Je suis payer pour conduire pas pour me battre

Je me nomme Sam Cainrad, je suis un simple chauffeur de taxi quadragénaire, qui cherche le repos malgré ses particularités. En effet ma psychologie veux que je ne supportes pas certains mots, mais si il n'y avait que ça ! J'ai un don, comme beaucoup de mutant dans notre époque, je suis capable de... c'est difficile à dire. Je condense... des forces physiques dans des espaces clos, une fois à l'intérieur, ces puissances peuvent infliger de lourds dégâts à ceux qui ouvrent ces espaces. Enfin bref, ça fait bien longtemps que je n'ai pas utilisé mon pouvoir, je suis un homme simple et neutre. Même si il m'arrive de piquer des crises par rapport à certains mots, ou alors quand il est question d'argent, je prend très à cœur mon métier, et je ne perd pas un centime de mes courses !

Comme dit précédemment, je suis donc un honnête chauffeur de taxi new-yorkais, souvent en train de chercher des clients aux alentours de Manhattan, contrairement aux films policiers, le métier de taxi est calme et serein, il me permet de gagner ma vie sans trop d'effort. Etant doux de nature, je ne m'énerve jamais dans les embouteillages.
Aujourd'hui, c'est une journée pas très fructueuse, il y a peu de client à Manhattan. J'ai peut-être conduit un ou deux ivrognes, c'est normal puisqu'on approche de l'heure de fermeture des bars...
Je n'ai jamais peur (du moins pas trop) de tomber sur un type psychopathe, ou un malfaiteur, car même si je n'ai jamais eu à l'utiliser, j'ai une dernière ressource. Dans la boite à gants de la voiture, j'ai condensé il y a très (très) longtemps, de mon énergie, depuis le temps, ça doit être puissant !
Si jamais j'ai un problème, j'ouvre la boite à gants, je sort au même moment, et techniquement, ça devrait neutraliser un éventuel passager aux mauvaises attentions. Enfin j'espère. C'est une solution d'urgence.
Ah ! Je hais ce mot ! URGENCE ! AAHH !
Passons, passons... oublions...

J'attends depuis un moment, soudain quelqu'un me fait signe, je m'arrête, je crois le connaitre...
La personne rentre dans mon véhicule rapidement.
Je lances:

-"Où vas-t'on cher ami ?"

•Style 5: "Risk"

Le premier qui m'pique c'te code j'l'égorge. 8D

Sortant de la répétition du concert qu'ils allaient bientôt donner, nos 5 asiatiques étaient sortie dans leurs habits de scène, et ils comptaient bien rentré avec, même s'ils savaient que les gens allaient les regarder d'une manière désagréable.~

Marchant dans la rue tranquillement, Mikaru et ses clones était fatigué de leurs journée et marchait de plus en plus lentement. N'ayant pas apporter de sac, chaque double portait leurs arme sur eux, et comme toujours, l'arme la plus voyante était celle de Ryôga, mais les gens n'avaient pas l'air d'y faire attention; leurs yeux étaient surtout attiré par leurs habits. Le silence se faisait dans le groupe, jusqu'à se que Reno alluma une cigarette, Ko-Ki regarda autour de lui un instant puis il regarda ses jambes, il dit alors à Mikaru:
-"Hey, Mika', j'en peux plus... On peut pas prendre un taxi ou j'sais pas?"
Il semblait que Ko-Ki avait l'air d'avoir sérieusement atteint ses limites; ses mains tremblaient et ses yeux étaient rouges, se qui inquieta le groupe, Reno dit d'un ton inquiété:
-"Sa va pas?"
Puis Ryôga poursuivit:
-"Pourtant tes le plus énergique du groupe, qu'est-ce qui t'arrive?
-Je sais pas.... Pourtant j'ai la pêche, j'pourrait encore faire une heure de batterie, mais j'ai l'impression que mon corps suit pas.
-C'est bizarre, faudrait faire quelques chose Mika'." Intervint Iv, inquiet.
-Hum... J'vais prendre un taxi, pendant le voyage vous resterez en moi, on va à l'hôpital.
-Bien, ça te va Ko-Ki-san?
-Ouais... Merci."
Le reste du groupe fit alors un sourire vers leurs jeune batteur totalement faible. Mikaru prit alors la tête du groupe et les dirigea vers une étroite ruelle sombre, à l'abris des regards. Le chanteur fit alors disparaître les cinq musiciens et sortit de la ruelle, seul. Il se dirigea alors près de la route et appela un taxi, un homme s'arrêta alors pour le prendre. Il entra dans le taxi calmement, le conducteur lui dit alors avec gentillesse:
-"Où vas-t'on cher ami ?"
-"A l'hôpital le plus proche, s'il vous plaît" Répondit-il, d'un ton inquiet.

Ploc, ploc, ploc…Le bruit de la pluie frappant sur les carreaux de la petite chambre résonnait d’un son creux et vide. Au milieu de la pièce trônait un lit sur lequel était allongé un adolescent, Vitolio. Le jeune homme avait les mains croisés derrière la tête et fixait le plafond d’un air ennuyé et las, tellement las. La vie était toujours pour lui d’un ennui si mortel que le simple fait de devoir vivre en était fatigant. Ploc, ploc, ploc, le bruit des gouttes sur le carreau s’intensifia, la pluie et le vent tonnaient dehors, pas un temps pour mettre le nez dehors, ça tombait plutôt bien aujourd’hui allait être une journée banale, comme tant d’autre dans la vie d’un adolescent New-Yorkais, brin d’herbe perdu dans l’immense ville américaine qu’était « the big apple » comme aimaient l’appeler les touristes. Tournant légèrement la tête vitolio aperçut son portable sur le bord de l’étagère légèrement sur sa droite, se concentrant il fit léviter le téléphone et l’amena doucement jusqu’à lui avant de le saisir délicatement et de faire voler la coque d’un pulsion mentale. Pressant un bouton il laissa la douce lumière l’éclairer pour laisser entrevoir le fond blanc de ce qui semblait être un message, pressant un second bouton il fit apparaitre le texte et lut mentalement son contenu.

« What r we doing tonight ?”

Encore un de ses amis qui croyait sans doute que sortir l’intéresserait. Bah ça ou ne rien faire autant sortir un peu. Relâchant son étreinte vitolio laisse son téléphone décoller de ses mains et le maintint suspendu dans les airs devant ses yeux par télékinésie avant de composer sa réponse.

‘I don't Know yet, What do you want to do ?”

Expédiant son message vitolio bailla, il était vraiment constamment fatigué…Quel ennui…Le téléphone vibra un court instant, nouveau message. Déroulant le message l’adolescent le lut à haute voix presque inconsciemment.

« What would u say if we took ur Family?”

Laissant retomber le portable au sol dans un bruit mou vitolio se leva et s’empressa de se pencher pour le ramasser, qui avait pu écrire ça ? Et surtout pourquoi et comment ? Pianotant rapidement sur l’objet informatique vitolio alla sur le dernier message reçu et s’aperçut bien vite que le destinataire était masqué. Quand il avait lu le premier message il avait supposé qu’un de ses amis avait oublier d’enlever l’option de son téléphone, mais la ça commençait à devenir assez étrange, voir même effrayant…Tapotant de nouveau dessus il s’empressa de répondre.

“Who R U ?”
La réponse ne mit que quelques seconds à venir.

“A friends who don’t like u”

Posant le téléphone vitolio conserva son air impassible et totalement neutre, qui cela pouvait-il bien être ? Ses amis ne feraient pas de telles blague et personne d’autre ne lui voulait de mal…Personne excepté les hommes qu’il croisait bien trop souvent depuis maintenant un moment, les hommes en costume noir, rasé de près, avec des lunettes noir et des armes, des hommes qu’il avait toujours su repousser, mais la ça devenait critique visiblement. Le téléphone vibra à nouveau et vitolio s’en saisit lentement avant de lire le nouveau message

’ Come down all the family Is waiting for U !”

Enfonçant le téléphone dans sa poche le jeune home ouvrit rapidement sa porte et descendit les marches quatre à quatre, arrivé en bas et l’œil alerte il couvrit toute la pièce d’un regard, personne, où pouvaient-ils bien être ? Avançant dans la cuisine il s’aperçut que personne n’était la également, alors qu’il s’apprêtait à parler fort pour demander qui était la un bruit étouffé lui parvint du salon, s’en approchant il aperçut tout d’abord son frère, attaché avec du gros scotch a une chaise, en s’avançant plus il aperçut sa grand-mère et son grand-père, également lié, lui cachant brusquement la vue et s’imposant devant-lui un homme le fixa avec un sourire.

Salut, tu viens te joindre à la fête toi aussi ? On attendait plus que toi…Vitolio

Fixant son adversaire dans les yeux d’un calme tout à fait plat vitolio ne répondit pas de suite et évalua légèrement la situation, l’autre semblait seul, ne pas se fier à cela, un 2ème larron pouvait parfaitement se cacher dans la maison. Pas d’arme il était donc sûr de son coup, pas d’habits classe non plus, il semblait visiblement avec « eux », sinon pour qui d’autre ? Le fait qu’il ne porte aucun habit de haute couture semblait indiquer une certaine « liberté » dans sa façon d’agir, il faisait quasiment ce qu’il voulait, il devait donc être d’une très grande importance au gouvernement pour qu’ils ne l’obligent pas à porter l’uniforme.

C’est quoi ton pouvoir à toi alors ? Bah et puis je m’en fiche, tu vas gentiment venir avec nous, et je libèrerai les gens derrière, sinon…Ben adios les débillos, pigé ?

Oh tu es donc au courant pour mon pouvoir ? Si tu t’étais mieux renseignés tu saurais sans doute qu’il vaut mieux s’inquiéter, et que moi au contraire je n’ai pas à avoir peur de toi…Alors maintenant si tu veux bien sortir, faut ranger le foutoir que tu as mis.

Répondant toujours aussi mollement vitolio continua de fixer l’autre qui montra les dents avant de montrer un sourire puis de rire, ne comprenant pas son amusement vitolio continua de l’observer

Tu crois vraiment qu’on enverrait un type comme moi chercher un type comme toi sans raison ? J’ai pas les détails de ton pouvoir mais le « A » rouge et entouré de la même couleur que j’ai vu sur ton dossier indique que tu possède au moins un pouvoir de classe 9, un genre de pouvoir que j’ai rarement vu. Moi aussi j’ai un certain…Talent…Tu vois. Mais puisque tu ne vas pas me croire je te laisse tester, vas-y attaque-moi, puisque de toute façon je ne compte pas partir.

Vitolio fixa l’autre, voulait-il vraiment a ce point prendre une raclée ? Puisqu’il insistait, vitolio l’observa puis d’une pulsion psychique l’expédia au fond de la pièce avant de le plaquer contre le mur. Enfin tout du moins c’est ce qui aurait dû se passer, mais la il ne se passa rien, strictement rien, pas d’objet qui volent, pas de force, pas de puissance psychique, rien. Levant un soucril vitolio observa l’homme en face de lui d’un air étrange, qu’avait-il donc fait ?

Oh, je vois, un télékinésiste, vraiment un très puissant don que tu possède-la, extrêmement puissant…Dommage que tu ne puisses t’en servir maintenant non ? Mon don à moi est plus pratique, j’ai la capacité dite « d’inversion », j’ai le pouvoir d’échanger et de mélanger les pouvoirs et les capacités des gens, je suis capable de transférer un pouvoir d’un individu à un autre. Voyons maintenant que j’ai pris ton pouvoir a quel point il est efficace.

L’autre leva la paume et la pointa vers vitolio qui ne ressentit qu’une grande force lui appuyant sur le thoras avant de le précipiter avec une force Inouïe dans le mure de bois derrière, il s’enfonça de quelques centimètres avant de retomber au sol, sur les genoux, laissant de très puissants choc électriques de douleur parcourir tout son corps pour le faire souffrir le martyr.

Effectivement c’est très puissant, j’arrive à peine à en contrôler la forcer, incroyable non ?

Levant de nouveau la paume l’autre projeta vitolio au travers du salon et lui fit traverser la vitre qui donnait sur la rue, le balançant avec une force incroyable au milieu des débris de verre dans le jardin sous la pluie battante qui commençait maintenant à détremper ses habits. Faisant fi des sri de douleur qui lui lacéraient tout le corps vitolio se remit à genoux, penser, il fallait avant tout réfléchir calmement et garder la tête froide pour arriver à trouver la faille. Haletant face à la douleur il laissa son cerveau fonctionner à toute vitesse. L’homme avait bien dit qu’il avait la capacité d’ « inversion »non ? ça voulait donc dire qu’il n’avait fait qu’inverser, ou tout au plus remplacer ce qu’il possédait déjà , la télékinésie, par autre chose, mais comment savoir ce que c’était ? Il avait aussi parler de « classe 9 », ça devait vouloir dire que son don était particulièrement fort, mais s’il avait besoin de juger la force d’un pouvoir ça devait bien servir à quelque chose, mais quoi ? Sans doute pour l’inversion ! Il lui fallait sans doute remplacer le don qu’il échangeait ou empruntait par un autre pouvoir de même classe, ce qui voulait donc dire que vitolio avait bel et bien obtenu un pouvoir nouveau, mais quel était-il ? Et pour combien de temps surtout ?

Alors tu es décidé à venir ? Parce que je peux continuer toute la journée à te faire mal si tu le veux…

Vitolio se releva malgré la douleur très forte et très puissante dans sa jambe, il fixa l’autre et cligna légèrement des yeux pour repousser l’eau dégoulinant sur son visage et lui couvrant les yeux.

Tu as réussi à voler mon pouvoir et tu te vante déjà de ta victoire ? Extrêmement prétentieux ça non ? Tu n’es rien d’autre qu’un voleur dans le fond, contre des gens normaux tu ne dois servir à rien…

La provocation marcherait pour lui faire dire un peu plus sur son don de « confusion ». Effectivement ses mots firent mouche car l’homme sembla quelque peu contrarié avant de répondre

Tu me compares à un simple voleur ? Tu dois être plus stupide que je ne l’imaginais, tant pis je vais devoir te vaincre avant de te trainer de force.

Pointant un doigt vers son adversaire l’homme expédia vitolio sur la route derrière le portillon avec une force incroyable, l’adolescent vola d’une bonne dizaine de mètre en arrière sur une bonne hauteur d’un mètre ou 2 au-dessus du sol. Ce fut une voiture qui arrêta sa course net, un taxi plus précisément. L’épaule de l’ex-télékinésiste s’enfonça profondément dans la portière conducteur du taxi en enfonçant la tôle de 15 voir 20 bon centimètre vers l’intérieur. Tombant lourdement sur le bitume vitolio grimaça de douleur suite au pic de douleur qui lui déchira littéralement le bras, s’il ne s’était rien casser c’était un vrai miracle. Il fallait trouver au plus vite ce qu’était ce nouveau don par lequel son ancien avait été remplacer. L’eau continuait de dégouliner sur lui, formant un véritable rideau de pluie dans la rue, la visibilité était extrêmement réduite et a l’eau ruisselant sur le Macadam venait maintenant se mêler un filet de sang qui coulait du haut de l’épaule du jeune garçon toujours au sol.

-"A l'hôpital le plus proche, s'il vous plaît"

Hôpital ? J'aime pas énormément ce mot, il est souvent porteur de soucis. Celui que je croyais seul est en fait accompagné d'autres gars.
Il s'agit en fait d'un groupe japonais, dont j'ai déjà dû conduire une ou deux fois l'un des membres, ils ne m'ont pas l'air dangereux ni poisseux.
Dans le doute je garde la main sur ma boite à gant.
Je répond au rockeur nippon, avec ma courtoisie habituelle:

-"Ca marche, direction l'hôpital !"

Arrrh... j'ai dit le mot, hôpital, hôpital... hôpital ! Passons ! Il faut que je me concentre. Je reprend la route, et je me tourmente l'esprit pendant que je conduis, je risque l'accident.
Donc c'est par où déjà l'hôpi... ce bâtiment ? Ah oui, c'est par là. Je prend ce virage, il me semble. Ou celui là... non, l'autre ! Mince, j'ai pris le mauvais... aaah !
Je vais prendre le prochain embranchement.
Histoire de rassurer mes passagers, je lance doucement:

-"Tout va bien, je me suis juste trompé de virage."

Bon, là c'est tout droit ! Voilà, très bien. On devrais pouvoir y arriver. Ca doit quand même être simple de trouver l'hôpi...pital de manhattan.

Je suis sur une route déserte, comment j'ai pu arriver ici ? Le chemin est brodé de quelques habitations.
La voiture ralentis... merde ! Non ! Pas ça !
On dirait que la voiture a calé, ça va. J'ai eu peur que... mais qu'est-ce que... on dirait qu'il y a de l'agitation dans la maison sur le côté de la maison.
Soudain un jeune homme semble être propulsé de l'habitation, il défonce au passage le portillon se dirigeant vers MA voiture !
Des sentiments mitigés me parcoures, on dirait que je suis dans un sacré pétrin.
Pas de panique.
Je cri tout de même:

-ATTENTION !

Je ne connais pas la réaction des japonais, je sais juste que le jeune homme s'est enfoncé violemment dans la portière conducteur, se qui amoche vraiment mon véhicule.
Premier réflexe, je pose la main sur ma boite à gant, même si je sais que ça ne sert strictement à rien.
Le type qui a parut être possédé momentanément par un démon fou, retombe lourdement sur le bitume.
Pertinemment, je reste encore sur mon fauteuil, les mains sur le volant, une moue neutre au visage.
Des hommes habillé en civil (2 ou 3), mais n'ayant pas la tête du civil, semblent sortir de nul part, des pistolets à la main.
Ils encerclent la voiture, braquant principalement leurs armes sur le jeune qui s'est encastré dans ma porte.
Qu'est-ce qui se passe ? Une histoire de mutant ? On dirait..., moi j'ai rien avoir dans tout ça ! Je veux qu'on me laisse tranquille.
J'allume la stéréo quand même, histoire de se décontracter. Tiens, une chanson de Bob Dylan, il est pas mal à l'harmonica.
Voilà, un quatrième personnage, enrobé mais sûr de lui qui débarque, sortant de la maison, le doigt tendu vers un cible indéfinis.
Tout à coup, quelqu'un rentre dans ma voiture, je me retourne. C'est un des hommes armé de tout à l'heure.
Les japonais ne sont plus là. Où alors ? Je l'ignore.
Il a porté son pistolet sur mon front, je suis légèrement angoissé, mon souffle se fait rapide.
Il me fait signe de me retourner, se que je fais.
Il lance:

-"Tu vas faire tout se qu'on te dit, sinon je te tue !"

J'ai intérêt à l'écouter, sinon je suis marron. Je vais me tenir à carreau de coup-ci, je n'ai rien à me reprocher après tout, il va me laisser filer. Je n'ai rien vu, rien entendu !

-"Tue le taxi Chandler ! Il en a trop vu."

TUER ! Houla, je n'aime vraiment pas ce mot. Avant que le type est eu le temps de faire quoique se soit, j'agis ! Ma survie prône sur tout !
Je me décale légèrement, rapidement. Et j'ouvre en vitesse la boite à gant.
Ca faisait longtemps que l'énergie avais eu le temps de se reposer, je sens comme un soulagement au fond de moi.
Je suis sauf, et débarrasser du poids de la boite à gant.
N'empêche, que la force surgit défonce l'arrière de ma voiture, l'homme armé avec. Je suis moi même happé, jeté de mon taxi.
Je suis au sol, en vie, mais avec une envie de nausée.
Il doit rester un homme armé, avec l'autre gars sûr de lui. Il y a aussi celui qui c'est pris ma portière, et enfin les japonais. Mais là sur le coup, j'ai particulièrement envie d'être autre part, donc adieu les amis, moi je vais voir se qui se passe si je me relève et que je coure très rapidement tout droit.

Le premier qui m'pique c'te code j'l'égorge. 8D
-"Ca marche, direction l'hôpital !"

Répondit l'homme avant de prendre la route.
Pendant le trajet, pour se changer les idées, Mikaru regardait calmement par la fenêtre et écoutait la conversation de ses clones à l'intérieur de son corps:
[Ko-Ki:] *Dit, Reno-san.*
[Reno:] *Hum?*
[Ko-Ki:]* Tu croit que c'est grave c'que j'ai?*
[Reno:]* J'espère que non, d'un côté sa m'étonnerais, étant donné que tes immortel j'pense pas que tes une maladie rare ou je-ne-sais-quoi*
[Ryôga:]* Ou c'est peut-être un truc que t'a chopé de Mikaru*
- "Hé! J'suis là, hein!" Intervint Mikaru, à haute voix.
[Reno:]* Ferme là Mika'! Il va te prendre pour un taré!*
- "Okay, mais que j'vous entend pas parler de moi." Dit-il d'un ton boudeur.
[Ryôga:]* Mais tes con ou tu l'fait exprès?*
[Reno:]* Ryouga.*
[Ryôga:]* Pardon, c'sorti tout seul*
[Ko-Ki:]* J'en connait un qui va s'faire claquer ce soir!*
[Ryôga:]* J'en connait un qui va s'prendre ma main dans sa gueule ce soir!*
[Ko-Ki:]* Aaaaah c'est bon j'rigole, hein.*
[Iv:]* Dites, y'a pas un problème là?*
[Reno:]* Hum?*
[Iv:]* Bah, on dirait qu'il a pas prit la bonne direction.*
[Ryôga:]* Comment tu peux savoir ça toi?*
[Iv:]* Bah il suffit d'le regarder, il a l'air déstabilisé*
Mikaru regarda alors autour de lui pour essayer de trouver le moindre panneau lui informant du lieux où il était, l'homme lui dit alors gentillement et calmement:
-" Tout va bien, je me suis juste trompé de virage.
-" Ce n'est pas grave."
[Ryôga:]* Bah si d'un côté, c'est qui qui paye le trajet?*
[Reno:]* Du calme, il n'a qu'à demander une réduction au pire.*
[Ko-Ki:]* Genre le mec il va dire "Okay pas d'problème j'vous fait le trajet gratuit". Tout l'monde n'est pas comme toi Reno; sage et plein de logique.*
[Reno:]* J'ai jamais parlé d'un trajet gratuit, je dit juste que -*
Mais le guitariste fût coupé par le conducteur qui avait l'air paniqué:
- "ATTENTION !"
[Iv:]* Mikaru-san! Bouge!*
Soudain, un jeune homme s'enfonça sur la portière du conducteur. Paniqué, Mikaru était sorti le plus rapidement de la voiture, avait libéré ses clones de son corps puis le groupe s'était arrêté un moment, c'est lorsque Ko-Ki aperçu des hommes armé d'armes à feu se diriger vers le taxi qu'il prit Mikaru et le poussa pour que le groupe s'éloigne le plus possible du taxi:
- "Faut qu'on s'barre!"
- Qu'est-ce qui se passe?!" Intervint Reno en regardant le taxi, il n'avait pas vu les armes à feu, sa vue était surement dans le même état que celle de Mikaru.
-" Mais tu voit rien?! Ils sont armé!
-" Nous aussi on est armé, pas de quoi paniqué autant." Dit Ryôga, d'un ton décontracté.
-" Au lieu d'te la péter regarde s'qu'ils ont dans leurs mains!"
Ryôga écouta alors le batteur et scruta le groupe d'homme qui entourait la voiture, il vit alors des armes à feu:
-" Ah... Merde." Dit-il, gêné.
- "Allez on bouge!" Intervint Iv en tirant le bras de Ryôga.
Le groupe de Japonais se précipita alors vers le bâtiment le plus proche, il rentra alors dans une petite librairie. Mikaru regarda autour de lui instant puis il dit à Ko-Ki d'un ton rieur:
-" S'il faut se cacher, je pense que sa devrait aller pour toi n'est-ce pas, Ko-King?" Faisant allusion a leurs première rencontre qui était dans une bibliothèque d'on il avait prit des heures pour trouver le jeune batteur. [plus de précision dans Background]
Ko-Ki et les autres souria un instant ensemble, puis le gérant de la librairie s'adressa au groupe:
-" Je peux faire quelques chose pour vous?"
-" Non merci, on ne fait que visiter." Lui répond Reno, d'un ton calme.
Attendant que sa se passe, Reno était resté à la vitre, regardant le taxi pendant que le reste du groupe faisait un tour dans la librairie. Puis ils fût tous surpris par un bruit d'explosion, tous rejoint alors le grand guitariste:
-" C'était quoi?" Demanda Iv.
-" La voiture à explosé." Dit Reno, étourdit et surpris par cette explosion si soudaine.
-" Allons voir." Dit Ryôga, sur de lui, se dirigeant déjà vers la sortie de la librairie.
-" Attend! Et si il restait un homme armé? On fait comment?" Le stoppa Reno, paniqué par la situation.
-" Au pire on y va, mais y'en a un qui quitte pas Mika'. Répond Iv, calmement.
-"Ivu, tes le plus fort du groupe, tu restera avec lui.
- Attend! Mais Ko-Ki est en mauvais état!" Dit Iv, inquiet.
- "Nan sa va mieux, j'ai l'impression qu'en étant resté à l'intérieur de Mikaru m'a redonné de l'énergie. " Intervint Ko-Ki.
- "Hum... Sa rassure." Soupire Reno, rassuré.
- "Alors on fait comme ça?
- Ouaip, Ivu tu reste avec Mikaru quant à nous, on va voir si le conducteur va bien.
- Eeehh... J'en est rien à foutre du conducteur moi." Intervint Ryôga
- Bah tu monte la garde." Dit Reno, irrité par l'égoïsme du guitariste.
Le groupe se dirigea alors vers le peu de voiture qu'il restait. Ryôga avait dégainé son sabre et regardait autour de lui, Iv restait aux côtés de Mikaru quant à Ko-Ki et Reno, ils cherchaient le moindre trace humaines.

Vitolio grimaça légèrement de douleur, le sang coulait toujours de son épaule et la douleur lui lacérait littéralement la chair. Le choc avait été assez violent et ça l’avait sûrement blessé à l’épaule. Déplaçant légèrement la main, provoquant par la même un nouveau choc de douleur, vitolio remonta légèrement la manche de son t-shirt. Une belle entaille de 4 ou 5 cm lui découpait le haut de l’épaule, épandant un petit filet de sang le long de son épaule. La blessure était mineure, il aurait tout au plus une belle cicatrice quand elle guérirait. Rabaissant sa manche vitolio s’essuya le visage d’un revers de manche, le pluie torrentielle semblait se déchainer autour de lui, ce qui couvrait et cachait absolument tous les bruits autour de lui, c’était une mauvaise chose car cela l’empêchait de voir ou d’entendre d’autres ennemis potentiels mais cela le cachait également lui-même des attaquants. Soudain une voix puissante rugit dans l’air

Ce serait plus simple si tu acceptais juste de venir vitolio…Allez dépêche-toi, lève-toi et viens avec moi, tu verras tout va bien se passer.

Le jeune homme ne répondit pas, il cherchait sans doute à le localiser au son de sa voix. Toujours adosser au taxi vitolio le sentit bouger, et il lui sembla même entendre des éclats de voix, que se passait-il là-dedans ? S’écartant à peine vitolio entendit 2 voix étouffées qui parlait. Soudain une détonation puissante retentit, une explosion fit vibrer tout le taxi, a quelques mètre à peine de vitolio, une puissante aura de lumière ainsi qu’un énorme volute de fumée s’échappa de l’arrière du taxi qui avait carrément exploser, laissant cette partie en forme de chou-fleur. Il sembla à vitolio qe plusieurs masse sombre en furent éjectées, mais il n’en était pas certain, que s’était-il passé là-dedans ? Mais il n’eût pas le temps de plus répondre qu’une masse noire se découpa dans le rideau de pluie devant-lui, les formes du corps d’un homme se dessinèrent devant-lui.

Tu persistes ? Dommage pour toi, sans tes pouvoirs tu n’es rien de plus qu’un humain tout à fait ordinaire vitolio, tu ne peux pas me résister, alors viens maintenant !

L’autre tendit un doigt et le souleva de terre, le paralysant presque totalement de la tête aux pieds, lui laissant tout de même de quoi respirer et cligner des yeux. Vitolio tenta de toute ses forces de bouger mais c’était peine perdue, il était trop fort. L’homme en face de lui tourna brusquement la tête, la pluie avait, semble-t-il, diminué légèrement d’intensité, et la forme d’un homme fuyant se dessina à travers le brouillard de pluie. Tendant un autre doigt l’homme le pointa, brusquement la forme s’immobilisa au loin, elle aussi visiblement bloquer par télékinésie. Pliant l’index il la leva légèrement du sol et par force mentale il l’attira à lui, qui était-il ? Il semblait de taille moyenne, une barbe se dessinait sur son menton jusqu'à ses cheveux et une moustache florissait sous son nez, il avait une carrure assez carré et des yeux bleus qui apparaissaient sous un visage émacié par le temps et limé par la vie.

Qui es-tu toi ? Je ne te connais pas, tu ne me sers donc à rien je vais te…Attends une minute, tu es le chauffeur du taxi ? Aucun de mes hommes n’est doté de pouvoir ou d’armes capable de faire exploser une voiture quasiment entièrement, qu’as-tu fait ?

Fixant l’autre des yeux l’homme du gouvernement garda un visage impassible, c’était l’occasion attendu par vitolio ! Bougeant légèrement la tête il se concentra sur le sol, l’autre avait échangé ses pouvoirs contre d’autre, et il fallait absolument deviner ce que c’était, malgré la douleur de son épaule il fallait qu’il se concentre et réfléchisse calmement. Malgré sa concentration il ne se passait rien, absolument rien…Non attendez ! Il y’avait bien quelque chose, malgré la pluie torrentielle qui coulait en ce moment aucune goute d’eau ne passait à l’ endroit où il se concentrait. Stoppant la sa canalisation de pensée vitolio laissa l’eau recouvrir ce poiint, se concentrant de nouveau il fixa un autre point et l’eau s’écarta de nouveau. Il possédait le don d’hydro kinésie ! Il pouvait manipuler l’eau à sa guise ! L’autre avait fait l’échange entre les 2 pouvoirs de classe 9 et il s’était retrouver avec ce pouvoir, c’était une capacité certes intéressantes mais qui ne battait pas la télékinésie en temps normal, mais sous une pluie aussi forte cela devenait une arme des plus redoutables !

Hum…Tu ne veux pas me répondre ? Bien, je vais donc devoir le trouver moi-même….

L’autre fixa le chauffeur de taxi qu’il maintenait toujours en lévitation au-dessus du sol avec un air étrange avant que son visage ne s’illumine légèrement, il semblait avoir trouver, visiblement son don lui permettait également de connaitre les pouvoirs des personnes de son entourage, voila comment il avait su que vitolio était un télékinésiste.

Tu as le don…De pouvoir condenser des énergies, c’est bien ça ? Peuh, a quoi peut bien te servir un pouvoir de classe 5 aussi faible que celui-ci ? A rien du tout…Mais il vaut mieux prévenir que guérir comme dit le dicton.

Il ne se passa rien pendant quelques secondes, l’autre inversait probablement les pouvoirs du chauffeur. Un léger rictus se dessina sur son visage. Maintenant toujours son étreinte mental sur vitolio il se tourna et projeta l’autre au-travers d’un mur de la maison, sous la pression du poids de l’homme le bois vola en éclat et creusa un énorme trou dans la maison. Il avait maintenant un adversaire de moins. Se tournant vers vitolio l’autre fut surpris de voir un sourire se peindre sur son visage.

Tu es un voleur…Et tu crois être le plus fort simplement parce que tu as pu voler mon don de télékinésie ? Le véritable force c’est de savoir s’adapter a toute nouvelles situation et pouvoir en tirer le meilleur parti afin de remporter la victoire !

L’autre ne sembla pas comprendre les paroles de vitolio et il fut prêt à répliquer mais l’adolescent fut plus rapide que lui, il avait réussi à former 3 petites boules d’eau à ses pieds qu’il expédia avec force dans le ventre de son adversaire qui recula de quelques pas et relâcha son emprise sous l’effet de choc et de surprise. Tombant au sol le jeune homme réussit à se maintenir droit sans tomber et tendit sa main droite, il se concentra et dirigea toute la pluie de la zone, aussi bien au sol, qu’encore dans les airs autour des bras et jambes de l’inconnu, ainsi rendu lourd par le poids de l’eau l’autre ne pourrait plus bouger. Le mouvement fut exécuté en à peines quelques secondes, mais à peine fut-il terminé que l’autre se mit à rire d’un rire sadique et cruel.

Tu penses avoir gagné avec ça ? Avec si peu ? J’ai toujours ton don de télékinésie et je peux tout aussi bien me défaire de ton emprise en t’expédiant à l’autre bout de la rue.

Tu peux le faire. Mais dans ce cas je resserrai l’eau autour de tes membres et je ferais éclater tes membres en un amas de chair inutilisable. L’avantage est dans mon camp.

Dans ton camp ? Tu es sûr de ça ? N’oublie pas que j’ai toujours le don ce stupide chauffeur de taxi, eyh oui je peux accumuler l'énergie dans un espace condensé! Observe bien mes mains, et tu verras qu’elles sont croisées, si je relâche mon étreinte boum plus d’eau et les pendules à 0.

Tu ne le feras pas…Car dans l’explosion tu aurais plus de chance de mourir que moi…Maintenant tu vas te rendre bien gentiment.

Un autre rictus se forma sur le visage de son adversaire, le mouvemlent suivant fut très rapide, l’homme emprisoner dans l’eau relâcha son étreinte et ouvrit tout grand ses mains, libérant par la même l’énergie condensé qu’il venait d’accumuler, il fit éclater l’étreinte d’eau que vitolio maintenait sur lui et il se projeta lui-même en arrière avec une force incroyable, creusant un second trou dans la maison en éclatant de nouveau le bois et vitolio se retrouva de nouveau projeter avec force à travers la rue, il tenta de ralentir sa vitesse de chut avec de l’eau mais il ne réussit qu’a se freiner légèrement. Traversant la vitrine du magasin d’habits de l’autre côté de la rue il heurta quelque chose, ou quelqu’un, et se retrouva expédia dans ce qui ressemblait à 3 ou 4 rangées d’habits. Sa chut fut beaucoup plus molle que contre la portière du taxi, mais tout de même légèrement douloureuse.

Dans mon élan, je penses à tellement de choses. Toute une vie de moment calme ou moins calme défile devant mes yeux.
Je repense à ma voiture de taxi. Comment je vais la réparer celle là ?
Pendant ma course effréné, je m'arrête un instant, sous la pluie, sans vouloir voir ou entendre les évènements derrière moi. Je dois me rendre à l'évidence, je n'irais pas loin comme ça.
Par terre je vois une canette piétiné à moitié ouverte, je n'aime pas faire ça, mais c'est peut-être ma chance de salut, mon pouvoir a beau ne pas être extrêmement puissant, il reste un don qui m'appartient et que j'ai appris à utiliser durant toute ma vie. Et même si il vaux mieux pour moi de déguerpir, se ne serait pas juste vis à vis de ces personnes qui sont derrière moi. Je ne suis pas un lâche. Je ramasse alors la canette et la place dans mes mains. En me concentrant sur elle, je condense a l'intérieur mon énergie avec le plus de force possible, se qui n'est pas très facile vu la force qu'il me reste.
Sous la pression, la petite ouverte de la canette se ferme. L'objet se plie tout d'abord puis gonfle à bloc.
Avec ma vitalité actuelle je n'ai pas fais une arme très utile. On peut même dire que j'ai condensé de quoi à peine égalé un pétard de môme.
Je suis foutu. J'ai eu de la chance d'avoir autant d'énergie condensé dans ma boite à gant tout à l'heure, mais maintenant, je sens (j'ignore pourquoi) que je n'arriverais pas à m'en sortir.
Je tiens tout de même cette canette dans ma main, au cas où...
A bout de force, je tombe à genoux, mais dans un souffle je me relève, courage, mon destin n'est pas scellé ! AH ! Je n'aime pas du tout... du tout cette expression !
Restons concentré. Je dois aider les... AH ! Je suis pris au piège !
Une étreinte invisible se resserre autour de moi, sûrement la même force qui a propulsé le garçon dans ma voiture.
Peut-être un télékinévi...si...euh...giste...ou siste... peut importe. En tout cas, ça y est ! Je suis foutu.
Non. Non. Gardons notre sang froid, rien n'est perdu.
Je conserve dans ma main la canette.
Je suis soudain attiré à une vitesse folle jusqu'à le type gras de tout à l'heure.
Il a l'air sûr de lui et méfiant à la fois. Il me dévisage un moment, me jaugeant. J'ai le temps de toiser du coin de l'oeil le garçon de tout à l'heure, il a l'air d'être sous l'emprise du gars étrange lui aussi, sauf que le gamin tente d'établir un plan on dirait. Il est concentré.
Le télékinégivisitre me lance méchamment:

-"Qui es-tu toi ? Je ne te connais pas, tu ne me sers donc à rien je vais te…Attends une minute, tu es le chauffeur du taxi ? Aucun de mes hommes n’est doté de pouvoir ou d’armes capable de faire exploser une voiture quasiment entièrement, qu’as-tu fait ?"

Fou que je suis, je ne répond pas. Je suis terrorisé, mais calme. Si le gars voulait me tuer, il pourrait le faire sans problème.
Je dois maintenir la puissance dans la canette, on dirait qu'il ne l'a pas remarqué.
Je serre les dents tout à renvoyant le regard impénétrable de l'homme gras.
Ce dernier ajoute un peu plus doucement:

-"Hum…Tu ne veux pas me répondre ? Bien, je vais donc devoir le trouver moi-même…. "

Okay... bah écoute, si tu veux. Je sais que tu m'entends pas vu que je suis en train de penser mais sache que je t'emmerdes !
Soudain je me sens étrange. On dirait qu'il évalue quelques choses en moi... je perd le file de mes pensées...

Je suis soudain réveillé de mon demi-sommeil par une voix cassante:

-"Tu as le don…De pouvoir condenser des énergies, c’est bien ça ? Peuh, a quoi peut bien te servir un pouvoir de classe 5 aussi faible que celui-ci ? A rien du tout…Mais il vaut mieux prévenir que guérir comme dit le dicton."

Classe 5 ? Prévenir ? Guérir ?
Je suis encore dans les vapes, moi...
Il ne se passe rien. Absolument rien. Sauf que je sens que je n'ai plus aucune emprise sur la canette dans ma main.
Bien sûr l'énergie est toujours condensé dans l'objet, mais je ne peux plus continuer à l'augmenter discrètement. Je... oh non ! On dirait que je n'ai plus mon pouvoir !
Quel enf...lure !
Je n'ai pas un besoin primordial de ce don, mais il est a moi ! C'est mon identité qu'il me prend !!!
Tout à coup, je sens que je prend de la vitesse. Je suis propulsé. C'est la totale.
Je traverse un mur on dirait. Décidément je haie ce type.
Heureusement que je suis massif, sinon j'aurais pu prend un choc beaucoup plus violent.
Je suis à terre, et j'y reste un petit moment, je ne sais pas combien de temps.
Finalement je prend le courage de me relever douloureusement.
C'est pas de mon âge tout ça. Pourtant je suis encore jeune.
Eh bah oui je suis encore jeune !!! Bon sang.
Bref, je constate que je suis dans une maison. Bien.
J'ai encore cette canette dans la main. Très bien.
Je n'ai toujours pas de pouvoir. Moins bien.
Aïe, j'ai la main qui picote, je ne sais pas si c'est dû au fait que je me suis libéré de l'emprise de l'homme gras. Je suis sûrement engourdie.
Aïe ! Non c'est pas ça ! J'ai des petits éclairs rouges qui SORTENT DE MA MAIN !!! AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !
Ils s'arrêtent ! C'était quoi bon sang ?!
La canette semble attirer par ma main, comme si sa force décuplait à son contact.
Peut-être que...
En me concentrant un peu, des éclairs se mettent à ressortir de ma main, ils percutent la canette gonflé, qui se dégonfle légèrement pour agiter le contenu instable, je sens cette énergie devenir surpuissante.

Je ne sais pas comment, mais on dirait que je suis passé de condenseur à superchargeur.
C'est bien aussi.

Je m'approche du mur explosé, toujours lentement et douloureusement. J'aperçois une silhouette grâce, ça doit être lui...
Je crie:

-"Hé connard ! Tu as quelque chose qui m'appartient, je crois !"

De toutes mes forces restantes, je lance la canette prête à exploser sous la puissance énergétique condensé, sur l'homme gras.
Je me recule légèrement.
Je ne sais pas bien se qui se passe, j'entends juste une explosion. J'ai l'impression que mes mains me picotent plus. Je crois que mon énergie naturelle reviens en moi.
Mes VRAIS pouvoirs me reviennent, enfin !

Tout d'un coup je me demande se que sont devenus les japonais...

Le premier qui m'pique c'te code j'l'égorge. 8D

Marchant toujours en direction du taxi, c'est lorsque Reno vit un gros homme menacer d'une arme le chauffeur qu'il se retourna pour faire signe au reste du groupe de s'arrêter . Ryôga se mit alors aux côtés du grand guitariste pour lui demander discrètement:
-"Alors? Tu l'as trouvé?
-Ouais, mais il est pas seul. Du coup j'sais pas comment faire.
-Avoue, t'a pas envie d'te salir les mains pour c'te gars."
Reno écrasa alors le bout du pied de Ryôga du talon de sa Santiag.
-"Ité! Ça fait mal enfoiré!
Spoiler:
-Ferme là si c'est pour dire des conneries." Réponda-t-il froidement.
Sur ces mots, Ryôga se tût. C'est alors que le jeune batteur, Ko-Ki, rejoint les deux guitaristes:
-"Je ne voudrais pas déranger votre discussion si passionnante mais y'en a qui attend là Donc... On fait quoi là, papa-Reno?
-"papa-Reno"? Tu l'sort d'où ça?" Intervint Ryôga.
- C'est nouveau, ça vient d'sortir. J't'expliquerait plus tard." Ignorant le surnom que lui avait donné Ko-Ki, Reno avoua, gêné:
-"Pour tout vous dire... J'ai aucune idée de comment se sortir de cette embrouille. Mais je peux vous dire que fuir n'est pas dans mes cordes.
- Allons voir Ivu et Mikaru pour voir s'ils ont une idée" Dit Ko-Ki avant de se diriger vers les deux autres asiatiques. Ryôga et Reno le suivit alors en silence.
-" Quelques chose ne va pas?" Demanda Mikaru en voyant ses trois clones se diriger vers lui.
-" Ouais, un "gros" problème.
- Comment ça?
- Il reste encore un gros baraqué et un autre jeune." Poursuivit Ryôga.
-" Et vous voulez que j'm'occupe du gros baraqué c'est ça?" Demanda Iv en soupirant.
-" Pas question! Il est armé, et je ne pense pas que tes muscles empêcheront une balle de rentrer dans ton corps." Rétorqua Reno.
Puis une autre explosion se fit entendre, voyant que quelque chose se dirigeait à toutes vitesse vers eux, Ryôga prit le plus rapidement possible tout le groupe dans ses bras pour les pousser plus loin et, par manque de chance, il se fit emporter par la chose en question qui les fit, tout deux, se diriger vers un magasin de vêtements. Ryôga avait eu la malchance de traverser en premier la vitre de verre du magasin pour ensuite atterrir dur une pile de vêtements.
Encore sonné, il ouvrit lentement les yeux et vit qu'il y avait un homme sur lui; dégouté, il le jeta de plus belle de ses bras et se releva le plus vite possible, il sortit alors son sabre de son fourreau et le pointa vers l'homme qui lui était tombé dessus puis, soudain, il sentit une grande douleur lui parcourir le dos, la douleur était si intense qu'il en perdit l'équilibre pour tomber à genoux. Il posa alors doucement sa main sur son omoplate et la regarda un instant, il vit alors du sang, c'est alors qu'il s'état souvenu avoir traverser la vitre de verre du magasin, il remit alors sa main sur son dos et y sortit un énorme bout de verre, il réalisa alors enfin que s'il était une personne normal il serait mort.
Puis le groupe lui revint à l'esprit, il regarda alors autour de lui et ne vit personne d'autre que le jeune homme qui l'avait heurté. Paniqué par se qu'il se passait, il ne put retenir ses pensées:
-"Mais merde! Mikaru, Reno, Ko-Ki, Ivu... Mais ils sont où bordel?!" Hurla-t-il, totalement paniqué.
*On est là, calme toi.*
-"Reno?! C'est toi que j'entend?"
[Reno:]*Ouais, il semblerait qu'il y est eu un déclic quand tu nous a prit tout les quatres*
-"Hein?"
[Reno:]*En gros, Mikaru et toit avez échangé les rôles.*
-" Ça veux dire que c'est moir le leader maintenant?"
[Mikaru:]*Crève.*
[Reno:]* Non, imbécile. Ca veut dire que tu est aussi capable de nous faire apparaître et réapparaître.*
-"Han... Et j'fait comment pour vous faire revenir maintenant?"
[Reno:]*Tu véra ça avec Mikaru plus tard, pour l'instant j'aimerais que tu te concentre sur ce mec que tu tes prit.*
-" Humpf... J'arrive même pas à bouger mongol!"
[Reno:]*Dans ce cas, fait moi apparaître: concentre toi sur mon image*
Ryôga ferma alors les yeux un instant, se concentrant sur l'image de Reno, il commença par son corps, puis par son visage ainsi que ses vêtements jusqu'à aller jusqu'au plus petit détail: ses piercings, la couleur de ses yeux... Jusqu'à se que le grand guitariste apparaît à côté de Ryôga. Lorsque ce dernier vit que Reno état bien à ses côtés, il fit un long soupir de soulagement avant de se laisser tomber par terre, étant beaucoup trop mal en point pour tenir plus longtemps.
Reno vit alors le dos en sang de son équipier se qui le fit écarquillé les yeux, puis il les fronça en regardant le jeune homme en face de lui; il sortit alors l'une de ses armes, sortit les trois lames et pointa l'unes d'entre elles vers l'adolescent:
-" Bon... Maintenant tu va m'expliquer ce qu'il se passe."

Un bruit de verre, un gros bruit de choc, un bruit sourd et puissant…Puis plus rien, le noir complet…Un sensation de douleur extrême atténué, comme s’il se trouvait à 100 km flottant au-dessus de son corps, la douleur était à peine perceptible en réalité. Comme une pierre que l’on jette dans un étang et qui remout l’eau en surface tout en s’atténuant au fur et à mesure de sa propagation dans l’onde. Pour la première fois de sa vie un silence régnait dans l’esprit de vitolio, un calme qu’il n’avait jamais connu, dès que son cerveau voyait la moindre information il ressentait le besoin incontrôlable de le décortiquer, l’étudier, l’analyser, voir comment il fonctionne. Même si l’opération ne prenait pas plus d’une dizaine de seconde il régnait toujours dans ‘esprit détendu du jeune garçon une activité certaine.

Soudain une violente sensation secoua l’esprit calme, suivit d’une deuxième plus violente, accompagné d’un son grave et irrégulier, le choc passa mais le son semblait persister, discontinu, irrégulier, avec différent timbre et différentes hauteur de notes, tantôt grave, tantôt légèrement plus fluet. Le son sembla s’intensifier, lui qui n’était qu’un bruit au loin devint petit à petit présent comme…Une voix, oui c’était une voix il en était certain, il pouvait même en distinguer certains mots. Arme, dos…Hors de contexte et hors de propos ça ne voulait absolument rien dire. Soudain une troisième secousse vint ébranler l’espace sombre dans lequel il se trouvait, mais celles-ci sembla plus…Intense. Les précédentes secousses lui avaient données l’impression d’être le petit bonhomme a l’intérieur de la boule à neige que l’on secoue pour en faire remuer les flocons, incapable d’agir, juste spectateur de la secousse, mais la on aurait dit qu’il semblait reprendre peu à peu l’usage de ses membres, car il eût cette fois l’impression d’être le verre de cette même boule à neige, et non plus ce petit soldat qui est juste le spectateur des événements.

Soudain il sembla a vitolio que tous ses membres et tous ses nerfs reprenaient du service en même temps, une foule de sensation l’envahirent en l’espace d’a peine une seconde, il eût mal, froid, il sentit le sang couler de ses plaies et sentit la fatigue, et le poids de l’eau sur ses vêtements. Il ouvrit soudain les yeux et eût l’impression de s’éveiller d’un cauchemar, la première chose qu’il fut fut d’inspirer une grande goulée d’air pur qui lui sembla durer un millénaire. Il évalua rapidement la situation, il était allonger sur le sol, les bras écartés, face contre terre, il lui sembla que quelques habits étais étalés négligemment sur son dos, mais il ne put tourner la tête pour vérifier, sa nuque était bien trop douloureuse. Il fallait avant tout se relever, pliant son bras droit il le posa au sol et tenta d’une pulsion forte de se relever, mais la douleur fulgurante qui lui transperça littéralement le bras l’en dissuada si fortement qu’il se laissa retomber sur le carrelage mollement. Roulant la tête sur le sol il aperçut comme un éclair de lumière qui l’aveugla légèrement, jouant de ses yeux il aperçut un bout de métal pendant, il crut tout d’abord qu’il s’agissait d’un porte-manteau brisait qui gisait suite à sa chute, mais en y regardant de plus près il se rendit compte qu’un asiatique était en train de le menacer de son katana. La pulsion d’adrénaline qui lui traversa le corps eût raison de sa douleur au bras et réussit finalement à le faire lever après maints efforts.

Se tenant maintenant a genoux devant son nouvel adversaire vitolio le vit remuer les lèvres mais ne put l’entendre dans le brouhaha de clients affolés dans le magasin et le tumulte de la pluie tambourinant sur les carreaux dehors. Usant de ses dernières forces vitolio leva sa dernière main valide et dans une pulsion psychique il fit voler l’arme d’un simple mouvement de poignet, écartant les doigts il tendit la paume vers l’autre et d’une seconde pulsion il l’expédia au fond du magasin, l’aplatissant fermement dos au mur il le maintint collé et réussit à se remettre debout, faisant fi des stris de douleur qui lui lacéraient le bras, le dos et la moitié de la jambe il s’avança et, toujours la main tendu, il articula tant bien que mal quelques mots.

Pourquoi vous venez…Vous venez…Chercher quelque…Qui…M’appartient, mon pouvoir…Est a moi…Laissez-moi tranquille !!

Relâchant son étreinte vitolio tomba à genoux, ses bras retombant le long de son corps. Tournant légèrement les yeux il s’aperçut un flot de sang très important jaillissait maintenant de sa blessure au bras…Bras qui était d’ailleurs sûrement cassé en de multiples endroits après autant de choc, un vrai miracle qu’il soit encore vivant d’ailleurs. Toussant vitolio expulsa une gerbe de sang par la bouche, le combat était inégale.

Alors finalement ta atteri ici ?

Tournant la tête vitolio aperçut celui qu’il croyait avoir mis hors d’état de nuire. Il souriait mais semblait lui aussi en mauvais état, il avait une plaie ouverte au front et s’appuyait a un porte-manteau pour rester debout, se tenant fermement les côtés de l’autre main.

Tu as réussi ton coup, tu ma déconcentrer et du coup…Mon pouvoir s’est désactiver et les pouvoirs que j’ai acquis durant la bataille sont revenus à leur propriétaire…Mais maintenant c’est…Fini..Regarde le joli petit cadeau que j’ai pour toi !

L’autre tendit un doigt et fit apparaitre une blamme au bout de son index, souriant toujours de toute ses dents il pointa la flamme vers vitolio. Le feu crépitait doucement au bout de l’ongle, prêt à ravager le magasin et le jeune adolescent .

ça c’est mon véritable pouvoir..A la base j’ai toujours eu ce don…Et c’est pas ton pathétique ami monsieur le groupi chinois qui ira te sauver…Maintenant je te le dis pour la dernière fois, viens avec-moi !

Son…Pathétique ami ? Donc cet asiatique n’était pas de leur côté ? Bah qu’est-ce qu’il importait maintenant qu’il allait mourir ? Maintenant que tout était fini, maintenant que sa fin était venue…Tenant les 2 hommes en joue de son index l’autre se retourna et lâcha ses côtés de sa main droite pour appuyer sur ce qui ressemblait à un micro dans son oreille, puis il parla a voix basse, mais maintenant que les voix dans le magasin et que la pluie s’était calmée cela devenait plus audible.

Equipe delta, envoyez les équipes charly et tango sur le chauffeur, il ne faut pas qu’il nous échappe.Envoyez également 2 équipes de nettoyeurs et une équipe d’interception au magasin de vêtement en face de la maison du gosse, vite !

Il me semble avoir vu passer quelque part un de ces japonais, tout à l'heure... mais là n'est pas mon problème.
Je suis seul dans une situation improbable dont je connais à peine mes adversaires et leurs motivations.
De plus mon véhicule est salement amoché, et chaque seconde que je perd, disparait avec de l'argent de clients potentiels.
Je suis dans la mouise, et mon pouvoir n'est que très limité dans ce genre de moment.
Bon sang, je suis payé pour conduire ! Pas pour me battre.
Je m'en fiche, je forcerais la main aux japonais pour qu'il me donne le prix de la course plus un supplément, même si se n'est pas de leur faute... je ne peux pas me permettre de ruiner mon travail pour chaque fois qu'il arrive un accident.

Soudain, je me rend compte de mon état lamentable. Je suis fatigué, courbaturé, essoufflé, j'ai le dos en miette et je suis sûr que si je me mettais à marcher, je boiterais.
J'ai envie de m'écrouler, et de m'endormir, d'oublier les histoires d'argents et de mots effrayants. D'oublier l'homme gras avec son regard sûr de lui -qui avec du recul, est particulièrement terrorisant-, mais se n'est pas finis, je le sent.
Je reste à genoux, toisant le sol, au cas où un récipient trainerais par là. Mais non. La chance ne repasse pas deux fois. En plus, je ne sais même pas si j'aurais eu la force de condenser de l'énergie encore une fois.
Je suis faible.
Mais je ne dois pas m'y résoudre, il est temps de compter sur mon sang-froid légendaire. Je me relève, m'efforçant de ne pas broncher, puis j'entreprends d'avancer dans les gravats.
Effectivement, je boîte. Et pas qu'un peu !
A chaque pas, je sens un douleur remonter en moi, comme une mèche qu'on allume, qui se consume, jusqu'à parvenir au cerveau et éclater.
Je me sens chaud, et au bout d'une minute, je ne sais même plus où je vais.
Mon calme n'aura servis à rien. Ni ma détermination.
Retour à la case départ. Je retombe à genoux, et le sentiment d'impuissance m'envahis à nouveau.
Je suis comme persuadé qu'il n'y a plus d'issu, et que je ne serais plus jamais taxi, ni mutant, ni vivant. Pourquoi ?
J'ai peur; mais ce sentiment doit être entretenue par un soupçon d'énergie. Et je n'en ai plus.

En regardant autour de moi, je trouve tout à coup le paysage, fabuleux. On dirait une scène d'un beau film de science-fiction. Un décor post-apocalyptique (arrr, je n'aime pas ce mot, fatigué ou non). Je m'imagine une seconde comme le dernier homme sur terre. Dernier survivant d'une guerre nucléaire, qui s'écroule car il ne peut plus supporter la longue attente solitaire. Il est exténué d'essayer de vivre, et il tombe, pour rejoindre le reste du monde: le sourire aux lèvres.
Se serait un beau moment de cinéma. J'adore le cinéma.

A genoux, j'aperçois une espèce d'équipe d'élite, comme on peut voir dans ces séries policières.
L'un d'eux se rue vers moi, l'air professionnel. Il me saisit par les épaules et me lève sans peine.
Rapidement, avec des geste experts et précis, il dégaine une seringue. Ses collègues le rejoignent, tout aussi consciencieux.
Je songe que la seringue est sûrement rempli de ce produit dont "Dexter" se sert pour endormir ses victimes.
Il la plante quelque part entre mes épaules et ma mâchoire, je ne sais même plus où.
Et bien sûr, je m'endors d'un coup. Mais juste avant de tomber dans les bras de Morphée, je crois voir au loin les silhouettes de Mikaru et/ou le jeune adolescent, dont la personne est tellement convoité par l'homme gras.
Mais se n'est sûrement qu'un rêve...

» Je ne suis jamais très loin
» Les arbres sont des végétaux, et moi, qui suis-je ?
» Comme je le disais, je suis mal partie. - Elizabeth Black
» Je suis la blonde, l’autre femme, la maîtresse. - Elizabeth
» Kit pour moi =D