[Rio]Scream if you want but... it's useless[Violent][Term]

Les contours de la ville se dessinaient peu à peu dans le lointain, à mesure que Liam s'en rapprochait. Il jeta un coup d'oeil à l'arrière de la voiture qu'il avait volé quelques centaines de kilomètres plus tôt, Alison était endormie, leur périple en pleine jungle l'avait apparemment épuisée. Avec un sourire en coin, il reporta son regard vers l'horizon, suivant des yeux l'avancée des nuages porteurs de pluies dans sa direction. Ils semblaient éviter la ville comme si celle ci était protégée par Dieu lui même, au moins pour la journée. Un filet de lumière perçait l'épaisse couche nuageuse, illuminant la cité côtière comme si Dieu la protégeait. Liam n'était pas croyant, en 1340 ans il n'avait jamais rencontré Dieu alors qu'il n'était sûrement pas comme la première personne venue, ce n'était pas si peu de choses qui allaient l'empêcher d'accomplir sa mission.
Regardant la gamine dans le rétroviseur, il jugea plus intelligent de ne pas l'emmener avec lui, de la laisser à l'hôtel, afin d'éviter toute transformation qui pourrait s'avérer dangereuse.

Avisant leurs vêtements, Liam comprit qu'entrer dans un grand hôtel comme il l'avait prévu serait assez compliqué. Ce fut seulement en arrivant à la périphérie de la ville que le vieil indien vérifia qu'il pourrait faire quelque chose. Il chercha quelques instants dans les restes de son sac à dos (ayant perdu tout le reste dans le crash). IL y trouva miraculeusement sa carte de crédit ainsi que son portable, malheureusement détruit. Pour commencer, il devait retirer de l'argent sans qe l'on puise le tracer, ça allait être dur, ou plutôt cela serait dur pour quelqu'un qui ne connaitrait rien à l'illégalité, ce qui n'était pas le cas de Liam.
Reprenant sa route, Liam se dirigea vers un casino et demanda à voir le patron. Après un bref entretien il ressortit avec quelques armes et des vêtements propres, il avait eu la chance de connaitre le boss. Il avait confiance en lui rien ne filtreerait. IL avait maintenant de l'argent, beaucoup d'argent, du faux certes mais après tout Alan faisait pareil à Vegas, des armes, des vêtements propres. Ne lui manquait plus qu'une chose. Les informations et le mode opératoire. En partant il avait voulut le tuer d'une balle entre les deux yeux, travail rapide et bien fait. Mais il n'avait plus le matériel pour. Il se gara au parking d'un hôtel et réserva une chambre, Alison, qui s'était réveillé entre temps le suivit et ils prirent une suite au dernier étage de l'hôtel.

Alison, tu vas devoir rester là, je veux pas prendre de risque, tu sais que je dois aller régler son compte à cet homme, le sang pourrait te ... perturber... je préfère ne pas t'exposer à une transformationqui mettrais nos vies en danger. Tu comprends ?

Oui bien sûr. Je resterais bien sagement ici... Vous m'emmènerez à Las Vegas après n'est ce pas ?

Tu as ma parole, mon patron sera ravit de te connaitre j'en suis sûr.

Liam se fendit d'un grand sourire. il en avait rencontré des personnes dotées de capacités, mais Alison était une des rares à éveiller une réelle curiosité chez lui. Son pouvoir était très intéressant et effrayant à la fois. elle était incontrôlable, plus que n'importe quel heroes, et beaucoup trop jeune, la plus jeune de ceux qu'il avait put rencontrer jusque là. Il avait décidé de l'aider, et sa décision était au moins aussi forte que celle qu'il avait prise de veiller sur Meryem. Cette jeune fille était d'ailleurs bizarre, mais ne manquait pas de charme et de caractère...

Regardant Alison, Liam lui dit quelques mots avant de sortir, pour minimiser les risques :

Je te conseilles vivement de ne rien commander avant mon retour, si tu te mets à attaquer un serveur qui a une tâche de sang sur son tablier on risque d'avoir des problèmes... N'ouvre à personne surtout. Fais comme les brebis dans le conte, dis toi qu'ils sont tous des grands méchant loups ... ou plutôt que le grand méchant protège les brebis inconsciente contre lui même.

Sur ces mots il ouvrit la porte et sortit dans le couloir, par précaution, il ferma la porte à clé, empêchant les curieux de s'approcher de trop près. Il redescendit tranquillement par les escaliers, à l'affut de la moindre information qui pourrait filtrer des conversations du personnel. Ses sens éveillés, il cherchait sa proie, ou des informations qui lui indiquerait où elle était, ce qu'il se disait sur elle. Mais lorsqu'il arriva dans le hall il n'avait rien trouvé. Aucune information. Nada. Dans le crash, il avait perdu toutes les informations. Tout ce qu'il se souvenait c'est que l'homme devait racheter un casino et passer un peu de temps en ville. Mais quel casino? il ne s'en souvenait pas. Et Sa proie était elle toujours ici ? Encore une fois il n'en avait pas la moindre assurance. Il devait faire vite, si il n'était pas encore rentré à Vegas, il devait l'éliminer.
Il n'avait pas le choix, il allait devoir faire toute l'enquête lui même.Il se dirigea vers les quartiers défavorisés de la ville, conscient qu'il prenait de gros risques, car c'était l'endroit où se trouvaient le maximum de personnes capables de le renseigner, le maximum de personnes tout à fait prompte à suivre les gens riches qu'ils croisent dans la rue pour leur faire les poches ou faire du repérage.
Il pénétra dans le quartier le plus mal famé, s'asseyant à une table d'un bar miteux, il écouta attentivement les conversations animés. Certaines étaient plus intéressantes que d'autres :

"¡ Escuchas yo! ¡ Te digo que este hombre tiene demasiado dinero para que se funde a no le tomárselo un poco! Acaba de rescatar un casino a lo que se dice, el de Edura, a lo largo de la costa. ¡ Si no es una prueba quiero cortarme la mano!"

"¿ Cómo se llama este hombre ? ¿ Y dónde podemos encontrarlo, para ... tocar sus dollars "

L'homme se mit à rire et ils continuèrent de parler, donnant à Liam assez d'informations pour qu'il fasse son travail. Mais avant de partir, il décida de ne pas prendre de risques et se dirigea vers les deux hommes.

"El hombre de quien usted acaba de hablar, es mi presa, le aconsejo fuertemente no mirarse de reojo de mi camino. Si usted hace lo que acabo de aconsejarle, usted es recompensar, tengo sólo hacer su dinero, se lo daría de buena gana, quiero justo... su cabeza. Pero si usted interviene, de cualesquiera modo que esto sea, usted lo pagará de su vidas. ¿ Comprendió bien?"

Pour être sûr de s'être fait comprendre, il cassa lentement une fourchette prise sur leur table. Les deux personnages le regardèrent incrédules, contrariés également. Ils ne se laissèrent pas démonter pour autant par son intervention, sûr qu'ils auraient le dessus en cas de bagarre, étant à deux contre un.

¿ Que nos diges extranjero? ¿ Vienes sobre nuestro territorio, sólo, y te atreves a ordenarnos algo? ¿ Te atreves a imponernos de dejarte nuestro blanco? ¿ Verdaderamente crees que vas a poder salir de allí después de esto?

L'homme se leva, suivit de son compagnon, menaçant Liam et attirant les regards curieux des autres clients. Liam conscient qu'il allait devoir changer de tactique sortit de l'intérieur de son manteau une enveloppe contenant quelques billets. et la posa sur la table.

En este sobre usted encontrará cien millares dólares. Si usted hace lo que acabo de decir le pagaría(vertaría) yo hasta 400 000 dólares cada uno. Va de sea que todo esto te quedarás entre nosotros. ¿ Ve su interés en este asunto?

Les deux hommes se rassirent visiblement plus enclin à parler maintenant, intéressés par l'argent qui était en jeu. Ils ouvrirent l'enveloppe, découvrant un chèque (qui bien entendu ne provenait pas du compte officiel de Liam mais d'un de ses nombreux autres) ils invitèrent l'indien à s'assoir à leur table.

Vamos a entendernos pienso. Queremos saber por qué quieres matarlo.

He sido contratado para matarlo, no tengo nada más explicarle.

Veo, eres un asesino pagado... No te pediría pues nada más. Puedes confiar en nosotros extranjero, la ley del silencio es aquí la grande maitresse con el mismo título que el dinero...

El bien. Le aconsejo sin embargo no aceptar sumas más importantes que pretenden a mí denunciar(revelar) porque en este caso allí le encontraría(recobraría) y matarías sin vacilación. ¿ Es lo que nos comprendimos bien?

Les deux hommes hochèrent la tête et Liam se détendit légèrement. Ils continuèrent de parler pendant une heure avant que Liam prennent congé, non sans avoir été mis en garde une dernière fois.

No trataba de doblarnos, si no tenemos el dinero antes de tu salida de Rio, procuraremos que pasas de vida a muerte.

Sans se retourner, Liam répondit avant de sortir dans le soleil de midi :

No se inquiete por esto, usted los tendrá, encuentra yo delante del casino Aventura mañana por la noche a las 19 horas

Il retourna rapidement à l'hôtel où il logeait et trouva la porte verrouillée et Alison en train de regarder la télévision. IL lui dit quelques mots et prépara son matériel tout en commandant le repas. Ils mangèrent en silence et Liam sortit à nouveau de l'hôtel avec de quoi faire sa fête à l'emmerdant propriétaire et gérant des casinos rivaux de Vegas. Il savait comment il opérerait. Tout se mettait en place dans sa tête, comme un engrenage qui s'enclenche peu à peu. Il commença par aller acheter dans un magasin un uniforme de livreur puis il acheta un carton et quelques étiquettes de façon à le faire passer pour un colis dans lequel il mit une petite surprise...
Il prit la direction de l'hôtel où se trouvait sa cible.Il attendit que le service des grooms soit saturé avant d'entrer et se présenta à l'accueil.

Bonjour mademoiselle, j'ai un paquet pour monsieur Mac Juges. Pourriez vous m'aider ?

Je suis désolé Monsieur, vous allez devoir lui apporter vous même, le service est complètement débordé. Attendez deux secondes ... Chambre 666, 20ème étage. L'ascenceur est au fond.

Merci de votre aide.

Il adressa un sourire à la charmante réceptionniste et se dirigea vers les ascenceurs. Chambre 666, c'était un signe, tout se passerait bien... Il avait envie de le torturerla chambre s'y prêtait bien... Mais non il ne pouvait pas faire ça ici. Trop de témoins. Il devait faire autrement. Il devait appliquer son plan initial...
Sortant de l'ascenceur il se dirigea vers la chambre qui visiblement et sans vérifications nécessaire était celle du patron; deux armoire à glace étaient placées de chaque côté de la porte. Il savança, prenant un air un peu intimidé et fut arrêté par les gardes du corps.

Excusez nous monsieur, vous ne pouvez pas venir par ici.

Mais j'ai un colis pour Monsieur Mac Juges, c'est bien ici non ?

Faites voir ça. Rien ne passe sans que l'on ai vérifié.

Liam lui tendit le carton et le type en sortit une bible, surpris.

C'est de la part de Monsieur Edura, il a dit que comme beaucoup de brésiliens sont extrêment croyants cela serait utile à monsieur Mac Juges pour réussir à embobiner la clientèle locale. Il m'a confié qu'il s'était toujours appuyé dessus et que ça lui avait permit d'en arriver à son niveau actuel.

Les deux molosses le regardèrent bizarrement avant de baisser les bras. et de lui indiquer qu'ils allaient le remettre tout de suite à leur patron, qu'il pouvait donc disposer. Liam fit donc demi tour, un sourire en coin. Quelques étages plus bas, il éclata d'un grand rire qui résonna dans la cabine étroite. Il se dirigea vers la cabine la plus proche, et composa le numéro de l'hôtel et demanda la chambre de Mac Juges, se faisant passer pour le directeur d'un de ses casinos. La sonnerie retentit plusieurs fois avant que le patron ne décroche.

"- Oui allo ?
- Mac Juges ? Mon cadeau vous a plut j'espère ?
- Oh c'est vous Edura ? Je n'avais pas reconnut votre voix...
- Non non, ce n'était qu'un moyen de vous faire parvenir ce bouquin mon cher. Il ne vient pas d'Edura.
- Qu'est ce que ça veut dire ?!
- Ouvrez la Bible à la page 666 voisin."

Liam entendit le bruit du livre, le doux son des pages tournées à la recherche de celle indiquée. Il eu un sourire sadique lorsqu'il perçut l'exclamation de surprise et de colère mélangée. Son interlocuteur venait de tomber sur le petit mot qu'il lui avait laissé :

"Vous croyez vous en sécurité si loin de Vegas ? Vous n'échapperez pas à votre destin, votre vie va ici prendre fin. La rédemption approche. Commencez vos prières, l'Ange de l'Apocalypse va lever le voile de votre existence. Bientôt vous découvrirez ce qu'il y a de l'autre côté, là où vous avez envoyé tant de personnes... Vous ne pourrez pas vous échapper, courrez tant que vous voulez mais l'épée de la justice s'abattra sur vous. Je sais tout de vous, vos péchés, vos peur ... vous les verrez bientôt apparaitre dans un tourbillon de haine. Fuyez si vous le pouvez. Maintenant."

Liam entendit le livre tomber au sol et l'homme reprendre le combiné. Son souffle était rapide, sa voix tendue lorsqu'il reprit la parole :

"Qui êtes vous ?! Que savez vous de moi ?

- A bientôt... Commencez à vous préparer à vos souffrances futures ..."

Sur cette dernière menace à peine voilée, Liam raccrocha, dans un dernier rire de psychopathe. Maintenant il était sûr d'une chose, Mac Juges avait pris la menace au sérieux et essayerait de partir. Ne restait plus qu'à l'intercepter ... de la plus simple des manières.
l'indien se faufila discrètement dans le parking de l'hôtel, section limousine. Il attendit, bientôt une voiture serait affrétée pour Juges. Alors il prendrait la place du chauffeur. Tout était simple. Tout était toujours très simple, parfois trop même. Liam réfléchit quelques instants et se décida à prendre directement la place de la personne prenant les commandes des voitures. Il frappa à la porte du local et frappa violemment la personne qui lui ouvrit. Le malheureux tomba évanoui, bientôt suivit par le voiturier qui était dans la pièce.

Désolé les gars, au moins j'vous aurait pas tués.

Liam les attacha et les baillona puis les jeta dans leurs casiers respectifs. Quelques minutes plus tard, l'appel tant attendu arriva, Liam se fit passer pour l'opérateur, changeant sa voix. Il fut néanmoins très surpris car il s'avérait que l'homme d'affaire avait son propre chauffeur. Liam trouva le numéro sur le tableau et l'appela, indiquant au chauffeur qu'il devait venir prendre une voiture.
A peine deux minutes plus tard, il était sur le pas de la porte. Liam lui indiqua que la maison ne pouvait permettre qu'un conducteur étranger emprunte une voiture pour aller à l'aéroport, un conducteur de l'hôtel devait être présent. IL s'installa donc à l'avant aux côté du jeune chauffeur qui se dirigea vers l'entrée de l'hôtel. Au bout d'une minute, Juges et ses deux gardes du corps sortirent du hall et se précipitèrent dans la limousine dont les portes étaient tenues par le chauffeur. Celui ci referma les portières et démarra, roulant en direction de l'aéroport, excessivement vite. Les portières furent rapidement verrouillées, pour éviter toute tentative d'embarquement à un feu rouge ou un stop.
Liam attendit, arrivé à 500 mètres de l'aéroport, à un feu rouge, il dégaina son arme, appelant le chauffeur qui tourna la tête et logea une balle entre les deux yeux du pauvre gars qui s'effondra. Liam le rattrapa avant que sa tête ne heurte le volant et n'enclenche le klaxon et l'envoya de l'autre côté de la voiture. Le tout s'était passé rapidement, sans un bruit, seul le ronflement du moteur et les bruits extérieurs troublaient le silence.

Liam changea de direction, s'éloignant vers les quartiers défavorisés de la métropole.. Il entendait les coups portés contre la fenêtre sans teint et par balle qui séparait conducteurs et passagers. LA peur commençait à s'installer, ils ne pouvaient pas sortir. Prisonniers tous les trois. Liam voulait jouer avec leurs nerfs avant de les tuer. Torture mentale avant la torture physique. Liam se détendait, laissait peu à peu derrière lui le stress de la semaine qui venait de se passer. Il se gara devant un entrepôt et éteignit le moteur. Lentement il descendit la vitre centrale, prenant une arme dans chaque main. Avant que les deux gardes du corps ai pu le voir et tirer, il avait tirer, fauchant leurs mains, la surprise les paralysa au point qu'ils ne pensèrent pas à crier de douleur sur l'instant mais seulement quelques secondes plus tard. Liam colla ensuite un pruneau dans chaque genou (donc quatre en tout, bravo vous savez compter ! ), faisant éclater les articulations dans un puissant bruit qui ne couvrit pas le cri de douleur que laissèrent échapper les deux blaireaux, véritable source de jouissance pour Liam qui se fendit d'un gigantesque sourire sadique en poussant un petit cri digne de celui d'un démon fou.

Vous êtes si peu prudent ... il me semblait vous avoir prévenu pourtant ... mais vous n'avez même pas fait de vérifications.... Vous me décevez beaucoup MacJuges...

L'homme le regarda et ses yeux s'illuminèrent comme en proie à une révélation.

Caldwell ! Alors comme ça vous n'êtes pas seulement le garde du corps d'Anderson ? Il n'hésites donc pas à tuer ses opposants ?

Qu'est ce que vous croyez ? Vous pensiez qu'il allait se laisser attaquer sans répliquer ?

Avec un détachement non feint, Liam tira encore une fois, touchant l'un des garde du corps au coude. Le hurlement qu'il poussa ne fit même pas ciller l'indien.

Vraiment si vous pensiez ça, vous êtes plus stupide que je ne le pensais.

Arrêtez ça Caldwell !

Arrêtez quoi ?

Liam tira à nouveau, faisant tourner le magnum dans sa main, blessant le deuxième garde à la cheville. Nouveau hurlement de douleur, mêlé de peur, peur de comprendre qu'il en était finit d'eux.

Ah de tirer? Non sûrement pas, c'est bien trop amusant. Voyez vous je reviens d'une semaine dans la jungle, suite au crash de mon avion, alors il faut que je me détende.

Il le regarda dans les yeux et continua, tirant au passage avec une certaine nonchalance dans l'épaule du garde, déclenchant des frissons des deux autres tandis que le sang s'écoulait des blessures, lentement ... ils avaient tout leur temps ...et ce n'était pas les cris de terreur que poussaient les deux gardes qui allaient faire stopper la torture... au contraire ... leur cris excitait le sadisme de Liam, sadisme qui augmentait secondes après secondes.

Bon, si on passait aux choses sérieuses ? Je vais commencer par vous débarrasser de ces deux personnes inutiles et ensuite nous iront discuter autour d'une tasse de leur sang, d'accord ?

Joignant le geste à la parole, il acheva les deux choses tachées de sang (on se demande bien pourquoi ...) et mourantes de plusieurs balles. Une balle dans le bras ("Excusez moi, j'ai du mal à viser"), une dans le mollet ("Décidément"), une par ci une par là ... une dans le poumon droit, puis une au niveau du cœur, juste assez pour ne pas les tuer et puis finalement une entre les deux yeux.
Liam contempla les deux masses inertes tomber au sol, le sang gicler dans l'habitacle, tâchant les vêtements hors de prix de MacJuges et le cuir de la limousine. Liam désigna les tâches un peu partout sur les sièges :

Dommage, une si belle voiture, elle est irrécupérable maintenant... Bon si o allait se boire une tasse du sang de vos valeureux amis ici tombé dans une flaque de liquide rougeâtre ?

Vous êtes fous Caldwell !! Vous ne vous échapperez pas !!!

Vous voulez parier ? J'ai beaucoup plus d'expérience que vous ne semblez le croire... le nombre de meurtres que j'ai fait pour la bonne cause est plutôt impressionnant vous savez ?

Mais vous avez quoi? Une vingtaine d'année, 25 tout au plus ? alors n'essayez pas de me faire croire que vous avez tant tué ...

Les apparences sont souvent trompeuses mon cher... vous voyez toutes ces personnes qui se découvrent des pouvoirs ? Et bien je suis de ces gens spéciaux. Je suis sans aucun doute possible la personne la plus vieille sur cette planète. J'ai la même apparence depuis l'an 686 de l'ère chrétienne. C'est ça mon évolution, mon corps est bloqué à l'âge de 20 ans, je suis potentiellement immortel. Enfin bon, nous ne sommes pas là pour parler de moi, trinquons !

Liam sortit alors de son sac deux tasses qu'il remplit avec le sang des deux cadavres, prélevant à la sortie de la blessure à la poitrine surtout, mais n'en oubliant aucune. Il tendit à l'autre une des tasses, il le regarda, lâcha un rire en voyant sa tête, il était plus que dégouté, son visage devenait verdâtre.

Il faut boire pendant que c'est chaud, une bonne partie de la saveur est perdue après.

Ces quelques paroles achevèrent d'écœurer l'homme d'affaire qui vomit, recouvrant le cadavre à sa droite, formant un mélange pour le moins bizarre, liquide rouge sombre et liquide à la couleur indéfinissable qui se mélangeait ... Enfin nous arrêteront cette description ici. Liam but une gorgée et reprit la parole :

Voyons, buvez, vous allez voir, ce n'est vraiment pas mauvais.


Poussé par son futur meurtrier, MacJuges prit un peu de la boisson et se força à en boire un peu ... sans tout recracher et vomir... ce qui fut apparemment très dur. Liam éclata de rire et posa sa tasse. IL regarda le début de carnage autour de lui et désactiva le verrouillage des portes et indiqua au rescapé de sortir en direction de l'entrepôt. Puis il sortit à son tour, braquant son arme en direction du frémissant pourri. Ils entrèrent dans l'entrepôt après que Liam eu fait explosé la serrure en métal d'un coup de feu.

Que fait on ici ? Vous allez m'abattre et on en parle plus ?

Non, à vrai dire je ne sais pas encore totalement, j'ai choisit au hasard un entrepôt en espérant qu'il y aurait ici de quoi m'amuser avec vous. Et je vois que ça va être très très amusants.

Vous êtes fous ! mon opinion est définitive !

Vous n'aimez pas mes jeux ? J'en suis désolé. J'aime beaucoup jouer. Et vous êtes mon jouet du jour. Tout autour de vous se trouvent les accessoires qui vous coifferont, vous écorcheront, vous brûleront. Je vais d'abord commencer par vous attacher pieds et mains, il serait dommage que vous essayez de vous enfuir, je devrais alors vous tuer, ou vous faire encore plus souffrir. et cela me désolerait vraiment...

Avant même qu'il ai put répondre, Juges était au sol, à moitié inconscient, Liam venait de le cueillir d'un énorme coup de poing dans la mâchoire. Il alla alors chercher une corde qu'il avait vu un peu plus loin, il attacha les mains de sa proie dans son dos puis arracha la courroie d'un élévateur pour attacher ses pieds. Il déchira ensuite un pan de tunique pour le bâilloner.

Je déclare le jeu ouvert. Essaye un peu de courir pour voir ce que ça donne. Tiens diriges toi vers ce poteau là bas. dit il en montrant un poteau métallique à une demi douzaine de mètres, un poteau où était fixé quelques instruments en métal rouillé.

L"homme tenta d'avancer rapidement et tomba plusieurs fois, s'écrasant le visage au sol, le nez éclatant, les jurons et les petits cris de douleurs étouffés par le bâillon.La poussières se soulevaient et retombaient, recouvrant le corps peu à peu, comme si elle cachait un nouveau meurtre. Liam s'avança vers l'homme qui tentait de se relever en s'appuyant contre le poteau. Il éclata de rire et regarda tout autour de lui, cherchant quelque chose d'intéressant pour torturer sa cible. IL trouva une petite lame sur une caisse ainsi qu'un pied de biche...

Mais c'est génial tout ça ! Vous avez vu ?! Comme le hasard fais bien les choses, nous allons pouvoir en faire des choses avec ces quelques objets! Regardez moi ça, regardez comme c'est bien rouillé ! Il y a de quoi chopper le tétanos là non ? Qu'en dites vous ça vous tente ? ... Et bien c'est pas grave ça sera pareil, de toute façon vous n'aurez pas le temps de souffrir de cette maladie ...


Liam prit la lame et vérifia qu'elle était plus ou moins tranchante, il l'affuta rapidement contre le poteau métallique, juste au dessus de la tête.


Vous savez, j'ai toujours voulut essayer le scalp à notre époque. Je l'ai déjà fait par le passé, plusieurs fois, mais à l'époque ça ne choquait pas, c'était les coutumes. De nos jours on qualifie tout ça de barbare. Je ne vois pas pourquoi, ce n'est pas mortel ... la peau repousse, les cheveux aussi...

Les gémissements et le frisson qui émanaient de MacJuges révélaient plutôt clairement qu'il avait compris ce que cela sous entendait ... et qu'il n'était pas du tout d'accord pour servir de cobaye. Liam, avec un grand sourire, assena un grand coup de poing dans le visage de son prisonnier, l'envoyant à nouveau dans les vapes. Il l'attacha au poteau, maintenant bien la tête pour qu'elle ne puisse pas bouger, puis il le réveilla en lui mettant de grandes claques.


Et bien reste avec moi ! ça ne fais que commencer !


Les yeux se rouvrirent, captèrent un nouveau mouvement, la lame qui s'approchait du visage. Un cri s'échappa du bâillon, cri de terreur dont le reflet se retrouvait dans le regard horrifié. Liam n'en tint pas compte et c'est avec une décontraction inhumaine qu'il commença à découper la peau du haut du crâne, coupant les cheveux, évitant les grosses veines, le sang ne coulait pas beaucoup, c'était du travail de professionnel. Seul la douleur était au rendez vous; les nerfs étaient à vif, brûlaient la peau. Sensation intolérable arrachant des larmes de douleur et des frissons incontrôlables. Un sourire sadique s'affichait sur le visage de l'indien, ses yeux brillait de plaisir...
La peau se détacha peu à peu, Liam la soulevait d'une main experte, ses mains se tachant un peu de sang. Il prit son temps, faisant durer la torture autant mentale que physique. Puis il prit le scalp de ses deux mains et s'en coiffa, regardant négligemment l'homme au crâne à vif.


On dirait Mr Crocket non ? Je pense que je vais le garder en souvenir de ce moment inoubliable. Vous êtes un bon jouet, vous éveillez mon imagination à un point dont vous n'avez pas idée.


Le silence s'installa, pesant, juste rompu par le doux bruit du sang s'égouttant, tombant au sol, dans un plop jouissif. Ce doux bruit intimait son rythme au temps, dans cette pièce. Métaphore de la rupture avec le monde extérieur qui caractérisait cet endroit, cet instant présent.
Liam s'installa, s'asseyant sur une caisse, il commença à jouer négligemment avec la lame tout en admirant son nouveau scalp. L'assassin lançait la lame en l'air, la rattrapait avec dextérité sans se blesser.
Reportant son attention vers son prisonnier, Liam remarqua les soubresauts qui agitait le corps ficelé. Il sauta à bas de sa caisse jetant la lame avec une précision inhumaine vers le bras, l'éraflant, l'entaillant sur quelques millimètres au passage. Il s'accroupit devant sa proie, cherchant son regard un éternel sourire sur les lèvres. Il reprit la lame et commença à couper l'index droit, lentement, tout en continuant à parler comme si de rien n'était.


IL parait que vous avez beaucoup travaillé pour en arriver là, travaillé dur. Est ce que votre famille vous est reconnaissante ? Ou bien est ce que vous avez été trop absorbé par votre travail pour faire attention à votre entourage ?
...

...

Vous savez je n'ai plus de famille depuis bien longtemps, je protège certaines personnes comme Miss Braut et Miss Cult ou Mr Anderson mais la mortalité qui est leur caractéristique m'empêche de trop m'attacher à eux... dommage. L'immortalité à quelques inconvénients quand même. Aimez vous votre famille? ... Votre disparition va t elle apportée de la peine dans votre foyer ?
Ah ! Vous pensez ? Je pense que vous vous trompez, je suis certain que votre femme vous trompe avec votre directeur de la sécurité. Au moment où nous parlons je parierait 1 000 000 de dollars qu'elle est sur son bureau les jambes écartées
Vous ignoriez qu'elle n'avait plus rien à faire de vous n'est ce pas ? N'avez vous jamais envisagé la possibilité qu'elle ne reste que pour votre argent ? Une telle stupidité ... pas étonnant alors que j'ai réussit à vous avoir aussi facilement. Vous auriez quand même put ajouter du challenge ! vous enlevez tout le fun vous savez ? Franchement, vous auriez put avoir plus de gardes du corps que ça, qu'ils vous défendent mieux au moins ! Là c'était tout juste amusant. Je préfère quand c'est jouissif.


Vous n'aimez pas souffrir ? Mais ce n'est pas grave j'aime infliger la douleur à un tel point que j'ai suffisamment de plaisir à vous infliger ces quelques jeux pour nous deux.


Liam s'arrêta soudainement, regardant avec intérêt le nerf qu'il venait de mettre à vif. Il lâcha la main, l'index gauche n'était plus retenu au reste de la main que par le nerf. Il se recula en faisant tourner la lame dans sa main, tâchant ses doigts de sang.


Vous aimez la musique ? Moi oui, et si on faisait un petit concerto ?

Sans attende ne serait-ce qu'une esquisse de réponse émanant du bâillon, Liam se repencha, dégageant le nerf avec précision. Il refit l'opération sur tous les doigts. IL attacha ensuite les nerfs à un bout de bois et les tendit, testant leur résistance, déclenchant des spasmes et des gémissements.
Il s'installa, jouant avec les nerfs comme s'il jouait de la harpe, faisant vibrer les nerfs, déclenchant des douleurs insupportables.

Quelle magnifique mélopée, je pourrais en jouer toute la journée. Bon c'est pas tout ça ... mais j'ai d'autres jeux à vous faire voir.

Sur ces mots, Liam prit la barre de fer qu'il avait posée et assenant un énorme coup dans le genoux droit de sa proie, le craquement qui en résulta résonna longuement dans l'entrepôt vide, au plus grand plaisir du bourreau.

Excellent !

Reprenant son arme, il tira deux balles dans la main encore intact puis trois dans le second genoux. Il se rassit, observant le sang qui coulait il décida de faire quelques garrots afin de ne pas faire mourir trop rapidement sa victime. Il regarda autour de lui, cherchant un moyen de cautériser rapidement les blessures aux mains. Il eut une illumination, arrachant une nouvelle fois une partie de la chemise de MacJuges, il l'attacha à sa barre de fer et se dirigea vers le chariot élévateur. Il trempa le tout dans le réservoir du véhicule, imbibant d'essence le tissu. Il se dirigea vers l'homme d'affaire tout en sortant son briquet.

Je vais vous soignez, ça risque de piquer un peu ...

Il mit le feu au tissu et l'appliqua sur les mains, brûlant, fondant la chaire. Il faisait attention à ce que la brûlure ne se propage pas, que le feu reste confiné.
Cinq minutes de cris atroces plus tard, le sang ne coulait plus que difficilement des blessures. Il était maintenant temps de passer à une expérience...

J'ai envie de tester quelque chose, ça risque de vous plaire.

Il détacha le pauvre homme effrayé et attacha la corde au niveau de ses pieds avant d'attacher l'autre bout à la partie s'élevant du chariot élévateur. Il mit le contact et le traina une ou deux minutes dans l'entrepôt avant de s'arrêter et de faire monter à trois mètres du sol le corps.

Je voudrais voir combien de temps vont tenir vont genoux broyés avant de se rompre, vos jambes resteront là haut et vous, vous vous écraserez en bas. Bon excusez moi je reviens.

Il se dirigea en courant vers la limousine toujours garée à l'extérieur et y prit champagne et pop corn dans leurs emplacements,hésita quelques instants et prit également les toast au caviar dans le frigo miniature. Il rentra à nouveau dans l'entrepôt et s'installa confortablement sur une caisse, comme s'il était au cinéma. Regardant avec intérêt l'expérience en cours, jetant des coups d'oeil à sa montre pour voir combien de temps cela allait réellement prendre.

10 minutes. 10 minutes suffirent.

Il se releva et s'approcha, l'air contrarié.

Vous me décevez une nouvelle fois, je vais devoir continuer mon jeu puisque vous n'êtes pas capable de retenir vos jambes.

Il regarda le cadavre et cautérisa à nouveau les blessures au niveau des genoux à l'aide du feu, faisant en même temps reprendre conscience à MacJuges qui s'était évanouit sous la douleur et la chute.. Que faire maintenant ? Oh ! Une idée magnifique venait de lui traverser l'esprit. il s'approcha, prit sa lame et se pencha vers le visage.

Vous êtes un amateur d'art il me semble ? Vous aimez Van Gogh ? Moi oui ...

Sur ces mots, il commença à couper l'oreille droite du jeune homme avant de lui ... faire manger. Il tira dans la deuxième, effleurant le crâne. Puis il dirigea sa lame vers l'oeil. Il l'utilisa comme un levier pour faire ressortir le globe occulaire retenu par le nerf. Il sectionna celui ci et commenca à le peler et à faire manger de force les bout d'oeil ainsi découpés...

Oh mais vous avez encore faim ? Bon je peux bien vous redonnez un petit quelque chose avant de vous achever.

Il arracha d'un grand coup les parties génitales de sa victime qui poussa un cri, faisant tomber le bâillon.

Nooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Et bah si

Un sourire sadique se dessina sur le visage de Liam qui ralluma le feu et fit chauffer la viande. Il la coupa et la fit avaler à MacJuges, éclatant de rire en voyant sa tête à chaque bouchée, en voyant son visage devenir de plus en plus vert jusqu'à ce qu'il vomisse. Il le força tout de même à finir.
Il le releva, lui déboitant l'épaule au passage et l'appuya contre une caisse. Il reprit son arme et vida le chargeur, gardant les deux dernières balles pour le coeur et la tête. Le corps retomba lentement. C'était finit. La folie quitta un peu Liam qui alluma un cigare, regarda à nouveau le cadavre. Il se hissa et détacha les jambes qui tombèrent dans la marre de sang avec un *plouf* très musical. il décida de continuer tout de même. Il désolidarisa les bras et la tête du reste du tronc, jonglant avec. Il remarqua les rats qui commencaient à apparaitre un peu partout. Il rechargea et tira, les faisant fuir. Il shoota dans la tête, l'envoyant dans l'élévateur.

But !!!!!

...
...
...


Liam regarda le cadavre totalement détruit, coupé en plusieurs
parties, trempant dans une marre de sang. Il allait devoir le faire
disparaitre. Une idée lumineuse apparut alors dans son esprit. Alison.
Il appela rapidement l'hôtel et demanda la chambre. Alison répondit
rapidement :

Alison, tu n'as toujours rien mangé je
suppose ? Prend un taxi jusqu'à l'adresse que j'ai laissée sur la table
et rejoint moi. A tout de suite.

Il attendit, 45 minutes plus tard une voiture se gara non loin. Il
sortit de l'entrepôt et accueillit Alison, lui indiquant la porte de
l'entrepôt dans lequel il avait garé la limousine et ouvert les portes.

Il patienta, tendant l'oreille, surveillant sans s'approcher,
pour réduire les risques. Elle ressortit bientôt, couverrte de sang.

J'espère que tu as bien mangé, il nous reste peu de choses à faire avant de partir.


Il
se dirigea alors vers le taxi qui attendait toujours et lui indiqua
l'adresse de l'hôtel. Il en parut guère surpris par le sang. Une heure
et demi plus tard, Liam et Alison étaient propres, vêtus d'habits
neufs, en route dans la même voiture volée pour le lieu de rendez vous.
A 19h tapantes, ils virent arriver les deux indics qui vérifièrent les
enveloppes. Peu de temps plus tard, ils partaient vers leurs
bidonvilles et les deux américains se dirigeaient vers l'aéroport pour
prendre l'avion pour Vegas . . .





*Traduction des passages en espagnol (mais je viens de tilter que j'aurais dut les faire en portugais ... bon c'est pas grave hein on va faire comme si ^^")*


ça va être long encore ... qu'est ce que j'ferais pas pour Mery hein ? xD

"¡ Escuchas yo! ¡ Te digo que este
hombre tiene demasiado dinero para que se funde a no le tomárselo un
poco! Acaba de rescatar un casino a lo que se dice, el de Edura, a lo
largo de la costa. ¡ Si no es una prueba quiero cortarme la mano!"

"¿ Cómo se llama este hombre ? ¿ Y dónde podemos encontrarlo, para ... tocar sus dollars "


Ecoutes moi ! Je te dis que cet homme a beaucoup trop d'argent pour qu'on l'on se permette de ne pas lui en prendre un peu ! Il vient de racheter un casino à ce que l'on dit, celui d'Edura, le long de la côte. Si ce n'est pas une preuve je veux bien me couper la main !

Comment s'appelle cet home ? Et où peut on le trouver pour ... lui prendre son argent ?


"El hombre de quien usted acaba de
hablar, es mi presa, le aconsejo fuertemente no mirarse de reojo de mi
camino. Si usted hace lo que acabo de aconsejarle, usted es
recompensar, tengo sólo hacer su dinero, se lo daría de buena gana,
quiero justo... su cabeza. Pero si usted interviene, de cualesquiera
modo que esto sea, usted lo pagará de su vidas. ¿ Comprendió bien?"

L'homme dont vous venez de parler, c'est ma proie, je vous conseille de ne pas vous mettre en travers de mon chemin. Si vous le suivez ce conseil, vous serez récompensé, je n'ai que faire de son argent, je ne veux que .. sa tête . Mais si vous intervenez, de quelque manière que se soit, vous le payerez de vos vies. Vous avez bien saisis ?

Que nos diges extranjero? ¿ Vienes
sobre nuestro territorio, sólo, y te atreves a ordenarnos algo? ¿ Te
atreves a imponernos de dejarte nuestro blanco? ¿ Verdaderamente crees
que vas a poder salir de allí después de esto?

Que dis tu étranger ? Tu viens sur notre territoire, seul, et tu nous donnes des ordres ? Tu crois vraiment que tu vas pouvoir sortir d'ici après ça ?

En
este sobre usted encontrará cien millares dólares. Si usted hace lo que
acabo de decir le pagaría(vertaría) yo hasta 400 000 dólares cada uno.
Va de sea que todo esto te quedarás entre nosotros. ¿ Ve su interés en
este asunto?

Dans cette enveloppe, vous trouverez 100 milles dollars. Si vous faites ce que je viens de dire, il y aura 400 000 dollars pour chacun Il va de soit que tout ceci restera entre nous. Vous voyez vos intérêt dans cette situation n'est ce pas ?

Vamos a entendernos pienso. Queremos saber por qué quieres matarlo.

Nous allons nous entendre je pense. Nous voulons savoir pourquoi tu veux le tuer.

He sido contratado para matarlo, no tengo nada más explicarle.

J'ai signé un contrat pour le tuer, je n'ai rien d'autre à expliquer.

Veo,
eres un asesino pagado... No te pediría pues nada más. Puedes confiar
en nosotros extranjero, la ley del silencio es aquí la grande maitresse
con el mismo título que el dinero...

Je vois, tu es un tueur à gages... Je ne te demanderais rien de plus. Tu peux avoir confiance en nous étranger, la loi du silence est la grande maitresse ici, au même titre que l'argent.

El bien.
Le aconsejo sin embargo no aceptar sumas más importantes que pretenden
a mí denunciar(revelar) porque en este caso allí le
encontraría(recobraría) y matarías sin vacilación. ¿ Es lo que nos
comprendimos bien?

Bien. Je vous conseille de n'accepter aucune sommes plus importantes visant à me dénoncer parce que si c'est le cas, je vous retrouverais et je vous tuerais sans hésitation. Nous sommes nous bien compris ?

No trataba de doblarnos, si no tenemos el dinero antes de tu salida de Rio, procuraremos que pasas de vida a muerte.


N'essayes pas de nous doubler, si nous n'avons pas notre argent avant que tu ne sortes de Rio, nosu te promettons que tu passeras de vie à trépas rapidement.

No se inquiete por esto, usted los tendrá, encuentra yo delante del casino Aventura mañana por la noche a las 19 horas

Ne vous inquiétez pas pour ça, vous l'aurez, retrouvez moi devant le casino l'Aventura demain, à 19heures.

Le voyage pour Rio s’était avéré plus mouvementé que prévu, ce qui n’avait pas eu pour effet de déplaire à Alison, même si elle avait ressentie la peur à deux ou trois reprises. Elle ne regrettait pas d’avoir tué cet homme qui avait dans son portefeuille un billet allé pour Rio et d’avoir prit cet avion qui, semblerait il, avait eu un problème et de s’être retrouvée dans un endroit perdu avec les autres survivants. Cela lui avait permit de rencontrer Liam, un homme assez étrange qui avait su facilement gagner la confiance de la gamine, pas énormément certes, mais c’était déjà bien. Ainsi, Alison avait prit la décision de suivre cet homme qui en réfléchissant était un parfait inconnu. Mais cela lui importait peu : elle pouvait très bien se défendre et puis si à un moment ou à un autre par on ne sait quelle raison elle devait l’attaquer et pourquoi pas le manger elle n’hésiterait pas un seul instant.

C’est ainsi qu’elle se retrouva dans une voiture volée, en compagnie de ce Liam. Il disait devoir régler le compte à un homme avant de retourner à Las Vegas où son ‘patron’ serrait soi-disant ravit de la rencontrer. Sur ce point elle doutait un peu : comment quelqu’un pourrait être heureux de la voir elle, une simple gamine de 14 ans. Mais elle ne dit rien. Peut être était-ce vrai finalement, et si c’était le cas ce ne devait être que pour ce ‘don’ qui était apparu chez elle soudainement et qui l’avait bien effrayé au début. Enfin si cela faisait plaisir à ce ‘patron’, tant mieux. La voiture fit tout d’abord halte devant un casino où Liam obtint de nouveau vêtements. La voiture roula encore, pour cette fois s’arrêter dans le parking d’un hôtel. L’homme prit une chambre au dernier étage où il déposa Alison, lui donna quelques recommandations comme n’ouvrir à personne et lui affirma qu’ensuite ils partiraient enfin pour Las Vegas. La jeune fille le regarda partir avec un petit sourire qui partit une fois la porte de la chambre refermé, juste après le petit ‘clic’ informant Alison que Liam venait de verrouiller la porte.

Alison venait à nouveau d’être enfermée. Certes la cage était cette fois plus spacieuse et confortable que la précédente mais bon, elle était enfermée quand même, bien que ce ne fut pas contre son gré. Maintenant que devait-elle faire ? Rien, juste attendre le retour de Liam. Sachant que le temps passe plus vite en s’amusant, Alison se mit en quête d’une occupation sans résultats satisfaisant. Elle s’assit sur le lit fouillant ses poches. Elle n’avait rien perdu durant l’accident ce qui était normal étant donné qu’elle n’avait rien prit au départ. Seul le morceau de viande avait disparu dans le ventre la jeune fille peu de temps après le décollage. Il y avait bien un bracelet qu’elle portait avant, une sorte de gourmette portant le mot ‘Alf’ qui s’était cassée et avait trouvé refuge dans une des poche de la gamine. Alison la prit entre ses doigts, avant de la jeter sur le lit. Elle avait désormais une occupation : Liam lui avait dit de ne pas sortir, il ne lui avait en aucun cas interdit de se transformer.

Le temps passa et Liam revint. Alison avait déjà reprit depuis un petit moment sa forme humaine et regardait la télévision. L’homme commanda les repas mais la jeune fille n’y toucha pas un seul morceau, ce contentant de regarder Liam manger en silence. Quand celui-ci fut partit, elle n’entendit pas de ‘clic’ cette fois. A plusieurs reprise l’envie de sortir dans les couloirs lui vint en tête, mais elle resta assise, immobile devant la télévision. La faim commençait doucement à se faire ressentir. Soudainement le téléphone sonna. Alison s’empressa d’y répondre.

"Oui ?"
"Alison, tu n’as toujours rien mangé je suppose ? Prend un taxi jusqu’à l’adresse que j’ai laissé sur la table et rejoint moi. A tout de suite."

Alison raccrocha le téléphone avant de se diriger vers la table. Il y avait bien une adresse. Sans attendre plus longtemps, elle attrapa le morceau de papier et ouvrit la porte de la chambre. Elle avait vu juste : ce n’était pas verrouillé. Elle se mit à courir dans les couloirs, pressée de rejoindre Liam, se demandant ce qu’il avait voulut dire par ‘tu n’as toujours rien mangé je suppose ?’’. Dans tous les cas ce ne pouvait être que de la nourriture, mais venant d’où ? La jeune fille passa la porte d’entrée de l’hôtel et prit un taxi. Le chemin en voiture lui parut interminable. Lorsque le véhicule s’arrêta enfin, elle sortit et se dirigea vers Liam qui lui montra la porte d’un entrepôt. Alison ne tarda pas à y entrée seule, Liam ne l’ayant pas suivit. Une fois à l’intérieur, elle ne pu s’empêcher de sourire. Devant elle se trouvait une voiture et le cadavre d’un homme découpé en plusieurs morceau. La jeune fille fut rapidement remplacée par un loup qui fonça vers la viande fraîche. Après quelques instant à la renifler, l’animal se mit à manger goulûment, arrachant morceau de chaire par morceau de chaire. Le cadavre fut rapidement engloutit par l’animal. Seul quelques os reposaient sur le sol. Guidé par son flair, le loup se dirigea cette fois à toute vitesse vers la limousine, les portes grandes ouvertes. L’animal s’y engagea, heureux d’y découvrir à nouveau de la viande à se mettre sous la dent. Vous vous doutez sans doute de ce qui se passa ensuite non ? Le loup se mit à les dévorés l’un après l’autre. Ils passèrent sans difficultés dans le ventre son ventre. Seul le dernier cadavre n’avait pas été mangé entièrement.

Alison reprit sa forme humaine, s’approchant du corps sur lequel il restait de la viande. Elle en prit un morceau qu’elle enfuit dans ses poches, avant de traîner les restes dans une caisse un peu plus loin. C’est heureuse qu’elle ressortit de l’entrepôt et qu’elle se dirigea vers Liam. Couverte de sang certes, mais au moins elle n’avait plus faim.

"J’espère que tu as bien mangé, il nous reste peu de choses à faire avant de partir."

Liam eu pour simple réponse un sourire d’Alison. Ils eurent en effet encore quelques petites choses à faire avant de partir, mais peu importait à la jeune fille étant sûre d’une chose : elle pouvait avoir confiance en Liam et le suivre sans crainte.