We're just ... Powerless ! (pv Joe-Santiago-[Gabrielle ?])

Sylar se tenait debout face à l'immeuble Pinehearst, regardant ce grand bâtiment imposant, à l'image de son propriétaire. Il était si petit à côté, tel David défiant Goliath. A ses côtés, Joe, Bane, [Gabrielle ?]. Ils étaient tous conscients de ce qui allait se jouer dans quelques instants. Sylar plus particulièrement, car il avait été briefé par Angela Petrelli sur le danger que représentait Arthur pour le monde. Il était bien trop dangereux pour qu'on le laisse pérégriner librement. Il devait être stoppé. Le serial killer avait tenté une première fois, et avait échoué après un âpre combat. Et le voilà qui revenait, pour prendre sa revanche. C'était bien là ce qui le motivait, ce n'était pas la survie du monde, c'était la vengeance. Et aussi une autre chose qu'il avait prit soin de cacher à ceux qui l'accompagnaient, car Sylar était aussi venu chercher quelque chose dans ce building ... Quelque chose dont il raffolait ...

Sylar avait dit à Joe de venir il y a plusieurs heures déjà, afin qu'il ai le temps de tout préparer. Bane et lui n'étaient arrivés qu'il y a quelques minutes. Déjà deux vigiles étaient étendus au sol, leur gorge tranchée par une lame de canif. Joe ne faisait jamais dans la dentelle, et c'était ce qui le rendait si exceptionnel, en plus de son pouvoir évidemment. En regardant la structure, Sylar pouvait voir des batons de dynamite, ou de tnt, accrochés à certains points stratégiques. C'était une grosse partie de la façade de Pinehearst qui allait partir en fumée dans quelques instants, marquant le début d'une attaque sanglante et dévastatrice. Une chose confortait Sylar dans son idée: Arthur n'était pas encore en train de les arrêter, cela signifiait quelque chose: il savait ce qui allait se produire, et il s'y résignait. Ils allaient gagner, Arthur allait trépasser. Sylar était tout excité, très impatient d'aller mettre un terme à la vie de ce vieux patriarche aussi puissant que charismatique.

Mais son esprit était également occupé par autre chose: le jour de l'attaque de Pinehearst à l'OWI, Sylar avait eu l'occasion de voir un dessin prémonitoire fait par Peter Petrelli. Il y avait lu un évènement à venir, un évènement qui ne lui plaisait pas. Sylar ignorait si ce qu'il faisait allait changer le futur ou contribuer à sa réalisation, mais il était trop tard pour faire marche arrière. Il fallait foncer. Le serial killer regardait Joe qui ne semblait plus pouvoir tenir, son détonateur fabriqué maison tremblant dans sa main impatiente.

" Fais tout péter. "



[Ordre de post: Sylar - Joe - (Gabrielle ?) ou Sylar - Santiago ]

La vie n'est que perception. Ce que l'on ne peut voir, entendre, gouter, sentir ou toucher n'existe pas, tout bonnement. Cette théorie effleurait rapidement la pensée de Rick Baneson alors que celui-ci étudiait un virus rare retrouvé dans son propres sans. Quelle hypothese loufoque! Des millier d'hommes avaient été tués par le Fléaux pendant des millénaires sans pouvoir mettre une image ou une perception sur ce qui ravageait leurs pays respectifs. Certes, la chose était différente de nos jours, avec les microscope surpuissant qui tronaient dans les laboratoires des grandes facilités mondiales, mais tout de meme.

Rick voyait souvent son esprit torturé par des reflexions pareilles, alors qu'une autre partie de son cerveau continuait de se concentrer sur les activités que son corps entreprenait. Dans le cas présent, on parlait d'etre assis a un grand bureau d'étude, le regard fixé sur un écran d'ordinateur ou déffilait de l'information recueillit sur un puissant virus jusqu'alors inconnu par la race humaine. Le virus parfait au yeux de Rick: période d'incubation relativement courte, virulence indescriptiblement forte, l'arme de destruction biologique sans erreure. Mais d'ou pouvait bien provenir ce virus?

Soudainement, un grand grondement d'explosion retentit dans les locaux de Pinehearst. Une violente secouce vint faire tomber les rang d'éprouvette reposant sur les contoirs. La Compagnie était apparament attaquée. Les images du combat qui se déroula chez Primatech revinrent a l'esprit du jeune bostonien. Les Ombres, la violences et le sang. Mais maintenant, les atouts étaient de son cotés, il pouvait gagner. Un petit sourire en coin, Rick se leva et arma son pistolet de service. Il quitta les labo, chassan le moindre son, a l'affut d'un simple signe de combat.

Il tomba finalement sur la zone qui fut probablement le plus ravagé par les explosifs. Une aile entiere, ravagée par les flammes, des dizaines de corps gisant au sols. Un spectacle de chaos digne des pires actes terroristes. Il vit enfin les artisants faire leur entrée. Joe Kenter, le sociopathe pyromane au costume violet et au visage balafré et Sylar, l'ennemi publique numero un, le Serial Killer le plus connu de toute l'histoire de l'humanité. Il y avait un autre homme avec eux que Rick ne connaissait pas. Apres tant de mois passé a la recherche du terroriste, il faisait enfin sa connaissance, mais en de bien mauvaises circonstances: il tenait toujours son pistolet en main et était connu par Joe comme étant un agent de Pinehearst. Pour éviter le moindre incident pouvant ce terminer par sa mort, Rick rangea son arme.

- Ça va, Kenter, je comprends ce que tu viens de faire et je ne souhaite pas t'arreter. Ce que je ne sais pas, c'est ce que vous etes venu faire içi, mais bon, si je peux vous aider, n'hésite pas a m'en faire pars. J'ai justement envie de tester mon nouveau petit joujou...

Bien sur, le clown et le Serial Killer ne pouvait pas savoir qu'il parlait d'un virus mais Rick n'avait pas vraiment envie de clarifier la situation présentement. Il voulait de l'action, du sang! Des choses qu'on trouve a la tonne lorsqu'on se balade avec Kenter!

- Alors, t'as besoin d'un ou deux virus?

(HJ:Ne sachant pas si Gabrielle allait etre la, j'ai agis comme si Rick ne la voyait pas.)

Les explosifs se déclenchèrent simultanément, arrachant la façade du bâtiment pour la plonger sur le sol en la réduisant à l'état de gravas. Mais Joe n'y était pas aller de main mort, car l'aile qui suivait la façade s'était aussi écroulée. Fort heureusement pour eux, les deux choses que Sylar était venu chercher se situaient bien loin de ces endroits.

On dirait que Noël va arriver plus vite que prévu cette année... La crise ne touche pas l'esprit de cette fête on dirait mouahahahahahah

Sylar regarda Joe et sourit. Il ne trouvait pas le clown réellement drôle, mais l'euphorie du moment aurait pu le faire sourire à une blague issu d'un mauvais carambar. Et puis il fallait avouer que Joe était tout de même quelqu'un de très excentrique ... dangereusement excentrique. Il le laissa récupérer ses petites affaires et rire encore comme il savait si bien le faire, après quoi il regarda Bane en lui disant:

" Bon, on entre ! "

Cet ordre fut également audible pour Joe, qui suivit la marche. Sylar posa une main sur chacun de ses sbires, et ils se téléportèrent à l'étage éventré devant eux. Ils arrivèrent juste après les flammes, et commencèrent à marcher. Sylar ne connaissait pas le bâtiment, mais il sentait Arthur en lui, il dégageait tant de puissant que le serial killer pouvait le repérer à travers les murs. Le patriarche ne semblait toujours pas bouger, ce qui confortait Sylar dans son idée qu''Arthur s'était résigné à perdre aujourd'hui. Alors que le trio de tueurs s'avançaient toujours dans les couloirs, un homme armé se posta devant eux. Le serial killer ne le connaissait pas, il ne l'avait jamais vu, mais en le regardant il savait que cet homme avait un pouvoir, il le voyait briller comme une petite led dans son crâne. L'homme rangea son arme, il ne voulait pas paraître hostile apparemment.

- Ça va, Kenter, je comprends ce que tu viens de faire et je ne souhaite pas t'arreter. Ce que je ne sais pas, c'est ce que vous etes venu faire içi, mais bon, si je peux vous aider, n'hésite pas a m'en faire pars. J'ai justement envie de tester mon nouveau petit joujou...

Décidément, le marché du traître est en explosion ces derniers temps. Après Ethan Sorrow qui trahissait l'OWI, voilà que cet homme aussi tournait les talons à son supérieur. Sylar usa de sa télépathie pour trouver quelques renseignements au sujet de cet interlocuteur mystère dans l'esprit même de ce dernier.

" Bien .... Monsieur Baneson. Je vais vous appeler Rick. Pour être tout à fait honnête, je suis venu pour tuer Arthur Petrelli et éteindre Pinehearst. Que vous soyez avec nous on contre nous n'est qu'une question de timing pour moi, sachant que si vous me laissez faire j'économiserais les 42 secondes que j'aurais mis à vous tuer. "

Rendu à Sylar ce qui était à Sylar, il était quelqu'un de très imbu de sa personne. Orgueilleux, vantard, mais ne pouvait-on pas se le permettre quand on était si puissant ?

" Si vous voulez donner un coup de main, rassemblez toutes les doses de la formule donneuse de pouvoir que vous avez créé. Tuez tous ceux qui s'opposeront à vous. "

Il s'adressa maintenant à Joe et Bane.

" Faites un maximum de dégâts, tuez toute personne vivante dans ce bâtiment, et n'épargnez que les enfants s'il y en a. On se retrouve au laboratoire. Si vous préférez faire équipe avec Rick, c'est à vour de voir. Je m'occupe d'Arthur ... "

Sur ces sombres paroles, le serial killer prit la direction de l'ascenseur, rendu inutilisable à causes des secousses causées par les explosions. Sylar ouvrit les portes avec sa télékinésie, ouvrit la trappe du plafond, et s'envola en direction de l'étage le plus haut, vers le bureau du Patriarche. Arrivé en haut, il défonça les portes avec télékinésie. Quelques gardes du corps l'attendaient, arme à la main. Les balles fusèrent en sa direction, et pour une fois, il ne les stoppa pas. Il encaissa la quinzaine de balles qui le projetèrent en arrière sur le sol. Les hommes en costard se regardaient, avaient-ils réussis ?
Soudain, un bruit de pièce métallique qui tombe sur le sol, puis un autre, et encore un autre. Au total une quinzaine de bruit de ce type, et le tueur se releva, indemne. Les gardes du corps se regardèrent, et ils comprirent que Sylar était invincible. Ils le fixèrent sans broncher, un air triste sur le visage.

" Bah quoi ... Qu'est-ce que vous voulez que j'vous dise ... Pas d'bol ! "

Il souri de façon démoniaque avant de lever ses bras et de commencer à faire valser les gardes du corps, les éclatant contre les murs, les égorgeant, les éviscérant, le tout avec sa télékinésie. Cela dura bien cinq minutes avant que Sylar ne soit le seul à toujours respirer dans le hall qui précédait le bureau du Patriarche. Il avait les vêtements et le visage couvert de sang, et le sol était lui aussi une mare de liquide rubis, pavé d'organes ensanglantés et mourant.

Sylar passa au travers de la porte du bureau avec son intangibilité, et se retrouva face à Arthur. Le Patriarche était assis derrière le meuble, les mains plaquées l'une contre l'autre devant son visage.

" Bonjour Arthur. Ça faisait longtemps, je devenais impatient. "

Le patriarche ne bougea pas, resta silencieux un instant, avant de finalement se lever de son bureau, et d'avancer vers Sylar.

" Je t'avais proposé tant de choses Gabriel, tu aurais pu devenir le plus puissant, et au final ton orgueil l'emporte une fois de plus, et tu "

" Je te coupe tout de suite l'ami. Le fait que tu ne te sois pas interposé à aucun moment de cette attaque veut dire que tu as vu l'avenir, et que tu sais ce qu'il va se passer. Donc tu crois que tes discours longs et barbants vont changer quoique ce soit à ma décision ? Et en plus tu continues de m'appeler Gabriel, ça ne stimule pas vraiment mon ouïe. "

Arthur sembla vouloir tenter quelque chose, mais il fut bridé dans son élan.

" Tu as développé le pouvoir du Haïtien, Gabriel ? "

Sylar sourit.

" Cela explique tout. Je dois t'avouer que je ne comprenais pas comment un être aussi faible d'esprit que toi aurait pu venir à bout de moi. Mais j'avoue que je n'avais pas pensé à l'hypothèse que tu développe une capacité d'inhibition des pouvoirs. "

" Que veux-tu, on ne peut pas penser à tout hein ! "

Maintenant cette inhibition sur Arthur, le tueur l'immobilisa avec sa télékinésie, et pointa son doigt vers le front du patriarche.

" Un dernier mot grand-père ? "

" J'aurais préféré mourir de la main de quelqu'un de bien plus digne que toi "

" Ouais ... ça te ressemble. Mais que veux tu ? On nait poussière, on redevient poussière, enfin ... Pas tout le monde. Mais toi, oui. "

Sylar commença à entailler le front d'Arthur, mais il fut stoppé dans son élan. Le patriarche retrouva sa liberté de bouger, et il se tint immédiatement le front pour contenir le sang, serrant les dents pour ignorer la douleur.

" Mais qu'est-ce qui se passe ? "

Le serial killer tenta de ressaisir Arthur, mais rien à faire. Il tenta de le griller avec son rayon laser, impossible. Pire que ça, il ne se sentait plus invincible, comme si ... comme si ses pouvoirs venaient de disparaître. Il regarda autour de lui, le Haïtien n'était pas là. Mais que se passait-il donc ? Sylar paniquait, il avait le front en sueur. Non, pas ça. Pas ses pouvoirs, tout mais pas ça. Il était devenu tellement puissant, il ne pouvait pas redevenir humain maintenant.

Perdu dans ses pensées, Sylar fut surpris par Arthur lorsque se dernier se releva et couru vers son bureau. Le serial killer se jeta vers lui. Le patriarche sortit une arme de poing du tiroir, et au moment de la pointer vers son adversaire, se dernier se jeta sur lui et le plaqua au sol. Sa douleur au front le relançant, Arthur était à nouveau paralysé. Il fallait agir, on verrait pour les pouvoirs plus tard. Sylar prit l'arme, et la pointa vers le patriarche.

" Adieu Arthur. "

Il pressa la gâchette autant de fois que possible, vidant tout le chargeur dans la tête et dans le torse du père Petrelli.
Un grand silence s'installa ensuite ... Il fallait empêcher toute régénération. Sylar prit la bouteille de scotch posée non loin, et la vida sur le cadavre d'Arthur. Plus jamais il ne devait revenir à la vie. Il attrapa un zippo en or posé sur le bureau, l'alluma, et incendia la dépouille du Patriarche Petrelli. Il s'éloigna ensuite.

" Bon, maintenant, mes pouvoirs. "

Sylar retenta à nouveau d'utiliser ne serait-ce qu'un seul de ses pouvoirs, mais impossible, aucun ne fonctionnait. Mais que se passait-il donc ?? Soudain, le déclic. Arthur ne se régénérait pas ... Il était mort ... Donc lui aussi était privé de ses pouvoirs. Quelque chose les avait frappé tous les deux, mais quoi ? A nouveau, un déclic. En voyant Rick Baneson tout à l'heure, Sylar avait compris que le pouvoir de ce dernier était la manipulation des virus. Et si il avait créé un virus qui inhiberait les pouvoirs ? Mais pourquoi l'aurait-il relâché ?? Plus le temps de comprendre. Les sirènes de police et de pompiers se faisaient de plus en plus proche, il fallait déguerpir. Sylar se rua vers les escaliers et descendit le plus vite possible tous les étages qu'ils avaient gravi en volant. Arrivé en bas, il sortit du bâtiment et s'enfuit en courant dans les rues sombres, juste avant que les policiers n'arrivent.

Il s'arrêta à quelques pâtés de maison, dans une ruelle. Il regarda ses mains, et ré-essaya. Toujours rien.

" Je suis ... humain ? "


[Voili Voulou qui lance donc enfin Powerless ! Je laisse le talent de Rick et de Joe nous expliquer comment le virus a été libéré, de façon intentionnelle ou accidentelle, c'est vous qui décidez les gars ! ]

Rick accepta sa mission d’un signe de tête. Depuis qu’il avait découvert son pouvoir, et par la même occasion sombré dans une douce folie, il avait voulu suivre les ordres de ce grand visionnaire qu’était Sylar. Un homme de conviction à qui, peu importe notre opinion, l’on doit le plus grand respect. Baneson n’attendit pas la réponse de Joe et réarma son pistolet, tourna les talons et s’élança en direction des laboratoires où était fabriquée la fameuse formule. Un projet ayant pour but de transformer ceux qui possédait les moyens en êtres dotés de capacités hors du commun, bref, d’autres spéciaux. Un projet avec lequel Rick n’était pas entièrement d’accord, mais ça ne lui importait peu. Arthur lui avait promis puissance, et puissance il avait trouvé. Le virus qu’on lui avait fournis était des plus virulents jamais rencontré par l’Humain, des dizaine de fois plus virulent que la fameuse Ébola.

Mais ce n’était que le début. Pinehearst travaillait aussi sur un autre type de virus. Ce projet était une idée du Maître des virus lui-même, et avait été accueillis à bras ouverts par l’administration. Ce nouveau virus avait la faculté d’inhibé les pouvoirs des spéciaux, les transformant en simples mortels jusqu’à leur décontamination par un vaccin sur lequel travaillaient encore une vingtaine de scientifique. Pour Rick, ce virus présentait des possibilités infinies, mais était encore trop instable pour être utilisé sur le terrain. Il se contaminerait probablement lui-même et se retrouverait aussi inoffensif que les simples humains qui arpentaient les rues de New York.

Il déboucha dans les labos où une trentaine de chercheurs s’acharnaient sur la formule. Rick leva sa main gauche et en une seule seconde, des cris de douleurs et d’incompréhension s’élevèrent de la foule. Du sang coulait de leurs yeux et de leurs bouches et ils tombèrent tous, en moins de temps qu’il en fallut à Rick pour baisser la main. Ils étaient tous morts, sans la moindre exception. Le Maître des virus aimait bien son nouveau jouet.

Soudainement, une violente explosion vint secouer le laboratoire. Un pan de mur entier s’arracha et s’effondra sur les congélateurs qui contenait, entre autre, les formules que Rick était venu chercher. Après choc, le bostonien aperçu Joe qui combattait depuis l’ouverture qu’il venait de produire (accidentellement ou non). Il venait de mettre au tapis plusieurs hommes dans une énorme explosion dont lui seul avait le secret. L’un d’eux avait été évacué et rampait tant bien que mal vers son arme de service. Souhaitant l’éliminer de la même façon qu’il avait tué les scientifiques, Rick leva sa main dans la direction de l’agent. Rien ne se produisit.

*Quoi? Non… Pas ça!!*

Saisit par une frustration, il se saisit de son arme de service personnelle, et tira dans l’homme qui rampait. Le foutu virus avait été relâché! Bientôt, ils perdraient tous leurs pouvoirs! Devant son incompétence soudaine, Rick quitta la salle. Il n’était plus d’aucune utilité pour personne, et il ne souhaitait pas mettre sa vie en péril. Maintenant qu’il n’était… qu’un simple mortel…

(Voila enfin! Je reste à Joe le soin de finir le topic!)