Même pouvoir? [ PV Annabelle]

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Des jours et même des semaines passèrent depuis que Sébastien Granger avait quitté sa ville natal. Depuis ce jour, il ne faisait que marcher en direction de New York, pour survivre durant ce trajet il vola les magasins et épiceries. De temps en temps, on lui courait après. Le lendemain on pouvait voir dans le journal que ses poursuivants avaient rencontré un mur invisible leur bloquant le passage. Enfin le jeune garçon s'approcha de son but, New York. Pourquoi New York? Tout simplement car la personne qu'il cherchait, Sylar, avait fait sa déclaration dans cette ville et le garçon pensait que c'était par là qu'il devrait faire ses recherches. Il était en ce moment même à Manhattan, mais par rapport à New York la petite île fit moins toucher et n'était pas en ruine, au contraire les réparations étaient bien avancées et l'île commença à redevenir comme " neuf ".
Sébastien Granger vit des humains travaillaient, se baladaient, s'amusaient, comme si l'explosion n'avait jamais eut lieu. Il s'apprêtait sur le point de traverser le lac séparant l'île des ruines quand il vit une jeune fille blonde, une peu plus âgée que lui. Le jeune garçon ressentit une sensation familière avec cette fille, mais il ne l'avait jamais vue auparavant. Curieux de comprendre ce qu'il ressentait, Sébastien décida de repporter son départ de l'île à plus tard, il s'approcha d'elle:

Bonjour, désolé de vous dérangez mais ne nous nous serions pas déjà vu par hasard? . Il était sur de ne pas l'avoir rencontré, mais il devait bien commencer la discussion par quelque part.

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Mais … Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je sens quelque chose en moi … Quelque chose de nouveau, d'étrange, d'inconnu et d'effrayant … Mais pourtant, ça ne me fait pas de mal … Qu'est qu'il peut bien se passer ?

~ DRING

C'est à ce moment que le téléphone sonna, mettant fin aux réflexions d'Annabelle. Elle n'avait pas grand chose d'autre à faire ; son petit cabinet de vétérinaire était pratiquement vide le dimanche, à ces heures-ci … En même temps, il n'était pas incroyablement bien placé, serré au milieu de tant d'autres boutiques, dans une petite rue de la grande ville de New York. Poussant un long soupir d'ennui, la jeune femme décrocha le téléphone. C'était une dame au ton un peu prétentieux, qui était affolée, parce que son caniche boitait. Simple cas d'arthrite pensa Annabelle, mais, malgré tous ses efforts, la jeune femme n'arrivait même pas à en placer une, entre les cris d'épouvante de son interlocutrice. La vétérinaire réussit quand même à noter l'adresse de la femme, et à placer qu'elle arrivait le plus vite possible entre deux cris. Elle racrocha très vite, épuisée par tous ces hurlements, et attrapa ses clefs de voiture. C'était à Manhattan. Annabelle se mit en route, et arriva à la rue indiquée par la femme. La chaleur était étouffante et l'air pratiquement irréspirable. Annabelle regarda en l'air, le soleil était à son apogée dans le ciel, et brillait autant qu'il pouvait. La jeune femme sortit de sa poche le papier sur lequel avait noté l'adresse de la jeune femme, mais se rendit vit compte qu'elle n'irait pas loin. Elle n'avait pas noté le numéro de son immeuble. N'ayant pas envie de la rappeller tout de suite, par respect pour ses pauvres oreilles, elle s'approcha d'un plan, affiché à un arrêt de bus à quelques mètres d'elle. Plongée dans les differentes déviations et les multiples arrondissements, elle n'entendit pas le jeune homme qui s'était glissé derrière elle … Annabelle sursauta quand il s'adressa à elle ;

_Bonjour, désolé de vous dérangez mais ne nous nous serions pas déjà vu par hasard?

Pendant quelques secondes, elle regarda le garçon qui se tenait en face d'elle. Il avait la quinzaine, mais pourtant, il était plus grand qu'elle d'une vingtaine de centimètres. Il avait les cheveux blonds en bataille et les yeux bruns clair. Il semblait familier à Annabelle, comme … ressemblant … Mais pas dans l'apparence … Non … C'était peut-être une lueur qu'il avait dans ses yeux … Ou bien quelque chose dans sa manière de bouger, d'agir, de parler … Mais quelque chose en lui rappelait à Annabelle cette sensation bizarre qu'elle ressentait depuis quelque temps. Elle se rendit alors compte qu'elle était en train de le dévisager. Elle détourna le regard, et lui répondit ;

_ Hum, non, je suis sûre de ne jamais vous avoir vu. En plus, je ne suis jamais venue ici. Pourtant vous me rappellez quelque chose. Quel est votre nom ?

Qui était-il ? Et quel était le rapport entre lui et cette nouvelle sensation qu'Annebelle vivait ? Etait-ce réellement le hasard qui les avaient fait se rencontrer ?

[H-S : Désolée, c'est incroyablement court et nul par rapport à ce que je peux faire d'habitude -_- Ont va dire que c'est parce que ça fait longtemps que j'ai pas Rp et que je suis un peu rouillée x)]

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Après que le jeune garçon est fini sa phrase, il se mit à pleuvoir, mais ce n'était ni une tempête ni quelques gouttes. Le juste milieu. Mais sébastien détestant la pluie décida de créer un champ de force à quelques mètres au dessus de sa tête, ainsi les goutes tombèrent sur le champ de force et le jeune garçon était à l'abri de l'eau.

_ Hum, non, je suis sûre de ne jamais vous avoir vu. En plus, je ne suis jamais venue ici. Pourtant vous me rappellez quelque chose. Quel est votre nom ?

Sébastien remarqua qu'ils avaient quelques points commun. Ils n'étaient jamais venus ici et elle ressentait quelque chose en ayant vu le jeune blond. Ensuite il examina de plus près la jeune fille: elle était blonde ,comme lui, semblait joyeuse et avait de magnifique yeux bleus, mais elle semblait avoir la vingtaine. Elle était belle. Mais rien qu'à cette idée le jeune blondin rougit légèrement et rangea cette idée dans un recoin de sa tête. De plus elle était trop "vieille" pour lui. Se reconcentrant sur la conversation, il répondit:

A vrai dire, je n'aime pas donner mon prénom. Mais je veux bien vous faire une fleur, je m'appèle Sébastien Granger. Et vous êtes?

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