une rencontre dramatique [pv Coralie Declar]

Invité

C’était une journée comme les autres mais Ben qui devait travailler devait aller à l’aéroport. Il avait commandé différentes plantes exotiques mais maintenant elle était bloqué dans cette antre de la perfidie. Le scientifique avait du arrêter ses recherches pendant un temps pour pouvoir se consacrer entièrement à la récupération ses nouveaux petits bébés. Il lui manquait encore expérience test avant de pouvoir utiliser des prisonniers humains. C’était facilement faisable, il fallait juste mélanger l’ADN des humains avec celui des graines des plantes. Une manipulation qui se révélait de plus en plus difficile avec le temps. Ce Dr Frankestein des temps modernes avaient parcouru la ville pour venir recevoir ses nouveaux ingrédients.

Ben était arrivé depuis un bon quart d’heur devant le guichet qui s’occupait de l’importation des produits étrangers et non habituelle sur le territoire Américain. La hantise du terrorisme se faisait toujours autant bien sentir dans ce monde. Après tous ce n’était qu’un style de combat et d’affirmation politique remit aux goûts du jour.

La femme paressait absorber par la sèche de son nouveau vernir, qu’elle ne prêtait guère attention à Mr Valhérus qui était toujours d’un calme olympique. Ce dernier après une minute d’attente commença à se rapprocher encore plus du guichet qui ressemblait plus à une ville fantôme qu’un guichet comme on en avait l’habitude avec comme ceux de la poste.

Excusez-moi Madame, je n’aimerai pas vous déranger dans votre activité qui m’a l’air aussi intéressant que de regarder un escargot avancer mais vous avez quelque chose qui m’appartient et je ne supporterai pas que mes recherches prennent du retard tout ça à cause d’un fonctionnaire incompétent.

La femme le regarda d’un air courroucé, elle commença alors à répondre au scientifique mais elle n’avait pas remarqué que son supérieur le regardait du coin de l’œil. L’homme s’approcha délicatement de sa future proie.

Comment ça fonctionnaire incompétent, ce n’est pas ma faute si c’est le seul guichet d’ouvert tous de même. Je ne vous servirai pas, il faudra attendre que le guichet

Soudain elle entendit que quelqu’un derrière elle tapait du pied et se retourna avec stupeur. La femme regarda la tête de son employeur qui lui n’avait pas l’air du même avis qu’elle sur la question de servir Messieurs. L’homme s’avança tous en faisant un geste de la main comme quoi la jeune femme devait aller ailleurs pour se faire oublier pendant un petit moment.

Excusez ma collaboratrice Mr, je vais tacher de répondre à votre demande.

Ben devait attendre encore un moment, bien que le supérieur de la femme se soit montrer très entreprenant pour répondre aux demandes de Mr Valhérus, il se trouve que les plantes n’était pas encore prête, il fallait attendre encore trois heures. C’était quelque peu problématique. Il ne pouvait pas rentré car il devrait rentrer immédiatement. Il allait donc devoir rester mais faire quoi ? Il n’allait pas rester trois heures à rien faire. C’est alors qu’il s’installa à la terrasse d’un café. Dans se bruit pourtant important le scientifique était seul…

Suite à plusieurs interminables heures de vol, l'avion se posa enfin sur le sol de la Big Apple. Coralie se détacha, se leva et sortit de l'avion sans plus tarder. Après plusieurs heures d'avion, elle fut légèrement aveuglée par a lumière du jour. Elle s'y ferait. Elle devrait bien. Elle aspira l'air pollué de la ville et se sentit revigorée. Combien de temps cela faisait-elle qu'elle n'avait pas respiré un air contenant autant de carbone? Elle n'en savait rien mais sut que cela faisait bien longtemps. Elle s'avanca sur la parcelle qui reliait l'avion à l'aéroport et attrapa l'un des journaux qui étaient à disposition des passagers au passage. Elle le cala sous son bras et continua d'avancer, elle le lirait plus tard. Coralie commenca à chercher l'endroit où elle pourrait récupérer ses affaires. Avisant un tapis roulant où une foule de gens se ruait, elle en conclut que ca devait sans doute être ici. Après une attente interminable et son seul et unique bagage n'aparaissant toujours pas, elle se décida à aller demander à l'agent le plus proche. Celui-ci étant occupé à essayer de comprendre ce que voulait un couple francais qui ne comprenait absolument pas ce que l'agent leur demandait, Coralie décida donc d'aller aider au lieu de s'amuser de la situation. Plus vite l'agent se serait débarassé des francais, plus vite elle pourrait retrouver son bagage. Elle s'avanca et interpella l'agent dans sa langue adoptive.

«Excusez-moi, je n'ai pas p m'empêcher de voir qu'il y avait quelques problèmes de compréhension par içi. Je suis d'origine française, je pense pouvoir vous aider.»

«Merci bien madame. Je ne comprend pas un mot de ce qu'ils racontent.»

Coralie se tourna vers le couple et leur adressa la parole dans sa langue maternelle, la si belle langue qu'est le français.

«Madame, Monsieur, bonjour. Je vais servir de traducteur entre l'agent de l'aéroport et vous. Que souhaitez-vous savoir ?»

L'homme et la femme se regarderent avant de répondre. Finalement, l'homme fit signe à sa femme et la femme prit la parole.

«Merci, c'est gentil à vous. Nous voudrions savoir où se trouvent les toilettes. Nous avons eu beau chercher, nous n'avons pas réussi à les
trouver.»

Coralie fit rapidement la traduction à l'agent qui s'empressa de répondre en anglais.

«Oh ! Les toilettes ! Eh bien, il faut monter l'escalier et aller dans la partie commerciale de l'aéroport. Vous en trouverez à gauche du café.»

Elle s'empressa de faire la traduction en français au couple qui la remercia et s'en alla. Elle se tourna vers l'agent en souriant.

« Et voilà ! Je sais que je vais vous embêter mais j'ai moi aussi un problème. Je vous rassure, c'est un problème un peu plus grave que de ne
pas trouver les toilettes puisque je ne trouve pas mon bagage sur le tapis roulant.»

«Merci pour le coup de main. Pour votre bagage, vous êtes arrivée à quel terminal ? Vous vous êtes peut être trompée de tapis roulant.»

«Je suis arrivée au terminal G. J'ai été vers le tapis roulant se trouvant là-bas.»

Elle lui montra du doigt là où elle avait attendu et l'homme jetta un coup d'oeil en déclarant qu'il s'agissait pourtant du bon tapis. Il s'excusa avant de se retirer pour aller voir si il pouvait trouver le bagage après que Coralie lui eut donner une decription de ce dernier. Elle devrait attendre un peu. Elle s'installa sur un banc et ouvrit le journal qu'elle commenca à lire. Les informations étaient on ne peux plus banales. Il s'était évidement passé des choses depuis qu'elle était partie. La bourse avait chutée
considérablement et l'équipe de baseball de Chicago avait perdu la finale du tournoi national contre l'équipe de Los angeles par exemple. Ce qui était sûr, c'est qu'elle ne trouverait pas les informations qu'elle désirait dans ce journal. Elle posa le journal à côté d'elle une fois sa lecture terminée et attendit encore. L'agent tarda à venir, mais il vint finalement. Il lui annonca que son bagage allait être soumis à quelques tests «de routine» selon lui. Quand Coralie l'interrogea pour en savoir plus, il déclara simplement que le bagage semblait imprégné d'une substance hautement toxique et qu'il fallait simplement neutraliser cette substance. Il rajouta simplement qu'il faudrait attendre encore une petite heure et qu'elle pouvait aller au café en attendant, il irait la chercher quand tout serait terminer. Il s'en retourna sur ces belles paroles, laissait à nouveau Coralie
seule.

La Delcar resta un instant debout. C'était évident que ce genre de mouise devait lui tomber dessus. Mais c'était les désagréments de la civilisation où elle avait décidé de retourner. Elle devait tout contrôler, tout vérifier. Si la moindre chose n'allait pas comme il fallait, elle s'en occupait. Bien sûr cela dépendait des civilisations. Au Brésil par exemple, il n'y avait aucun contrôle dans les aéroports. Pour quelqu'un habitué à être fouillé à chaque vol, cela faisait vraiment étrange. Mais cela donnait l'impression au peuple
d'être en sécurité et il se confortait bien dans cette sécurité. C'était rassurant d'un côté et effrayant de l'autre avec toutes les histoires de terrorisme et de pirates des airs. Il était vrai que pour l'instant Coralie n'avait, pour l'instant, rencontré aucun problème en prenant l'avion et elle espérait ne jamais en rencontrer.

S'arrachant à ses pensées, elle se résigna à aller au café. Ca l'occuperait un peu au moins. Le temps de chercher, de trouver et de commander, l'heure serait surement passée et elle n'aurait pas le temps de boire son café. Elle se mit néanmoins à la recherche du fameux café qu'elle ne tarda pas à trouver contrairement à e qu'elle pensait. Il était indiqué à peu près partout. Encore fallait-il espérer qu'il reste de la place. Entrant dans le café, elle le vit complètement bondé. C'était évident avec sa chance naturelle. Mais apparament, sa chance habituelle tourna bien cette fois-ci puisqu'il restait une seule et unique place. Une homme était assis seul à une table. Elle s'approcha donc de la table et s'adressa à l'homme avec sa politesse habituelle.

«Bonjour monsieur. Je suis navrée de vous déranger mais j'aimerai savoir si je pourrai par hasard occuper cette place. C'est la seule restante das le café.»

Etant à présent en face de l'homme, elle put prendre le soin de le détailler un peu mieux. L'homme semblait être un scientifique, plutôt jeune il portait des lunettes cachant des yeux bleus. Il était habillé d'un costard très simple dont la chemise était surmontée d'un pull. Il fallait avouer qu'il ne faisait pas très chaud. Coralie attendit la réponse du jeune brun.

[HRP : Je me suis servie de ton vava pour faire la description]

» Créas by Coralie
» Un moment sans doute tranquille[PV:Coralie,Hell,Amy]