Walking in the street [Sujet #4]

[Ordre de répondre : Kerry Tomas - Samuel - Angela Dawson - Edgard Satme - Alex Jones
Comme pour les autres sujet du grand scénario, chacun des participants à 3 jours pour poster. Si vous ne pouvez pas, prévenez pas mp ]



Cela faisait pratiquement une semaine que Kerry avait son discourt à la télévision, demandant à toutes personnes spéciales de se révolter contre les membres des Sons Of Liberty et notamment Alexis Kane. Les habitants de New-York avait entendu son appel. Quelques heures seulement après son discours, des personnes étaient descendues dans la rue, criant qu'elles ne voulaient pas être associées à des terroristes, que les spéciaux n'étaient pas tous comme eux. D'autres avaient lancé une véritable chasse aux sorcières, traquant les SOL sans relâches. A la télévision, des reportages montraient que quelques membres des SOL avaient été arrêtés. Mais ce n'était que de la seconde classe, il manquait les têtes pensantes, les véritables responsables. Il restait tant à faire.

Kerry se promenait dans les rues de la ville, accompagnée de Lisa qui se trouvait bien tranquillement dans la poussette. Kerry avait décidé de faire du laiche vitrine, ainsi mère et fille étaient partis durant toute un après-midi. Kerry avait décidé de passer par la 5ème avenue. Ce n'était pas vraiment dans ses moyens mais heureusement que le plaisir des yeux était gratuit. Puis elle était revenue vers des enseignes plus abordables et les collections qu'elles présentaient ne manquaient pas de charmes. Après quelques séances d'essayages, Kerry avait craqué pour des tuniques et quelques pairs de chaussures (Ben quoi...faut bien préparer la nouvelle saison )

La jeune femme commença à remonter les rues qui la séparait de son appartement. Il n'y en avait pas pour longtemps mais la nuit commençait à tomber et certaines rues n'étaient pas sûres le soir.
Tout en marchant elle entendit un cri. Ca venait de pas très loin. Au détour d'une ruelle, elle vit un homme qui regardait au sol. Sur le sol se trouvait un corps. Malgré la pénombre, elle pu voir que le corps étaient celui d'une femme. L'homme qui entendit les roulettes de la poussette se retourna puis il se mit à avancer vers Kerry. Cette dernière pu voir le couteau que l'homme avait dans l'une de ses mains.

"Je te déconseille de t'approcher..."

Mais une femme seule avec un bébé, cela n'intimidait nullement l'homme qui continuait d'avancer. Kerry fit apparaître une boule de feu. Le bleu des flammes se projetait contre les murs des immeubles. L'homme, en voyant les flammes apparues comme par enchantement, s'arrêta. Kerry pouvait déceler de la crainte sur son visage. L'homme ne demanda pas son reste et partit en courant. Kerry fit disparaître les flammes et s'approcha du corps. La pauvre femme avait une grosse tache de sang au niveau du ventre. Son pouvoir lui indiqua qu'elle était belle et bien morte. Soudain elle entendit des bruits de pas, assez éloignés mais qui s'approchait de plus en plus d'elle...

Aujourd'hui, je ne retourne pas au Sullivan Bros. Carnival.
Je vais chercher des spéciaux, comme tous les autres membres de ma famille, pour qu'ils se sentent comme chez eux, pour qu'ils ne se sentent plus en dessous de la race humaine, celle qui n'a pas de pouvoirs. Je veux simplement que les spéciaux se sentent comme chez eux, entourés des leurs, qu'ils puissent vivre entièrement, comme ils sont, et ne pas forcément se cacher dans un monde qui n'accepte pas leur différence, qui les méprisent, qui les force à se cacher, qui les force à cacher leur vraie nature. Je veux un monde de paix pour les miens, je veux les rassembler pour mieux les protéger. Je veux une famille ...

Mais vu les temps qui courent, c'est assez difficile de tomber sur des gens qui méritent que l'on s'occupe d'eux. Il y en a qui n'utilisent leur don que pour le mal ...

Mes pensées m'ont maintenant amené dans la 5 ème avenue.
Non seulement mes pensées m'y avaient aveuglément emmenés là bas mais aussi des cris, des cris de jeune femme, qui apparemment se faisait agresser.
Soudainement, un homme me bouscule, apparemment effrayé. Je me retourne et le vois courir au loin. Mais que lui est-il arrivé ? Il a rencontré Jack L'Eventreur ou quoi ?
Bref, je continue mon chemin à chercher des personnes comme moi, mais trop piqué par la curiosité, je veux savoir ce qui l'a tant effrayé et retourne dans la rue.

Au loin, je vois une jeune femme, qui a l'air assez mal. Je me rapproche d'elle et remarque une grande tâche de sang sur son ventre.
je m'approche d'elle, me penche et lui dit de ne pas s'inquiéter, que je suis là. Elle ne répond pas, sûrement traumatisée.

Je commence à marcher avec son bras sur mon épaule lorsque je ressens de la présence derrière moi. Je me retourne lentement et peux voir une charmante jeune femme, mais ce que je pouvais lire dans son regard n'avait rien de charmant, plutôt de la colère. En la regardant bien dans les yeux, je devine assez facilement pourquoi cet homme avait l'air si pressé ... C'est elle qui a dû l'effrayer, elle a sûrement voulu sauver la jeune femme. Mais il est trop tard... Je ne sens plus son pouls battre, je crois bien qu'elle est morte depuis pas mal de minutes mais que je ne l'avais pas remarqué, trop occupé à vouloir la sauver ... Je repose son cadavre lentement.
Je regarde aux alentours, non, il n'y a que cette femme aux cheveux roux.
Je commence à tendre mes mains vers le sol, la terre se met à trembler autour de la défunte femme. Elle a droit à un enterrement, et si je ne le fais pas maintenant, elle pourrira dans ces ruelles sombres ...
Un trou se forme, et la jeune femme tombe lentement dans ce qui sera sa dernière demeure.
Je referme ensuite sa " tombe" et me retourne vers l'autre jeune femme. je la fixe, ne bouge pas. je commence à m'approcher d'elle, je veux lui expliquer qui je suis mais je suis cependant interrompu par une autre présence.

Je connais très bien cette odeur... L'odeur de Mlle Angela Dawson.
Je me retourne vers le bout de la rue et attends patiemment qu'elle arrive.

[HS : J'ai fait court pour ne pas perdre trop de temps sur les tours ]

Vous avez déjà vu une jeune femme rousse, rousse en plus!, courir après un homme, non pas pour le violer, une boule de feu dans une main, la poussette dans l'autre ? ça a vraiment quelque chose de ridicule, presque autant que de voir Hulk prendre le thé avec un bisounours. Imaginez vous un peu la difficulté que cela représente ! Courir en poussant une enfant dans sa poussette! Le tout avec une main ! Mais que c’est ridicule en plus d’être difficile ma parole! Qu’Est-ce qu’elle voulait ? Brûler son enfant en trébuchant faisant tomber la poussette puis en perdant sa boule de feu qui serait tombé sur la gamine déjà bien amochée ? Remarque, ça lui aurait fait un bon repas, il parait que la chair humaine bien cuite est la meilleure qui soit. Rien que la pensée de cette scène me fait rire. Rarement autant rit d‘ailleurs qu‘à la vision de cette scène qui commence ce nouveau chapitre de la vie d‘Edgard. C’est donc avec beaucoup de mal que je commence à vous raconter ce qu’il se passa ici., car garder son sérieux après avoir vu ça, c’est réellement, réellement compliqué.

Pour en revenir à notre jeune ami Ed’, parce que c’est quand même lui l’objet de mon écrit et pas la charmante demoiselle qui fait le tapin devant ma porte, il n’était pas très loin de là. Depuis qu’il avait quitté l’équipe de Baneson, quand les évènements ont commencé à lui échapper, quand tout est devenu trop extrême et que des vies innocentes ont été menacé, Edgard avait fait ses valises, les avaient jetées dans un trou et était repartit plus vite qu’un éjaculateur précoce. Depuis il cherchait à se racheter. Il jouait aux super héros, à l’exception que lui gardait une certaine dignité en ne mettant pas son slip sur le pantalon, en encore moins sur la tête, arpentant la Big Apple (tiens d’ailleurs pourquoi on l’appelle comme ça ? ) à la recherche de gens à protéger et de crimes à résoudre, de méchants à punir (oh oui ils aiment ça se faire punir! ).

Ce jour là il se téléportait de quartiers en quartiers, scrutant les moindres fait et gestes des passants, tendant l’oreille (et il n’y avait personne pour lui tirer) à l’affut du moindre trouble. Mais la journée était plutôt calme jusque là. Mais c’est aux alentours de la 4ème avenue qu’il entendit un cri, non pas de jouissance, mais de douleur, de peur. Il descendit du toit de l’immeuble où il était apparu et regarda autour de lui, il vit un homme passer en courant au coin de la rue suivit par une jeune femme dont la main semblait en feu, et pas pour avoir fait quelque chose avec un homme dans une ruelle sombre ou dans les toilettes d’un restaurant comme en attestait la gamine qui était dans sa poussette. Un autre homme apparu alors il avait localisé la victime avant et la soutenait puis il la posa à terre, elle était visiblement morte, une victime de plus qui n’avait pas pu être sauvée. Le sol se mit à trembler et Ed se téléporta rapidement dans sa cage hors de l’espace, ouvrant une fenêtre sur la scène. Il vit alors le trottoir s’ouvrir sous le cadavre pour former une tombe et se refermer immédiatement emmenant toute trace du crime hors de vue. Peut être était il nécrophile et mettait-il un corps à l’abri pour s’en servir plus tard, après tout, on ne sait jamais avec tous ces pervers qui courent les rues.

Au coin de la rue une nouvelle personne apparu, une jeune femme. Mais pendant ce temps le criminel avait disparu , la folle rousse au gamin s’étant arrêté, surprise, lorsque le sol s’était mit à trembler. Ed se chargea de le retrouver, il avait cessé de courir, rentré dans un fast food, se fondant dans la masse d’hommes et femmes obèses et affamés, cherchant à devenir toujours plus gros et stupides. Les yeux du meurtrier s’écarquillèrent lorsque le jeune homme au chapeau de feutre noir apparut devant lui en silence et le tira vers lui, le faisant passer au travers du portail. Personne autour de lui ne remarqua quoi que ce soit, le tumulte ne cessa pas dans le  « restaurant », les gens étant trop absorbé par le choix du produit qui les rapprochera plus près de la mort.

« Qu‘Est-ce que tu me veux?  T‘es qui toi ? Tu vas regretter ce que tu viens de faire» s’écria le jeune homme en voulant tirer son couteau
  « C’est ça que tu cherche » lui demanda Edgard en lui montrant l’arme blanche dans sa main. « Je pense que tu as une faute à racheter, cette femme n’avait rien demander. » Et sans rien dire de plus, le jeune justicier le tira, non pas de connotation sexuel, je vous vois venir, il le tira à travers le portail pour le ramener là où étaient resté l’homme et la rouquine, pour l’empêcher de s’enfuir à nouveau il lui brisa le genou avec sa grosse barre … de fer ! De fer bien sûr bande d’obsédés !

Vous le poursuiviez je crois madame dit-il après être apparu aux côtés du criminel Il est à vous maintenant, je vous l'ai retrouvé au coin de la … Il s’interrompit, reconnaissant dans la jeune femme rouge la fameuse Kerry Tomas dont il avait entendu parlé pendant son séjour dans l’organisation de Rick Baneson. Il ne savait plus quoi dire, comme un puceau devant sa première femme qui subirait soudain un blocage.

Ah excusez moi, la police vient d’arriver, je vais donc vous laisser quelques heures, visiblement mes écrits choquent les personnes âgées qui ont donc porté plainte. Je reviendrai raconté la vie de mon héro, d’ici peu, les puritains ne peuvent rien contre la toute puissance de la liberté d’expression, ils peuvent encore moins m’atteindre que les parents de victimes de Mickaël Jackson n’ont réussit à l’envoyer en prison.

New York, une ville qui, il n'y à pas si longtemps était pleine de vie. Le fait que mes pensées retourne vers cette époque joyeuse, me fait à la fois du bien, mais je sent également une grande pointe de tristesse qui m'envahit. Comment décrire les sentiments qui me traverse, quand on sais toutes les choses, mais plus important, et plus triste, les personnes qui sont morte lors de l'explosion de la ville. Comme sans doute d'autres personnes, lors de la dévastation de New-York, ma mère à perdu la vie. Je sais bien qu'elle n'est pas la seul, mais dans ce genre de situation, généralement on ne pense pas forcément au mal qui est ressentis par les autres. La vie à cependant, peu à peu, repris son cours, mais pas de manière normale.
L'annonce du monstre Sylar, selon quoi des personnes qui possédent un don existe réellement, m'à rendue la vie un peu plus difficile. Maintenant, j'ai parfois du mal à accepter d'utiliser mes capacités de soin, de peur d'etre démasquer. Quel sort peut etre réserver au gens, qui comme moi, sont capable de soigner n'importe quel blessure, maladie ou autre ? La seul chose dont je suis sur, c'est que des personnes mal attentioné, ne chercherons qu'à en abuser. Je ne compte pas devenir un de ses rats de laboratoire.

Je sors de mes pensées. Les raisons pour expliquer ma promenade dans les mortes rues de la ville sont assez simple. Ces derniers temps pas mal d'agitation se fait ressentir, le travail à l'hopital n'en est que plus augmenté. J'ai vu des patients étrangement blesser, absolument rien de normal. Un jeune homme par exemple, qui porté la marque d'une blessure par balle, suite à son opération, aucune balle n'a était trouvé dans son corps, alors qu'elle n'était pas sensée avoir pu sortir. Alors comment expliquer son état ? Aucun médecins n'à réussit pour le moment. Enfin, le mieux dans l'histoire c'est que le patient s'en est sortis. Me reviens alors en tete l'image de cette femme qui m'a téléphoné à mon réveil. Je ne sais rien d'elle, pourtant elle semble en savoir un maximum sur moi, le pire étant sa connaissance de mes capacités de soin. Elle me parla d'elle, m'expliquant également le fait qu'elle soit comme moi, avec des dons bien différents.

C'est d'ailleurs avec l'un de ses dons, qu'elle m'a découvert. Peindre le futur est parfois, meme souvent quelque chose qui est utile, bien qu'elle à sans doute, du déjà voir des choses pas franchement géniales. Nous avons rendez vous non loin d'ici, aussi j'accentue la rapidité de mes mouvement, voulant la rejoindre rapidement. Me voila, passant au coin d'une rue. La journaliste non loin devans moi, un bébé proche d'elle. J'avance, levant les mains vers le ciel, pour lui faire comprendre que je ne suis pas un danger.

- Madame Thomas je présume ? Je suis Alex Jones, c'est bien vous qui m'avais contacté au sujet de vous savez quoi, je ne me trompe pas ?

IL n’y avait pas à chier, la rousse elle était vraiment chiante. Je sais pas ce qu’elle avait mais sa mauvaise humeur se sentait à travers ses paroles. Mais qu’Est-ce qu’elle avait sérieusement ? Vous avez déjà vu ça, c’est typiquement féminin. Vous allez pas me dire qu’elle courait après ce gars pour le féliciter d’avoir tuer une jeune femme ? Elle avait bien une autre idée derrière la tête cette conne non ? Alors pourquoi elle venait lui briser les parties en lui disant qu’il ne valait pas mieux que ce meurtrier Donc forcément, puisqu’Ed est un jeune homme un peu vif, qui s’énerve relativement facilement, il ne pu s’empêcher un petite réplique cinglante sur un ton pas trop aimable.


« Bon la grosse, faut savoir c’que tu veux là, tu cours après le mec, c’est pas pour lui faire des bisous, donc j‘te le ramène et j‘l‘empêche de fuir en plus de ça alors vient pas m‘emmerder. Si j‘avais voulu la même chose que lui je l‘aurai envoyé faire un tour dans l‘espace. »

Non mais sérieusement, les femmes seront toujours aussi illogiques, la pauvre gosse qu'elle trimballait, elle allait avoir du mal à se développer normalement si sa mère était aussi irrationnelle. Sans compter que si elle était Kerry Tomas, elle était encore plus sujette à des changements de personnalités. Pauvre gamine, elle était mal partie dans la vie avec une mère comme ça.

Après tout, Tomas, cette petit rouquine coqu.. euh non, cette rousse n'avait-elle pas fait des choses pas jolies jolies d'après ce qu'Edgard avait fait. Sans compter les choses impures pour les catholiques puisqu'elle n'était pas mariée, mais ça c'est autre chose.

Une autre personne arriva, visiblement elle avait rendez vous avec la tarée. Pauvre petit, si elle devait lui apprendre des choses il avait intérêt à bien se tenir.


"Avant de juger aussi sèchement quelqu'un tu devrais plutôt songer à ce que tu as pu faire dans le passé de pas jolie jolie et de ce que t'aurais fait si tu l'avais attrapé, et je pense pas que ça aurait été un bouquet de fleurs. Cela dit, après tout ce que les Sons et Sylar ont fait, nous ne vivons plus dans la paix, mais dans la peur et le désordre, vois le fait en face, le monde a besoin de justiciers. Tu as peut être prit la décision de rester dans ton coin mais ce n'est pas le cas de toute le monde"

Ed se téléporta à deux mètres du sol et s'assit sur la fenêtre qu'offrait le vortex, au milieu du vide. Il semblait ridicule vu d'ici et malgré mes recherches je n'ai pas réussit à déterminer pourquoi il a fait quelque chose d'aussi inutile que de se poster dans le vide. Mais de là haut il fit un salut général de la main et adressa d'un ton joyeuxaux différents protagonistes :

Cela dit, bonjour à vous tous quand même, la jeunesse n'empêche pas la politesse