu'ils sont réellement.

La voie de Clayface avait baissé d'un ton. Elle était plus grave qu'avant et quelque peu perturbant. On imaginerait mal un tas de boue parler surtout... Et on imaginerait encore moins la voix qu'il pourrait avoir.

Soudain Daniel fit sortir un des sacs d'argent qu'il avait ramené de la banque qu'il avait visitée précédemment. C'était une sorte de souvenir, c'est sûr que ce n'était pas comme les boules à neiges que certains avaient l'habitude de prendre. C'était juste un petit cadeau que l'homme c'était fait à lui même.

Choquer? Vous allez les faire se pisser dessus. Je n'ai pas encore vraiment rencontré des gens comme nous... Vous devez être la deuxième personne que je rencontre. Vous allez faire avancer la cause.

Le mouvement était en marche Daniel lui allait pas tarder à devoir prendre partie dans une guerre qui lui semblait encore lointaine. Cependant, la rencontre avec Mr Beanson avait un peu plus précipité tous les évènements. L'homme saisit alors la carte que lui tendit en imaginant la personne qu'il devait contacter.

Il doit être des plus charmants et chaleureux comme je les aime... Si vous me dites qu'il a de la calvitie et qu'il ne faut absolument pas rigoler la-dessus je ne pourrai pas m'empêcher de rigoler quand je le verrai...


Daniel regarda la carte avec le numéro inscrit dessus en réfléchissant pendant quelques instants. En effet, il restait perplexe sur le sujet. Cependant Mr Langton était un sale con cependant c'est un homme de parole.

Je viendrai vous sortir de se merdier... On dira que c'est un prêter pour un rendu... Cependant, comment je saurai que vous aurez été capturé? Vous allez faire un gros signal dans le ciel en forme d'une bite?

L'homme d'argile était mort de rire par la blague qu'il venait de dire cependant il reprit son calme après quelques secondes.

Non sérieusement...
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Rick Baneson
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MessageSujet: Re: Juste un dernier verre [ PV Jack Brown]   Juste un dernier verre [ PV Jack Brown] I_icon_minitimeLun 16 Mai - 3:49

Rick ne broncha pas un seul instant lorsque Clayface pris sa monstrueuse apparence boueuse. Il avait vu tant de choses choquante au fil de la dernière année, c’était difficile pour lui d’imaginer qu’une image pourrait encore le poussé vers ses tréfonds et instincts primaires et le précipiter dans la peur. Après sa première rencontre avec Alexis Kane et ses infernales capacités ténébreuses, son affrontement avec William Gladstone et ses milles et uns cauchemars, sans oublier tout les autres mutants traumatisants qui ont croisés sa route, le Maître des virus était devenu presque immunisé à l’effet de choc que pouvaient causer de telles visions. Devant la transformation de Langton, Rick se contenta d’afficher un sourire satisfait, content de pouvoir constater l’étendue de la force brute qui allait être relâchée dans New York.

Pendant un bref instant, Pestilence fut presque surpris à l’aisance avec laquelle Clayface s’était targué de l’étiquette d’agent du chaos, comme s’il était persuadé de ce qu’il avançait, ce qui impressionnait grandement le jeune homme. S’il devait à tout prix se présenter à quelqu’un, avec un seul terme qui le définirait complètement, quel serait ce terme? Révolutionnaire? Philosophe… brutal? Terroriste? Rien ne lui allait vraiment à merveille. Il se considérait comme unique en son genre, utilisant des caractéristiques de chacun de ces définitions. Peut-être que son ego et son orgueil en étaient pour quelque chose, mais bon, à ses yeux aveugles, il n’en voyait rien.

Les propos violents et frustrés de Clayface n’étaient pas pour déplaire au Bostonnais. Ce dernier se contenta d’ajuster son manteau de cuir, plus que satisfait de la tournure des choses. Il écrasa le mégot de sa cigarette avant de s’en rallumer une autre, inhalant sa salvatrice nicotine. La vision d’un Edmond chauve lui arracha malgré lui un rictus plus qu’amusé. L’image était bidonnante. Le Magnétiste serait probablement frustré d’entendre une telle comparaison et le ferait savoir malgré lui, mais tant pis, il n’était pas là pour l’instant.


« Sérieusement? Eh bien laisse-moi te dire une chose : les fonctionnaires, ces cadres aux collets blancs qui s’activent de leur mieux au Pentagone, ils sont plus orgueilleux que n’importe lequel d’entre nous. Ils détestent se voir défier en pleine face, et se retrouver dans l’incapacité d’agir par la suite. C’est leur pire cauchemar, et je serai l’incarnation physique de cette frustration. Pour le petit peuple, les fourmis, je serai le visage de la peur, le nouvel ennemi #1. Dans l’esprit populaire, s’ils m’ont, ils nous ont tous, ce qui est totalement faux, évidemment. Si jamais ils réussissent à mettre le grappin sur moi, ce sera la fiesta à la maison blanche. Ils vont se dépêcher de prouver à tous que je suis capturé, en utilisant les médias pour faire une annonce mondiale, et l’internet pour laisser échapper des vidéos et photos virales de ma capture, question de laisser planer une ambiance de victoire. Ils voudront que les fourmis soient rassurer et vote à nouveau pour leurs politiciens, et par-dessus tout, ils voudront que les gens comme nous tombent dans la peur et s’isolent, se cachent. Pathétique… Crois-en mon expérience, si jamais ils me mettent en cellule, tu le sauras, même si tu vis sur une ile déserte, ils trouveront le moyen de te mettre au courant. »

Rick pris une grande bouffée de fumée, puis la relâcha dans une grande expiration. S’en suivi un silence que seul un des jeunes bourrés venait gâcher par ses ronflements éthylique.

« Clayface, écoutes, je serai franc. Même si tu ne contactes pas Edmond, ce gars va venir me chercher, et il le fera sans peine. J’apprécierais beaucoup ta présence, mais ça ne serait que du bonbon pour moi, une simple cerise sur le Sunday de ma liberté. Ce qui compte vraiment, c’est tout le chaos que tu vas pouvoir engendrer d’ici là. Et je ne veux même pas que tu le fasses pour moi, ça serait égoïste. Fait le pour toi, tu le mérites pleinement. Fout le bordel comme jamais cette ville l’a vue dans ses rues. Gâtes toi, et ruine la Grosse Pomme. »

Pestilence s’éloigna vers la sortie, les mains dans les poches, sa clope aux lèvres. Il se retourna alors qu’il était sur le seuil.

« En espérant ne jamais te revoir, étant donné que ça signifierait que j’ai échoué… »

Puis il passa la porte, faisant un pas de plus vers le Destin, l’inévitable. Malheureusement, ils allaient se revoir. Dans un futur trop proche pour M. Baneson.

[Voilà, si tu veux poster un truc pour conclure, libre à toi. On se reparle prochainement pour le RP de libération de Ricky avec Edmond]
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