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 Back in town [pv Vitolio]

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MessageSujet: Back in town [pv Vitolio]   Back in town [pv Vitolio] I_icon_minitimeDim 3 Oct - 19:40

Après deux heures de marche, Sylar avait réussi à s'échapper du Nevada et gagner à nouveau Las Vegas, l'enfer du jeu. Des jeux il en avait joué beaucoup dans sa vie, et celui qu'il venait de tenté aurait pu lui coûter bien plus qu'il ne pourrait l'imaginer. Mais il fallait dire les choses comme elles étaient: Sylar était quelqu'un de puissant. Il n'était pas quelqu'un de bon, il ne méritait pas tant de capacités, pas un enfoiré comme lui. Mais les faits étaient là, il était un enfoiré très puissant. Il était allé à la rencontre d'Eli sur conseils d'un Sylar venu du futur, et il s'était retrouvé face à une armée de clones. Le combat fut rude, et il ne s'en était pas sorti sans avoir pris quelques coups. Mais cela n'avait plus aucune importance à ses yeux, il venait d'acquérir deux pouvoirs supplémentaires. Il pouvait désormais se dédoubler quasiment à l'infini, dans la limite de son énergie, et il était doté d'une force physique supérieur à la normale. Deux pouvoirs redoutable dont le pauvre Eli ne s'était hélas pas montré digne.

Après avoir regagné Las Vegas, Sylar décida de s'accorder un ou deux jours de répit, histoire d'être au calme au moins un moment. Mais il n'en était rien, car à peine avait il retrouvé son chemin vers la civilisation qu'un évènement majeur faisait la couverture de tous les journaux, et monopolisait toutes les chaînes de télévision. Il s'arrêta devant un vendeur d'électronique et regarda l'émission diffusée dans la vitrine. Le son était inaudible de dehors, mais les sous titres transcrivaient bien la situation:


« Peuple du monde! Je me nomme Rick Baneson, et je suis l’homme qui apporte l’idéologie. Je suis celui qui permettra à l’humanité de faire le pas qu’elle souhaite ardemment faire, mais qu’elle n’ose pas accomplir. Je suis le père des Sons of Liberty, l’initiateur d’une révolution qui nous touchera tous, mais qui particulièrement ceux d’entre nous qui ont eu la chance de naitre avec des capacités extraordinaires. Je m’adresse à vous, mes frères. »

Rick Baneson, un nom qui n'était pas étranger au tueur, il l'avait croisé dans les couloirs de Pinehearst après avoir tué Arthur Petrelli. Et enfin le nom avait été prononcé, les Sons of Liberty. Alors c'était ce grand malade qui était à leur tête. L'autre enfumeur d'ombres ne devait pas être très loin, avec la cheerleader à sa merci. Quelques images plus tard, voilà que le maire se faisait empaler par une forme ténébreuse pas si mystérieuse que ça pour Sylar. Pas le temps de se reposer, il fallait regagner New York, c'est là bas qu'ils se trouvaient. Le reste du discours prononcé par Baneson ressemblait, dans les grandes lignes, à celui que Sylar avait lui même prononcé après l'explosion de New York. Rick faisait l'apologie d'une ère nouvelle et des êtres spéciaux. La Statue de la Liberté était en train d'être détruite à coup de balles, et Sylar ne resta pas plus longtemps devant le moniteur pour découvrir la suite. Le tueur avait commis l'erreur de laisser ce genre de choses arriver une fois, et il avait la ferme intention d'empêcher qu'une guerre éclate à nouveau. Bien entendu, il lui faudrait le pouvoir de Claire pour mener cette mission à bien. Il fallait qu'il retrouve Baneson et Kane.

Une fois n'est pas coutume, Sylar prit les transports en commun, en l'occurrence un bus, pour regagner la ville qui ne dort jamais. Le trajet fut pénible, long, mais en valait la peine. Il du se cacher au fond du car, une casquette vissée sur sa tête pour qu'on ne le reconnaisse pas. C'est avec plaisir qu'il arpenta à nouveau les rues surpeuplées de la Grande Pomme, la ville où il avait grandit et vécu toute sa vie. Et surtout, ici il se sentait en sécurité, il connaissait la ville et n'était pas un touriste à la merci du MonteCito comme à Vegas.

Bon, il fallait qu'il se concentre. Retrouver Kane et/ou Baneson ne serait pas une mince affaire, c'est pas comme s'ils allaient l'attendre avec des gyrophares et des pancartes en plein milieu de Central Park. C'était peut être même dans leur intérêt de se cacher avec un Sylar errant en liberté dans la nature. Mais Kane n'était pas du genre rationnel, et il devait être aussi impatient de rencontrer à nouveau le serial killer que ce dernier l'était de tuer Alexis. Il avait cependant une corde supplémentaire à son arc: il pouvait être partout désormais.

Sylar se fraya un chemin dans la foule et entra dans un restaurant abandonné, dans le Queens. Une forte odeur de rance lui torturait les narines, et il était obligé de se battre contre un nombre invraisemblable de toiles d'araignées. Bref, il n'avait pas prévu de rester. Il ferma les yeux, et compta mentalement jusqu'à 10. Déjà, il entendait deux clones discuter, puis deux autres, et d'autres. Il rouvrit les yeux, et face à lui il compta 25 autres Sylar.


" Messieurs, silence ! "

Ils obéissaient au doigt et à l'œil, ils n'avaient pas de pouvoir si ce n'était une grande force physique. Ils avaient sa mentalité, sa conscience, mais restaient des clones. Ils n'avaient pas la capacité de se dédoubler, ou de voler les pouvoirs des autres.

" Je vous fais un topo de la situation. Alexis Kane détient Claire Bennet quelque part ici, à New York. Notre objectif: couvrir un maximum de terrain, retrouver la cheerleader, tuer tous les Sons of Liberty qui vous barreront la route, les autres aussi, et me la ramener. "

Petit silence.

" Des questions ? "

Aucune question.


" Alors au boulot ! Et ne vous faites pas remarquer, casquette obligatoire, on a pas de temps à perdre avec la police si quelqu'un vous reconnaît. "

Mine de rien, Sylar faisait un bon petit chef de meute. Il regarda ses clones s'éloigner dans la ville, et sortit quelques minutes plus tard. Il descendit le long de la route, changea quelques fois de trottoirs, prit quelques intersections, et continua de marcher. Il regardait attentivement autour de lui, à la recherche du moindre indice, du moindre signe qui pourrait l'amener à Kane ou Baneson.

Et finalement, au détour d'une rue, il frôla légèrement l'épaule d'un homme qui lui semblait familier. Il se retourna, et le regarda s'éloigner. Il ne le connaissait pas, mais alors pourquoi ce sentiment étrange. Très vite, la vérité le rattrapa: son pouvoir originel venait de détecter un être spécial. C'était peut être l'occasion d'agrandir encore sa collection de pouvoirs. Il se mit à suivre l'homme, qui paraissait encore jeune. Mais Sylar n'avait pas le temps de jouer au chat et à la souris, il fallait agir.

Vitolio passa devant un salon de coiffure, quand il se sentit comme happé à l'intérieur, passant au travers de la porte en verre qui se brisa. Sylar entra juste derrière lui, ôta sa casquette, regarda toutes les personnes présentes, et dit d'une voix menaçante.


" Dehors "

Personne ne se fit prier, ils sortirent tous, laissant le serial killer seul avec Vitolio.

" Alors ... C'est quoi ton pouvoir ? "

Vitolio pu sentir deux paires de mains l'aider brutalement à se relever, c'était deux clones parfaits du serial killer qui se tenaient maintenant à ses côtés. Un à sa gauche, un à sa droite, le sourire aux lèvres tous les deux.
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MessageSujet: Re: Back in town [pv Vitolio]   Back in town [pv Vitolio] I_icon_minitimeDim 3 Oct - 22:11

[HRPG]:[Post un peu long, je sais, mais je voulais caler l'épisode du magasin quelque part alors voila ça donne ça, dsl de te fatiguer les yeux autant pour me lire lol ^^]

Vitolio toussa un coup, il s’était enrhumé…

Eyh l’ahuri ! Tu vas pas recommencer ! Je te dis que la meilleur c’est la xbox 360 ! Tu en connais beaucoup des dead rising un, le grand classique du jeu, sur ps3 ?

Alors déjà apprend que dead rising 2 est beaucoup mieux que le un, et pour toucher plus de monde sony la mis sur PS3 ! Ensuite le Un était naze, justement parce qu’il n’était pas sur PS3 ! Et pour fini je t’apprendrai que Söldner-X 2 : Final Prototype est uniquement sur PS3, et qu’il fait un carton !

Vive la 2D youpi ! Nan mais franchement mec vit avec ton temps, on est passé au 3D sur xbox, depuis l’âge de cavernes, alors tu vas t’acheter une bonne console et tu la ferme avec tes jeux moisis !

Oh non , pas encore…ça faisait à peine 30 minute que Ricky, vitolio et charly étaient entrés dans la boutique que déjà ces 2 là commençaient déjà à se disputer comme des chiens, mais qu’ils règlent leur compte une bonne fois pour toute au moins, au lieu de se prendre le bec continuellement pour des broutilles. Cette fois il y’avait au moins un avantage, aucun des 2 ne l’avait directement en ligne de vision et donc ils ne viendraient pas lui demander ce qu’il pensait de tel ou tel objet. Tournant légèrement la tête l’adolescent pût s’apercevoir que la dispute avait cessé, pour un court instant, semblerait-il qu’ils se soient mis d’accord pour aller voir le rayon du son, ça recommencerait dans quelques minutes, il suffisait juste d’attendre. Soufflant vitolio se tourna vers son magazine et s’appuya nonchalamment sur le bord du rayon, il leva légèrement les yeux et regarda autour de lui, personne, rebaissant ses globes il tourna la page du livre par télékinésie.

Si quelqu’un le voyait faire cela pourrait très mal se terminer pour lui, d’autant que depuis le dernier incident avec le bar il évitait pas mal de se montrer devant les flics, voir même d’attirer l’attention, pour le moment l’incident semblait être totalement inexistant aux yeux de tous, mais attention à ne pas réveiller le chat qui dort, mieux valait se tenir prudent. Un « couic »le fit relever le cou et tourner la tête. Il ferma le bouquin et se tourna, s’arrêtant net il fixa droit devant-lui, 2 flics venaient justement d’entrer dans le magasin. Posant le tas de papier sur une étagère il se décala d’un pas derrière une armoire, disparaissant ainsi quasiment complètement de la vue des 2 hommes qui arrivaient maintenant devant le caissier. Que venaient-ils faire ici ?

Un des policiers noirs sortit un papier chiffé de sa poche et l’étala sur le comptoir, de son angle de vue l’ado ne put voir ce que c’était, mais il avait un léger doute. Le 2em policier, enfin la 2em policière, toisait le reste de la surface de vente d’un regard méfiant, savait-elle que ce qu’ils recherchaient probablement était ici ? Non, sinon ils seraient venus à plusieurs, et puis après tout ce n’était peut-être pas forcément le jeune homme qu’ils recherchaient. Le caissier fixa le papier devant-lui et quelques instants plus tard il le repoussa d’un air incrédule en faisant signe de la tête que non. Le policier noir lui parla de nouveau, mais l’autre fit de nouveau un signe de la tête. Il sortit alors un autre papier de sa poche et le lui tendit, l’homme s’en saisit et le posa derrière la caisse avant de remercier les 2 policiers qui s’en allèrent d’un pas lent. Hum il fallait que le jeune Hampton voit ce papier, on disait souvent que c’était la curiosité qui avait tué le chat, mais il fallait absolument que vitolio sache si c’était sa photo qui était affiché sur ce bout d’arbre compressé.

Vérifiant bien du coin de l’œil que les 2 gardiens de la paix étaient partis le jeune fit un pas en avant, personne ne l’observait ni ne l’épiait, c’était bon ils étaient visiblement partis. Tournant la tête le jeune cherchait ses amis, il voulait sortir d’ici et tenter de chopper ce bout de papier. Soudain il les aperçut, encore en train de se disputer, mais à volume plus bas, et dans le rayon du Hifi, vraiment incorrigible. S’approchant du rayon en question il émit un son, ce qui leur fit tourner la tête, avant de leur lancer d’un ton naturel


Bon les potes on y va ? Je dois rentrer tôt sinon ma grand-mère me déchire, donc vous finissez vos querelles d’amoureux et on se casse vite fait bien fait, merci.

Ouais…De toute façon Charly il sait pas choissir et il a pas de goût, donc autant y aller.

L’autre faillit répondre, mais vitolio tira une tête si lasse et si ennuyée qu’il préféra se taire. Bon maintenant que les 2 compères étaient récupérés il fallait trouver un moyen de se sortir d’ici en récupérant ce bout de papier. Levant les yeux le jeune aperçut un écran sur lequel il était écrit « Samsung, écran ultra-plat à cristaux liquides, demander à la caisse pour plus d’informations »La solution se trouvait d’elle-même après ça. Tournant les talons ils prirent tous 3 la direction de la caisse, ils arrivèrent donc à heuteur du jeune qui la tenait, et la vitolio regarda l’autre avant de lancer d’un air jovial et enthousiaste, qui ne lui ressemblait pas du tout.

Salut, on a vu l’écran plat, là-bas, et enfaite…Avec ma famille on voudrait faire un cadeau à mon grand-père, pour ses 75 ans, donc je voudrais un peu plus de documentation sur l’écran, ce serait possible ? Genre un manuel, ou une brochure, enfin ce que vous avez ce sera très bien.

Bien sûr que c’est possible, attendez je l’ai là, je vais vous le donner. Si vous voulez des conseils n’hésitez pas je peux répondre à vos questions.

Le caissier sourit à vitolio, celui-ci ne le regarda pas, feignant d’être intéressé par l’écran derrière. L’homme se tourna donc et se pencha, vérifiant que ses 2 amis ne regardaient pas vitolio se pencha légèrement en avant, Bingo ! Le papier dépassait d’au moins 2 centimètre en dessous de la caisse enregistreuse. L’attirant par télékinésie il le fit coulisser tout en le collant au bar, une fois arrivé à sa manche il l’écrasa doucement sous sa manche, et ce fut temps car l’autre se releva et posa une brochure juste devant-lui.

Donc vous êtes intéressé par le samsung modèle Fg-56788 ? Très bon choix, son port HDMI vous apportera beaucoup, bien que je ne sache pas si votre grand-père s’en servira beaucoup, et vous avez aussi…

Merci... Mais ce sera tout, je vais prendre le papier, et je vais l’étudier avec ma grand-mère, si le prix nous convient nous reviendrons, au revoir.

Le vendeur parut légèrement surpris, mais il n’insista pas, vitolio reprit son air las habituel et leva la manche. Clouant le papier au dessous de son manteau par sa pensée, il le fit coulisser jusqu’à sa main et l’attrapa du bout des doigts avant de le plaquer dans sa paume.Se tournant il sortit du magasin et s’étira, ennuyant, encore une fois ennuyant, la vie était vraiment d’un intérêt plus que bas, rien à voir, rien à apprendre, vraiment il s’ennuyait à tout faire, même une situation qui était censé effrayer certaines personnes le laissait de marbre.

Bon ben vito..Moi je te laisse, sinon mon père va aussi gueuler, à toutes !

Ricky salua les 2 et partit d’un pas nonchalant

Idem pour moi, à plus.

Charly partit dans l’autre direction et réajusta son manteau avant de disparaitre noyé dans la foule des gens. Impeccable, il se retrouvait donc tout seul pour lire son fameux bout de papier. Vérifiant que personne ne l’observait, il se laissa affaler sur un banc non loin et déplia tranquillement le bout de papier. C’était en réalité une sorte de mini affiche qu’on avait plié en 5. Sur le haut de l’affiche une étrange photo, qui était familière au jeune, elle représentait celui qui se nommait lui-même « Sylar », quel tête affreuse, sur le bas de la photo il était nommé que ce personnage avait été vu récemment trainant dans les rues de New-York et il était activement recherché par tout les forces de police du pays pour plusieurs crimes dont il s’était rendu coupable.

Peuh, encore des ragots sur un tueur, incroyable ce que les gens pouvaient être crédules sur ce genre de chose, on voyait quelquu’n qui ressemblait vaguement à un tueur dans la rue et tout de suite c’était la panique totale. Levant les yeux au ciel l’adolescent chiffona le papier et d’un geste précis l’envoya dans la poubelle devant-lui, droit dans le mille ! Se levant il enfonça ses mains dans son jeans et bailla un large coup, encore une après-midi ennuyeuse sur une planète ennuyeuse dans un monde ennuyeux, la vie était vraiment trop ennuyeuse, comme d’habitude quoi…Le jeune fit un pas avant de se faire interpeller sur sa droite


Bon Eyh m’sieur…Vous auriez pas un peu d’argent ?

Un SDF était allongé sur le sol, vitolio trifouilla sa poche, mais n’en sortit que 2 dollar et 34 cents, il offrit les 34 cents à l’homme au sol qui le remercia quand même. Dure monde pour lui visiblement. Renfournant son argent le jeune homme s’avança dans la foule de gens qui marchait autour de lui, eh oui les rues de la grosse pomme était toujours bondée, perdu dans ses pensées vitolio était tellement habitué à marcher dans ces rues qu’il ne faisait même plus attention à qui il bousculait où écrasait. Soudain la foule s’éclaircit, tant mieux il bousculerait moins de monde, au détour d’une rue il dut tout de même faire un écart pour éviter quelqu’un venant en sens inverse, peuvent pas faire attention les gens ? Continuant son chemin tranquillement il passa devant une vitrine de coiffeure.

Et la quelque chose d’extraordinaire lui arriva, il se retrouva comme happé, tout était au ralenti, ses pieds décollèrent d’abord du sol, puis sa tête heurta la porte-vitrine du magasin de plein fouet, sous la pression il brisa la vitre, heureusement il avait la tête dure. Il était maintenant complètement étaler au sol, des milliers de petits oiseaux dansants devant ses yeux et chantant la danse des canards, il avait pris un sacré choc, et par surprise qui plus est. Clignant des yeux il tenta de défaire ce papillonnement intensif, ça lui faisait tout drôle, il sentait comme son cerveau qui tambourinait par ses orbites pour sortir. Il réussit à se retourner sur le dos, en évitant par miracle les bouts de verre au sol.

Une silhouette sombre se dessina devant le soleil, elle enjamba la vitrine cassée de la porte et retira ce qui ressemblait à une casquette, enfin on ne savait pas trop, sa vue était très brouillée à cause du choc, mais elle se raffermissait de plus en plus. Les gens semblèrent prendre peur, car un son de piétinement se fit entendre, puis une dizaine d’ombre passèrent en trombe devant le jeune pour se précipiter vers la sortie. Allez le cerveau, il fallait bosser pour retrouver la vue, il avait encore du mal à replacer ses idées après le choc. Soudain il sentit 2 mains sur ses épaules, une gigantesque force le releva de terre, quelle puissance énorme. Il se retrouvait maintenant devant l’ombre, qui prenait de plus en plus les formes d’un être humain, encore un peu de temps et il pourrait clairement le voir


Alors ... C'est quoi ton pouvoir ?

Pouvoir ? Coment il… ? La question n’était, pour le moment, pas prioritaire dans son esprit, il fallait d’abord reconnaitre l’autre. Soudain sa vue devint plus nette d’un seul coup, et la, lui qui n’avait quasiment jamais peur, qui ne stressait quasiment jamais, sentit son estomac se nouer. C’était…Sylar. Sylar se tenait devant-lui, et il le menaçait. Le même Sylar qui avait fait exploser New-York et qui était passé à la TV pour ça, le même Sylar qu’il avait vu sur l’affiche, le dangereux criminel recherché pour meurtre, en bref le sylar. Mais pourquoi voulait-il connaitre son pouvoir ? Malgré que cela fasse déjà quelques instants ses idées n’étaient pas encore au clair, il cligna encore une fois des yeux et regarda sylar droit dans les siens, d’un air las et mou.Il fallait déjà lui faire croire qu’il ne le connaissait pas, qu’il ne savait absolument pas qui il était, de quoi il parlait, ni ce qu’il faisait la avec-lui.

Ecoute, Sylar c’est ça ? Je t’ai vu à la télé, tu as l’air très fort, je vois pas du tout ce que tu me veux, j’ai rien demander, j’ai rien fait, alors s’il-te-plait laisse-moi partir, je dirais aux flics que tu as juste glisser pour me balancer dans vitre accidentellement.

On ne pouvait pas réellement considérer ça comme de la lâcheté, ce qu’il venait de dire était enfaite juste les paroles d’un homme manquant cruellement de courage naturellement, qui n’avait aucune envie de se battre, qui désirait rentrer vivant et qui voulait que tout se termine pacifiquement, pour qu’il ne s’épuise pas inutilement, comme il le voulait à chaque fois enfaite, il était réellement un feignant à l’extrême.

Tu peux dire à tes…Doubles, de me lâcher maintenant ? Parce que la position est vraiment très inconfortable, laisse-moi partir Sylar.

Jusque la il ne l’avait pas encore remarqué, mais les personnes qui le tenaient était enfaites des clones et des répliques exactes du premier Sylar en face de lui, mais c’était quoi son problème à lui ? De quoi était-il réellement capable réellement ce sylar enfaite ? De se dédoubler ? Et au vu de la pression douloureuse que les clones exerçaient sur ses épaules il était déjà doué d’une grand force phyisque…
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MessageSujet: Re: Back in town [pv Vitolio]   Back in town [pv Vitolio] I_icon_minitimeLun 11 Oct - 16:30

Durant toute sa carrière de serial killer, Sylar avait eu l'occasion d'entendre de nombreuses supplications de ses victimes: de la pitié, de l'honneur, de la clémence, on lui avait même une fois demandé d'épargner les animaux quitte à tuer les humains. Tout ça pour dire qu'on lui en avait demandé des choses. Mais l'individu que le tueur venait d'envoyer par télékinésie à travers une vitre décrochait un prix dans la catégorie des supplications originales, voir même culottées. Et comme si cela n'était pas assez, il cru bon également de demander à Sylar d'ordonner à ses doubles de le relâcher. Apparemment, il n'était pas à son aise.

" Tu es en train de me demander de te laisser partir ? En prétextant que tu vas dire à la police que tu as glissé ? Et tu veux que mes ... confrères ici présent te relâche parce que tu es dans une position inconfortable ? "

Sylar s'arrêta un instant pour lui même bien réaliser les demandes que Vitolio avait formulé. Il reprit sur un ton décalé:

" Maaaaais très certainement mon bon ami. Et non seulement je vais leur demander de te relâcher, mais en plus tu sais quoi ? Je vais même leur demander de t'apporter un menu maxi best of bic mac avec frite coca, du café, et un grand carton de glace à la vanille ... Euuh non, tout compte fait la glace à la vanille je la garde pour moi. "

Il marqua une petite pause d'une seconde.


" Non mais c'est une blague ? Tu sais qui je suis ? "


Sylar jeta un bref regard vers ses doubles. Le premier saisit les bras de Vitolio et les lui bloqua dans le dos, tandis que le deuxième s'empressa de lui envoyer un méchant coup de poing dans l'estomac. Ils le relâchèrent ensuite, et disparurent dans l'arrière boutique. Le malheureux Vito resta seul avec Sylar.

" Je crois que je t'ai posé une question, non ? Ton pouvoir, c'est quoi ? "

Le tueur s'approcha de sa victime, avec la ferme intention de le soulever par télékinésie. Mais là, impossible d'avoir une quelconque influence sur lui. Sylar regarda sa main, curieux. Il plongea son regard dans celui de Vitolio. Usant de sa télépathie, le tueur alla chercher les réponses qu'il attendait directement à la source. Il ne perdit pas de temps, et chercha juste dans les grandes lignes. Le mot qui revint le plus souvent était "télékinésie".

" Oui, c'est avec de la télékinésie que je t'ai balancé à travers cette vitre, mais ton pouvoir à toi, c'est quoi !? "


Il fallait reconnaître que sur ce coup là Sylar n'était pas des plus malins. Il semblait n'être capable que partiellement d'utiliser sa télékinésie sur Vito, et ce dernier avait le nom de ce pouvoir qui flottait dans ses pensées. Il fallut pourtant encore quelques secondes au serial killer avant de comprendre enfin ...

" Non !? Un autre télékinésiste !? Tu sais que c'est plutôt rare de posséder un don aussi puissant ? La bonne nouvelle pour toi petit, c'est que je n'ai aucun intérêt à te tuer vu que je possède déjà ce pouvoir. Maintenant, tu me diras, je peux toujours te tuer pour le plaisir ... "

Sylar étira un large sourire sadique sur son visage.
" Le dernier combat que j'ai mené était plutôt mouvementé, mais au final assez vite expédié. Tu veux bien faire en sorte qu'on s'amuse au moins un minimum tous les deux ? "

Le tueur lança une nouvelle attaque télékinétique, qui fonctionna cette fois. Vito quitta le sol pour aller se cogner violemment contre le mur à sa droite.

" Pfff ... pathétique. "

Sylar leva sa main une nouvelle fois vers Vitolio, avec la ferme intention d'en finir ....
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MessageSujet: Re: Back in town [pv Vitolio]   Back in town [pv Vitolio] I_icon_minitimeLun 11 Oct - 18:52

Vitolio fixait son adversaire les yeux dans les yeux, il était doué d’un aplomb certain, mais il n’était pas sûr qu’il faille absolument faire cela dans ce genre de situation. Généralement se propre fierté il se la mettait la où il pensait, il en avait strictement rien à foutre qu’un autre le méprise ou qu’un tel le trouve nul, tout ce qui l’importait c’était de vivre heureux, serein, en paix avec soi-même, et pour cela le vieux dicton se confirmait « Reste fidèle à toi-même » ou encore « Aide toi et le ciel t’aidera ». Bon il fallait avouer que dans ce cas le ciel n’avait pas vraiment été en sa faveur. Il venait tout de même de lancer un requête plutôt osé à un sérial killer connu pour tuer ses victimes avec un barbarisme et une cruauté sans nom, en gros le genre de type que tu préfèrerai éviter au maximum. Sylar le fixait de son air étrange, allait-il le tuer ? Vitolio préférait toujours ne pas se battre, s’il pouvait éviter au maximum les combats et la fatigue, voir même le moindre effort, il était complètement pour une issue pacifique, un glandeur puissance 10 quoi, mais s’il devait se battre pour survivre il se forcerait, tant pis. Le tueur plissa légèrement un œil et le regarda avant de répondre

Tu es en train de me demander de te laisser partir ? En prétextant que tu vas dire à la police que tu as glissé ? Et tu veux que mes ... confrères ici présent te relâche parce que tu es dans une position inconfortable ?

Un léger silence flotta dans les airs, bon c’est sûr que vu sous cet angle cela faisait un poil décalé par rapport à la situation, mais bon qui ne tente rien n’a rien.

Maaaaais très certainement mon bon ami. Et non seulement je vais leur demander de te relâcher, mais en plus tu sais quoi ? Je vais même leur demander de t'apporter un menu maxi best of bic mac avec frite coca, du café, et un grand carton de glace à la vanille ... Euuh non, tout compte fait la glace à la vanille je la garde pour moi.

Un humour de sylar ? Pas très marrant, mais bon il était menaçant et dangereux, donc il pouvait se permettre de dire des trucs naze.

Non mais c'est une blague ? Tu sais qui je suis ?

La question semblait sincère, cela signifiait donc qu’il ne pouvait pas encore lire dans son esprit pour lire ce qu’il savait, un point pour vitolio. Soudain un des clones bougea, et sans même qu’il ne puisse réagir vitolio se retrouva avec une clé de bras parfaitement exécutée, la main coincée dans le dos il se retrouvait maintenant complètement à la merci du tueur. Le clone qui le tenait précédemment serra son étreinte sur son bras, le faisant se crisper, le second se positionna bien en face de lui, une espèce de sourire sadique passa sur son visage et il expédia son poing dans le ventre mou du jeune adolescent. Celui-ci, malgré l’étreinte sur son bras, se recroquevilla sous le coup d’une puissance incroyable, peut-être aurait-il mieux fallut qu’il le stoppe avec sa pensée ? Non sinon Sylar aurait pu trouver son pouvoir en un instant. Gonflant les joues vitolio se recourba et cracha une petite gerbe de sang, le coup avait été d’une rudesse extrême et le sang lui était remonté de l’estomac. Tombant à genoux au sol vitolio se tint l’estomac et toussa très fort, rudement puissant le bonhomme. Fixant le sol vitolio ne s’était même pas rendu compte que les clones avaient disparus et que le véritable sylar le fixait.

Non mais c'est une blague ? Tu sais qui je suis ?

Vitolio releva la tête et le regarda, il croyait quoi lui ? Qu’il lui fallait juste ça pour lui faire cracher le morceau ? L’autre, visiblement énervé, s’approcha de lui et tendit la main dans un léger signe d’agacement, mais rien ne se produisit, rien ne vola, rien ne se décolla du sol. Ça c’était mauvais signe, très mauvais signe, sylar venait de lui donner une raison d’en savoir plus. Le tueur regarda sa main d’un air curieux et fixa vitolio d’un air étrange. Soudain le jeune se cloua sur place, il avait senti comme une…Une présence dans son esprit, comme si quelqu’un venait de rentrer dedans et de tout foutre en bordel pour chercher ce qu’il voulait, était-ce lui ?

Oui, c'est avec de la télékinésie que je t'ai balancé à travers cette vitre, mais ton pouvoir à toi, c'est quoi !?

Des paroles bien énidmatique, oui c’était bien lui qui venait de faire ça, il pouvait donc finalement chercher et lire dans les pensées, le secret était foutus alors. Soudain la sensation revint, plus puissante cette fois-ci, et plus longtemps. Quand cela se stoppa le serial Killer recula légèrement du corps avant de parler

Non !? Un autre télékinésiste !? Tu sais que c'est plutôt rare de posséder un don aussi puissant ? La bonne nouvelle pour toi petit, c'est que je n'ai aucun intérêt à te tuer vu que je possède déjà ce pouvoir. Maintenant, tu me diras, je peux toujours te tuer pour le plaisir ...

Non ! Il venait de percer à jour le secret qu’il cherchait tant à lui cacher, et la fin de sa phrase effrayait vraiment l’adolescent. Pour une fois il était apeuré, on aurait dit que ce type ne ressentait rien, un vrai psychopathe, un fou prêt à le tuer sur-le-champs s’il le fallait, soudain l’attaque vint, rapide et puissante, comme il s’y attendait

Le dernier combat que j'ai mené était plutôt mouvementé, mais au final assez vite expédié. Tu veux bien faire en sorte qu'on s'amuse au moins un minimum tous les deux ?

Le choc télékinétique l’étrangla presque, le projetant sur le mur à droite avec une grande force, ça faisait donc cet effet la quand on se prenait un choc de télékinésie ? Finalement la guerre était lancée et vitolio ne pouvait passer au travers, il avait même quelques coups à rendre. La poussière retomba et le jeune était au sol, l’autre le regarda d’un air pathétique et puffa

Pfff ... pathétique.

Il tendit la main pour continuer d’attaquer, mais vitolio fut le plus rapide, un bout de mur gros comme un poing fonça dans le petit ventre mou du tueur en série. L’autre se plia en 2 sous le choc, vitolio se releva et l’observa avant de parler

J’ai vraiment voulu que ça se termine bien, mais bon tu ne me laisses pas le choix, alors mon vieux on va s’amuser, et la ça va même être…L’éclate totale !

Vitolio tendit 2 doigts en direction d’un siège de coiffeur, on pût entendre les écrous s’arracher du sol sous la pression mentale qu’il exerçait, en moins d’une seconde le siège décolla du sol et s’écrasa avec force sur le meurtrier, l’écrasant contre le mur en plâtre en face du Hampton, ne lui laissant pas le temps de réagir il tendit son index en direction du plafond, laissant son doigt pointer le haut une longue fissure parcourut toute l’échine du bâtiment, et le beau plafond blanc se stria d’une énorme fissure qui couvrait quasiment un tier de la surface du salon où ils se trouvaient. Tendant tout ses doigts d’un coup il laissa son index diriger sa pensée et avec une force monumentale il effondra le tiers du plafond sur son ennemi, cela souleva une immense poussière blanche, puis plus rien, plus un bruit, mais soudain le plafond continua de se fissurer et toute une autre partie du plafond s’effondra sur la droite du jeune garçon. La fissure s’arrêta, le tout semblait tenir la route .

Tu en veux encore ? Ben tiens mange ça !

Se doutant bien que ses coups ne réussiraient pas à venir à bout du tueur vitolio leva la paume de sa main en direction du gros tas de débris et d’une impulsion psychique puissante il propulsa le tout à travers la grande vitrine, qui n’avait pas encore été brisée pour le coup, qui couvrait la devanture et qui vantait les mérites du nouveau savon fraicheur. La vitrine se brisa dans un grand éclat, envoyant des bouts de verre partout sur la route. Les débris roulèrent sur la route, mais avec la poussière que cela souleva vitolio ne pût voir si le corps de sylar y était, en tout cas il avait certainement pris de bon coups dans le lot. Observant à travers la vitrine, maintenant complètement brisée, vitolio scrutait les débris dehors de l’intérieur du bâtiment, qu’allait faire sylar ?
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MessageSujet:    Back in town [pv Vitolio] I_icon_minitimeSam 23 Oct - 9:18

Sylar était celui qui avait voulu se battre, mais là pour le coup il n'avait rien vu venir. Il s'était apprêté à frapper Vitolio une nouvelle fois avec sa télékinésie, mais il reçu dans l'estomac un objet lancé à une telle vitesse qu'il en eu la respiration coupée. Il se courba en deux et tomba au sol, impossible pour lui d'inspirer une once d'oxygène. Le coup avait été très bien lancé, et l'effet était redoutable, Sylar ne pouvait plus bouger tant qu'il ne pourrait pas respirer. Il tenta tant bien que mal de trouver de l'air, et il sentait que cela revenait peu à peu. Mais pas le temps d'en jouir davantage. Le tueur entendit un bruit sourd, comme si on arrachait un morceau de métal du sol. Il comprit vite le pourquoi de la chose, lorsqu'un siège vint s'écraser sur lui, achevant de le plaquer au sol. Il avait mal partout, au ventre, dans le dos, même ses jambes le faisait souffrir. Il pensait qu'il aurait le temps de récupérer désormais, mais rien à faire. Vitolio mettait le paquet en espérant que cela suffise pour venir à bout du tueur. Le plafond se fissura au dessus de Sylar. Il leva les yeux pour regarder la fissure grandir. A cet instant précis, le tueur étira un petit sourire sur son visage. Le plafond s'effondra sur lui. Un immense nuage de poussière vint emplir toute la pièce.

Peu après, Vitolio expédia tous les débris à travers la vitrine, sur le trottoir dehors. Les morceaux de verre, le siège de coiffeur et les restes du plafond étaient aller s'étaler jusque sur la route. Le nuage de poussière se dissipa peu à peu. Les passants se hâtèrent pour venir voir ce qui se passait, tandis que les voitures arrêtaient d'avancer, bloqués par tant de débris.
Vitolio était resté à l'intérieur, et il n'était pas le seul ...

" Plutôt pas mal petit ! "

La voix venait de derrière lui. Sylar était là, une trace de sang lui coulant depuis la bouche, mais apparemment en forme.


" Tu crois vraiment que si moi je n'arrive pas à te soulever quand j'en ai envie toi tu vas pouvoir m'éjecter à travers une vitrine quand ça te chante ? "

Sylar attrapa Vito par le col, le souleva par la seule force de son bras et l'envoya voler dans l'arrière boutique. Il entra dans la pièce à son tour et verrouilla la porte derrière lui. Il ne voulait pas risquer qu'on le voit ici, ça déclencherait un mouvement de panique si on le reconnaissait, et ça il ne pouvait pas se le permettre. Il releva Vito et lui enfonça son poing dans l'estomac, l'envoyant ainsi s'écraser contre le mur du fond. La force physique du tueur était herculéenne. Sylar regarda autour de lui. Il vit tout un stock de ciseaux, de laques pour cheveux, de rasoirs, de gels. Il leva sa main et toutes les armes blanches présentes se levèrent de leurs étagères pour venir menacer Vito qui achevait de se relever.

" Tu croix réellement que toi ... tu peux me battre MOI ? "

Sylar se tut ensuite. Il ferma les yeux, se concentra, puis les ouvrit à nouveau. Le carrelage du sol se souleva à mesure que deux immenses plans de rosiers bien épineux se mirent à s'enrouler autour des jambes de Vitolio, l'obligeant à rester immobile s'il ne voulait pas avoir la peau déchirée et meurtrie par les épines acérées.

" Tu es conscient j'espère que si tu n'es pas déjà mort c'est uniquement parce que j'ai envie de m'amuser avec toi ? "

Le serial killer serra sa main droit en un poing et visait déjà le visage de sa victime, lorsqu'on frappa violemment à la porte derrière lui.

- OUVREZ !! POLICE DE NEW YORK !!

Tous les ciseaux et les rasoirs retombèrent au sol. Sylar grimaça, il ne voulait pas être vu. Il regarda Vitolio.

" Ca fait des mois que je fais silence radio et que j'essaye de me faire oublier un peu, et à cause de toi petit avorton j'aurais fait tout ça pour rien ! "

Sylar ferma à nouveau les yeux, les rosiers qui entouraient les jambes de Vitolio se rétractèrent et retournèrent d'où elles étaient venus. Le jeune homme était libre.

" Tu as intérêt à trouver une bonne explication parce que quand cette porte va s'ouvrir personne ne me verra. Et si tu leur hurle que je suis présent dans cette pièce je te jure que cette fois je n'irais pas par quatre chemins, je vous tuerais tous. "

- DERNIÈRE SOMMATION !! OUVREZ OU JE DÉFONCE LA PORTE !!!

" Penses à ce qui est le mieux pour toi ... Vitolio. "


Sylar se posta contre le mur, et ferma les yeux. En utilisant sa télépathie, il pouvait faire croire aux gens qu'il n'était pas là, devenant ainsi invisible. Seul Vitolio pouvait le voir. La porte fut enfoncée et deux agents de polices pointèrent leurs armes vers le jeune Hampton.
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