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 une ombre égaré [Pv Arthur]

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MessageSujet: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeMar 24 Fév - 21:10

Dans son nouveau de travail, Ben était comme un enfant avec un super jouer. Il était tout éxiter regardant par si par la faisant différent réglage jouissif mais quelque chose lui manquait c’était peut être la présence insuffisante de nature dans tous ce qui l’entourait. C’était un environnement stérile et pour Mr Valherus il lui manquait des choses. C’est pour cela qu’il avait fait une liste détailler de matériel que le scientifique avait besoin de faire des recherches ainsi qu’une liste d’autre chose plus ou moins loufoques. Cette liste avait conduit à quelque rumeur dans les couloirs du labo et oui maintenant cette zone qu’avait été attribué à Ben était devenue sa forteresse de solitude et personne sauf Mlle Bénédicte était autorisé à rentré.

Depuis déjà des jours, Ben travaillait ne faisait que ça en laissant des notes sur différent cahier. Il avait commencé le travail juste après l’accord parvenu avec Mlle Bénédicte. Il était un peu l’intrigue de tous ses compagnons de laboratoire mais aujourd’hui, c’était différent il n’avait que des comptes à rendre à sa patronne et à personne d’autre. Il n’était pas venu ici pour se faire des amis, il voulait juste peaufiner son savoir sur les plantes. C’était toute une science que le destin lui avait confié. Mr Valherus faisait sans cesse des expériences sur différentes plantes avec différents vitesse d’accélération du petit bijou que lui avait montré sa chef de labo.

Ben saisit son dictaphone tous en s’essuyant sont front qui était couverts de sueur, cela faisait des heures qu’ils travaillaient sans arrêter. C’est alors qu’il remarqua que la nature commençait peu à peu a prendre place dans cette partie du labo. Les plantes commençaient à recouvrir les pants de mur qui étaient inoccupé. Après quelques secondes


Expérience 1.31, encore un échec la plante ne semble pas apprécié l’accélération… C’est comme si brutalement elle se trouvait modifier mais elle n’arrive pas à survivre dans un niveau semblablement à le notre… Il doit manquer quelque chose pour la stabilisait mais quoi ?

Ben reposa son appareil de note pour retournait à la charge de ses expériences. Il faisait ca uniquement pour le bien des plantes, après quelque centaine d’expériences, il serait capable de créer de nouvelle variété de plante. Des petits bijoux capables de penser par eux-mêmes…

Mr Valherus s’imaginait à nouveau prendre les armes et défendre la cause des plante mais c’était quelque peu incongru pour lui de ce présenter à la lumière du jour comme cela et défendre la cause de mère nature. Il fallait trouver un pseudonyme mais quoi ? Quelle image devait en ressortir ? Devait’ il être gentil ou méchant ? Ben s’imaginait par moment en quelqu’un de très violent mais il avait toujours soumis avec ses rapports envers les autres et la preuve était encore aujourd’hui que Mlle Bénédicte était la personne qui dominait Ben. Ce dernier ne pouvait plus rien faire il était à sa merci mais cela allait durer encore un temps puis elle le jettera comme un lépreux au premier coup dur.
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeMer 25 Fév - 23:42

    La main d'Arthur s'affolait aveuglément sur une feuille grisonnante, traçant de vive allure des formes abstraites aux ombres ambigües à l'aide d'un crayon. Sa mine usée saignait le support, gravant dans sa profondeur de somptueuses courbes. Reflet d'un éclair futuriste, expression d'un instant de l'avenir, le geste accompagnait la pensée, l'aidant définitivement à plaquer dans le réel le spectre de l'imaginaire. Le voile nacré qui recouvrait le regard du Patriarche se volatilisa, s'envolant dans l'air ambiant. Le crayon roula puis s'écrasa à terre, la feuille se posa délicatement sur le bureau. Le Fondateur se voulait pensif à l'exposé de sa dernière œuvre, le futur livrait à ses yeux de nouveaux indices sur sa nature, il se découvrait, peu à peu... Dans l'ombre d'une pièce que Dallas ne connaissait que trop bien, l'envers de son siège laissait entrevoir le fantôme de sa forme, alors que dans le fond, 7 silhouettes se dressaient dans le noir. 7 têtes, cela en faisait 2 de plus que ce qui était prévu. Deux de trop, ou bien deux de moins. Le Destin ne se satisfaisait donc plus des projets d'Arthur, voilà que maintenant il ajoutait dans la main du visionnaire des cartes dont lui même ignorait l'importance. Petrelli agrippa un dossier qui trônait à sa gauche, le feuilleta brièvement. L'heure était au renouveau.

    La silhouette de l'homme disparu subitement du vide de la pièce, réapparaissant dans la périphérie de New York la seconde qui suivit. Un sourire léger ravit son visage. L'ombre menaçante du sénior se tenait droite comme un pic planté dans le sol, en face de la façade principale d'un laboratoire technologique, fermé au public. Ses paupières se fermèrent. Son esprit se concentra, localisant instantanément l'énergie primordiale qui animait l'inconnu recherché. Satisfait, Arthur se mit en marche, enveloppant son corps d'un voile d'invisibilité, il pénétra l'entrée principale en s'offusquant des barrières physiques. Pourquoi donc s'inquiéter de la présence des murs lorsqu'il était possible de s'en moquer ouvertement. Les portes étaient aux hommes ce que les miracles étaient aux dieux. Laissant à la banalité ennuyante le loisir de la norme, Dallas préférait exploiter le maxima de ses talents. Un moyen de tordre la réalité, de flatter un égo, égo qui n'était déjà que trop grand. Les couloirs abandonnés se voyaient être visités par quelques rares individus, le Patriarche n'eut aucun mal à parvenir là où son désir le menait. Il franchit les dernières défenses du laboratoire, violant la solitude du scientifique sans que celui-ci ne s'en rende compte. Alors seulement, il laissa à la lumière la possibilité de se réfléchir sur son corps, redevenant par la même occasion tangible aux yeux de tous.


    "Si vous désirez mon avis Mr.Valherus, bien que l'opinion d'un homme tel que moi puisse vous paraitre parfaitement étrangère, voire inopportune. Je pense pouvoir assurer que l'unique difficulté que vos plantes rencontrent dans l'évolution qui est la leur durant cette expérience soit l'obstination refoulée que vous vouez à leur échec. L'optimisme scientifique est à dix mille lieux de l'état d'âme qui est le vôtre présentement. Les choses ont besoin de volonté pour aboutir. Hors vous n'en faites pas preuve. Sans le désir d'aboutir, vos équations perdent en pertinence et vos manipulations tendent vers l'absurde. Au final, vos résultats apparaissent comme plus faussés encore."

    Petrelli espérait réaliser ici une entrée fracassante, grondant de sa voix forte et persuasive afin de surprendre et de terroriser l'âme de son interlocuteur. Âme qu'il savait d'autant plus faible qu'elle était vouée à un bouleversement atroce. Perdue dans des débats intérieurs aux réponses inaccessibles, tentant de comprendre ce qui semblait n'être qu'une manifestation vide de sens, se sentant victime d'une injustice inacceptable et révoltante dont-il était impossible de se dérober. Destin sinistre et monotone. Il y avait toujours du gris derrière le noir, tout n'était question que de perspective. Le point de vue, le relativisme. Voilà des notions qui pouvaient changer en homme. Ou bien alors, le plonger dans l'isolement.

    "Suis-je dans l'erreur ?"
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeSam 28 Fév - 0:05

Les expériences, cela faisait bien une quinzaine de test que Ben venait d’effectuer sur les plantes, il n’avait pas beaucoup avancé. Il lui faudrait bien quelques moi pour pouvoir arriver à la fin de sa quête de savoir. Ces travaux étaient d’une importance capitale, il voulait... Non devait les mener à bouts c’était pour le bien de l’humanité que le destin lui avait confié comme tache de pouvoir un jour finir ses expériences. Une ascension que le monde moderne verrait comme la 3ème révolution industrielle. Une industrie qui ferait attention aux plantes. Quelque chose qui pourrait apporter une harmonie dans l’humanité et non pas la destruction de notre mère la terre. Comme par exemple en Australie où des mineurs mettent à sac la terre pour en rechercher de l’or. L’homme est fou, dès qu’il entend parler d’or, d’argent, de fer… Il laisse rapidement place à la folie.

Ben tournait dans son laboratoire comme un animal en cage. Il allait trouver la solution mais c’était juste en combien de temps ? Il fallait avancer rapidement… Très rapidement pour lancer les premières cobailles. Il avait déjà tous un tas de plans dans la tête mais aujourd’hui, il allait bloquer sur un truc simple. Il fallait juste réfléchir mais sur quoi ? Soudain il entendu une voix dans la pièce ce qui provoqua un crie d’effroi de la part de Ben et des sueurs froides. Il se retourna et fit face à une personne du troisième âge mais pourtant ses paroles parlait à Ben. Un scientifique à cet âge ? Non… Il ne dépassait pas la soixantaine a cause du stresse des fins de projet… Comment se dinosaure était la fièrement… Il devait peut être ramassé les poubelles mais fort peu probable vis-à-vis de son costume. Ben se déplaça délicatement à l’opposé d’où se trouvait le vieille homme pour ne pas être sous son emprise. Il était effrayé. La porte d’entré était encore fermé et seulement deux personnes avait les clés et la clé de Ben était sur lui quand à Mlle Bénédicte, je n’ose imaginer personne entrain de lui voler. Il n’était tous de même pas rentrer par magie dans cette pièce.


Qu’est ce que vous faites ici ? Et qu’est ce que vous savez de mes travaux ? J’ai pas fait plus de 8ans d’études pour avoir des remarques d’un vieil homme qui ne doit même pas connaitre la constitution d’une plante… Vous critiquez ! Vous critiquez ! Mais qu’est ce que vous connaissez de la science ? Moi j’ai grandit avec et on peut tous faire avec elle… Et je ne verrai même pas pourquoi j’aurai à me justifier devant vous… Après tous c’est vous qui rentrez sans permissions dans mon labo !

Ben n’avait aucune assurance bien au contraire, il essaya de faire valoir sa domination dans cette pièce mais il n’était qu’un chien qui aboyait plus qu’il ne mordait et n’avait aucune idée de la personne qui se trouvait en face de lui. Il saisit alors le petit boitier que lui avait offert Ashley. Il ne voulait pas la déranger mais cet individu n’était pas normal, il semblait connaitre pour les plantes et lui mais comment. Le stresse montait mais il regardait les plantes présentent partout dans la salle et il commençait à se ressaisir petit à petit… Ce n’était qu’une question de temps avant que l’inconnu se fasse déloger. Il fallait le faire patienter mais comment ?Il fallait le faire parler.

Et non je pense que je vais arriver dans mes recherches et j’y crois… Vous croyez me connaitre mais qu’est ce que vous savez de moi hein ? Rien et vous venez ici en me portant un jugement mais dans votre clairvoyance vous connaissez peut être mon nom mais rien de ma vie d’avant ?

Mr Valhérus restait impassible en face de son interlocuteur ou la végétation pouvait interagir à tous moment. Elle commençait à bouger un peu partout mais rien de vraiment visuelle. Il fallait juste voir le comportement des fleurs vis-à-vis de ce qu’elle ressentait.
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeDim 1 Mar - 2:07

    L'irruption d'Arthur dans la pièce et le poids de ses mots avaient amené le scientifique à sortir de ses gongs. Cela était une manipulation dérisoire et un réflexe au combien humain et biologique. Répondre au danger en montrant les crocs. L'agressivité dissimulait la faiblesse. N'y avait-il pas aucune raison de s'enquérir de l'arrogance et de la menace si elle ne représentait aucun danger pour la survie ? Ben Valherus reproduisait le même schéma, ce même ordre d'idée. Il était l'illustration du comportement animal. Son allégorie. La peur, Dallas pouvait la ressentir. Ce sentiment si négatif et si dérisoire, cette insulte à la raison et à la conscience grandissait son pouvoir lorsque l'environnement présent en faisait preuve. L'angoisse était le premier des maux de l'humanité. Autrement dit, la renier permettait de se dissocier du commun. Le Fondateur mit quelques instants pour répondre à l'emportement de son interlocuteur. Ses yeux se posèrent sur le sol, pensif et inquiet, sa bouche conserva son expression vide de signification. Pas un sourire ni même une grimace. Ses mots se devaient d'être percutants et réfléchis. Sa rhétorique ne devait contenir aucun défaut. Se voulant persuasif au possible, l'homme décida de joindre à ses idées une manifestation concrète de leur véracité.

    "De la science, je vous confierai ne pas en savoir grand chose. Si ce n'est la base de connaissance accordée à la populace moderne et au statut que j'occupe dans le domaine professionnel. En réalité, cela fait bien longtemps que je considère ce concept comme une rivale. Les règles et les axiomes que la science imposent me rebutent, et je dois avouer que son incapacité à révéler concrètement la nature véritable des choses me laisse sans voix. Il est déraisonnable de parler d'amour comme d'un ensemble de flux nerveux. Tout comme il est déraisonnable de contredire l'existence de phénomènes extraordinaires simplement parce que cette science est incapable de les expliquer. Tout en libérant l'homme, elle le condamne. Elle est une frontière au rêve. Primordiale et condamnable"

    Le bras d'Arthur se tendit en direction du scientifique, sa main s'ouvrit. La puissance de son esprit vint déloger des doigts de Ben le boitier qu'il manipulait il y avait encore un instant pour le précipiter dans la paume du Patriarche. Satisfait de son spectacle de télékinésiste, Dallas fit disparaitre de sa première main l'objet en question pour le faire réapparaitre immédiatement dans la seconde. Enfin, ses doigts d'acier se refermèrent sur sa convoitise, usant de procédés ésotériques et obscurs, il la réduisit en un instant en un amas de cendres, un amas de poussière grossière qu'il laissa tomber sur la froideur du dallage. Ses yeux plongèrent dans ceux de Ben. Cherchant à y desceller une réaction quelconque. Un doute, un regret, un sursaut, un sourire. L'homme avait conscience que son petit théâtre était une machination perverse qui n'était destinée qu'à époustoufler son spectateur. Elle était cependant nécessaire et ne saurait être contredite par une quelconque moralité. Dallas désirait s'imposer, faire saisir au personnage présent dans ce laboratoire toute la signification de ses mots, la véracité de leur nature.

    "Vous savez monsieur Valherus, il est dans ce monde des choses que personne n'explique. Ces phénomènes incroyables puisent néanmoins leur source depuis les pensées de Charles Darwin, un nom qui ne peut vous être étranger. Cet univers est remplit de contradictions, mais aussi de surprise. De tous les composants de la race qui est la notre, une poignée se distingue et s'élève. Une élite, parmi la banalité, une proportion infime. Mais avant d'être des élus et des privilégiés, ces gens sont des victimes. Victimes d'une fatalité, victimes de la destinée. Destinée qui impose sur leurs épaules beaucoup d'espoir. De ces cadeaux divins découlent beaucoup de maux. De l'angoisse, des remises en question, parfois même la mort, lente délivrance ou insupportable châtiment. Si je me dévoile au grand jour sous vos yeux aujourd'hui, c'est parce que je porte en votre cas beaucoup d'attente. En effet monsieur Valherus, je pense pouvoir affirmer avec la plus grande certitude que vous faîtes parti de cette élite. En réalité, vous et moi avons beaucoup plus à partager que ce que vous pouvez imaginer. L'existence de cette évolution dans la généalogie du patrimoine humain est un des secrets les mieux gardés de ces dernières années. Vous devez savoir que votre existence est en danger, que votre survie est compromise, car votre particularité fait de vous une proie parfaite, pour différents organismes et pour différentes personnes."

    Le visage d'Arthur se fit contrarié, ses doigts rigides vinrent caresser la base de son visage. Il fit silence, laissant raisonner jusque dans les profondeurs de l'être la portée de ses dires. Le premier sous entendu qu'il avait glissé dans son discours risquait d'être trop explicite, peut-être même trop grave. Mais du temps, le Patriarche ne devait plus s'en acquitter. Agir et agir vite pour contrecarrer les prédictions de sa femme et de ses ennemis, pour s'assurer encore et toujours, une longueur d'avance était l'unique moyen de venir à bout de l'OWI.

    "Vous le savez monsieur Valherus, tout comme moi. Vous n'êtes pas un banal scientifique, et bien que cela puisse vous apeurer, vous n'avez pas à vous en faire. Je viens à vous pour vous proposer les services d'une compagnie. Compagnie qui garantit votre sécurité ainsi que votre épanouissement. Compagnie qui permet d'épouser le pouvoir au lieu de le renier. Compagnie qui permet de devenir l'homme que vous avez toujours rêvé être. Fort, confiant, et même, absolu."
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeLun 2 Mar - 21:29

Ben était complètement effrayé par cette individu qui c’était introduit par effraction par ses locaux, son attitude était étrange et ses propos ne laissait présager rien de bon dans le futur. Ce n’était qu’une question de temps avant la situation vire d’une façon le plus déplaisante. Le patriarche commençait une démonstration de force envers Ben. En quelques secondes, il avait montré à Ben tous son savoir et ses capacités. L’homme marquait par le temps, était une marque de l’autorité parentale masculine que Ben n’avait jamais eut et n’en n’éprouverait jamais aucune utilité. L’homme détruisit en une fraction de seconde le boitier qu’il tenait dans la main.

C’est que votre ouverture à la science est renfermée, vous restez dans cet obscurantisme que le monde à sculpter à leur image avec les générations ! Vous parlez d’élite grand bien vous fasse… Mais vous ne pouvez pas regarder la vérité en face….Qui êtes vous donc pour nous juger ainsi ? Les progrès de la science, de la médecine tous cela nous le devons à des personnes qui ont été vu comme des fou ! C’est grâce à des personnes comme moi que le monde peut changer… Vous parlez de sentiment moi je travails plutôt avec de la logique et rien d’autre… Les sentiments ne sont que des choses que le cerveau nous envoie.. On pourrait décortiquer l’amour mais car cela ne suis pas la morale nous ne pouvons pas le faire et nous passons pour des monstres… Oui des monstres… En même temps je ne m’en plains pas et je peux bien assouvir cette position de monstre pour mes chéries… Ces éléments extraordinaires comme vous dites mais si ! Il était tant extraordinaire pourquoi la science peut’ il les expliqué hein ? Ce ne sont que des balivernes… C’est vous avec vos idées qui condamnent l’homme… Vous lui promettez mont et merveille avec soit disant avec boniments mais il n’en est rien la science à réponse à tous absolument tous…


L’homme était terrifié mais il ne pouvait laisser le vieillard insulter tous ce que l’humanité avait de plus beau. Dans un élan, les plantes commençaient à se rapprocher de Ben. Elles vinrent tous s’unir à lui d’un seul homme. En à peine quelque seconde tous les plantes vinrent se coller à la peau du scientifiques et peu à peut les plantes avaient été comme absorbé par l’organisme. La dose de phéromone qu’il avait relâché sur les plantes avait du les attirés que Mr Valherus ne put rien faire pour les retenir.


Vous avez des attentes ? Des attentes ? Mais laissait moi devinait, dans sa toute divine puissance « Dieu » vous a parler de moi ? Ou que la fée Carabine ? Et qui dis que je répondrais à vous attentes ? Vous parlez de moi comme si j’étais un de vos futurs jouets… Mais je dois dire que vous avez raisons. Je fais partis de cette « élite », même si cela ressemble plutôt au premier stade de l’évolution comme quand le singe est devenu un homme…

L’homme ne pouvait pas résister à regarder ses mains, il avait pourtant absorbé tant de verdure que cela ne change rien à son métabolisme mais quand il déposa sa main sur un évier. Un plante sortit quelque peu changer, elle regardait son créateur comme si elle arrivait à y penser d’elle-même. Elle rodait autour de Mr Valhérus, comme un enfant venant de naitre. Ben avança sa main droite en sa direction puis la nouvelle création de Ben se baladait sur le corps de ce scientifique.


Vous dite que vous travaillez pour une organisation ? Mais qui me dis que vous n’allez pas tenter de m’enfermer une fois là-bas comme un vulgaire animal ? Et qui vous dis que je ne m’épanouie pas ici. Je vis au jour le jour avec mes expériences pour faire avancer la science. Vos paroles ne sont que des balivernes pour séduire les faibles d’esprit mais il est vrai que je ne suis pas sur de moi je doute mais ce n’est pas les qualités d’un scientifique ? Fort ? Confiant ? Absolu ? Vous extrapolez avec moi ? Comment a été votre enfance Mr ? Je n’ai jamais voulu avoir une vie comme celle la mais vous faite tous pour que je l’ai…
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeMar 3 Mar - 23:58

    Arthur Petrelli demeura impassible devant l'emportement de Ben, buvant son arrogance et sa rancœur comme on savoure un calice du meilleur vin. Toute cette haine, tous ces effets négatifs, multipliaient le potentiel du Patriarche. Il sentait cette puissance nouvelle filtrer en lui, imprégner son sang pour nourrir son corps. Un bien être intense chassa rapidement l'énervement refoulé du vieil homme. Tout comme le vent souffle sur les manteaux gris qui voilent le ciel. Profitant de cet instant pour s'approcher, doucement de son interlocuteur. Son regard s'était endurcit, devenant profond et belliqueux. Se voulant inflexible, son autorité était grandie. Appuyant sa prestance, il se contenta de relever un sourcil, passant une main légère sur un faux plis de sa manche avant de marquer sur son visage l'emprunte du dépit. Ben Valherus était plus impertinent que ce que Dallas avait pu concevoir. Il était temps d'abandonner la démagogie théorique pour faire une démonstration on ne peut plus éloquente de l'art du verbe.

    "Nous avons les mêmes préoccupations vous et moi, seulement, votre obstination rebelle et puérile se refuse à vous éclairer. Sauver le monde est un projet que nous partageons sans même que vous en n'eussiez conscience, mais vos lunettes et votre blouse vous font oublier que derrière le savoir que vous prétendez détenir se cache homme faible et désespéré que vous êtes. Croyez-vous réellement que la terreur se dissimule dans votre regard ? Qu'elle ne transparait pas dans les sursauts de votre pensée ? Vos yeux suintent la peur. Vos verres sont le reflet de votre effroi. Ce sentiment démoniaque vous glace, il vous paralyse et vous immobilise devant le futur et devant moi. C'est une chance que je fusse venu à vous le premier. La mort a pour habitude de précèder le souffle de chacun des nôtres. Que ferriez-vous devant elle ? Oseriez-vous tenir le même discours ? Faisant l'apologie niaise d'un concept dans l'espoir de la séduire ? Est-ce avec des pétales et des ronces que vous désirez reconstruire les ruines de New York ? Quelle est donc cette pensée folle qui dort en vous ?! Ce n'est pas avec des graines que vous rappellerez à la vie les milliers de cadavres qui gisent encore dans les décombres déchirés du centre ville ! Votre logique vous apporte-t-elle la moindre réponse devant la vision de ces familles décimées, devant le spectacle des orphelins en larmes et des veuves en deuil ? Que susurre-t-elle à l'orée de votre oreille, alors que vous jouez aux apprentis chimistes derrière votre bureau, à la lumière de 'votre''Science' ? Les scientifiques ne sont jamais dans l'action. Ils se perdent dans leur réflexion. A jamais.. Est-ce alors votre vœu ? Abandonner votre humanité pour épouser l'absurdité ?"

    Arthur se tut. Il voulait créer un véritable cataclysme dans l'esprit du biologiste, le forçant à plier sous un duel psychologique. Dallas voulait fracasser ses défenses, réduire à néant toute perspective de réplique. Il voulait inséminer le doute jusque dans les racines même de la pensée de Ben, dans l'espoir qu'il ronge son assurance. Une flammèche dans un buisson de paille. La folie pourrait alors s'embraser, dévorant les rejets rationnels de Valherus. Brûlant les terres de son âme pour la laver de tous pressentiments, de tous préjugés. Petrelli souhaitait le faire craquer, en un unique mot : le vaincre. Son corps statique se mit en marche, rapprochant sensiblement son visage de celui du docteur. Un face à face des plus glacials. Le Patriarche plissa légèrement les yeux. Observant avec le dédain d'un dieu la stature grelotante de son interlocuteur. La lumière se fit plus faible, aspirée dans le miroir de la réalité. Le Fondateur façonnait ainsi une ambiance, dessinant l'illusion de la sensation et le reflet du sentiment dans l'atmosphère close et étouffante de la pièce. Le débat promettait d'être cauchemardesque. La tension devenait tangible.

    "Je ne peux que comprendre votre peur primaire, mais sachez que votre hostilité est inutile. J'ai bâti ma réussite sur mon expérience et ne suit le détenteur d'aucun plan immoral à votre égard. Je viens vous proposer mon aide monsieur Valherus. Et vous êtes libre de la refuser. Ils sont des centaines dans les rues, à être comme vous. Notre rencontre n'est qu'un simple hasard. Hasard néanmoins nécessaire. Ces gens sont comme vous et moi, à savoir uniques. Ils appartiennent à la même branche et c'est cette parenté qui garantit mon bon vouloir. Ces personnes sont des nôtres et ne méritent aucun traitement superflu ni agressif. Quel intérêt aurais-je à persécuter la génération qui suit la mienne ? Je ne désire en ce monde qu'une unique chose. L'équilibre. Entre la banalité et notre supériorité, entre le commun et la singularité. Sachez que l'organisation que je dirige mène des recherches poussées dans le domaine de la génétique et de la haute technologie, et que c'est à travers les découvertes que nous désirons effectuer que nous tenterons de sauver cette planète. Je suis certain qu'outre l'enrichissement personnel immense que vous épouseriez en notre compagnie, vous y trouveriez un épanouissement professionnel et intellectuel majeur."

    Arthur glissa sa main dans la poche supérieure de son smoking, et, dans un geste d'une élégance raffinée, en ressortit une carte de visite qu'il déposa sur le bureau immaculé qui se trouvait à sa droite. Il regarda vainement un instant le message publicitaire qu'il venait de dévoiler, puis scruta définitivement le jeune homme.


    "Pinehearst est votre seul recours. Que vous le vouliez ou non, les dynamiques fluctuent, elles ne cessent de s'inverser. La réussite et la gloire ne sont peut-être pas des concepts qui effleurèrent votre vanité lorsque vous imaginiez votre avenir, mais je crains n'avoir d'autre recours à vous proposer devant l'horreur qui vous attend. Refusez cette offre et la mort ne tardera plus à venir vous cueillir. Sans que moi-même et les autres puissent vous porter secours."

    La main du Patriarche se posa calmement sur l'épaule de Ben.

    "Acceptez, et alors... nous pourrons sauver ce monde. Ensembles. Et à jamais."
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeDim 8 Mar - 13:00

L’idéal humain est de se trouver partout où on le souhaite, de comprendre le fonctionnement de ce qui nous entoure et ainsi se permettre un contrôle assidu sur ce qu’on sait. L’esprit scientifique est tel que chaque petit événement prend une ampleur considérable ; le battement d’aile d’un papillon qui provoque l’ouragan – le classique de l’effet cause-conséquence. Un millilitre par-ci, un microgramme par là et toutes vos espérances se transforment en cauchemar. Mais l’esprit scientifique est de posséder un esprit critique et analytique puissant et sans défaut ; de pouvoir déduire de l’indéductible, de rendre possible l’impossible. Le caractère humain, dixit Ashley, ne doit pas interférer dans la science, la rendant trop personnelle et trop subjective au travers d’étiques et de tabous injustifiés. Ashley, dans la droiture de son esprit, se moquait guère des conséquences qu’apporterait la science sur le savoir humain. Son rêve était que la science originelle dirige la race de l’homme et toute race sur Terre. Les croyances n’étaient pour elle qu’un tableau superflu de gens maladroit d’esprit, trébuchant sur le hasard de leur rêverie. La seule croyance : la science.

Occupée sur ses précédents dossiers depuis l’engagement de Valherus, Ashley calculait, simplifiait, intégrait. Son esprit tournait comme le moteur d’un avion de chasse, comme le colibri battant des ailes. Elle ne pouvait s’arrêter, se satisfaisant toujours d’un calcul parfait, immédiatement testé sur l’accélérateur dans les sous-sols. Elle sortait peu de ses locaux si ce n’était pour effectuer ce-dit réglage. On la connaissait comme étant très silencieuse et autoritaire, froide et insensible. Cela se prouvait à chacun de ses passages dans de possibles autres locaux de l’immeuble immaculé. Elle ne venait que pour donner des ordres de travail, des contrôles routiniers. Elle ne sous-estimait pas les scientifiques, non, mais elle mettait sur eux une confiance meurtrière et stricte. Pour elle, ne pas développer ses pensées savantes était un échec. La sélection des scientifiques de ce laboratoire était stricte. Sitôt Valherus engagé, elle congédia la personne responsable de sa venue et fit vite pour en retrouver une nouvelle, plus compétente encore.
Ashley était peu fatiguée, ses mains blessées – transpercées ) lui lançant quelques douleur pointues ci et là, sans la déranger pour autant. Son visage récemment brûlé, comme le savait Valherus, donnait à son faciès un air dominant et puissant, souligné par un regard profond et calculateur. Les yeux plissés, elle se plongeait plus profondément dans ses calculs quand l’écran d’un ordinateur de contrôle afficha ce message :


- Valherus – connection fault – signal perturbed -

Elle ne fit pas attention à ce message, plongée dans ses pensées. Elle griffonnait encore et toujours, les machines en arrière effectuant d’autres calculs et d’autres expériences – un vide étant, où se trouvait une machine gracieusement prêtée à Valherus. L’ordinateur s’ébranla à nouveau :


- Valherus – connection lost – no signal – checking wide range waves …

Imperturbable, elle continuait ses calculs, ne se souciant pas de la venue d’un étranger en ses locaux. Toujours aussi plongée dans ses affaires, Ashley était également quelqu’un d’un certain sérieux et n’éprouvant aucun sentiment pour personne, sur l’instant – sauf Gabrielle. Elle n’haïssait personne, elle ne faisait que les ajouter à une liste de gens peu recommandables – ainsi était le destin de Sylar et du « clown farceur ». L’écran émis un bip d’avertissement sonore :


- Valherus – no connection – checking signal – failure – no connection -

Saisie par le signal elle s’installa à l’écran et entra quelques commandes. Mais rien ne se produisit, rien ne signifiait que la connexion était disponible. Un peu lasse, elle décida de se faire sa propre pause à cet instant, légèrement irritée par un problème si soudain – soupçonnant peut-être une danse végétale qui aurait coûté la vie au boîtier de sécurité. Elle se leva et sortit de son local, soudain baignée par une lumière blanche et chaleureuse, venant des couloirs du bâtiment. Elle se servi un verre d’eau frais à la fontaine, faisant un léger signe de tête à un scientifique passant par là. Elle continua le long des couloirs, profitant pour inspecter les alentours. Se dirigeant vers le local de Valherus, elle sorti sa clé magnétique passe-partout, à reconnaissance d’empruntes. Arrivée devant le local, elle avait un mauvais pressentiment. Non pas qu’elle entendait quelque chose, vu l’isolement des pièces, mais justement le fait de ne se rendre compte que du silence l’inquiéta. Elle mis la clé magnétique dans la serrure sur le chambranle. La porte s’ouvrit avec un bruit de pression, style sas. Elle la poussa, la pièce baignée d’une certaine odeur…
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MessageSujet: Re: une ombre égaré [Pv Arthur]   une ombre égaré [Pv Arthur] I_icon_minitimeDim 8 Mar - 20:42

Cet homme représentait une autorité que Ben n’avait jamais connu… Il n’avait que connu la violence physique comme seul rapport sociale avec les hommes. Cet homme lui tenait un discours qui troublait quelque peu le scientifique mais que pouvait’ il faire ? Ordonnait à sa plante de le tuer ? Elle se ferait griller sur place et il ne se le permettrait pas. C’était comme sacrifier un de ces enfants.

Puérile vous dite mais qui est le plus puérile de nous deux ? J’ai peut être une expérience de la vie moins importante que la votre mais moi je me base sur la science mais peut être que c’est la votre définition de puérile dans ce cas vous êtes fermer d’esprit. Vous vous cantonnez à votre éducation où l’électricité était encore un miracle de dieu je me trompe ? Faible,… Désespéré ? Vous ne savez rien absolument rien de moi je pourrais tous aussi bien vous traitez de gateau mais c’est là la différence entre vous et moi, je ne suis pas de ces personnes qui de leur regard inquisiteur accuse et juge sans savoir le pourquoi du comment ! Et vous, vous n’auriez pas peur si un fou qui aurait pénétré chez vous sans votre permission et qui pourrait vous tué sans la moindre hésitation et qui se tiendrait devant vous… Je ne suis qu’un humain et oui j’ai peur… Mais pas de vous mais ce qu’il pourrait m’arriver si vous vous emportez dans cette abomination que vous prétendez défendre. Je crois en mes idées autant mourir en héros que de vivre suffisamment longtemps pour devenir le méchant. Qui a dit que je voulais faire revivre les hommes qui étaient morts… C’était leurs destins… Le mien est peut être de mourir aujourd’hui ou bien demain qui c’est… Vous dite humanité mais s’il n’y avait pas de réflexion nous serions dans les mêmes conditions qui rongent l’Afrique depuis que les Européens se sont implantés chez eux… Je ne veux pas plus de mort, je veux juste faire avancé la science donc si pour vous je suis quelque chose d’absurde alors… Oui, je suis quelqu’un d’absurde mais qu’est ce que votre Humanité ? Vous oubliez que sans cette science je suis sûre que vous n’auriez pas vécu si longtemps… Que savez-vous de mes préoccupations ? Je n’ai jamais rien reçu de ce monde tous ce qu’il ma léguait se sont des marques d’attention…


Sur ces mots, il enleva sa blouse et sa chemise tous en révélant aux jours différentes marques et cicatrices que les seules relations que le monde lui a donné. Elle était d’une longueur variable mais ces marques témoignaient du traitement de sa mère junkie ou bien de son oncle alcoolique. C’était peut être un lien de famille, une sorte d’héritage mais pour Ben c’était plutôt un poids. Il était terrifié mais dans sa position, il ne pouvait plus faire marche arrière. Il était piégé comme un rat dans son propre laboratoire son front faisait des goutes de sueur de plus en plus rapidement. Son pou commençait à s’accélérer s’il avait eu l’âge de son interlocuteur,il aurait sans aucun doute fais une crise cardiaque. La seule chose qui pouvait le rassurer c’était la plante qui se trouvait à coté de lui, elle était différente.

Moi ? Hostile ? Vous vous trompez je suis juste inoffensif comme une fleure… Rencontre Hasardeuse ? Vous savez quand langage courant on appel cela une antithèse… S’il y avait tant de personne dehors différents de moi pourquoi être vous venu me voir moi ? Vous avez quand même mise à mal quantité de système de sécurité pour une rencontre hasardeuse … Je ne comprends pas… Vous venez dire que ma science est mauvaise et pourtant vous me proposez d’aller travailler dans vos laboratoires… C’est quand même ironique… Vous dirigez des laboratoires concurrents à Mlle Bénédicte ? Qu’est ce que vous avez de plus chez vous qu’ici je n’ai pas ?

Le vieil homme en avait profitait pour se tenir devant Ben, il était terrifié. Il le menaçait, cet homme était sérieux, c’est alors qu’il vu arriver Mlle Bénédicte. Elle était vêtue d’une blouse blanche qu’il lui allait bien. Qu’est ce qui allait arriver ? Est-ce que le patriarche allait l’éliminer comme une vulgaire poupée de chiffon ou allait il la laissait vivre. Les secondes pour Ben se transformaient en heure. Le doute emplissait l’esprit de Ben, il ne savait pas quoi faire. Il était complètement tétanisé, il buvait les mots du patriarche devant lui mais quelque chose n’allait pas… Il n’était pas convaincu. C’était comme un instrument mal accordé. Le scientifique était terrifié et doutait. Il tenait tête mais pendant combien de temps ?

Mlle Bénédicte fuyez, fuyez pour votre vie ! Elle n’a rien avoir avec nous laissa la c’est l’une des scientifiques les plus talentueuses que le monde est porté… Et ce n’est pas de cette manière que je travaillerai avec vous… Je ne comprends pourquoi il faudrait sauver le monde. Je suis d’accord les dynamiques fluctuent mais n’est il pas même cas pour vous… Vous avez peut être fait votre temps… Le monde a toujours besoin d’être sauvé, c’est le comportement bestial de ces personnes qui la conduit ou nous en sommes…
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