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 Perfect Situation [Miami] (PV Amy LeBrassor)

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Rick Baneson
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Rick Baneson


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MessageSujet: Perfect Situation [Miami] (PV Amy LeBrassor)   Perfect Situation [Miami] (PV Amy LeBrassor) I_icon_minitimeDim 31 Oct - 1:30

Nouvelle vie, nouveau visage, décidemment, Rick pouvait être envié d’une majorité de gens sur Terre. La possibilité d’effacer tout lien avec notre passé, de recommencer à zéro dans le Sud en étant méconnaissable et ayant conscience d’accomplir de grandes choses, c’était une occasion que très peu de gens pouvait se vanter d’avoir saisie. Ça ne faisait même pas une semaine qu’il habitait Miami qu’il aimait déjà l’ambiance que dégageait cette ville. À ce temps-ci de l’année, le tout était en effervescence, les bars brillaient dans la nuit étoilé et les bikinis paradaient dans infiniment de façon malsaine. Bref, une ville qui avait tout pour complaire les tendances vicieuses et les goûts indélicats du dangereux Baneson. Certes, ça ne battait pas New York pour la qualité des clubs, ni Vegas pour ce qui touche aux divertissements illégaux, mais Miami était une ville à part, et ça plaisait bien au père des Sons.

Depuis qu’il avait son nouveau visage, Rick n’avait pris aucune pause sur la débauche. De nombreux mutants (surtout les télépathes) l’avaient retrouvé, et chacun voulait le suivre dans sa cause, ce qui poussait le Bostonien dans un état d’extase tout particulier. La majorité d’entre eux faisait des dons monétaires, même si c’était loin d’être nécessaire après tout les vols proférés par Rick lors de la planification du projet qu’était les Sons of Liberty. Les surplus passaient donc dans les nombreux bars de la région, mais partout où Rick allait, on lui disait que ce n’était rien comparé au Space Club, « l’endroit » où aller si on voulait vraiment faire la fête. Devant un titre si appétissant, le jeune homme ne put résister.

Le Space Club, un endroit quasi-légendaire dans le monde glam jeune de Miami. Un établissement très classe, dont l’on pouvait entendre résonner la basse jusqu’aux petites heures du matin. Les femmes étaient belles, l’alcool y était goûteux, bref, l’ambiance parfaite. C’est dans cet état d’esprit que Rick s’y rendit seul, avec la certitude ressortir bien accompagné. Il était classe, dans le genre discret. Les cheveux en bataille de façon presque sauvage, un début de barbe s’accrochant à son menton, le virus ambulant portait une chemise noire ouverte sur un t-shirt blanc, et pour le bas de son corps, de simple jeans. Rien de bien particulier dans ce look, mais le tout était accompagné de l’attitude du jeune homme, attitude que rien ne pouvait imiter.

Il gara sa Ford Taurus dans le stationnement déjà bondé alors qu’il n’était que 23 heure. La file d’attente pour entrer était extrêmement longue, ce qui eut pour effet d’arracher un rictus dédaigneux aux lèvres de Rick. Pauvres petits agneaux, désireux d’entrer dans le Space Club, dans la capacité de simplement marcher à la porte et pénétrer le bâtiment et simplement profiter de la musique et des dames de peu de vertu, mais se laissant mener par de simples lois sans but, de simples conventions sociales qui semblaient tous les transformer en esclave se croyant libre. Soupirant, Rick fit ce que personne n’avait le courage de faire : il s’avança nonchalamment vers l’entré du Space Club, évitant la file. Les regards se tournaient dans sa direction, le prenant tous pour un inconscient. En effet, alors qu’il n’était plus qu’à un mètre de la porte, un colosse vêtu de noir et portant des lunettes de soleil (en pleine nuit, il est bon de le spécifier) s’interposa.


« Tu crois allez où, imbécile? Si tu croyais entrer ici, oublie ça, tu passes la nuit ailleurs! »

Rick détailla le portier d’un regard supérieur. Certes, il le dépassait d’une bonne tête, et l’employé du Space Club portait avec évidence une arme à feu pour effrayer les récalcitrants, mais Rick n’était pas trop impressionné. Sans presse, il leva la main, joignant ses doigts pour imiter la forme d’un pistolet, qu’il pointa vers la poitrine du gorille qui lui faisait face.

« Bang! »

Le pouvoir de Rick fit effet, l’homme pâlit soudainement avant de porter ses mains à sa bouche. Il fut pris de convulsions, plus violentes les unes que les autres, avant de se retourner pour vomir brutalement, en tombant même au sol. C’était une petite victoire pour Rick, mais une grande victoire pour la cause de Sons of Liberty. Sur ce, le virus ambulant se dirigea entra dans le club avec la ferme intention de trouver le bar le plus proche. Autour de lui, des jeunes dansaient, buvaient et flirtaient comme si c’était le dernier jour de leurs vies. Rick aimait ce genre d’ambiance, l’euphorie qui entoure ce genre d’endroit. Sans plus attendre, il se tailla une place jusqu’au comptoir.

« Jack Daniels, sur glace s’te plais!»

« Pas de problème mon chou. Joli nouveau visage, soit-dit en passant! »

Rick leva en affolement le regard vers le barman, et il faillit tomber à la renverse en reconnaissant le barman qui lui était apparu alors qu’il était « mort », au sommet de la Statue de la Liberté. Ses traits minces et s’étiraient en sourire amusé qui n’avait rien pour plaire au Bostonien.

« Comment… vous… »

Rick tourna vivement la tête, et remarqua qu’il était seul dans le club. Plus personne, sauf lui et le barman anonyme.

« Vous…vous n’existez pas vraiment… Ce n’est qu’un rêve, sans l’ombre d’un doute »

« Pitié, qu’est ce qui te fait dire ça? Le fait qu’il y a trente secondes, tu étais entouré de créatures enchanteresses se trémoussant sur le plancher de danse telles les déesses grecques de l’Antiquité, et que maintenant, nous ne sommes que deux? Perspicace, mon Ricky, perspicace! Tient, voilà ton whiskey! »

Le barman glissa un verre à moitié empli du fameux whiskey vers un Rick ébahis.

« Qui es-tu? Tu as un pouvoir? »

« Qui je suis? Tu peux m’appeler… Jack! Ça me semble de circonstance, non? Et crois moi, tu devrais peut-être commencer à comprendre que je semble t’apparaître seulement dans ta tête. Peut-être que « moi et toi » devrait plutôt se transformer en « nous », qu’en dis-tu? Si tu veux en savoir plus, passe faire un tour au Centre des Loisirs de la ville. Il y aura une femme à l’entrée. Demande lui dont quel évènement important prendra place au Centre au courant de la journée. Ça pourrait t’aider à n’en apprendre plus. D’ici là, au revoir, mon chou. En passant, ton regard de jade te trahi, t’es le seul à avoir de tels yeux! »

Rick plongea son regard dans celui du barman et fut surpris d’y voir exactement la même de teinte de vert marquant autant ses propres yeux que l’iris de Jack. Ce dernier fit un clin d’œil au virus ambulant, et Rick se réveilla brutalement, toujours couché dans son lit. Décidemment, il était peut-être devenu un peu trop populaire suite à son message sur la Statue…

***

La tête emplie de questions, Rick marchait nerveusement sur le trottoir, parmi les masses civiles de Miami. Direction : le Centre des Loisirs, un endroit où ce tenait de nombreuses activités culturelles ou artistiques, bref, un établissement fort intéressant, que Rick n’avait toujours pas visité encore. Ça lui prenait une conversation psychologique avec un barman étrange pour enfin s’y aventurer. Lorsqu’il arriva enfin à destination, il ne fut qu’à moitié surpris de voir une femme, seule, adossée au mur juste à coté de la porte, fixant un son téléphone cellulaire. Elle devait lire un message texte ou un truc du genre. Soupirant, Rick s’alluma une cigarette et ajusta le col de son manteau de cuir avant de s’approcher de la demoiselle. D’une façon des plus naturelles possibles, il l’aborda avec un léger toussotement poli.

« Pardonnez moi mademoiselle, mais, pouvez-vous me dire quel évènement prendra place plus tard dans le Centre? »

Si Rick Baneson s’était un tant soit peu intéressé au monde de la mode, il aurait aisément reconnu la très talentueuse Amy LeBrassor, et aurait probablement sut que cette dernière tiendrait un défilé cette journée même dans le Centre des Loisirs de Miami. Décidément, peu importe qui était ce Jack, il venait de créer une situation parfaite…
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Amy LeBrassor

Amy LeBrassor


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MessageSujet: Re: Perfect Situation [Miami] (PV Amy LeBrassor)   Perfect Situation [Miami] (PV Amy LeBrassor) I_icon_minitimeVen 1 Avr - 11:41

[HS : Non, ce n'est pas un poisson d'avril ! J'ai vraiment (enfin) répondu Very Happy ]

L'avion atterrit enfin à Miami. C'est pas trop tôt. Je n'avais jamais remarqué que le voyage entre Los Angeles et Miami était si long. Enfin, ca vient sûrement du fait que c'est la première fois que je fais ce trajet en avion. Si ce n'était pas pour la semaine de la mode de Miami, je ne serais sûrement jamais venue. On m'avait offert l'occasion de présenter mes créations lors d'un défilé-concours qui récompenserait le meilleur nouveau talent de l'année, alors je n'allais pas m'en priver. Bien sûr, présenté comme ca, c'est super génial ! Mais est-ce que vous pensez une seule seconde à tout le boulot en amont que j'ai dut et vais encore devoir faire ? Ça fait déjà trois semaine que je ne bosse plus que sur ca et je n'en serais pas sortie avant la fin de cette semaine de la mode où je pourrais peut être enfin souffler un peu avant de reprendre le boulot à la boutique. Oh, bien sûr, je ne suis pas restée enfermée toute seule dans mon atelier pendant trois semaines...j'avais la télévision. Il y avait encore un groupe de cinglés qui voulaient la ''liberté'' pour les gens nés avec des talents particuliers
Beau petit discours, c'est sûr. Belle harangue. Des gens seront sans aucun doute assez stupides pour croire ces Sons of Liberty et les suivre dans leur quête folle de liberté et de suprématie des spéciaux. Personnellement, ca a autant d'importance à mes yeux que le résultat du dernier match de l'équipe de cricket de Ashland. A vrai dire, je ne sais même pas si la ville d'Ashland a une équipe de cricket. En bref : je m'en tamponne l'oreille avec une babouche. Ça ne changera pas ma vie et j'ai plus important à m'occuper pour l'instant. Ça se trouve, il ne vont jamais rien faire et en rester au stade des belles paroles.
L'aéroport est bondé. Vu que nous ne sommes qu'au printemps, j'imagine combien ca doit être impossible de se frayer un chemin d'un point A à un point B durant le grande saison. Alors, finalement je ne vais pas m'en plaindre. Je vais juste me plaindre de ces fichus gosses braillards qui me brisent les tympans. Leur mère devrait leur mettre une muselière à ceux-là ! Et une laisse aussi, pour qu'ils arrêtent de bousculer les gens en voulant jouer au loup. Les gosses de nos jours ne savent plus se tenir en public. C'est consternant. Comment peut-on en arriver là ? Une fois certaine qu'ils sont loin de moi, je sort mon portable de mon sac et le rallume. 4 appels manqués. Tous de mon assistante. Elle sait pourtant bien que j'étais dans l'avion ! Je la rappellerais une fois à l'hôtel et y a intérêt à ce que ce soit important. En parlant d'hôtel, j'espère au moins qu'il ne sera pas trop miteux. Il manquerait plus que ca. J'aperçois enfin la sortie. C'est pas trop tôt. En poussant la porte, je me dis que j'ai dut me tromper de ville. J'ai pas dut atterrir à Miami, il fait même pas 15°C ! Y a intérêt à ce que ca se réchauffe dans la journée sinon, bonjour l'arnaque.
Je monte dans le premier taxi que je trouve, le chauffeur rangeant mes bagages dans le coffre avant de s'installer au volant. Je lui indique l'adresse de l'hôtel. Il tente de faire la conversation. Je ne peux pas lui en vouloir, il a une bonne tête et devait sans doute déjà faire ce métier alors que je n'était pas plus haute que trois pommes. Une fois arrivés, il m'ouvre la portière en vrai gentleman et propose même de porter mes bagages jusqu'à ma chambre. Il est bien gentil ce vieux chauffeur, mais je préfère de loin m'en occuper moi-même. Faut qu'il ménage son dos le pauvre bonhomme. Et puis, il a sûrement mieux à faire ailleurs.
Finalement, l'hôtel n'a pas l'air trop miteux. J'irai même jusqu'à dire qu'il a de la classe d'un certain côté. La chambre, ou plutôt la suite, est décorée dans un style très moderne que j'apprécie énormément. Une corbeille de fruits et des petits chocolats m'attend sur le lit. Charmante petite attention de leur part. Je range soigneusement mes bagages en séparant mes affaires personnelles de celles destinées au défile que j'ai put amener avec moi. Je dois avouer être plutôt fière de mes dernières créations et j'espère que le jury les aimera suffisamment pour me permettre de gagner. Je ne croiserai pas les doigts, ca ne sert à rien, tout peut encore arriver. Mon portable sonne. Tiens, je ne l'avais même pas entendu dans le taxi. C'est encore mon assistante. Elle a reçu un coup de fil de la société de camionnette que j'ai embauchée pour amener ce qu'il me faut pour le défilé disant que le véhicule arriverait avec du retard à cause d'une déviation du côté de La Nouvelle Orléans due à une manifestation de personnes pro-Sons. Décidément, ceux là n'apportent que des problèmes. Comment je vais pouvoir faire toutes les retouches en à peine 3 heures moi ? Zen, il faut rester zen. Je peux le faire. Mon pouvoir est revenu alors il ne devrait pas y avoir trop de problèmes, non ? Cette fois-ci je croise les doigts. Tout peut se jouer à quelques minutes de plus ou de moins à partir de maintenant. Je vais dormir quelques heures, si j'y arrive. Peut être que ca me calmera.

~°~

La chance n'est pas avec moi on dirait. Personne n'a eu de nouvelles du camion, même pas le patron de la boîte. Je sens que la matinée à attendre va être longue alors autant effectuer les dernières retouches sur les tenues que j'ai déjà ici pour éviter de me mettre martel en tête. Mes doigts glissent sur le tissu et s'arrêtent sur un os. Une couture a été mal terminée. Gardant le doigt dessus, je sort ma boîte à couture et m'empare d'une aiguille. Ce n'est que lorsque je me penche à nouveau pour corriger le tir que j'aperçois la couture déjà défaite. Je regarde l'aiguille dans ma main. Je suis sûre et certaine de n'avoir rien fait pourtant. Haussant les épaules, je me dit que c'est tant mieux, repose l'aiguille et appose mon doigt le long de la couture. Alors que je glisse mon doigt jusqu'à la fin de la couture, j'admire la couture que se reforme exactement comme elle aurait dut être par elle-même sous ma volonté. J'ai toujours trouvé ce pouvoir bien pratique par rapport à mon métier. Ça me permet d'économiser du temps et de l'argent. Je met cette robe de côté et finit les autres. Une fois rangées et prêtes au départ vers le Centre des Loisirs de Miami, je vérifie à nouveau mon portable. Toujours pas de nouvelles. Fait chier.
Plus de temps à perdre, je prend mes affaires et sort de l'hôtel où une voiture avec chauffeur m'attend. Le paysage est idyllique et pourtant loin de me faire rêver. Peut être que dans d'autres circonstances et si j'avais eu le temps, j'aurais put prendre plaisir à aller me balader sur la plage et nager un peu. Sauf si il y a trop de monde, ca, je déteste. C'est trop demander une petite plage naturelle où on peut se poser tranquillement sans être à 50 cm de son voisin de serviette ? Les palmiers entre les buildings sont censés apporter une touche estivale je crois. Ça marche peut être sur les touristes mais pour moi, ce ne sont que des arbres et rien d'autre. Ah, on est arrivés à destination. Le chauffeur porte mes affaires jusqu'à l'intérieur que je découvre là où l'agitation règnera d'ici à quelques heures. Une fois tout mis en place, je sors prendre l'air et getter l'arrivée du camion. En tout cas, j'ai eu raison d'espérer pour le soleil, maintenant, on se croirait vraiment à Miami. J'essaye d'en profiter un peu quelques minutes avant de recevoir un message de mon assistante me disant qu'elle vient d'avoir des nouvelles du camion qui vient d'arriver à Miami. Je n'osais plus espérer, il va être dans les temps ! J'ai à peine le temps de me réjouir intérieurement de la nouvelle qu'un toussotement se fait entendre. Tiens, quelqu'un. Je ne l'avais même pas vu.


« Pardonnez moi mademoiselle, mais, pouvez-vous me dire quel évènement prendra place plus tard dans le Centre? »

Je termine mon sms et détaille mon interlocuteur de la tête aux pieds. Un homme plutôt beau gosse il faut dire. Surement un de ces tombeurs de dames qui passent leurs nuits à chasser de nouvelles proies. Et fumeur pour rajouter au tableau. Je n'ai jamais supporté l'odeur de la fumée de cigarette, elle m'horripile et me pique la gorge.

« Vous venez d'arriver en ville, c'est ca ? »

J'envoie le message, range mon portable et daigne enfin regarder l'homme dans les yeux, qu'il a d'une couleur jade magnifique. Ça me fait penser aux boucles d'oreilles que ma tante Emily m'avait offertes pour Noël, il y a deux ans. Ils ont exactement la même couleur.

« La semaine de la mode de Miami commence cet après-midi. Toute la ville en parle depuis des semaines ! Mais tout homme que vous êtes, vous ne devez pas vous intéresser de très près au monde de la mode de toute façon. »
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