Mozarts 2011 : Commentaires et news de la Cérémonie

Et bien chers membres, vous l'aurez peut-être remarqués, la cérémonie des Mozarts vient à peine de débuter, et vous réservent peut-être encore de nombreuses surprises ... Ce sujet vous permettra à tous et à toutes de commenter la cérémonie, alors n'hésitez pas à venir ici.

A bientôt !

*Débarque sur sa bécane noir en arborant une robe fendue décolletée. Une fois descendue de sa moto, retire son élastique et lâche ses cheveux au ralenti façon l'Oréal*

Ca va rocker !

Après avoir passé la nuit à chercher l'endroit pour se rendre aux inutiles Mozarts et à leur cérémonie, apparait hors de l'ombre d'un caméran, laissant la grâce de sa main droite lui attraper ses lunettes de soleil pour se les déposer sur le nez, lui donnant la classe absolue. Décidément, le smoking noir et chaussures noires était d'un charme ténébreusement ravissant sur lui.

Vous ne voudriez pas que je commence à parler, vos discours de remerciements feraient pâle figures à coté de cette oeuvre vocale que j'exprime si bien.

*Débarque comme un gros clodo avec son blouson en cuir, son jean troué et ses converses poussiéreuses... Ecrase son mégot sur le tapis rouge, et regarde le monde autour en mode touriste.*

Ben quoi ?

L'hélicoptère était haute dans les airs au-dessus des édifices, assez pour donner le vertige, assez pour donner l'adrénaline à cette immense et ambulante dose très masculine de testostérone qu'était Edmond Van Buren. Regardant avec certitude sous ses pieds, il fit un signe d'approbation au pilote et s'élança dans la moindre hésitation dans le vide. Il était sans parachute, sans corde, sans aucun équipement. Dans ses mains, il tenait la porte d'une défunte voiture condamnée à la décharge. C'est en émettant des sons peu subtils de vérilité (OH YEAH, par exemple) qu'il utilisa la dite porte comme planche de surf volante, manège qu'il avait répété bien trop souvent déjà. Il voyait la cérémonie de loin, il savait qu'il devait s'y rendre sans plus tarder.

À quelques pieds du sol, Edmond sauta de la porte tournoyante qui s'écrasa dans la fenêtre d'un dépanneur tout en faisant quelques pirouettes arrière pour finalement attérier sur ses pieds, la tête haute, le sourrire décapant tout sur son passage. Alors qu'il se déhanchait vers le tapis rouge, vêtu comme sur le charmant avatar qu'il possède, il se permit une petite tape virile sur le derrière bien bombé d'une des journalistes. S'évadant sans mal, il rejoint rapidement Rick Baneson, à qui il tappait amicalement l'épaule tout en lui servant cette digne poignée de mains entre mâles, entre vrais mâles!

La soirée va être à nous, cher ami! Et je parlerai pas de la petite fête après!

La limousine ralentissait lentement en approchant du tapis rouge. Voilà! Après avoir passé une heure dans les rues New Yorkaise à tenter de se frayer un chemin dans le trafic, ils arrivaient enfin, lui et Coralie, à la fameuse cérémonie des Mozarts. Rick s’empressa de finir la bouteille de Jack Daniels qu’il sirotait depuis leur départ, et réajusta sa cravate que Coco avait malencontreusement défaite (coquine!). La limo s’immobilisa totalement. Ils étaient arrivés. Un sourire, un clin d’œil, le Maitre des Virus n’eu le temps que de murmurer quelques mots à sa tendre avant que la porte ne s’ouvre et que les flashs de caméra photo inondent l’habitacle : « Prête pour une soirée de folie? »

Rick quitta le véhicule et aida Coralie à faire de même, tout en saluant la foule qui reconnaissait évidemment le Père des Sons of Liberty. Quant à lui, Rick avait identifié un seul visage familier dans la foule qui jonchait le tapis : celui d’Alexis Kane. Il préféra ne pas lui accordé trop grande importance, lui qui allait probablement les nargués de discours tout au long de la soirée au fil des nombreux Mozarts qu’il allait gagner… Pour lui changer les idées, une journaliste s’approcha de lui, brandissant son micro.

« Mr. Baneson, Mr. Baneson! Quelques secondes pour le Box Media News? »

« On peut toujours faire ça… »

« On a entendu dire que votre mariage à vous et Miss Baneson fut… assez mouvementé. Des commentaires? »

« Oui : Ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas. Autre chose? »

« On a entendu dire que vous vous étiez fait faire un tatouage sur le torse dernièrement. Rumeur fondée, ou simple fantasme de vos fans féminins? »

« Je dirais que ce fut fait malgré moi. Je tiens à saluer mon tatoueur, Peter Petrelli, un homme des plus charitables! »

La journaliste s’apprêtait à poser une autre question, mais se vis recevoir une violente tape sur le derrière par un visage bien connu de Rick : Edmond Van Buren, imbécile de première classe, mais qui amusant le Bostonnais au plus haut point dans ce genre de soirée.

« Oh que oui, cher! La soirée s’annonce palpitante et pleine de péripétie! »

S’adressant à la journaliste, il lui tapa l’épaule pour la sortir de la torpeur dans laquelle elle était plongée, en extase devant le duo de paquets de testostérone sexuellement magnétiques qui se tenait devant elle.

« L’entrevue est terminée, mademoiselle. À plus tard! »

gros kiff

Arrivant tout droit d'Hollywood une limousine s'arrête devant le bâtiment où a lieu la cérémonie. Le chauffeur ouvre la porte devant Liamarius et s'écarte pour le laisser passer. Le jeune homme se dirigea élégamment vers l'entrée, effleurant d'un pas preste le duvet rouge du tapis déroulé, ne faisant qu'un maigre sourire aux journalistes. Il entra tranquillement, rejetant en arrière sa cape en cuir. Il adressa quelques mots à une journaliste qui passait par là.

"Je ne suis pas spécialement heureux d'être nominé mademoiselle, je ne sais pas qui a été assez fou pour voter pour moi mais il n'avait aucune raison de le faire. Je viens car je n'aime pas décliner une invitation, voilà tout "

" Et concernant ce mariage que vous avez célébré entre monsieur Baneson et mlle Delcar ? Que pouvez vous nous dire ? "

"Absolument rien, ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas. Si je vous le disais je devrait vous tuer, vous ne voudriez pas ne plus pouvoir agiter votre langue de vipère à tout va quand même ?"

La journaliste déglutit avec peine et ne dit plus un mot, passant à quelqu'un d'autre pendant que le dirigeant du Montecito entrait dans le palace et rejoignait sa place dans la grande salle.

− De quoi j'ai l'air, Lydia ? demande-je assez timidement.

En même temps, les costards, les cravates, ce ne sont pas tellement le genre de vêtements que je porte d'habitude, ça me fait bizarre. Mais bon, je dois participer à cette cérémonie que je le veuille ou non. Je voudrais bien emmener ma famille, amis mais nous sommes bien trop nombreux. Et je n'ai pas envie de les mettre devant les autres personnes, je ne veux pas trop qu'ils approchent l'autre monde.
je ne veux pas qu'ils soient rejetés injustement pour ce qu'ils sont, surtout dans une soirée pareille.
Ils vont gentiment rester ici, avec les enfants et le conteur d'histoires .
Il va les emmener dans un monde qui leur est leur, où l'imagination est Reine et les sujets sont les sourires des enfants.

Allez, il est temps pour moi de leur dire un dernier au revoir et de les laisser dans leurs rêves et leurs occupations.

Un dernier câlin à Lydia et c'est parti. Je pars à pied, c'est préférable.
Je me vois mal me ramener en caravane aux Oscars tout de même ...

Spoiler:

Je sortis de ma voiture de sport grise métallisée. Je marchai timidement en sentant tout les regards se jeter sur moi. Puis, je m'enfouis dans la foule poussant presque tout le monde afin de rentrer dans l'enceinte de l'établissement. Mais alors que je marchais, ou plutôt que je courrais à travers les gens, quelque chose se plaça juste devant mon pied et alors que je voyais déjà l'entrée, je tombai de tout mon long sur le tapis rouge. Je me relevai immédiatement espérant que personne ne m'ait vu et fis comme si rien ne s'était passé.

Et si Samuel pensait être seul pour se rendre au Mozart, ce fut sans compter sur la curiosité maladive de la petite Camille qui avait tant entendu parlé de cette soirée et qui souhaitait à présent tant en voir et en entendre. Elle avait fait un caprice, avait supplier l'homme de l'emmener avec elle mais celui-ci lui avait gentiment expliquer que ce n'était pas un endroit pour elle, elle était mieux ici avec les autres...Avec le conteur...Elle aimait bien le conteur et ses histoires mais elle avait prit la décision qu'elle voulait et qu'elle irait à cette soirée. Ainsi donc, elle avait réussi à échappé à la surveillance du groupe pour pouvoir suivre Samuel, attendant qu'une majeur partie du trajets soit fourni pour rattraper celui-ci...

Elle arrivait à sa hauteur, du haut de ses dix ans, elle avait attraper la main de Samuel. S'y était-il attendu ou pas ? Quoi qu'il en soit, elle avait tout fait malgré tout pour qu'il soit fière d'elle. Elle c'était coiffé toute seule, et c'était habillée toute seule...Elle avait mit une jolie robe blanche de princesse, certes...Ses bottines noir dénotait un peu avec le reste de la tenue mais l'idée première était là...

Lui offrant un sourire malicieux, elle ne disait rien, continuant la route vers ce qui serait une soirée mémorable...Sa première grande soirée...

Ces marches que je ne monterai probablement qu'une fois dans ma vie. Ces marches qui ne vont nullement me manquer. Ce monde n'est pas fait pour moi, celui des cérémonies, des célébrités ...
Bref, je dois y aller alors, d'accord j'y vais, tout en sachant au fond de moi que ma famille est en sécurité.

Oh, j'ai parlé trop vite! Je sens comme une toute petite main attraper la mienne. Je connais cette main... La sentir me fait décrocher un sourire.

Spoiler:

Ma protégée, ma petite renarde... Au fond de moi je savais très bien qu'elle ne pourrai s'empêcher de me suivre. Elle est mon ombre, elle est ma " fille "...
Et avec le sourire qu'elle me lance, comment y résister ?
Je me mets à genoux devant elle, lui passe ma main dans les cheveux et lui dis :

− Tu peux venir, pour ce soir. Mais Camille, s'il te plaît, ne ressors plus toute seule. Tu es si jeune, je ne veux pas qu'il t'arrive malheur tu comprends ? J'ai peur pour toi, ce monde n'est pas le nôtre. Tu sais où est notre monde, il est avec Lydia, Edgar, le conteur que tu aimes tant ... Et enfin saches une chose : Je t'aime .

Je finis mon petit discours paternel par un léger baiser sur le front. Ca va être ma première grande soirée dans ce monde et je content qu'elle soit là avec moi .

Si on aurait pu croire qu'Asami Barairo viendrait dans un carosse tiré par des licornes en vue de l'allure toujours folles et innocente de la jeune femme...Et bien ce n'était pas le cas. Rêver toujours, les licornes ça n'existent pas ! Elle était confortablement installée sur la banquette d'une limousine en présence de...Chris Miles ( oui je te laisse pas le choix :p ) et...Galadriel Takeda ( toi non plus je te laisse pas le choix et c'est fun =D ). Elle ne tenait pas en place, comme à chaque cérémonie des Mozarts à vrai dire !

Le véhicule s'arrêta à hauteur du tapis rouge, le chauffeur quittant celui-ci...Il ouvrit la portière laissant alors passer à tour de rôle Asami, Chris et Galadriel. Elle était sur le tapis rouge et ne put s'empêcher de sautiller légèrement. Elle adorait cette sensation, c'était grisant. Souriante comme jamais, elle était déjà près des barrières et de la foule, signant à tour de bras des autographes et faisant des photos pour le grand malheur des gardes du corps présent qui devait gérer la nipponne...

Après un bon bain de foule, elle se dirigeait toujours en sautillant vers l'entrée des Mozarts.

Journaliste : Bonsoir mesdames et messieurs, bienvenue sur Patrick TV, la chaîne Numéro des people et ragots en tous genre. Ce soir, vous êtes nombreux à nous suivre, tant et si bien que les scores d'audience surpassent ceux de Fort Boyard ! Je me trouve actuellement près du tapis rouge de la troisième cérémonie officielle des Mozarts. Il y a des invités de marque en cette nuit étoilée, et... tiens, en parlant d'étoiles, je viens d'apercevoir une superbe étoile filante rayer le ciel.

*Fronce les sourcils*

Oh mais non, chers téléspectateurs, ce n'est pas une étoile filante. C'est... c'est Peter Petrelli en personne ! Oui, c'est bien lui, je le reconnais ? Bon sang, je ne m'entends plus parler avec toutes ces minettes en folie qui hurlent en lançant leurs sous-vêtements !

Peter se pose gracieusement sur le tapis rouge et met ses lunettes de soleil. Avec sa télékinésie, il déclenche 38 briquets les uns à la suite des autres pour déclencher un formidable feu d'artifice. Il s'apprête à rejoindre Asami, Chris et Galadriel, lorsqu'il se prend un string sur la tête. Il est alors interpellé par la journaliste.

Monsieur Petrelli ! Quel est votre pronostic pour la cérémonie de ce soir ? Pensez-vous récolter des récompenses ?

Si je le pense ? Bien sûr que non. J'en suis sûr ! Regardez donc autour de vous, mon succès est indéniable !

C'est vrai. Votre charme ne laisserait personne indifférent.

Merci. Je vous donnerai le numéro de ma loge, pour après le spectacle.

(Tentant de ne pas tomber dans les pommes) Et où se trouve donc votre frère, le sénateur Nathan Petrelli ?

Oh, le connaissant, il fera une entrée tardive mais remarquable. Pour cela, il tient de notre mère ! D'ailleurs, vous aurez peut-être la chance de les voir débarquer ensemble. Bon, je dois vous laisser, je vais rejoindre quelques connaissances.

Peter se dirige vers Asami et la serre tendrement dans ses bras, puis serre amicalement les mains de Galadriel et Chris.

Content de vous revoir ! C'est ta première fois aux Mozarts Chris, non ?

A fond mon pote ! T'as vu toutes ces nanas en furie ? Elles sont chaudes comme la br... Oups !

Chris s'interrompt en remarquant le regard meurtrier que lui lance Asami.

Je plaisantais bien sûr ! J'ai hâte que la cérémonie commence, je pourrais m'enflammer sur place tellement je suis excité ! En plus y a du champagne gratos, c'est la classe !

Abandonnant le groupe quelques instants, Chris se plante au milieu du tapis rouge pour s'adonner à une scéance photo de toute beauté, prenant des poses plus débiles les unes que les autres.

Yeah, c'est ça la vie de star !

-"Euh c'est ici la cérémonie des Mozarts 2011 ?"

-"Oui c'est ça. Et vous êtes... ?"

-"Je suis Sylvain Lump"

-"Qui ?"

-"Sylvain... Cil Vin, Lump... Lin Peut !"

-" Ah excusez moi vous n'êtes pas invité. Mais vous pouvez toujours demandez un peu de nourriture si vous avez faim."

-" Non mais je suis pas un sans abris ! C'est vrai que j'ai été absent un petit moment et que j'ai pas eu l'occasion de trop me manifester. J'ai eu pas mal de chose à faire, et en plus, mes péripéties coinçaient un peu."

-Je suis navré.

Quel manque de politesse. Je vois bien que dans ces yeux faussement sympathiques, celle là veut se débarrasser de moi.
Je m'en vais.
Je me dématérialise. Et je reviens. Ni vu ni connu.
J'ai quand même pas repasser ma chemise du dimanche pour rien, bon sang. Je regrettes tellement de ne pas avoir été assez présent pour être nominé mais au moins je vais pouvoir assister.
Allez, on y va. Hé je le connais lui ! Je l'ai vu à la télé.
Et elle c'est... ah non.
Je vais essayer de pas me faire remarquer, je m'assois. Ouais du champagne ! Jackpot. Mince celui me regarde bizarrement. Te fais pas remarquer. Te fais pas remarquer.

Cet homme appauvri vêtu tel le plus dégoutants des mendiants. Ce métallique idiot exagéré qu'était et qu'est toujours Edmond Van Buren. Ce trouillard de Rick Baneson qui sortait de sa cachette pour une fois. Un inconnu à la chevelure frisée. Un autre homme bien vêtu qui dégageait une drôle d'impression. Un faible s'étant fait trébuché sur le majestueux tapis. Une toute petite fille accompagnant l'homme étrange. Cette femme fragile et senbile qu'était Asami Barairo. Ce phénomène unique qu'était Galadriel, étant également accompagné d'un jeune homme inconnu. Bien sur, Peter Petrelli n'aurait jamais manqué cette occasion. Le confronter une fois de plus serait d'un intérêt relevé. Et du coin de l'oeil, Alexis remarqua cet autre homme venait de disparaitre en l'instant. Sa vision se reliant au monde des ténèbres ne lui faisait aucunement défaut, l'inconnu était devenu un spectre, rien de moins. Fait intéressant mais inutile en ce moment. Marchant au travers de la foule, c'est en tapant l'épaule de Edmond qu'il passa derrière lui, tout en laissant un petit sourire moqueur à l'égard de Rick. La soirée s'annonçait particulièrement amusante.

Comfortablement assis sur son siège, Edmond Van Buren d'un coté, la jeune fille loup de l'autre, il écoutait les catégories défiler alors qu'à sa surprise, nomination pour le membre le plus investi. Sans grandes attentes, il l'avait perdu aux mains de cet incapable de Gregory, qu'il applaudissait avec beaucoup de réserve. Le plus sympathique étant son père, qu'il voyait comme quelqu'un déjà de plus grand estime, était un choix logique. Quant au plus nymphomane, ainsi qu'au plus drôle, le sexe et l'humour donc, deux domaines l'ennuyant à mourrir, il s'en moquait à s'en mordre les doigts. Si bien qu'il sortit à l'extérieur pendant que les nombreux réseaux de télévision réalisait encore quelques reportages. Celle qui interrogeait Edmond et Rick se précipita vers le ténébreux, l'immense sourrire étincellant aux lèvres, le décolleté parfaitement ouvert. Pris d'un vertige de découragement, Alexis se tapa le front du paume de sa main alors que la reporter ne se gênait pas pour l'interpeller.

Monsieur Kane, le redoutable ténébreux! Que sont vos impressions sur la soirée jusqu'à maintenant?

Un divertissement bas de gamme conçu pour amuser les foules en manque de reconaissance.

Je vois, toujours aussi fidèle à vous-même... Et pourquoi êtes-vous présent alors? Avez-vous des conaissances qui vous accompagne?

Sans avoir besoin de flatteries, récupérer mes prix d'un matérialisme dégoutant. La symbolique y est, le geste également, je les récolterai pour les laisser s'admirer en compagnie de la raflée de l'année passée. Étant uniquement accompagné de mon ombre, me suivant chaque jour, chaque nuit.

Ça va de soit, vous ne changez vraiment pas dites donc... Et cette année, envisagez-vous encore vos chances pour le meilleur rpgiste? Ou souhaitez-vous vous rattraper en remportant le villain de l'année?

Ne me faites pas gagner à une catégorie aussi peu significative. Je ne suis aucunement associé au villainisme de l'époque moderne, sachez le.

La journaliste se fit interrompre par un homme qui surgit de l'intérieur à son tour, probablement pour les mêmes raisons que Alexis Kane, et ce n'était pas n'importe qui...

Spoiler:

Alexis Kane! Bah ça alors! Je pensais jamais te rencontrer un jour! J'avais justement besoin de tes conseils pour un futur rôle, je dois jouer un homme bavard qui aime le noir et

C'est en serrant de façon nonchalante la main de l'homme que Alexis se sauva de l'envahissante journaliste, laissant les deux hommes incompatibles au soin d'une discussion tournant autour de ce qu'était Alexis alors qu'ils retournaient dans la salle pour le prochain Mozart...

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