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 Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]

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Zachary White
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Zachary White


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MessageSujet: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeJeu 12 Aoû - 4:47

Après avoir découvert une vérité, qui m'était cachée depuis mon tout jeune âge, j'ai établie ma demeure à New-York. Je me suis isolé de tous ceux que je connaissais, je n'était plus le Zachary White d'il y a quelques temps. Savoir que je pouvais voyager à travers l'espace temps d'une pièce, ça je l'avais digéré. Mon grand-père avait un don d'ouverture électronique par pensée et ma mère pouvait créée une sorte de bouclier, ce bouclier n'avait pourtant pas été très efficace, elle fût tuée un peut avant mon exile de L.A. et mon grand-père, il s'est éclipsé aussitôt que j'ai quitté sa demeure.

J'habite maintenant un appartement miteux dans un coin reculé de New-York, un coin que je ne connaissais même pas moi-même. Sombre et miteux, parsemé de journal volant au moindre coup de vent, de vagabond qui traîne chapeaux à la main demandant une aide qui ne viendra jamais des gens du coin.

Mon appartement, 344 Rue Wash, 4ième étage. J'y étais depuis quelques temps, je n'était plus un flic de L.A. En fait ils me cherchent depuis le jour de mon départ. Ils me croient tous mort. J'ai même passé à la télé!

Après quelques mois de recherche, je n'ai toujours pas trouvé ce Docteur Suresh. La compagnie d'édition de son livre, ne veut pas dévoiler aucune information en ce qui concerne le Docteur Suresh. Aucune adresse et aucun téléphone... Donc, j'ai laissé tombé pour l'instant. Je m'habituais à mon pouvoir, quelques fois je me retrouvais dans mon salon, mais toutes la décoration avaient changée et des jouets parsemaient le sol. Quelques fois c'était dans la salle à manger et même dans les toilettes...

C'était une après-midi pluvieux, j'adorais ce temps. Tout était gris et calme à l'extérieur, seul le son de la pluie qui frappait les fenêtres était audible, sauf les quelques sirènes qui se déclenchaient ici et là. Cette après-midi, je décidai de prendre le livre du Dr. Suresh pour le feuilleter quand tout d'un coup, j'étais partis en transe avec le livre. Je revenais dans le passé de celui-ci. Tout défilais à une vitesse inconstante, je voyais des tonnes de gens, des tonnes d'endroits et enfin tous s'arrêta. Je voyais le livre, en fait j'étais le livre, j'étais sur un bureau et je ne voyais que la porte d'entré d'un bureau. Jusqu'à ce qu'on mon grand-père entra dans le bureau, il était bien plus jeune bien évidement, j'étais revenu dans le passé du fameux livre. Après être entré avec un autre homme, un homme que je n'arrivais pas à voir. Peut-être que c'était le Dr. Suresh? L'homme en question prit le livre dans ces mains et le donna à mon grand-père. Qui était-ce.

Plus rien, j'étais revenu dans mon sofa, devant ma télé qui était ouverte et qui repassait toujours la même publicité. Je décidai de sortir prendre l'air sous cette pluie. Je déposai le livre en prenant ma veste et ma casquette et descendît les escaliers en trombe!

Qui pouvait être cette homme? Cette question était dans ma tête tous le long de la ruelle que j'avais traversée en un rien de temps. J'entrai dans un petit dépanneur, il n'était pas très loin de chez moi et je m'y rendais toujours pour aller chercher mes cigarettes et quelques petits trucs. J'étais dans la rangée du fond, pinte de lait à la main et un pain dans l'autre.


"Salut Shing! Comment se passe la journée aujourd'hui?"

Il me regardait avec son air blasé habituel et leva les épaules. Je savais que je devais être son premier client de la journée je déposa un vingt dollars malgré que cela ne me coutait seulement que 6 dollars et quatre vingt cinq sous.

"Allez à plus tard Shing!"


Je quittai et m'en retournai chez moi, avec en tête la même question, la même scène où le visage de l'inconnu n'était pas visible. Je continuai de marcher regardant le sol et en aillant l'air perdu dans mes pensées.


Dernière édition par Zachary White le Mar 12 Oct - 5:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 11:49

Vitolio bailla, quel ennui aujourd’hui…Cela faisait maintenant plus d’une semaine que l’incident avec léonard et cette fille qu’il appelait « livie » s’était produit, et visiblement le jeune garçon n’avait aucune envie de revoir ce léonard, c’était vraiment un diable au corps, peut-être que son pouvoir lui dictait sa conduite mais ce n’était pas une raison valable pour tenter de forcer la main au jaune Hampton pour qu’il fasse ses 4 volontés. Sa chaise grinça un moment et le jeune posa une main sur le haut de son ordinateur allumé avant de le refermer dans un petit « clap » léger. Faisant tourner sa chaise sur elle-même le télékinésiste en herbe regarda par la seule et unique fenêtre de sa chambre, des gouttes frappaient avec insistance à sa fenêtre, il pleuvait dehors. Les yeux perdus dans le vide l’adolescent leva une main devant ses yeux il la regarda un court instant. Relevant les yeux il observa sa fenêtre, les volets n’étaient pas fermés. Pointant un doigt complètement distendu en direction de ses volets il expédia une pulsion psychique et dans un grand « Bam » ses volets se fermèrent avec force. Sursautant de se propre force le jeune garçon se leva, ouvrit la fenêtre et entrouvrit légèrement les volets, un bout de pvc blanc glissa du bord inférieur droit et tomba au sol dans un bruit mou. Il avait visiblement mit trop de pression et avait fermer ses volets trop fort, regardant ce qui les retenaient quand ils étaient ouverts il s’aperçut qu’un des 2 était manquant, regardant au sol il s’aperçut que le fameux bout en question était au sol, un énorme bout de mur était encore accrocher. Vérifiant que personne ne le regardait il leva la main et attira le crochet jusqu’à lui. Attrapant le bout de métal il l’observa un moment.

Lorsqu’il était rentré de sa soirée avec léonard le jeune homme s’était rendu compte qu’il ne connaissait absolument rien de son pouvoir ni de ses dons, il avait été capable de repousser des attaques mentales de léonard dirigé contre-lui, et il avait aussi été capable d’user de ses pouvoirs de télékinésie a moult reprise. Il avait pris une grande décision, cette semaine il s’entrainerait pour pouvoir mieux contrôler ses dons. Et effectivement toute cette semaine il s’était entrainé et avait forcé ses capacités pour pouvoir les utiliser au mieux, résultat cette semaine avait été très productrice et il pensait avoir fait le tour complet de ce qu’il pouvait faire. Il était maintenant capable de faire tout ce qu’on pouvait réaliser avec un tel don, mais seul le terrain apportait de réels entrainements car les situations exigeaient souvent plus que de simples capacités basiques. Pourtant malgré son dur entrainement vitolio n’avait jamais été capable de refaire ce qu’il avait fait avec léonard, jamais il n’avait pu réussir à reproduire cette barrière mentale qu’il avait utiliser pour se protéger, sans doute que la situation exceptionnelle avait créée un pouvoir exceptionnelle. Pourtant depuis hier le jeune garçon se posait plusieurs questions sur ce qu’il pouvait faire. Malgré le fait qu’il se soit entrainé durement pour maitriser son pouvoir vitolio n’avait compris quelque chose que hier, en effet la veille il s’était entrainé à soulever plusieurs choses dans une pièce, créée une sorte de « champ de gravitation télékinésique » en quelque sorte et il s’était vite rendu compte qu’il pouvait tout soulever avec suffisamment de concentration, tout y compris lui.

Au bout de quelques secondes de concentration tout les objets volaient dans sa chambre, et lui flottait de 10cm au dessus du sol. Aujourd’hui il voulait tenter cette expérience mais seulement pour lui, cette chose se révélait assez ardue car pour user de son don il fallait se concentrer sur la chose en question, mais se concentrer sur soi était plus difficile. Posant le bout de ferraille sur son étagère le jeune Hampton repoussa sa chaise pour qu’elle se colle bien à son bureau. Il se plaça ensuite au milieu de la pièce, paume vers-lui, doigts légèrement écartés. Il se concentra ensuite sur sa personne en entier, il fallait qu’il y arrive. Quelques secondes s’écoulèrent ainsi, le silence étant seulement entrecoupés par le bruit de la pluie qui tambourinait à sa fenêtre. Quelques secondes pendant lesquelles sil ne se passa rien, absolument rien, malgré toute sa concentration le jeune homme n’arrivait pas à se visualiser en train de flotter, il ferma les yeux et réessaya. Soudain un léger tremblement assaillit le corps de vitolio, celui-ci ouvrit lentement ses paupières et regarda en dessous de lui, il flottait ! Il flottait ! Il flottait de 10 centimètre mais il lévitait bel et bien ! Soudain on tambourina à sa porte, comme il était très peu concentré son mental se brisa, il retomba au sol sur ses talons et glissa en arrière. Accrochant au passage sa couette il l’arracha complètement et retomba la tête la première sur le bas de son étagère, ce qui eu pour effet de la faire trembler sur ses gond set de lui faire tomber une masse d’objet sur le haut du crane, crayon, gomme, balle, briquet.


Vitolio ? C’est quoi ce vacarme ?Qu’est-ce que tu fais dans ta chambre ?

Sa grand-mère fit irruption dans la chambre et parla d’un ton légèrement colérique

Oh vitolio qu’est-ce que tu as encore fait ?! Ta chambre qui est déjà un vrai foutoir le devient encore plus, tu me rangeras ça en revenant tout à l’heure !

Oui, oui, j’avançais et puis euh…Je me suis pris les pieds dans la couette avant de tomber, c’est bête hein ? En revenant tout à l’heure ? Je vais où ?

Eh bien j’ai besoin de lait et d’eau et il faut que tu ailles à la boutique m’en chercher, ton frère est sortie et je dois soigner ton grand-père qui est malade

Vitolio souffla un grand coup, lui qui était un grand fainéant il se demandait si sa grand-mère ne l’envoyait pas chercher sa juste pour qu’il devienne énergique, quelle perte de temps…

Bon bon…J’y vais…Mais il pleut dehors…

Elle afficha un sourire ravie avant de tourner sur ses talons et de repartir de la chambre. Vitolio poussa un long soupir avant de repousser sa couette, que la vie était chiante…Se saisissant de son anorak vitolio claqua sa porte et descendit nonchalamment, les mains dans les poches. Il arriva dans la cuisine et prit l’argent des courses pour les mettre dans sa poche, il ouvrit la porte et regarda, dehors en soupirant, pourquoi pleuvait-il ? Enfilant sa capuche il ferma la porte et ouvrit son portillon avant de sortir dans la rue. Il prit alors la direction de l’épicerie du quartier, encore heureux elle n’était pas loin. Quelques minutes s’écoulèrent avant qu’il n’arrive dans l’épicerie. Un « ding » prévint la gérante qu’il entrait, un regard noir prévint vitolio que la caissière était toujours aussi aimable, quelle vieille femme aigre…Il se saisit rapidement de ses courses et les posa devant la caissière, elle le regarda de haut en bas, sans doute ne devait-elle jamais avoir vu un adolescent qui ne volait pas. Elle encaissa le tout et réclama l’argent sur un ton sec. Vitoli le lui tendit et elle rendit la monnaie, il sorti prestement, la boit de lait dans une main. Enfilant de nouveau sa capuche le jeune homme se prit à songer. Il marchait sur la rue tranquillement, le cerveau perdu dans ses pensées. Soudain « BOUM » il se retrouva projeter au sol, sous le choc la bouteille de lait lui glissa des mains et atterrit, goulot ouvert, dans le caniveau. Tout le lait se répandit avec une vitesse incroyable dans les égouts. La bouteille d’eau quand à elle se retrouvait écraser sous son propre poids et tout l’eau s’écoulait par terre. Se levant le jeune homme se massa les fesse avant de regarder l’illustre inconnu au sol. Il regarda ensuite le massacre du lait et de l’eau au sol avant de répondre à cet inconnu visiblement aveugle

EYH ! Mais tu vas faire un peu attention ? Mes courses sont foutus, j’ai plus qu’à aller en chercher d’autres, et j’ai pas assez d’argent, bien jouer !

Vitolio n’était pas réellement en colère, il s’en foutait même royalement du lait et de l’eau, le seul truc qui l’embêtait c’était de rester la, les pieds dans l’eau et de devoir refaire un tour à l’épicerie de cette vieille bique pour racheter les mêmes produits. Regardant l’autre au sol il enfila les mains dans ses poches et soupira, vraiment la journée commençait mal…
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeMer 18 Aoû - 14:55

Je revenais pinte de lait à la main et le pain dans l'autre. Je regardais le sol en essayant de m'enlever toutes ses pensées qui hantaient ma tête. Je voulais à tous prix savoir qui était cette homme avec mon grand-père, pourquoi lui avoir donné se livre et que pouvait bien contenir se livre. Je me rendis compte que je ne l'avais jamais feuilleter au complet.

BANG!!!


"HEY!! Mais tu vas faire un peu attention ? Mes courses sont foutus, j’ai plus qu’à aller en chercher d’autres, et j’ai pas assez d’argent, bien jouer !"


J'étais tellement perdu dans mes pensées que je ne regardais plus où j'allais et je venais de foncer dans quelqu'un!

"Je suis vraiment désolé! Je... je suis vraiment un con, je ne regardais pas où j'allais, il n'y a jamais personne qui passe dans cette ruelle d'habitude! Je vais tout te rembourser ne t'inquiète pas."

Je pris le pain dans mon autre, question de rendre ma main libre afin de prendre mon portefeuille dans ma poche arrière droite. Je sortis un vingt dollars que je lui tendis. Portefeuille dans la bouche et le bras tendu vers lui, lui faisant signe avec mes yeux de prendre le vingt dollars. Maintenant surchargé, tous décida de tomber. Le portefeuille glissa de ma bouche et tomba par terre, le pain glissa et en voulant le rattraper, le lait tomba pour le suivre par terre.


"Ah merde! Mon portefeuille et tous trempé et mes courses...aaahhh!"

Je lâcha un soupire long et décourageant. Accroupi au sol portefeuille trempé je leva mon regard et regarda l'inconnu que je venais tous juste de bousculer.

"Au fait, je m'appelle Zachary, mais tu peux m'appeler Zack. Ça te dirait qu'on retourne rechercher nos trucs au magasin, les miens aussi sont foutu!?"


Je lui retendis le vingt dollars qu'il tardait de prendre et le regardais sans trop insister.
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeJeu 19 Aoû - 23:01

[HRPG] :[Désoler je me suis permis de décrire ton tatouage sur le poignet j’espère que ça ne te dérange pas ? Mais je n’ai pas trouvé de description dans ton histoire alors j’ai brodé…^^ si tu veux mon inspiration de ton tatouage elle est la c’est un symbole de naruto ( si tu connais )=]

Je suis vraiment désolé! Je... je suis vraiment un con, je ne regardais pas où j'allais, il n'y a jamais personne qui passe dans cette ruelle d'habitude! Je vais tout te rembourser ne t'inquiète pas

Ce type était donc tout simplement stupide, pfiou vraiment pas de chance pour le jeune Hampton d’être tombé sur un tel crétin. Soupirant bruyamment il souffla. Une légère goutte d’eau innocente tomba du ciel et coula directement dans son dos, se redressant légèrement sous la froideur de l’eau vitolio sentit un frisson le parcourir. Levant légèrement ses yeux le jeune garçon s’aperçut que son vis-à-vis avait, lui-aussi, les bras chargés de produits divers. Une brique de lait et du pain, petite course pour célibataire sans histoire, il n’avait pas d’alliance et son air négligé lui indiquait clairement qu’il n’était pas en amour. Enfilant mes mains dans mes poches je le regardais trifouiller son bazar dans ses mains d’un air très malhabile. Soudain par miracle le jeune célibataire stoppa ses mouvements et réussit à enfiler sa main dans la poche arrière de son pantalon pour en retirer un vieux bout de cuir marron aux coins écornés, l’ouvrant, toujours aussi « adroitement » il fourra ses doigts à l’intérieur et me tendit ce qui ressemblait à un 20 dollars, il s’excusait d’avoir fait tomber mes courses ? Je relevais les yeux de ses mains et observait son regard. On aurait dit un petit chien qui vient s’excuser d’avoir fait ses petits besoins sur le tapis du salon. Rebaissant le regard j’observais attentivement le bord de sa manche. Quelque chose avait capté mon attention, alors qu’il me tendait le billet tout le bas du poignet était resté à l’air libre, ce qui dessinait les contours du haut d’un tatouage.

Un symbole plutôt étrange au demeurant. Le haut de la manche dévoila donc les abords ronds du haut du tatouage. Une pointe fine se dessinait et coulait vers le coude dans un glissement gracieux. Quelques 2 centimètre plus bas le bas de la pointe se terminait en une boucle spiralée qui se refermait sur elle-même sans trop aller profondément. Ce qui se dessinait comme une seconde pointe à droite de la boucle et qui glissait, elle-aussi, jusqu’au coude mais le bord de la manche de son blouson cachait le reste du tatouage. Symbole très étrange, il semblait bien au jeune adolescent qu’il l’avait déjà aperçu quelque part, mais où ? Il en était maintenant sûr, ce symbole lui était familier, mais pourquoi ? Dommage que son don ne soit pas de parcourir son cerveau et de trifouiller dans ses souvenirs. Mais le jeune héros n’eût pas le loisir d’étudier plus en profondeur ce tatouage car un mouvement saccadé du bras rebaissa la manche pour totalement le cacher, ne laissant dépasser que l première pointe. Se déconcentrant juste à temps le jeune télékinésiste parvint à éviter une miche de pain qui fonçait directement sur ses chaussures, s’écrasant au sol le pain fut suivi de très près par une bouteille de lait qui alla se caler juste à côté de celle de vitolio, dans le caniveau. Le portefeuille, quand à lui, venait de glisser de son perchoir pour tomber, grand ouvert, dans une flaque d’eau. Grand porte-poisse que ce type visiblement…


Ah merde! Mon portefeuille et tous trempé et mes courses...aaahhh!

Mister boulet avait encore frappé semble-t-il. Soufflant de nouveau vitolio sentit une autre goutte lui tomber dans le cou. Avec tout ça il en avait presque oublié qu’il pleuvait. Observant l’emballage du pain au sol vitolio se dit que les rats en profiteraient sûrement plus que l’autre en face de lui dans l’état dans lequel il se trouvait maintenant. L’autre lâcha un très long soupir de découragement tout en regardant ses courses étalés au sol, ce n’était pas en les regardant que par miracle elles redeviendraient belles et propres pour qu’ils puissent à nouveau les manger. Il se pencha et attrapa son portefeuille par le coin qui semblait un tantinet sec avant de le secouer légèrement pour en vider l’eau. L’observant « sécher » sous la pluie torrentielle qui tombait du ciel l’inconnu regarda vitolio et ouvrit sa bouche

Au fait, je m'appelle Zachary, mais tu peux m'appeler Zack. Ça te dirait qu'on retourne rechercher nos trucs au magasin, les miens aussi sont foutu!?

Il racontait vraiment sa vie à n’importe qui celui-la, vraiment quel boulet.S’il restait avec-lui les ennuis allaient être de la partis, et de plus se taper la discussion avec un autre c’était d’un ennui mortelle, mais bon il avait massacrer ses courses et les siennes stupidement et il fallait bien en racheter sinon sa grand-mère allait encore lui râler dans les oreilles. Soupirant bruyamment vitolio tendit une main nonchalante et répondit d’un ton chargé d’ennui, ce que la vie était chiante…

Salut Zack, moi c’est vitolio. Et tu peux m’appeler vitolio. Ouais je vois qu’on est tout les deux aussi idiots l’un que l’autre, alors allons chercher des courses pour remplacer celles-ci

Souriant légèrement à sa phrase vitolio fit signe à son compagnon de passer devant. Il se saisit du billet qu’il lui tendait, l’enfourna dans sa poche et emboîta le pas à cet inconnu, prénommé « Zack ». Cet étrange symbole sur sa main l’obsédait, mais que lui rappelait-il donc de si étrange pour qu’il ne s’en souvienne pas ? Levant les yeux vitolio vit que le bonhomme autorisant l’accès aux piétons venait de passer au vert. Suivant toujours l’homme devant-lui il tenta de repartir dans ses pensées mais un grand fracas lui fit rapidement tourner la tête. Un immense camion de légume fonçait à toute vitesse sur le passage piéton, visiblement il ne semblait pas pouvoir s’arrêter, et la pluie n’augmentait pas son adhérassions au sol et donc réduisait la marge de manœuvre pour esquiver vitolio, zack et les autres gens sur le passage piéton. Se tournant vers les gens devant-lui vitolio retira les mains de ses poches et hurla par-dessus les trombes d’eau de pluie qui déferlaient du ciel.

Poussez-vous ! ATTENTION ! Attention au camion ! Poussez-vous!

Les gens ne comprirent pas de suite, mais ils s’arrêtèrent quand ils virent le camion, seul 2 eurent le réflexe de sauter sur les trottoirs avoisinants, mais les autres restèrent clouer sur place, pétrifié de peur. Fixant « Zack », qui se trouvait maintenant à une certaine distance, il ne pût voir sa réaction, la pluie créant une espèce de brouillard d’eau très enveloppant, l’avait-il entendu ? Vitolio souffla, mais pourquoi ces choses ne lui arrivaient-elles toujours qu’à lui ? La vie le saoulait vraiment, il était vraiment forcé de les sauver ? Une petite voix en lui lui intima l’ordre de les sauver, c’était vraiment très chiant de devoir le faire…Se tournant vers le camion d’un air neutre vitolio regarda le conducteur qui ne se trouvait plus qu’à une trentaine de mètre. Le regard nonchalant de vitolio, un regard que rien ne semble pouvoir effrayer. Même si la mort elle-même se dressait devant-lui il ne changerait pas son regard blasé et chargé d’une lassitude sans nom, ce regard lui était propre, un regard chargé d’ennui, de lassitude et de fainéantise, en somme un regard « vitolioesque ». C’est avec ce même regard qu’il fixa le camion, bougeant à peine le bras il dirigea la paume de sa main droite en direction du sol, et tendit les doigts d’un seul coup. Une puissante pulsion psychique partit du bout de ses ongles et balaya tout le monde autour de lui, les expédiant avec force sur le trottoir. Il était maintenant seul face au camion, il ne fallait tout d’abord pas de blesser.

Rebaissant sa main il tendit l’index de la main gauche et sans bouger le bras il réussit à faire tourner le volant du camion. Celui-ci changea subitement de trajectoire et atterrit avec une force incroyable dans un lampadaire sur sa droite, le défonçant avec force et écrasant le radiateur au passage le camion termina sa course dans la vitrine d’une boucherie, faisant gicler le sang des pièces en devantures sur tout l’avant du pare-choc. Un beau carnage, mais ça devrait passer car les animaux dans la vitrine étaient déjà morts. Enfilant de nouveau ses mains dans ses poches il regarda le camion, peut-être n’avait-il pas réellement assuré sur ce coup, il aurait peut-être dû stopper le camion directement…Oui mais s’il l’avait fait cela aurait réellement paru étrange, alors que la ça pouvait passer pour un simple accident, un camion qui perd le contrôle et manque d’écraser des piétons, intimider ils sautent tous sur le plus proche trottoir et l’engin fonce dans la vitrine sans tuer personne. Banalité dans une ville aussi grand que New-York. Cherchant du regard son compagnon il aperçut bien vite une forme qui lui semblait familière au sol. Il s’approcha et le reconnu, il l’aida à s’adosser le long d’un mur avant de le relever et de l’épousseter un peu, toujours sous cette même pluie battante avant de lui parler.


Eh ben sacrée peur hein zack ? Foutu camionneur même pas capable de diriger correctement leur bahut ! Ça va vous ? Rien de casser ? Heureusement que vous et les autres avez eu cette idée de sauter sur le trottoir au bon moment, sans cela vous seriez…Enfin bon..
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeMar 24 Aoû - 3:22

J'étais encore entrain de constater les dégâts, mon lait coulait partout dans les flaques d'eau déjà existante et mon pain s'était ouvert pour laisser celui-ci tremper dans cette eau blanchâtre...

Je m'étais présenté dans l'ordre normal des évènements et il décida lui aussi de me dire son nom.


"Salut Zack, moi c’est Vitolio. Et tu peux m’appeler Vitolio. Ouais je vois qu’on est tout les deux aussi idiots l’un que l’autre, alors allons chercher des courses pour remplacer celles-ci."

Il prit enfin le vingt dollars que je lui tendais depuis maintenant cinq minutes et je me leva sans parler, sans rien dire car je ne savais pas trop quoi dire, donc je préférais ne rien dire. La pluie ne semblait pas vouloir s'estomper, même qu'elle semblait vouloir augmenter la cadence. Le chemin c'était fait dans un calme plat jusqu'au passage pour piétons le plus près de l'épicerie, un petite lumière verte en forme de piétons s'alluma. C'est à cette instant que je m'étais détaché de mon corps...

Tous se passa tellement vite, un camion de légume fonça à toute vitesse vers... moi et d'autres piétons. Vitolio était resté à l'arrière et il remarqua le danger roulant à pleine vitesse vers mon autres moi. Je voyais tous ce qui se passait. Je n'avais jamais fait cela auparavant. Je voyais en direct se qui se passait, mais je ne pouvais interagir.


"Poussez-vous ! ATTENTION ! Attention au camion ! Poussez-vous!"

Vitolio nous criait de nous tasser, mais dans cette pluie battante et le bruit du camion qui tentait de freiner nous empêchait de l'entendre. Je me suis mis à courir en direction de mon moi-même. Le camion se mit à dévier de sa trajectoire qui était nous les piétons et il finit sa course contre un lampadaire fortement amoché par ce coup. J'étais étendu au sol quelques mètre plus loin, j'avais l'air tellement apeuré. Je me suis mis à courir vers Vitolio qui était penché vers moi tous d'un coup je n'étais plus derrière lui, j'étais par terre devant lui.

"Qu'est-ce qui viens de ce passer? Je... j'étais..."

Je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Je pouvais voyager dans le temps d'une pièce, mais pas d'un endroit si gros... J'avais tellement froid, j'étais tous trempé.


"Eh ben sacrée peur, hein Zack ? Foutu camionneur même pas capable de diriger correctement leur bahut ! Ça va vous ? Rien de casser ? Heureusement que vous et les autres avez eu cette idée de sauter sur le trottoir au bon moment, sans cela vous seriez…Enfin bon..."

J'avais tous vu ce qui c'était passé, Vitolio et le camion qui dévia subitement de trajectoire. Je me leva et le regarda, étonné et stupéfait. Les autres se relevèrent sans trop de mal tous le monde était un peu hystérique, le camionneur sorta de son camion bon pour la casse et la police arriva sur place. Je m'approcha de Vitolio et...

"Merci! Merci d'avoir fait dévier ce camion sans cela je serais mort... nous serions mort..."
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeDim 29 Aoû - 22:52

[HRPG] :[RP de pur merde mais j’ai absolument pas d’inspi ^^".Désoler aussi pour l'attente]

Le jeune homme battit d’un œil, une goutte de pluie venait de tomber directement sur sa paupière. Foutu temps de chien. Tenant toujours son compagnon de fortune par l’épaule, de peur qu’il ne tombe en avant vitolio le regarda se remettre de ses émotions, sacré choc, un camion ne vous fonce pas dessus tout les jours, et il ne manque pas de vous tuer dans un fracas à chaque seconde. Semblant revenir quelque peu à lui l’homme releva un regard mi-apeuré, mi-étonné avant de tourner les yeux vers l’adolescent.

Qu'est-ce qui viens de ce passer? Je... j'étais...

Hum il valait mieux éviter de lui sortir avec un grand sourire gilleret « Oh rien, un camion à manquer de vous tuer, et en réalité j’avais la flemme de vous sauver, mais une petite voix ma dit d’utiliser ma télékinésie pour détourner ce camion…Ah vous imagines un peu ? Je serais mort hahaha ». Même si c’était la vérité les petites voix qui parlaient dans votre tête de cette façon étaient plus généralement le signe de quelqu’un qu’il faut interner que d’un sauveur-né flemmard et fainéant qui avait juste un désir : vivre librement. Regardant son vis-à-vis, toujours adosser au mur, vitolio lui adressa un léger sourire, marque de réconfort et d’empathie qu’on utilisait généralement dans ces situations. L’homme semblait vraiment revenir d’une très très lointaine destination, sans doute se croyait-il à Tahiti. L’autre posa ses mains sur son corps, était-il vivant ? Malheureusement la vie était encore la pour l’embêter encore un bon petit moment. Levant à nouveau son regard apeuré vers le jeune homme une sorte de déclic se produisit dans ses yeux, très mauvais signe.

Généralement quand les gens ont cette expression étrange c’est qu’ils ont découverts quelque chose de plutôt important, et si en plus c’est accompagné d’un silence lourd et pesant cela indique clairement que la chose découverte est justement sur cette personne. Un bruit de tôle qu’on défonce retenti par-dessus le bruit de pluie et les gens effrayés, tournant la tête le Hampton aperçut le camionneur, une grosse plaie sanguinolente sur le crâne, sortir de son bahut. Encore une fois la petite voix se fit ressentir « Si cette homme souffre il faut aller l’aider ». Maudite voix ! Ce n’était pas réellement qu’il n’était pas gentil ou qu’il n’avait pas le désir de sauver cet homme, c’est juste que…C’était chiant, réellement très chiant. Heureusement pour lui le camionneur semblait indemne, pas d’effort à fournir pour le sauver donc, ouf. Tournant de nouveau la tête il s’aperçut que Zachary remuait plus, il revenait à lui. Baissant les yeux je retirai mon bras de son épaule, mais dans un mouvement sec et rapide il agrippa mon coude et me regarda d’un air de gratitude extrême avant de prononcer ces mots


Merci! Merci d'avoir fait dévier ce camion sans cela je serais mort... nous serions mort...

Ne réagissant pas et continuant de garder son air ennuyé sur le visage vitolio dévisagea cet homme, fallait-il lui dire la vérité ? Au fond de lui-même le jeune homme semblait ressentir un lien entre eux, une sorte de connexion extra-sensorielle, même si ce lien lui semblait ridicule et minuscule il existait bien, mais quel était donc le lien de causalité de ce lien, si infime soit-il il existait bien. Peut-être que cela avait à voir avec le fameux tatouage ? Vraiment il avait beau se concentrer sur ça il n’arrivait toujours pas à savoir ce que ce symbole lui rappelait, mais qu’était-ce donc ? Levant le regard vitolio observa « Zach » et répondit le plus normalement du monde

Merci ? Ah tu es un drôle toi, si j’avais réellement le pouvoir de dévier les camions je ferais agent de circulation. Sérieusement tu crois vraiment que je suis capable de faire…ça ?!

Se tournant le jeune gomme sentit que le regard de l’homme suivait le sien. Il désigna d’un mouvement de tête le camion renversé et le camionneur avec le crâne maintenant couvert de sang, la vitrine défoncer et le lampadaire emboutie et complètement déformé par l’impacte du mastodonte de fer et de métal. Revenant à zack vitolio recommença à parler

Je crois que le seul qu’on peut remercier dans l’affaire c’est dieu…J’ai eu aussi pas mal de chance d’être sauver. Quand le camion a foncer sur le passage piéton j’ai juste eu le temps de crier attention et de me retrouver face au camion, mes jambes refusant catégoriquement de bouger. C’est un miracle, et je suis bien content de ne pas être mort dans cette cohue…

Souriant de nouveau légèrement vitolio passa son bras sous l’épaule de Zachary et l’aida à se relever, il l’avait peut-être poussé un peu fort sur le trottoir et peut-être s’était-il froisser un muscle ? Bah il en avait rien à foutre…Ils firent quelques mètre dans cette posture, histoire de bien s’adapter au rythme de marche, puis vitolio lâcha Zack, le laissant faire quelques pas. Et finalement ils reprirent la route de l’épicerie, malgré toutes ces émotions il fallait bien vivre et faire les courses gâchées dans le caniveau par cette rencontre inopinnée. Ils ne mirent pas longtemps à y arriver, la bique les accueillit toujours avec le même air froid et glacial, vieille pie dont la seule occupation était de fustiger du regard quiconque osait pénétrer dans son sanctuaire de magasin, eh patate comment tu va payer ton loyer si tu fais fuir les clients ? Se saisissant rapidement de sa bouteille d’eau et de son litre de lait le jeune homme fouilla sa poche et en sortit le billet que Zack lui avait filer, il l’écrasa sur le comptoir et la pie s’empressa de l’encaisser, plus rapide à prendre la monnaie qu’à la rendre cette vieille, elle déposa des centimes que le jeune homme enfourna dans sa poche rapidement. Prenant la direction de la sortie il emprunta la porte coulissante et attendit patiemment, ses produits par terre et les mains dans les poches, que son camarade sorte, il fixa la pluie en attendant. Quelques secondes s’écoulèrent puis son camarade sortit aussi, vitolio le regarda avec ses courses et parla

J’espère que vous ne les ferez pas tomber celles-ci, sinon pour se remettre de ces emotions on va prendre un petit café au bar juste là-bas ?

L’idée d’une sortie avec cet homme aussi boulet qu’étrange ne l’intéressait vraiment pas, mais son tatouage piquait sa curiosité en plein dans le cœur, et puis il avait un petit quelque chose de spécial…Comme une sorte d’aura étrange qui émanait de lui,…Mais que cachait-il donc ?C’était la question qu’il lui fallait élucider, aucun doute qu’avec un cerveau aussi brillant que le sien cela serait fait en quelques secondes. Seul défaut pour percer son secret il fallait en connaitre plus sur lui , et pour cela rien de mieux qu’une petite conversation après un événement riche en émotion, autour d’un petit café, dans un bar.
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeVen 10 Sep - 3:36

[HRPG] : [ WOUAH je suis désolé que cela ait pris tant de temps... j'Ai fais court parce que je n'avais pas autant de temps... ]

Aussitôt après que je l'ai remercié d'avoir fait dévier ce camion, il détourna le sujet. Il prit tous les moyens pour me faire croire qu'il ne possédait pas un certain pouvoir de déviation de camion. Bref, le tout se tourna en blague, mais je continua de le regarder intriguer. J'essayais de trouver un moyen d'aborder le sujet, de lui dire que j'avais tous vu de derrière la scène. Il m'aida à me relever et on se dirigea vers l'épicerie. Tous ces évènements importun c'étaient déroulés si vite, que je ne me souvenais plus que j'avais échappé mes courses il y a de cela quelques minutes. Vitolio et moi, on était retournés à l'épicerie qu'il c'était rendu avant de me rencontrer. Il prit se que j'avais bousiller et je fis de-même avec ma brique de lait et mon pain. J'étais à la caisse et il décida de m'attendre à l'extérieur. Après avoir payer mes achats à cette femme qui avait l'air un peu dérangée, je suis allé le rejoindre.

"J’espère que vous ne les ferez pas tomber celles-ci, sinon pour se remettre de ces émotions on va prendre un petit café au bar juste là-bas ?"

Je leva les yeux et le regarda, petit sourire en coin et puis un petit flash. J'étais mon petit sac rempli avec le lait et le pain. J'étais par terre à côté de moi-même assis sur une chaise. On était de l'autre côté de la rue dans ce petit bar. Je nous entendais discuter. Tous était plutôt flou, mais j'ai pu entendre qu'on parlait de mon tatouage au bras droit et puis "POUF" j'étais revenu devant Vitolio. Un peu confus, je ne m'habituais pas toujours à ces flash. Il venait de n'importe où, je tenais un objet et puis je voyais son histoire passée ou bien future!

"Ouais! Bonne idée et puis je n'ai rien à faire aujourd'hui. Un bon café et puis on pourrait parler du fait que tu regarde toujours mon bras... mon tatouage t'intéresse?"

Je relevai ma manche pour lui montrer totalement mon tatouage. Il m'était totalement inconnu. Je ne me souviens pas d'où il provient et ni comment il est apparu sans que je ne m'en aperçois? Par contre Vitolio semblait s'y intéresser grandement. Depuis la ruelle qu'il m'observe le bras comme si c'était une pièce de viande.


"Je ne sais pas pourquoi mon tatouage semble autant t'intéresser, mais si tu sais quoi que se soit sur se symbole j'aimerais l'entendre, parce que pour moi ce n'est qu'un trou noir."

Je rabaissai ma manche et m'approchai de Vitolio. Je me suis mis à chuchoter pour ne pas que personne m'entende excepter lui. J'avais un air des plus sérieux, s'il pouvait m'aider à éclaircir cette période absente de mes souvenirs je lui en serais reconnaissant.

"Tu sais Vito... je sais que c'est toi qui est dévié le camion."


Je levai les yeux et le regardai droit dans les siens.

"Je l'ai vu... j'y étais. Tu m'as pousser avec une force invisible et tu as pris le contrôle du volant pour le faire aboutir dans le lampadaire. Je le sais.... et tu sais pourquoi j'étais tous ce temps derrière toi. Allez viens allons à ce bar!"
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeSam 11 Sep - 23:47

Violio serra légèrement plus fort sa bouteille d'eau sous son bras, qu'il faisait froid par ici. Et la pluie sous laquelle il se trouvait n'améliorait pas les choses. Levant les yeux le jeune homme scruta les alentours, quelques personnes discutaient allègrement sous un portique d’immeuble, 2 flics se promenaient en discutant, l’air maussade et un groupe de jeune s’amusait à l’autre bout dans un garage. Zack sourit à mon attention, il semblait réellement vouloir venir boire ce café, et merde ! Dans le fond même si ce tatouage l’intéressait vitolio avait espéré un instant qu’il refuse. Attendant sa réponse positive le jeune homme n’entendit aucun son provenir de son interlocuteur, détournant ses yeux des 2 flics qui se promenaient sur le bord de la route il prêta un regard léger à Zack. Mais l’air étrange de l’homme lui fit prêter un regard plus sérieux. On l’aurait presque crut en transe, c’était réellement quelque chose d’assez effrayant. Ses 2 yeux fixant le vide dans un air égaré et sombre tandis que tout ses muscles semblaient détendus et qu’une expression de profond débillisme apparaissait sur son visage, tout ce spectale semblait transcrire une sorte de coma cérébral à un stade assez avancé. Toute l’attention de vitolio était dorénavant tournée vers cet homme en face de lui, mais que lui arrivait-il donc ? Le choc de l’accident ? C’était violent mais quand même, avec un tel temps de retard cela n’était sûrement pas ça. Soudain le comateux sembla revenir à lui, sa tête vibra, ses yeux bougèrent légèrement puis il reprit un air plus naturel. Presque détaché, c’était clair, pour lui il ne semblait s’être rien passer.

Ouais! Bonne idée et puis je n'ai rien à faire aujourd'hui. Un bon café et puis on pourrait parler du fait que tu regarde toujours mon bras... mon tatouage t'intéresse?

Un air naturel, une suite de phrase qui semblait poursuivre tout naturellement la question du jeune Hampton, rien ne laissait voir qu’il avait eu un air si étrange quelques instants auparavant, mais c’était quoi son problème à celui-là ? Vitolio sourit d’un air un peu gêné, il avait donc remarqué son intéressement pour son tatouage ? C’était plutôt gênant. Mais comme c’était le seul et unique but de l’invitation il fallait saisir la perche qu’il lui tendait, mais il ne fallait pas aller trop vite en besogne. L’autre posa une main sur sa manche et la releva totalement pour dévoiler, sans trompettes ni tambour, son avant-bras. La fin du tatouage était bien ce qu’il avait imaginé, une pointe. Mais où l’avait-il donc aperçu ?Il fallait réellement qu’il s’en souvienne sinon la suite des opérations allait devenir relativement compliquer, aller rappelle-toi, rappelle-toi bon sang !

Je ne sais pas pourquoi mon tatouage semble autant t'intéresser, mais si tu sais quoi que se soit sur se symbole j'aimerais l'entendre, parce que pour moi ce n'est qu'un trou noir

Hum intéressant, un homme plein de mystère visiblement, il s’ignorait lui-même et ce tatouage était, pour lui-aussi un mystère totale. Prenant la direction du bar les 2 personnes entamèrent un silence qui se voulait charger de concertation et de réflexion. Pour sa part vitolio se surprit à songer. Cet homme était entouré d’une aura de mystère et trop de question s’accumulaient sur lui à mesure que le temps avançait, peut-être que lui aussi s’en posait sur lui, mais tant pis. Etait-on réellement capable d’avoir de telles absences pendant lesquelles nous ne nous rendons compte de rien ? Seul les malades atteint d’alzeihmer ou de toute autre maladie affectant les souvenirs pouvaient avoir cela, mais comme Zack ne semblait atteint d’aucune maladie de ce type il fallait penser à autre chose c’était clair, mais quoi ?


Réfléchir, il fallait réfléchir avant tout, pour vitolio c’était clair : soit le fait ne s’était produit que quelques fois et c’était extrêmement rarement et cela passait inaperçu, ou alors cet état comateux s’était déjà réalisé plusieurs fois et dans ce cas Zack ne l’ignorait pas, la première solution exigeait des symptômes d’ordre médicale et comme il avait déjà écarté l’hypothèse de la maladie mentale cela ne se tenait pas, ne restait donc que la 2em solution, cela s’était déjà produit, et donc si ce n’était pas la première fois Zack était au courant de ces « absences » et comme il ne semblait pas suivre de traitement cela excluait définitivement la maladie mentale. Autre chose, si cela ne nécessitait pas de traitement ça voulait sûrement dire que Zack n’avait consulter personne pour se faire soigner, si vous aviez eu ce genre d’absence et que vous le saviez sans en connaitre la raison vous iriez directement voir un médecin pour vous faire soigner, mais ici non, donc il savait ce que c’était et il savait que c’était bénin, puisqu’il n’avait pas consulter. Maintenant restait la question la plus énigmatique, qu’est-ce qui provoquait cet état second ?


Tu sais Vito... je sais que c'est toi qui est dévié le camion

Tir2 de ses songeries par le murmure de l’adulte le jeune homme regarda un instant le sol avant de revenir à son compagnon, il ne répondit pas de suite et le laissa continuer, il sentait qu’il allait dire quelque chose d’intéressant pour lui

Je l'ai vu... j'y étais. Tu m'as pousser avec une force invisible et tu as pris le contrôle du volant pour le faire aboutir dans le lampadaire. Je le sais.... et tu sais pourquoi j'étais tous ce temps derrière toi. Allez viens allons à ce bar!

S’il y’avait bien une chose que le jeune homme avait appris au cours de ses multiples réflexions c’est que celui à qui il songeait n’avait jamais aucune chance d’échapper à son implacable logique et que, même s’il ne le voulait pas, il finirait toujours par se trahir, exactement ce qu’il venait de se passer ici.Reprenant le fil de la conversation le jeune s’adressa directement à son interlocuteur

Oui bien sûr…J’ai absolument voulu te le cacher mais je suis télékinésiste et je peux faire déplacer des choses par la pensée, tiens tu vois la actuellement je fais tomber la pluie sur le monde, je fais bouger les arbres à séoul et je décide de la montée des marée sur la côte du pacifique, pfiou tout un travail…

Souriant à sa propre blague vitolio se moqua légèrement, sans vouloir l’offenser ou paraitre supérieur cet homme n’avait pas le cerveau nécessaire pour le faire avouer ses plus noires secrets.

Tient tu vois la jeune fille là-bas ? Et bien j’ai déjà regarder 23 fois sous sa jupe hier , oui la télékinésie c’est bien pratique pour déplacer les habits. Bon je te laisse je vais déplacer le soleil et puis une petite douzaine de camion avant le dîner, tient hier j’ai encore envoyer mes clés sur la lune, vraiment très chiant…Non plus sérieusement tu crois encore que c’est moi qui ait fait ça ? Franchement faut arrêter la…

Souriant à ce qu’il venait de dire vitolio reprit sa route vers le café, ils ne mirent as longtemps pour y arriver. Il rentra dans le bar et s’affala le long d’une chaise avant de poser ses mains sur la table et de laisser son ami s’asseoir en face de lui, il fallait qu’ils discutent, cet homme lui cachait quelque chose mais quoi donc ?

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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeJeu 16 Sep - 4:41

"Oui bien sûr…J’ai absolument voulu te le cacher mais je suis télékinésiste et je peux faire déplacer des choses par la pensée, tiens tu vois la actuellement je fais tomber la pluie sur le monde, je fais bouger les arbres à séoul et je décide de la montée des marée sur la côte du pacifique, pfiou tout un travail…"

Bien sûr, Vitolio voulait surement cacher cette vérité. Il croyait probablement que je délirais, que j'étais un malade mental et puis il tourna le tout en blague.

"Tient tu vois la jeune fille là-bas ? Et bien j’ai déjà regarder 23 fois sous sa jupe hier , oui la télékinésie c’est bien pratique pour déplacer les habits. Bon je te laisse je vais déplacer le soleil et puis une petite douzaine de camion avant le dîner, tient hier j’ai encore envoyer mes clés sur la lune, vraiment très chiant…Non plus sérieusement tu crois encore que c’est moi qui ait fait ça ? Franchement faut arrêter la…"


On était maintenant au café, assis face à face. Il fallait que je lui explique que je ne blaguais pas, pas du tout. Je devais trouvé quelques chose une preuve. Peut-être que de révéler une partie du passé de Vitolio pourrait le convaincre.

"Tu crois que je suis fou. N'essaie pas d'éviter l'inévitable. Je sais ce que j'ai vu et je vais te le prouver. Regarde bien."


Je m'appuyai les coudes sur la table et ferma les yeux. J'espérai seulement contrôler mon pouvoir pour me permettre d'aller plus loin dans le temps de ce petit bar. C'est en ouvrant les yeux que je pouvais constater que tous marchait. Vitolio et moi étions plus loin là-bas en train de discuter et je lui pointais la porte des cuisines. Puis la serveuse arrivai avec nos breuvages. Un café pour moi et lui semblait avoir pris une boisson gazeuse. Je décida de me lever pour aller observer la scène. Des clients sortait et disparaissaient dans la porte noir pendant que je m'approchai. J'essayais de remarquer plein de choses qui pourrait m'aider à le convaincre.

BAAANNNNGGGGCLAAACCCCGGGGLLLAAANNNNGGGG

"ET MERDE!!!"

Bien voilà n'avait qu'à demander. La serveuse reçu la porte en plein visage et échappa le cabaret qu'elle avait dans les mains et puis les verres allèrent se fracasser sur le sol. Vitolio se tourna, attiré par le vacarme que tous cela avait causé. Treize heure dix-sept, l'heure où cela est arrivé. Je fermai mes yeux et puis les ouvraient à nouveau pour être devant Vitolio, qui me regardais bizarrement. Treize heure quinze...


"Vito. Regarde cette porte."


Je lui pointai la porte en question quand la serveuse arriva avec nos breuvages. Le fameux café et la boisson gazeuse. Je ne voulais pas qu'il soit détourné de cette porte, donc je lui expliquais en lui demandant de regarder.


"Tu vois la porte? La serveuse va aller chercher les verres qui traîne sur cette table et elle va se faire frapper par la porte quand le serveur va sortir. Elle va échapper les verres et elle va crier: "ET MERDE!" Regarde par toi-même, il est treize heure seize et tous cela arrive dans quelques secondes."

BAAANNNNGGGGCLAAACCCCGGGGLLLAAANNNNGGGG

"ET MERDE!!!"

Il se retourna vers moi l'air peu convaincu et puis tout à coup. Un mal de tête s'empara de moi. Je sentais une espèce de force me pousser et puis tous se passa en un instant. Tous était confu et un grichement se faisait entendre. Le mal de tête s'intensifia et je prenais ma tête dans mes mains pour essayer de calmer la douleur.

"Vito...j'ai mal...tu n'entend pas se grichement?"


Je plaqua une main sur la table dans un claquement sonore et pris le bras de Vitolio qui était étandu sur celle-ci. Plein d'image se succèdaient une à une, tous indistinque. Je n'attendait que quelques mots.

"Je m'.....aaaapppeeeelllll SMaaaassss........hhhhh...."

La voix était sacadé et aléatoire.

Je voyais Vitolio plus jeune, il était avec une femme plus agée et puis tous se passait plus vite et elle se fît transpercer la gorge par un pique sortant du sol. Toutes ces images était dans le désordres rien n'était collées. En reculons, rapide et tous stagnaient. Je finis par lâcher le bras de Vito et tous s'arrêta. Je lâchai ma tête et leva mon regard sur Vitolio qui me regardait d'un air qui voulait dire:" Putain qu'il est dérangé ce mec!!!"

"Vito? J'ai trouvé!"


Je croyais avoir réussi à assembler quelques pièces du puzzles cérébrales qui venait de s'infiltrer dans mon cerveau.

"Tu habites chez ta grand-mère. Elle t'a demandé de sortir pour aller chercher du lait et puis..."

Je pris un certain moment de silence et continua.

"Ta mère fût tuée quand tu étais plus jeune par un dénommé Smash... sa gorge percée par un pique qui sorti du sol.... Tu me crois maintenant quand je te dis que j'ai un don et je sais que tu en possède un. Une sorte de télékinésie... moi c'est le fait de voir dans le passé ou bien le futur d'un endroit, d'un objet ou bien d'une personne et tous cela en y touchant ou en étant dans la pièce en question."

Il ne parlait pas. J'aurais peut-être dû y aller plus tranquillement pour sa mère...


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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeJeu 16 Sep - 17:51

[HRPG] :[Franchement un post purement génial que tu nous a pondu la ! J’adore vraiment superbe^^. Dsl aussi j’ai un peu fait intervenir ton perso à la fin mais c’était pas du tout crédible sinon sorry =]

Vitolio regarda le ciel, assis confortablement sur le siège du petit boui-boui, il pleuvait toujours à torrent, mais il voyait ua loin quelques éclaircies qui rendaient quelques couleurs au ciel, qui semblait en avoir bien besoin, la pluie s’arrêterait bientôt et le soleil reprendrait ses droits. Bougeant légèrement sur sa chaise le pied du jeune garçon buta dans quelque chose de dur, il baissa légèrement sa tête et regarda, ce n’était que ses courses qu’il avait déposer au sol. Relevant la tête d’un air las il fixa l’homme en face de lui, un air sceptique sur son visage lui laissait clairement voir qu’il ne croyait nullement la version du garçon

Tu crois que je suis fou. N'essaie pas d'éviter l'inévitable. Je sais ce que j'ai vu et je vais te le prouver. Regarde bien.

Regarde bien ? Les choses commençaient à prendre une tournure très étrange, comment allait-il lui prouver quoi que ce soit avec une posture si ridicule ? Il s’était accoudé fermement sur la table et fermait maintenant les yeux, encore un allumé…Il était plus sévèrement atteint que tout ce que l’on aurait pu croire, mon dieu pourquoi la terre était-elle autant remplie de stupide et de malades en tout genre ? Ah l’homme semblait ré-ouvrir les yeux, le jeune homme l’observa avant qu’il ne lui désigne un point derrière-lui de son index

Vito. Regarde cette porte.

Je soufflais un grand coup, qu’est-ce que ce doux dingue allait encore lui montrer ? Une fille en jupe courte ? Un mécanicien avec la bedaine plus grosse que son cerveau ? Non c’était une banal serveuse qui ramassait des verres d’un air tout aussi las que les clients qu’elle servait. Et bien qu’est-ce qu’il y’avait de spécial à observer un pauvre fille en train de faire son job pitoyable ?

Tu vois la porte? La serveuse va aller chercher les verres qui traîne sur cette table et elle va se faire frapper par la porte quand le serveur va sortir. Elle va échapper les verres et elle va crier: "ET MERDE!" Regarde par toi-même, il est treize heure seize et tous cela arrive dans quelques secondes.

Pfou quel con. Comme si c’était poss…Coupant net ses paroles vitolio leva un sourcil, la femme s’avança bien et la porte des cuisines s’ouvrit violemment pour frapper avec force la malheureuse qui ne pût stopper son élan, elle s’étala au sol, laissant retomber au sol toutes les commandes ainsi que les pourboires et les verres, lâchant un « MERDE » bien sonore elle se releva lentement en se massant les fesses, quel boucan ce petit incident avait-il produit quand même.

Bon ben au moins les questionnements sur l’aura bizarre de cet home étaient résolus, il pouvait voir le futur, c’était, d’un côté, rassurant de voir un autre homme avec des pouvoirs, mais c’était aussi effrayant de savoir qu’il pouvait prédire, avec précision, ce qui allait se passait. Rebaissant mon sourcil le jeune se retourna lentement, il fallait lui balancer quelque chose pour casser le silence. Mais aucune phrase ne pût sortir de mes lèvres, Zach était affalé, tête sur la table, les 2 mains plaqués avec force, au vu de la couleur blanche du bout de ses doigts, sur son front. Qu’avait-il ?


Vito...j'ai mal...tu n'entend pas se grichement?

Ce …Grichement ? L’adolescent se tourna légèrement sur lui-même pour regarder autour de lui, non y’avait rien, pas un bruit, si ce n’était celui de la pluie qui frappait sur le carreau et l’hbaituel brouhaha d’un bar. Revenant à son vis-à-vis le jeune Hampton s’aperçut qu’il ne parlait plus, un clapement sonore affirma le fait qu’il venait de poser violemment sa main sur la table, puis le reste de l’action s’effectua à une vitesse si rapide que le télékinésiste ne comprit rien.

Tout d’abord Zach posa sa main sur son bras avec une vitesse surprenante, mais vito ne pu se dégager car il se senti comme…Aspiré par cet étranger. On aurait presque dit que toute son âme allait être aspirée par le seul contact de ses doigts sur sa chair. Se redressant l’adolescent ne pouvait plus bouger, il sentait comme une partie de lui-même s’écouler de tout son être vers les doigts serrés de Zach, une sorte d’aspiration puissante et forte qui vous suçait l’être avec une force incroyable, ce sentiment n’était pas agréable du tout et laissait même un sentiment d’impuissance.

Soudain la libération, sa main se desserra et tout mon corps retrouva sa mobilité et sa stabilité intérieur, comme lorsqu’un nageur reprend une longue respiration après un 100 mètre en apnée le jeune sembla reprendre un souffle qu’il n’avait pas respirée depuis des millénaires. Mais ses pensées ne suivirent visiblement pas cette déconnexion, reconnexion subi par Zach. Quand à lui l’étranger regarda le jeune qui reprenait ses esprits et sans laisser un interlude de plus d’une seconde il s’avança légèrement et fixa le jeune dans le blanc des yeux avant de recommencer à parler d’un ton plutôt saccadé


Vito? J'ai trouvé! Tu habites chez ta grand-mère. Elle t'a demandé de sortir pour aller chercher du lait et puis... Ta mère fût tuée quand tu étais plus jeune par un dénommé Smash... sa gorge percée par un pique qui sorti du sol.... Tu me crois maintenant quand je te dis que j'ai un don et je sais que tu en possède un. Une sorte de télékinésie... moi c'est le fait de voir dans le passé ou bien le futur d'un endroit, d'un objet ou bien d'une personne et tous cela en y touchant ou en étant dans la pièce en question.

Reprenant vite ses esprits à l’énonciation du nom de sa mère le jeune homme se leva brusquement et jeta avec une grande force sa chaise en arrière du dos de ses genoux. Comment il savait ça lui ? Il venait de dire qu’il pouvait lire dans le futur et l’avenir, dans le passé aussi ? Vraiment trop bizarre ce gars ! Pointant son index d’un air de défi sur l’autre il lui parla d’un ton qui se voulait défiant

Toi tu parles pas de mes parents et tu m’approches pas, c’est clair ?!

Le bruit de la salle s’était tu, tout le monde observait la scène. Zach se leva de sa chaise et fit un pas en direction du jeune, vitolio recula d’un demi-pas et réitéra sa demande

M’approche…PAS !

l’index du jeune se plia et laisses ses autres doigts se tendre dans la direction de Zachary. Une puissante déflagration mentale s’expulsa du bout des doigts de l’adolescent et forma une sorte de champ de répulsion gravitationnelle devant-lui, repoussant tout ce qui était devant-lui, objet, homme, animaux et autres. La table se souleva de terre et s’écrasa avec force dans la vitrine pour atterrir, brisée en 2, sur la route. Les 2 autres clients qui se trouvaient derrière vitolio et Zachary furent soulevés de leurs sièges, qui volèrent avec eux, et se retrouvèrent directement projetés sur le mur du bâtiment en face.

Zachary, quand à lui, fut soulevé de terre, ses bras semblèrent s’envoler, il s’écrasa, comme un fétu de paille, sur un poteau électrique et retomba, comme une masse au sol. Tout le mur devant l’ado se retrouva complètement emporté et les débris jonchèrent le sol de la rue derrière. Recourbant ses doigts vitolio haleta un peu, il remit sa main le long de son corps tout en fixant devant-lui, c’était quoi ça à l’instant ? Il n’avait pas été capable de se contrôler…Lui qui était toujours si calme, si réfléchi, si feignant, il n’avait pas été capable de se contrôler...Il pensait connaitre son don, il pensait le maitriser, mais en voyant cela il se rendait compte qu’il avait seulement réussi à réveiller ce qui maitrisait réellement ce pouvoir, et ce n’était pas lui, c’était quelque chose d’autre. Tournant la tête vitolio aperçut les gens qui le regardaient, terrifiés, tremblants de peur, écrasés de trouille sur leur siège, levant les yeux il s’aperçut que le soleil inondait clairement l’allée de la rue centrale. Levant un pied vitolio enjamba les débris et avança jusqu’à zachary, au milieu de la rue, il se pencha et lui releva la tête, pas de blessures apparentes, juste des bleus et des ecchymose superficielles, il le secoua un peu et lui tapa sur l’épaule


Eyh…EYH, debout zach, c’est pas le moment de dormir, faut se réveiller les flics vont débarquer mon vieux.

L’adolescent regarda d’un bout de la rue à l’autre bout en déplaçant sa tête, il fallait qu’il se réveille, sinon ça n’allait vraiment pas le faire. Il posa sa main sur on épaule et le secoua, des sirèens retentirent, les flics arrivaient, au bruit ils étaient loins, mais à voiture on allait toujours plus vite qu’à pied, allez zach debout ! Il fallait absolument qu’il se réveille, il fallait fuir maintenant
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeMar 21 Sep - 2:56

[HRPG: C'est correct pour le contrôle, super le RP en passant. En espérant que tu vas aimé celui-là! ]

Aussitôt après lui avoir ramené la scène éprouvante qui c'était infiltré dans ma tête, celle où la mère de Vitolio ce fait transpercer la gorge, il y eu réaction immédiate de sa part. D'un bon, il se leva et projète sa chaise d'un bon mètre. Son visage changea soudain et il me pointa du doigt pour ensuite me crier dessus.

"Toi tu parles pas de mes parents et tu m’approches pas, c’est clair ?!

Tous le bruit ambiant se tût et les têtes pointait tous dans la même direction lui et moi. Je me suis lever et je décidai de m'approcher tranquillement de lui pour le calmer, lui rappeler que je ne suis pas son ennemi.

"M’approche…PAS !"

Il ne semblait pas vouloir que je lui rappelle. Je ralentit le pas, déjà très lent et tous se passa très rapidement. Il plia les doigts et je me suis mis à voler. J'étais plutôt propulsé par une force invisible tous droit sorti de ses poings. Tous ce qui était devant et derrière moi vola en éclat. Les chaises, les tables et ses occupants. Tournant sur moi-même, je vis le mur et je fonçais droit sur lui. C'est à ce moment que mon pouvoir décida de disjoncter, je n'avais sentis que le choc momentanément et puis plus rien. J'étais dehors affalé sur le sol, mais le mur étais derrière moi. J'étais ailleurs dans un autre monde...vide de monde.

"VITO!!!"

Rien, un vide complet. Seulement le vent accompagnait l'absence de voiture et de présence humaine et puis voilà quelqu'un sortait du coin d'une ruelle et courait dans ma direction. Il semblait me regarder depuis le moment où il avait tourné le coin. Peut-être est-ce Vitolio? Où suis-je?

"HEY, VITO???"

Il ce rapprochait et puis s'arrêta tout d'un coup et continua à marcher à côté de moi en me dévisageant... Rien de plus troublant, je le suivais du regard et il me regardait toujours jusqu'à se qu'il tourne le coin de la rue. Je décidai de continuer mon chemin par d'où l'homme était arrivé et en me tournant tous changea, je me fis bousculer par plein de gens. Tous me regardaient avec le même regard que l'homme de tantôt, j'essayais de me frayer un chemin parmi ce troupeau instantané. J'arrivai à la ruelle et rentra dans celle-ci pour fuir les trottoirs tous le monde qui le parcourait me regardaient au passage ce qui me troubla au plus haut point. Une voix capta mon attention dans la ruelle.


"Tenez le bien, il ne faut pas qu'il se réveille!"


Cette voix... Elle m'était familière.


"Prenez son bras, après lui avoir apposée cette marque nous allons le porter chez lui qu'il ne se doute de rien!"

Je m'approchai sans rien voir, tous commençait à devenir flou... je voyageais dans les deux espaces temps. Un moment j'étais en train de continuer ma route à travers le mur, un instant je continua à avancer pour découvrir à qui appartenait cette voix. Tout défilait à une vitesse inconstante et puis...

"Hey... hey, debout Zach, c’est pas le moment de dormir, faut se réveiller les flics vont débarquer mon vieux."

Une douleur s'empara de tout mon corps. J'étais par terre étendu sans force, je n'étais même pas sûr d'être encore vivant. Il m'avait pousser avec un telle force. Je n'arrêta pas de faire des bonds dans le temps, un moment j'étais assis devant Vito et puis l'instant d'après j'étais dans les airs en train de me préparer à atterrir dans la rue après avoir traversé un mur. Tous s'arrêta et puis me revoilà encore revenu dans le monde "vide", seul devant un homme et puis la voix de Vito résonna dans ma tête.

"Hey... hey, debout Zach, c’est pas le moment de dormir, faut se réveiller les flics vont débarquer mon vieux."

J'ouvrai les yeux et regarda Vitolio. L'air paniqué, j'étais par terre recouvert de débris de mur éclaté. Les sirènes de polices résonna au fond de la rue.

"Grand-père?"

Je me suis lever et posa ma main sur l'épaule de Vitolio, j'étais encore un peu perdu et j'avais des douleurs qui parcourait tous mon corps. Je me suis mis à avancé avec un peu de difficulté et me retourna vers Vito.

"Ouais t'as raison il faut s'en aller."

Les gens nous regardaient tous, quelques un affolé, d'autres curieux avec leurs appareils photo.

"Vito, à l'avenir ne me projette plus au travers des murs... c'est douloureux!"


Je continua de marché en espérant qu'il me suive...
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeJeu 30 Sep - 17:01

[HRPG] :[Voila le post tout chaud tout frais, encore désoler pour l’attente =]

Vitolio tapotait la tête de l’homme au sol, mais qu’est-ce qu’il attendait pour se réveiller bordel ? Levant la tête du corps au sol le jeune homme jeta un regard derrière-lui, les gens étaient toujours scotchés de peur sur leur siège, écrasés sur les banquettes en mousse inconfortable, il n’était pas un monstre…Il était capable de se contrôler, alors pourquoi ne venaient-ils pas ? Il était juste différent et de par leur manque de courage ces personnes portaient honte à la dignité humaine. Voila ce qu’était l’humanité devant un nouvel événement, devant quelque chose qui le dépasse l’homme s’écrase, il est mort de trouille et n’ose pas bouger, c’est la qu’il se rend compte de sa faiblesse et de son impuissance face à certaine force de la nature, c’était en tout cas pathétique à voir, peut-être que c’ était cette lâcheté proverbiale qui avait fait que les humaines « dominaient » sur la terre ? Est-ce que l’homme des cavernes s’écrasait de peur devant un tigre ou devant un mammouth ? Sans doute, mais ce n’était pas son problème actuel, il fallait maintenant se recentrer et réfléchir à une solution ! Revenant au corps au sol vitolio le secoua encore un peu plus, il semblait cependant y avoir une meilleure réaction qu’il y’a quelques secondes, il s’agitait quelque peu, même si ce n’était pas grand-chose ça valait toujours mieux que rien après tout. Les sirènes de police se faisaient plus stridentes, les voitures n’étaient qu’à quelques pâtées de maison maintenant, allez debout ! Soudain l’homme au sol ouvrit les yeux, enfin !

Grand-père?

Désoler c’est pas grand-père, c’est vitolio. Bon maintenant que tu es debout on va faire comme si tu allais bien et on va faire fissa, parce que les flics vont sûrement pas croire à la théorie de l’effondrement accidentelle, allez appui-toi sur moi

Zach ne saisit pas la main que je lui tendais, il posa la sienne sur mon épaule et se releva péniblement, un débris de maison s’effondra au sol dans un « Baoum » Terrible, faisant se terrer encore un peu plus les gens sur leur siège dans le bar. S’ils avaient pu rentrer dans leurs banquettes ceux-là ils se seraient sans doute fait un plaisir de creuser un terrier et d’y hiberner le temps que les perturbations cessent. Maintenant Zach était debout, ses habits étaient couverts de poussière blanche et ses cheveux n’étaient pas dans un meilleur état, il avait vraiment manger le mur de plein fouet, ça ne devait pas faire du bien visiblement. Il mit quelques instants avant de retrouver complètement ses esprits, secouant légèrement la tête Zachary leva les yeux et regarda l’ado avant de parler

Ouais t'as raison il faut s'en aller.

Zach s’avança de quelques pas, plutôt lentement, avant de tourner la tête pour observer les gens sur leur siège puis il reprit sa marche.Il s’arrêta un petit instant et se tourna vers le jeune homme qui était resté sur place pour ajouter

Vito, à l'avenir ne me projette plus au travers des murs... c'est douloureux!

Reprenant son air las habituel le jeune emit un petit sourire en coin, la blague était drôle et sorti au bon moment. Regardant sur les côtés, pour voir si personne ne l’empêcherait de fuir, le jeune mit un premier pied devant l’autre avant de suivre l personne devant-lui, ils devaient fuir car les voitures de polices se rapprochaient assez dangereusement, tout du moins les sirènes. Ils s’avancèrent jusqu’au coin de la rue puis en sprint ils tournèrent tout deux, courant du plus vite qu’ils le pouvaient. Vitolio regarda devant-lui, tient quelque chose semblait manquer, étrange. Il observa ses mains, puis le sol, rien, mais qu’était-ce donc ? Soudain une sorte de déclic se produisit dans son cerveau. Levant la tête il s’aperçut que le soleil avait maintenant fait une grande et belle apparition, éclairant de ses rayons chaud la ville, au moins une bonne nouvelle dans tout ce tintouin.

Eyh vous ! Attention p’tit voyou !

Rebaissant les yeux vito fit un écart de dernière minute pour esquiver une grand-mère qui se promenait avec son horreur de caniche, encore un vieux qui croyait que sans lui le monde ne tournerait pas. Ils parcoururent rapidement les rues de la ville, probablement que les policiers ne les retrouveraient pas maintenant, ils devaient sans doute être en train d’interroger les pétochards scotchés sur leur siège. Regardant derrière-lui le jeune garçon confirma sa théorie, il tapota l’épaule de son camarade, celui-ci s’arrêta en douceur. Repérant un banc non loin vitolio s’y affala complètement, il n’avait pas l’habitude de piquer des sprints, il était plutôt du genre à éviter le sport et les actes qui fatiguaient. Observant son complice qui reprenait, lui aussi, son souffle l’Hampton sourit avant de lancer sa vanne

Au fait…Désoler de t’avoir soulever, mais tu aurais quand même pu faire attention à la vitre du bar dans ta chute, ça coûte cher ces trucs la merde !

La blague était peu subtil, voir même assez grossière, mais tant pis. Une sirène retentit au loin, bloquant sa respiration vitolio prêta toute son attention, mais ce n’était pas la peine, le son mourut bien trop loin pour que cela puisse les inquiéter d’une quelconque façon que ce soit. Posant ses coudes sur ses genoux vitolio reprit tranquillement son souffle, fatigant cette petite course tout de même. Il regarda de nouveau l’homme devant-lui avant de se remettre à parler

Je pense qu’à cette distance et avec cet écart ils ne nous poursuivront pas…Mais rien ne dit qu’ils ne vont pas nous rechercher. N’oublions pas qu’il y’avait peut-être des caméras de sécurité et des gens avec une assez bonne mémoire pour mémoriser nos têtes dans ce bar. Pour moi ça craint, mais je vis, je pense, suffisamment reclus pour ne pas avoir trop d’ennui, pour toi je ne sais pas, si tu vis avec ta famille tu ferais peut-être mieux de ne pas trop te montrer.

Reprenant son souffle après ces paroles le jeune laissa un court silence s’installer avant de reprendre de plus belle

De toute façon il va juste falloir se tasser quelques jours, dans cette ville ce genre d’acte est si courant, et les flics les enchainent à une vitesse si rapide qu’ils nous auront vite oublié, enfin je pense.

Haletant encore vitolio reprit une nouvelle fois son souffle. Il jeta un regard à l’homme qui n’avait pas encore décroché un mot, pour le moment il fallait se reposer, la suite se trouverait après. Jetant à regard à droite vitolio aperçut une autre vieille qui promenait son caniche, encore un vieux allez, il y’en avait vraiment partout de ces trucs la…
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MessageSujet: Re: Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut]   Exiler de L.A., nouveau New-Yorkais... [Conclut] I_icon_minitimeMar 5 Oct - 4:39

Il suivait mon intention de déguerpir au plus vite.

"Hey vous ! Attention p’tit voyou !"

Et cette voix policière était le signal qu'il fallait se dépêcher. Je prenai mes jambes à mon cou et courra malgré une douleur intense... partout sur mon corps. Cette traversée du mur du bar... rien de très plaisant.

"Au fait…Désoler de t’avoir soulever, mais tu aurais quand même pu faire attention à la vitre du bar dans ta chute, ça coûte cher ces trucs la merde !"

Je souris à cette blague peu subtil de ca part, mais je n'avais qu'une seule pensé qui me traversa l'esprit.

*Mais ouais Vito, je savais bien qu'il ne fallait pas que je ne saute dedans. J'ai eu toute la misère du monde à me détourner de ma trajectoire déjà très bien établie par ta poussée assez puissante vers celle-ci...*


Je continuai à sourire tout en continua machinalement à fuir les sirènes qui s'éloigna tranquillement de nous. Le moment était venu de s'asseoir sur n'importe quoi qui pourrait servir de tabouret de ruelle.

"Je pense qu’à cette distance et avec cet écart ils ne nous poursuivront pas…Mais rien ne dit qu’ils ne vont pas nous rechercher. N’oublions pas qu’il y avait peut-être des caméras de sécurité et des gens avec une assez bonne mémoire pour mémoriser nos têtes dans ce bar. Pour moi ça craint, mais je vis, je pense, suffisamment reclus pour ne pas avoir trop d’ennui, pour toi je ne sais pas, si tu vis avec ta famille tu ferais peut-être mieux de ne pas trop te montrer."

Bordel, caméras et tous ces gens. Il savait comment tous cela marchait, témoignage enquête et plein d'indices. Même si le bar n'est plus dans le même état qu'avant la colère de Vito, il y a assez d'indice pour nous retrouver. Surtout moi, toutes la police de L.A. est à ma recherche pour meurtre. Un meurtre qui n'avait pas été causé par moi. Pourquoi j'aurais tué Fabio mon coéquipié à l'époque...

"De toute façon il va juste falloir se tasser quelques jours, dans cette ville ce genre d’acte est si courant, et les flics les enchainent à une vitesse si rapide qu’ils nous auront vite oublié, enfin je pense."

En plus de la police qui serait surement à ma recherche il y avait ses bonds dans l'espace temps qui était totalement incontrôlés et jamais ils n'avaient été aussi intense et rempli d'information sur mon passé. Mon grand-père, mon tatouage étrange et tous ce qui se passe tous d'un coup. Après avoir repris un peu mon souffle et Vito semblait avoir fait de même.

"Ouais, je crois que c'est là que je dois te dire que je suis recherché par la police de L.A. et malgré qu'en me faisant traverser le mur du bar et que la moitié du bar n'est plus ce qu'il était avant notre arrivé. Il y a encore assez de trace de notre passage et puis... c'est aussi là que je te dis que j'étais flic pour la ville de L.A. avant de m'avoir exilé pour New-York... Ouais bah c'est la merde, on peut se séparer si tu ne veux pas être vu avec moi... Ah ouais c'est déjà fait au bar ou tu m'as envoyer dans un mur... Donc pour la subtilité on repassera."

J'étais en colère parce que je pensais m'avoir fais oublier, mais tous ce qui viens de ce passer devrait tout changer.


"En passant, je sais d'où viens, en fait je sais qui me l'aurait fais ce fameux tatouage!"


Je levai mon regard qui était planté sur mes pieds et prenais mon air des plus sérieux qui soit.

"Mon grand-père, il a rapport avec ça et c'est lui qui ma dis de venir ici pour trouver un certain Dr. Suresh."

Je me levai et commençait à faire les cents pas. Pourquoi je ne pouvais pas me rappeler de rien d'autre. Je ne me souviens de rien, même pas de ce moment dans cette ruelle où mon grand-père ordonnait à ces sbires de me transporter je ne sais où!?


" Je ne sais pas pour toi, mais moi il faut que je m'en aille d'ici. Je veux en savoir plus sur ce tatouage et la police devrait devrait surement continuer à nous cherché alors tu vas te cacher ou bien tu me suis?"

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