Une chance en or [pv Terry]

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Dans le ciel, rien n'est important. Juste les nuages, les nuages et encore les nuages. C'est un endroit vraiment super, la solitude à l'état pur. Quoique, les bambins qui chahutent, les vieux qui font leur mots croisés. J'ai beau avoir demandé une bonne place, prêt du hublot. Note personnel, en arrivant je demande à ma secrétaire de m'achète un jet sa ira plus vite et sa sera moins énervant comme voyage. Et par la même occasion je pourrais téléphoner et travailler sur mon ordinateur sans avoir à me soucier des gens qui m'entoure car il n'y aura presque jamais personne. A peine les réacteur furent-ils arrêtés que je me précipita à l'extérieur de l'appareille. Les gens s'émerveillait un peu de l'allure de la grade pomme que l'on pouvais renommer le grand troue. Je me précipita sur les tapis roulant qui menaient à la sortie. Je n'avais pas de baguage cabine, juste une mallette pour l'ordinateur et un costume de rechange. Je ralluma mon portable, et composa le numéros précédent. Il n'y eu qu'une seul tonalité, c'est se que j'aimais chez Juliette ma secrétaire. La douce voix habituel me répondit :

- Mr Anderson, avez-vous fait bon voyage ?
- Oui, merci. Mais bon il me faudrait un jet rien qu'à moi.
- Mais monsieur ...
- De quoi avez vous peur ? Ne vous inquiété pas, je ne supporte plus les avions de ligne, c'est une horreur.
- C'était une place offerte, mais c'est vous le patron.
- Sinon comment avance la transaction 28a-bis ?
- Il y a quelque problème de négociation, le propriétaire de l'usine refusent de garder les employé, il menace 8000 emplois. En passant une voiture arrive pour vous cherché.
- D'accord, donné 50000 dollars pour sauver ces emplois, je hais les licenciement de masse, c'est dur pour l'image de ma société. Si il refuse licenciez le, beaucoup attendent sa place.
- Oui monsieur.

Mon pied se posa sur le trottoir de l'aéroport, que déjà une voiture c'était stationner devant moi. Un chauffeur descendit et m'ouvrit la portière. Je me retrouvait sur le siège arrière d'un magnifique Porsche Cayenne.

- Ma voiture était déjà là, merci pour la rapidité. Acheté vous un petit quelque chose.
- Monsieur, c'est que
- Ne vous inquiété pas, je ne manquerais pas d'argent. Je suis l'unique héritier de la famille. Le notaire de ma mère à mit les fond de cette dernière dans des affaires qui marchent du tonnerre, vous saviez que la location de serveur internet vont de bon train en ce moment. Je pourrais touché les intérêt à partir de la semaine prochaine, soit 1 milliard et demis par mois.
- Je viens de recevoir des nouvelles par rapport à votre exploitation minière et votre vente d'objet découvert lors de vos fouilles. Vraiment magnifique les pièces que vos chercheurs ont trouvées, certaines datent de plusieurs siècles.
- Donné les deux tiers des découvertes aux musées nationaux. Sur le dernier tiers, je garde la moitié et le reste est vendue. La moitié de la recette de la vente partira pour les associations humanitaires. Et pour l'exploitation, elle me rapporte combien ?
- Le quart prévue, elle est vide, cela vous fait tout juste 5 million de dollars. Heureusement pour vous qu'elles ont un contexte historique. Je vais vous laisser profiter de votre séjour.
- Rappelez moi ce soir à 19 heures, pour les nouvelles.
- D'accord.

Le trajet en voiture fût rapide, l'enseigne de l'hôtel montra vite le bout de son nez. 0 l'intérieur le gérant se sentait mal à l'aise. Et oui je venait en tant que propriétaire et non comme client. Un établissement hôtelier permet de remplir un peu plus les caisses. J'avais à présent une chambres superbe avec vue du restant de New-York. Je me changea et redescendit pour partir voir un directeur de finance d'une entreprise. Il me le fallait, il parait qu'il était un génie. Je me devait d'avoir des gens hors-norme prêt de moi.

Je me trouva donc devant une entreprise flambent la nouveauté. Je entrait et demanda le service des finances. Je me retrouva devant une secrétaire jeune mais qui ne semblait pas vraiment comprendre pourquoi elle se trouvait ici.

- Je viens voir Mr Sawyer. J'ai rendez-vous.

Elle voulut en placer une, mais pas le temps je m'était précipité dans le bureau. Un jeune homme, je lui donne la vingtaine quoiqu'il semble un peu plus vieux que moi.

- Mr Sawyer, je suis content d'enfin voir le génie des finances. Je suis Alan Anderson. Celui que beaucoup appel comme le gestionnaire intarissable. Mais je ne pense pas que vous voudriez rester dans cette boîte qui ne vous permette pas de progresser et de voir d'autre choses. La vie est pleine de surprise alors autant en profité. Vous êtes doué, j'ai une place importante qui va être libre dans pas longtemps. Et je peut vous payer le double de ce que vous gagner ici.

Comme pour appuyé mes paroles, je déposa une enveloppe sur le bureau.

- Elle contient 25 000 dollars, pour commencer. Si vous accepter vous aurez 25 000 de plus. Et ensuite je vous payerais suivant votre travaille. Sachez que je suis généreux avec mes employés qui savent faire leurs travailles avec beaucoup de savoir faire. Je pense que vous êtes un garçon intelligent qui veux avoir d'autre responsabilités.

Je laissa ainsi mes paroles planer. Je me posa dans un fauteuil en face du bureau en attendant la réponse.

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(Chronologie: Environ une semaine apres Darkness is on my side .

Les événements que Terry a vecut avec Alexis Kane et Arthur Petrelli l'ont marqués. Il sera donc plus sombre, pessimiste, hargneux et, de plus, il n'a plus son pouvoir.)

Une autre putaine de belle journée! Pour la premiere fois dans sa vie, Terry en avait mare de son job. Les finances, c'était bien beau mais, a la longue, gérer les portes-feuilles de grand nom de l'économie, sa devient lassant. Pour ne pas dire franchement barbant! Le seul probleme: Terry n'avait de l'experience dans rien d'autre. Dans sa vie entiere, tout ses projets qui ne touchaient pas son travail avaient tombés a l'eau pathetiquement. Son projet abracadabrant de "sauver le monde" lui avait meme arraché une part de lui meme, une part de son ADN. Il était maintenant un etre normal, un autre humain dans le moule de la société. Se qui le rendant unique lui avait été vollé. Plus il y pensait, et plus la rage lui montait a la tete tel un venin débilisant. Un sentiment pareil était totalement étrangé au jeune homme. Lui qui avait toujours été aimable et généreux, il était maintenant pret a tout pour se venger du chef de Pinehearst. Meme a tuer...

- Mr. Sawyer, un homme sans rendez-vous se dirige vers votre bureau. J'appelle la sécurité?

Simplement en prononçant cette phrase, la secretaire de Terry reussit a lui foutre les jetons. Il s'était fait prendre par agent de Pinehearst qui, a l'instars de se client impromptu, n'avait pas de rendez-vous. Le plus rapidement possible, le financier s'assit et tira un revolver du dernier tirroir de son bureau. On est jamais trop prudent...

Terry reconnut instantanement l'homme qui penetra dans son lieu de travail. Alan Anderson, heritier de la puissante fondation de son pere et homme tres influent économiquement parlant. Anderson se presenta (meme si se n'était pas nécessaire) et lui fit un monologue sur son talent et a quel point il promettait. Sans autre préambule, il lui proposa un poste ou il serait remuneré au double de son salaire actuel. Pour prouver son offre, il posa un envellope sur son bureau. Envellope qui contenait sans l'ombre d'un doute plusieurs beaucoup d'argent. 25 000$, comme le precisa Anderson. Et se n'était que la moitié de se qu'il toucherait si il acceptait le poste. 50 000$, content! Sa faisait un sacré pactole en tres peu de temps! Terry contempla l'envellope pendant quelques secondes et puis fixa son interlocuteur dans les yeux.

- Pardonnez-moi si je vous manque de respect, Mr. Anderson, mais avant d'accepter, j'ai besoin d'un peu plus de... details, voyez vous? En quoi tout ça va consister?

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La réaction d'un homme face à de l'argent est souvent la même surtout quand ce dernier et à porter de main sans vraiment d'effort. Terry ne ressemblais pas vraiment aux autres personnes, ces dernier auraient déjà pris l'enveloppe et regardé à l'intérieur. Cela me renforça sur le pressentiment envers le jeune financier. L'argent m'ouvre des portes qui sont fermé pour la plupart des personnes commune. Je pouvais en faire profité n'importe qui, n'importe quand. Mais j'avais depuis peu commencer une transaction qui me vaudrait une rentrée d'argent. Mais pour cela il me fallait des gens sur qui je pouvais compter et qui pouvais prendre des décisions qui seront les meilleures pour mon entreprise et les annexes à cette dernière. Le regard de mon interlocuteur vin de l'enveloppe pour a présent me regarder. Il entreprit de me répondre :

- Pardonnez-moi, si je vous manque de respect, Mr Anderson, mais avant d'accepter, j'ai besoin d'un peu plus de ... détails, voyez-vous ? En quoi tout ça va consister?
- Vous devez vous en doutez, j'ai besoin d'une personne sachant gérer les grosses sommes d'argent, et je n suis pas vexer de votre question. Soyez en sur. Mais pourquoi ? C'est très simple, je vais faire l'acquisition d'un grand casino, je pense que vous le connaissait de nom : le Monte Cito. Vous comprendrez facilement qu'avec un si gros établissement les sommes d'argent vont de bon train. Imaginer seulement je pourrais organisé des tournois de jeux, soit une rentré d'argent supérieur à 5 millions, après avec les consommations, les parkings et tout ce qui touche aux employé, etc etc ... Je pense que cela vous intéresse.

Je me leva doucement, ma mallette était encore à sa place. Heureusement pour moi. Je la pris doucement, et ensuite je la déposa sur le bureau. Je fît cliquer les boutons ce qui eux pour effet l'ouverture de mon bien.

- Vous comprendrez très certainement que j'ai besoin d'un expert et non pas d'une personne qui va s'enrichir sur mon dos.

Les plans furent déroulés sur le plan de travaille.

- Comme vous pouvez le voir c'est une très grande surface, surtout avec ses étages pour les jeux, black-jack, poker, machines à sous. C'est le temple du plaisir et de la débauche. Pouvoir dépenser sans compter. Que j'ai l'intention de loué des salle de réunion ou des salles pour des séminaires.

Jusque là mon discoure n'était pas différent d'une autre personne; Terry devait certainement en voir d'autre qui le voulait pour gérer leur bien. Mais j'avais une autre idées en tête. Je laissait quelque instant pour laissé réfléchir le financier. Pendant ce temps je me pencha vers une seconde enveloppe. Et la déposa à coté de l'autre.

- Je vais devoir vous laisser. Vous avez certainement mieux à faire que de restez à parler avec moi.

Cette phrase n'était qu'un prétexte pour me rapprocher, je lui tendis la main. Mais j'aperçus qu'il avait une arme dans la main. Ce fût d'un geste léger et souple que je lui attrapa le poignée et le fît tomber.

- Il ne faut pas jouer avec ces joujoux, vous pourriez vous blessez sa serait dommage pour vous.

Je lui tordit le poignée pour qu'il lâche l'arme, se qu'il fît. Je pris cette dernière et je revins m'assoir dans un fauteuil. Le laissant se remettre de ses émotions. Je voulais inspirer la crainte pour ne pas a avoir à me répéter, c'est pour cela que je déposa l'arme sur le bureau au milieu des plans. D'un doigt léger, je caressa le métal qui semblait bien triste à mes yeux. C'est alors que je commençait à entreprendre d'utiliser ma capacité. Les atomes se multipliaient à une vitesse folle, mais je gardais la forme de départ, je n'allais pas aller jusqu'à l'explosion, mais juste au changement de densité donc de poids. L'effet voulu ne se fît pas attendre, l'arme s'enfonça dans le bureau.

- Comme ça vous ne vous blesserais pas inutilement. Parlons sérieusement maintenant. Vous l'avez certainement vus je possède une capacité peu commune. Je peut cloner la plupart des choses. Votre arme est à présent quatre fois plus lourde que son poids de départ. Mais imaginez seulement, de l'argent rentre dans mon casino, des billets et des billets. Je les clones avec les même chiffres, ce qui est juridiquement parant du blanchiment d'argent. Mais regarder, à la sortit du casino on redonne l'argent cloner à ceux qui on gagner. Comme ça ni vue ni connu, l'argent coule à flot dans les rues de Vegas. Mais le mieux c'est que c'est indétectable, vue que je copie tout, le papier, l'encre, tout les petit défaut de chaque billet. Ainsi, le monde est en crise, mais les gens s'attardent encore à s'amuser. Pour moi ce n'est qu'une question de moral. Cela leur apprendra à vouloir toujours tout dépenser. Ce projet n'a que pour but, la chut des cours financier, se qui me permettra de mettre la main sur de grande compagnie, etc etc ... Vous pourrez bien sur contrôler une partit de ce projet, vous avez les compétences , j'ai le support et les moyens. J'ai d'autre idées pour la suite, mais si je vous dévoile la totalité, vous n'irez qu'à me vendre à la police, quoique je suis un trop bon donneur pour qu'il puisse tenir compte de votre plainte, il la perdrais surement. Je ne suis pas un méchant, c'est juste que le monde est trop matérialiste, il faut organisé la criminalité et faire plongé le monde dans un flot de sang et de peur pour que ceux qui ont des capacité spécial se montre. Ainsi, il faudra tout reconstruire, plus beau, plus fort, un monde meilleur en clair. Mais comme je ne peut pas faire ça seul j'ai besoin d'allié, et je pense que vous en serez un très bon. Alors votre réponse ???

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Terry sentait que cet homme avait quelques chose de special, une sorte de determination innalterable, une ruse bien superieure a la moyenne humaine. Apparament, Anderson s'attendait a des questions sur son projet. Il prit sa malette et l'ouvrit face a Terry.

- Vous comprendrez très certainement que j'ai besoin d'un expert et non pas d'une personne qui va s'enrichir sur mon dos.

Un casino, le Monte Cito pour etre plus précis. Les plans étaient la, sous le regard connaisseur de l'économiste. Anderson faisait l'étalage verbale de se a quoi il s'attendait a faire avec son future établissement. Avec cet exposition si alléchante, Anderson avait su piquer l'interet de sa cible. Le Monte Cito avait deja une réputation totue faite que meme la mort de son ancien propriétaire, un homme connut et respecté non seulement du monde des affaires mais aussi du gangsterisme de Las Vegas. Ce casino serait bien plus que rentable, il serait caapble de rendre l'homme ayant les moyens de se l'aborder millionaire. Et Anderson avait les moyens...

Le jeune entrepreneur pretexta vouloir laisser Terry reflechir tranquille pour partir. Il s'approcha de lui pour lui serer la main, politesse l'oblige. Terry voulut cacher son arme derriere lui mais Anderson fut plus rapide.D'un geste vif, il saisit son poignet et le força a lacher le revolver.

- Il ne faut pas jouer avec ces joujoux, vous pourriez vous blessez sa serait dommage pour vous.

-Écoutez. Je peux m'expliquer...

Mais Anderson n'avait pas besoin d'explication. Il prit l'arme a feu et retourna prendre place dans le fauteuil de cuir que Terry reservait a tout ses clients. Sauf qu'il n'étaient généralement pas armé. Pendant un court instant, le Directeur crut qu'il allait le descendre mais Anderson semblait etre plus interessé par l'arme que par lui. Apres quelques secondes a regarder le revlver, il le deposa sur le bureau. A la grande surprise de Terry, ce derneir ne supporta pas le poid du pistolet qui s'enffonça dans la surface. Alors Alan Anderson avait donc des capacités etraordinaires, tout comme lui a une époque.

- Comme ça vous ne vous blesserais pas inutilement. Parlons sérieusement maintenant. Vous l'avez certainement vus je possède une capacité peu commune. Je peut cloner la plupart des choses. Votre arme est à présent quatre fois plus lourde que son poids de départ. Mais imaginez seulement, de l'argent rentre dans mon casino, des billets et des billets. Je les clones avec les même chiffres, ce qui est juridiquement parant du blanchiment d'argent. Mais regarder, à la sortit du casino on redonne l'argent cloner à ceux qui on gagner. Comme ça ni vue ni connu, l'argent coule à flot dans les rues de Vegas. Mais le mieux c'est que c'est indétectable, vue que je copie tout, le papier, l'encre, tout les petit défaut de chaque billet. Ainsi, le monde est en crise, mais les gens s'attardent encore à s'amuser. Pour moi ce n'est qu'une question de moral. Cela leur apprendra à vouloir toujours tout dépenser. Ce projet n'a que pour but, la chut des cours financier, se qui me permettra de mettre la main sur de grande compagnie, etc etc ... Vous pourrez bien sur contrôler une partit de ce projet, vous avez les compétences , j'ai le support et les moyens. J'ai d'autre idées pour la suite, mais si je vous dévoile la totalité, vous n'irez qu'à me vendre à la police, quoique je suis un trop bon donneur pour qu'il puisse tenir compte de votre plainte, il la perdrais surement. Je ne suis pas un méchant, c'est juste que le monde est trop matérialiste, il faut organisé la criminalité et faire plongé le monde dans un flot de sang et de peur pour que ceux qui ont des capacité spécial se montre. Ainsi, il faudra tout reconstruire, plus beau, plus fort, un monde meilleur en clair. Mais comme je ne peut pas faire ça seul j'ai besoin d'allié, et je pense que vous en serez un très bon. Alors votre réponse ???

Alors Anderson trempait dans l'illégalité. Rien de surprenant, rare était ceux qui n'aurait pas prit une telle opportunité. L'argent avait le pouvoir de changer les principes des gens, Terry n'y fesant pas exeption. A une certaine époque, il aurait timidement refusé l'offre quilui était faite et aurait passé le restant de ses jours a faire son petit travail de bureau. Mais maintenant, il n'avait plus rien a perdre, ni meme personne a décevoire. Mais les gains, eux, étaient bien la, concrets. Mais Anderson ne voulait pas utiliser son pouvoir que pour son enrichissement personnel. En fait, se n'était pas le but, mais plutot l'outil. Non, par son projet, il voulait faire tomber les géants financiers de se monde. En bref, il demandait a Terry de changer le monde, ou du moins de prendre pars a cet objectif. Detruire les courants économiques pour rebattir le tout sur de nouvelle base. Ils en avaient les moyens et les competences, alors pourquoi pas? Combien de fois il avait accueillit des trou du cul dans son bureau, des etres malsains qui s'interessaient plus a leurs porte-feuille qu'a leurs propres enfants. Terry regarda Alan en plein dans les yeux et sourit, un sourire qui voulait tout dire.

- Ma reponse? Et bien elle est positive. Meme que je suis pret a voler jusqu'a Vegas se soir meme, si mes competences y sont deja demandé.

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Tout se passa admirablement bien, j'avais réussi à faire mouche. C'est vrai que peu de personne pensait comme moi mais bon il faut bien vivre de ce que l'on a. Moi j'avais les ressources, la volonté et surtout un plan sans faille. Je devais ... enfin maintenant ON devait pousser le monde à sa propre perte. Pousser à la consommation, pousser aux vices, pousser les hommes à enfreindre leur idéaux, leur montrer qu'ils ont tord. Il faut qu'il commence à penser aux autres avant eux. Tout ceci est très dur, surtout dans notre société égoïste et matérialiste. Trop de gens pense à leur compte en banque que de vivre des relations qui peuvent leur apporter beaucoup plus. Rien n'est encore joué, mais ça sera progressif. Tout d'abord, sa sera au niveau du casino, ensuite Las Vegas, pour enfin s'étendre à l'ensemble de la planètes.

Je dévie un peu du contexte là, Sawyer semblait au début un peu perplexe mais fini par m'afficher un sourire.

- Ma réponse ? Et bien, elle est positive. Même que je suis prêt à voler jusqu'à Vegas ce soir même, si mes compétences y sont déjà demandé.
Je n'en attendais pas moins de vous. Votre vol est dans 5 heure.

Je déposa un billet d'avions au nom de Terry. Puis je me leva,

- J'espère très vite vous revoir, votre billet n'est pas remboursable. Alors dépêchez vous. Je m'occupe de signaler votre démission. On se retrouve dans mon casino dans trois jour. 9H pétante je vous veux dans le hall.

La surprise passa dans les yeux de mon interlocuteurs. Quoi de plus logique, j'avais bien choisie mon allié et je lui avait vendu une sacré argumentation. Mais bon, j'ai beau avoir 23 ans, je sais donner envie au autre. Maintenant faudrait voir si il allais partir et venir travailler. Je le laissa donc dans son bureau.

À peine sortit du bureau, la porte à peine fermé, que déjà des gorilles de gardes me faisaient face. Encore cette satané chouette de l'accueil. Je vais me la faire, agggrrr.

- Tu va nous suivre petio.
- Je vous emmerde. Fis-je avec un sourire.

Celui qui devait tenir la place de chef vint se placer en face de moi et me décocha un gifle qui se voulait violente. Mais ce ne fût pas moi qui hurla, le pauvre homme venait de rencontré ma peau qui était morcelé de métal. Rien de tel qu'une petite baston pour me permettre d'affiner mes réflexe, là j'avais réussi à cloner le métal de la poignée sur la surface de ma peau. Ce qui n'eus que pour effet, de casser les doigts de ce mec. Les autres se rapprocha dangereusement de moi. D'un ton ironique je dit :

- oui approché, j'adorerais vous défigurer.

La réplique fît tiller quelques un, mais il essayait de garder leur conviction. Ils se rapprochaient trop de moi donc je décida de leur donner une leçon.

..............

Les rayons de soleil vinrent m'éblouir un peu. Par la faute des gorille j'étais un peu décoiffé mais bon rien de tel qu'un peu d'exercice. J'avais dût cloner des piques de béton pour les coller contre le mur et pour qu'ils ne puissent plus bouger. Il devaient toujours être en train d'hurler dans leurs prisons de béton. La veille de l'accueil n'avait pas u cette chance, elle je lui est cloner quatre ou cinq fois, je ne sait plus bien, la masse de ses globe oculaires. Puis il ne reste plus qu'une petite boutade pour que ces derniers sorte de leurs orbite du à leur poids. La voilà aveugle maintenant.

- Moi on ne me cherche jamais sinon je peut être vraiment méchant.

Je remontait dans ma voiture et reparti pour mon hotel.