A la rencontre de la civilisation [ Pv: Ashley]

Invité

Ben avait fait tous ce chemin depuis l'Europe pour enfin rentrer dans un laboratoire qui pourrait peut-être apporté des réponses qu'il recherchait tant. Ben connaissait relativement New-York et son vieux centre ville mais le lieu qui apporterai peut être la clé au problème. La ville de la pomme portait mal son nom, les immeubles étaient omniprésent. Il y avait pratiquement aucune nature dans cette ville et le peu qui était mal entretenu. Ben en ressentait l'appel incessant de les aider mais pour le moment, il avait d'autre obligation. Il avait un entretien d'embauche pour travailler à l'université de recherche qui était tenu par Mlle Bénédicte qui était un personnage étrange et connu du milieu. De toutes façon, Ben était venu pour travailler et continuer ses recherches.

Lorsque Ben sortit de l'aéroport, il rechercha un taxi pour se rendre plus facilement sur son lieu de travail et pour pouvoir ainsi s'exercer en toute tranquillité. Quand il avança vers la route pour obtenir ce moyen de locomotion. Le conducteur était un latinos qui devait facilement être âgée de la cinquantaine. Après avoir ranger ses affaires dans le coffre du taxi. Ben s'assit à l'arrière du taxi qui empestait l'alcool et la fumée de cigarette. Le chauffeur le regardait tout en fumant une cigarette.

Je vous emmène où Mr?

Ben réfléchit pendant un instant tout en sortant un bout de papier de sa poche. C'était un papier tout chiffonnait qui dessinait une sorte de plan avec indiquait le lieu de l'entretien.

Centre universitaire de recherche en physique quantique.

Sans plus attendre la voiture se dirigea vers le lieu dit. Ben restait dubitatif quant à la survie de la nature dans cette ville bien qu'il y avait quelque arbre tous inspirait de la souffrance et du mépris et de la rage pour l'espèce humaine. Cette dernière se vantait de sa toute puissance mais au dépens de qui? De quoi? Tant de souffrance... C'était quelque chose de monstrueux. Le chauffeur avait beau avoir essayer de faire la conversation mais le jeune homme l'ignora en boucle, il était perdu dans pensées.

Quelques minutes plus tard. Ben arriva au lieu dit et fut agréablement surpris. Le centre de rechercher était un grand bâtiment blanc, entourait par une nature sauvage qui lui avait été permis de rencontrer uniquement durant ses études dans les universités. Le jardin était bien entendu, Ben avait fait le bon choix. Ben rentra dans le bâtiment toutes cette joie qui lui avait parcouru l'échine avait disparut. Il s'adressa à la secrétaire pour savoir ou se trouvait le bureau de Mlle Bénédicte. Les indication étaient simples. Après quelques minutes il arriva enfin devant le bureau. Il devait avouer une chose la décoratrice avait du goût. Puis après quelques secondes d'hésitations, Ben frappa à la porte.

Invité

Toute une série d’événements dessinait le quotidien d’Ashley depuis quatre cinq jours. Alors que son courroux avait eu raison d’un ancien employé, elle avait fait une terrible et intéressante rencontre le jour même de ce méfait. Elle revit Gabrielle et aussi ce qu’elle appela désormais « son chien de compagnie ». Pourtant, cette rencontre n’avait rien donné comme répit à Ashley. Elle se retrouva, le jour même, aux urgences, victime selon les médecins – et de manière non-officielle – d’un terrible accident de la route. Pourtant, il fallait pouvoir expliquer ces brûlures, ces centaines de coupures. Mais Ashley parvint à passer outre la curiosité des médecins. Elle était sortie quatre jours plus tard, le visage encore meurtri des brûlures. Ces dernières ne partiraient pas avant quelques semaines lui avait-on dit. Et les coupures sur le visage, les jambes, bras étaient devenue des cicatrices suturée médicalement – pénibles à guérir aussi. Mais ce qui avait affaibli Ashley étaient ses mains, scarifiées, stigmatées par le pouvoir destructeur de Gabrielle.
Ainsi, ses collègues se posèrent des questions, mais l’accident tragique marchait pour le mieux ; excuse qu’elle sortirait tout le temps désormais. Elle reprit très facilement son travail, abandonné depuis 4 jours. Les scientifiques avaient pris soin de sceller son local personnel et son laboratoire, envoyant le reste des possibles employés à d’autre taches utile. Elle reprit donc son travail, sans pour autant rien ressentir à ses mains. Lorsqu’elle utilisait l’ordinateur ou tout appareil lourd, la douleur lui tirait jusque dans le bras. Elle n’avait pas dur à travailler, mais elle aurait préféré avoir donné son compte au chien à Gabrielle pour au moins ne pas avoir à afficher un visage meurtri par des brûlures. Néanmoins, cela lui donnait un autre charme, celui de la force et de la témérité. Mais pour l’instant, elle s’en fichait, il n’y avait que son travail qui comptait.
Les nouvelles de son employé disparu parvinrent vite aux oreilles du secrétariat. La police supposait à une disparition mystérieuse – si pas à un suicide. Elle fut interrogée et très vite mis à l’écart de tout soupçon, n’évoquant pas la tirade finale qu’elle eut avec ce mésaventureux scientifique.

Il faisait beau, et comme à son habitude, elle rejoignit ses locaux, toujours « chouchoutée » par ses collègues – choses qu’elle ne supportait pas, même en tant qu’employé si il le fallait. Son statut du directeur ne lui apportait que l’autorité nécessaire pour ses desseins. Les premiers calculs de la journée étaient bons et très intéressant. Elle tentait, par tout les moyens, de scinder une molécules d’eau d’une manière « irréversible » en tentant de puiser tout les quark et autres particules in situ des atomes, en un seul cycle : soit, effectuer une désintégration zéro micro-seconde de la molécule d’eau. Elle n’y parvint pas entièrement, mais elle découvrit une certaine propriété : les particules accélérées subissaient une contrainte quand un atome se désintégrait. Légère déviation avant de revenir sur sa trajectoire initiale. Elle se posa la question de ce que ferait ces particules accélérées face à une plus grosse couche d’atomes. Enfin, ceci est un trop de détails scientifiques. Aujourd’hui, encore, allait être un jour spécial. Elle allait tenter de stocker l’antimatière par un nouveau procédé intra-molléculaire.

Elle s’installa donc à son bureau, préparant ses feuilles de calculs et autres brouillons. Elle se sentait d’attaque. Elle revêtit son blouson blanc de laboratoire, mis des gants en latex pour manipuler les appareils de mesures – elle avait tendance à être maniaque, mais avec ses blessures, elle préférait quand même mettre ces gants. Elle ré-ajusta ses nouvelles lunettes, identiques aux anciennes. En effet, Gabrielle leur avait donné la mort, hélàs. Elle pris son regard sérieux et frigide et se lança dans des calculs quand soudain on frappa à la porte. Saisie sur l’instant, elle n’avait pas l’habitude d’être dérangée sans prétexte utile. Elle ne se leva pas et resta dans la faible lueur de la lampe de son bureau, occultant son visage d’ombre, n’éclaircissant que ses mains calculant d’innombrables théorèmes importants. En effet la pièce était plongée dans le noir, et ce n’était que les quelques leds et autres lampes d’appareils qui donnaient à ce lieu un air de mystère ; la maîtresse des lieux installée à son bureau, la lampe du bureau baissée sur ses papiers, cachant donc son visage.

Elle invita l’inopportun visiteur à rentrer.

« Entrez » dit-elle enfin, d’une voix indifférente et courroucée.

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Ben restait impassible devant la porte, une terrible sensation de doute emplissait son esprit tout entier. C’était la premier fois qu’il venait dans un laboratoire en étant pas sure d’être engagé. Il avait traversé la moitié du monde connu pour avoir cet entretien. Le jeune homme restait planter devant la porte en attendant une voie féminine qui lui dise d’entrer mais ce fut une réaction tout autre. Il eut bien une voix certes… Mais de la à dire qu’elle était féminine c’était fortement présomptueux. Le scientifique restait dubitatif jusqu’au moment où il ouvrit la porte.

Il découvrit une personne à la docteur Doom, on ne pouvait pas distinguer ces traits. Ce n’était pas d’une importance cruciale. L’obscurité dominait entièrement la pièce, il y avait comme un sentiment de malaise à l’intérieur de Ben. Pas de soleil, pas de nature. C’était inconcevable pour Ben mais il n’était pas la pour juger, il devait avoir ce job par n’importe qu’elle moyen.

Ben avait juste ouvert la porte, il s’approcha doucement du bureau de Mlle Bénédicte tout en lui tendant un dossier. Il s’agissait du CV de Ben ainsi que de ses recommandations avec tous les travaux qu’il a menait dans sa carrière de la biologie ainsi qu’avec les expériences et les nouveautés qu’il a apporté dans ce domaine.

Excusez-moi… Mlle Bénédicte. Je suis Mr Valherus. J’ai entendu dire que vous aviez eu une perte d’effectif et j’ai quitté mon travail de chercheur au Centre de recherche Victor Hugo… Je suis venu exprès de France pour tenter ma chance ici car vous avez le centre de recherche le plus performant dans le domaine de la physique quantique et j’aimerai voir les effet de cette dernière sur les plantes qui pourrait peut être vous aider dans un futur plutôt proche.

Ben restait plonger dans l’obscurité en face de la scientifique. L’homme restait quand à lui en attente d’un jugement. Il pourrait toujours aller dans le texas pour étudier l’évolution des cactus. C’était la chance de sa vie mais ce genre de personne s’en moquait éperdument. Il était plongé dans leur recherche. Ce qui ne dérangeait absolument pas Ben, il n’avait connu l’amour et ce n’était pas près d’arriver. Il était passionné par son travail. Avec sa capacité à contrôlé la nature c’était comme si, il ne faisait plus qu’un avec elle, il lui arrivait à ressentir tous ce qui leur arrivait la souffrance était omniprésent. L’humanité toute entière maltraité les arbres, bientôt les humains comprendraient qu’il ne fallait pas attiser les foudres de dames nature mais ce n’était pas encore le temps, Ben ne pouvait pas se manifestait au grand jour sous son vrai visage, il lui fallait une identité secrète comme super man ou bien spider man mais il ne savait pas quoi ou comment le faire.

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Elle continua à plancher sur ces calculs compliqués qui étaient notés sur ses documents. L'inopportun ne s'empressa pas d'entrer, comme atteint d'un doute. Tandis que ce dernier s'avançait vers elle, elle ne leva pas le regard, toujours concentrée sur ces calculs à rallonge. Elle essayait de résoudre une équation primordiale pour ses prochains tests - chose assez facile pour son cerveau. Elle notait, prenait du plaisir à calculer, à faire les graphiques à la main. Tandis qu'elle continuait de noter, l'inconnu prit la parole, caché lui aussi dans l'ombre.
Écoutant son discours de manière hachée et continuant ses calculs, elle resta indifférente. Il déposa un dossier, près de ses feuilles brouillons et du dossier de l'expérience.

* sur les plantes *

L'hilarité s'immisça en elle, mais elle se tut - elle ne voulait jamais montrer quelconque sentiment de basse catégorie, elle en avait fait beaucoup trop la preuve ces derniers temps. Une fois qu'il eut fini son discours, Ashley releva la tête pour voir l'ombre sur le visage de ce cher Valherus. Son anglais était bien ponctué malgré le léger accent français qui y résidait. Elle l'observa, un long silence s'installant entre les deux personnages. Elle prit ensuite la parole, à elle-même.

"Depuis quand veulent-ils engager des olibrius sans m'avertir ?"

Elle revint sur ses feuilles, tout en reprenant la parole.

"Installez-vous" dit-elle à nouveau avec froideur.

Une fois Valherus installé, elle pris la lampe de bureau et la dirigea vers Valherus, découvrant ainsi ses traits. Évidemment, elle ne l'éblouissais pas - Ashley ne manque pas de respect non plus. Lâchant son crayon mathématique, elle prit le dossier de cet étrange biologiste. Elle se leva et déposa le dossier plus loin, sur une table. Elle en profita pour allumer la lumière, une lumière d'une douce blancheur qui éclaira quelques plantes de-ci de-là. Elle resta dos à Valherus, incapable de fixer un visage sur le nom de la directrice. Elle entreprit de faire fonctionner un appareillage - un genre d'oscilloscope. Elle le régla et le mis en route pour une analyse inconnue de Valherus.
Le reste de la pièce, mis à part les plantes, était la gardienne d'appareils de physiciens très performants et sûrement d'un coût très élevé. Sinon, ici et là étaient installés quelques bibelots à l'allure Newtonienne - c'est à dire dans un but scientifique. L'obscurité n'avait pas permit à Valherus d'avoir une meilleure critique de l'endroit.

Elle resta dos à lui.

"Et bien ? Je ne suis pas secrétaire, donc je ne relirai pas votre Curriculum vitae; je n'aime pas m'abaisser à de telles taches. Donc, dites-moi... Connaissez vous les propriétés quantiques nouvellement découvertes et leur implication (elle se retourna, montrant son visage meurtri) sur les tissus molléculaires de type végétal ou animal ?"

Elle avait le regard sévère derrière ses lunettes neuves, apportant à sa mimique une certaine grâce malgré les brulures et coupures visibles. Elle le fixa, longuement. Elle savait que ces recherches sur le quantique et les tissus n'était qu'un... tissu de mensonges. Espérait-elle épier en ce Valherus de la mythomanie ou un brin de jugeotte capable de déceler l'irréalisme d'une telle approche actuelle - futures recherches envisagées par Ashley cependant ? Elle était impatiente de le savoir.

Invité

Ben était debout dans une obscurité tout a fait sordide. On aurait dit un remake de film d’horreur des années 70 avec les vieux vampires et toutes ces horreurs que le monde pouvait abriter dans sa plus grande infamie et cinéma culte. L’homme n’en resta pas muet il observa et effectua les ordres de la scientifiques. Il n’osait pas créer la moindre objection à ce qu’elle venait de dire et pour son futur travail, Ben n’en ferait rien.

Il ressentait cette sensation, il y avait des plantes. C’était quelque chose de nouveau une plante qu’il ne connaissait pas… Cet enfant l’appelait à l’aide… Ben se concentra pour ne pas l’appeler … Il ne faisait plus grandement attention à ce que disait Mlle Bénédicte mais une chose était sure… Son enfant arrivait, Ben l’appelait et la plante venait, un spécimen rare que l’homme aux lunettes n’avait jamais rencontré c’était plus fort que lui. La plante allait venir qu’il le veuille ou non. Ben essayait de se ressentait sur la conversation mais la lumière s’alluma.

Il s’ensuit une sorte de question suivit d’un test psychologique en voyant le visage meurtrit de Mlle Bénédicte. Ben n’y prêtait pas attention en essayant de se concentrer sur ces mots et non la plante qui arrivait.

Euh d’après mes expériences que j’ai commencé à mené dans le centre de recherche de Victor Hugo, ils peuvent se trouver altérer voir créer de nouvelle espèce malheureusement je ne suis pas arrivé à stabiliser les animaux et les plantes je suis arrivé à la faire vivre pendant 1semaine mais son corps c’est désagrégé ADN instable… Pour votre cicatrice je dirais que les radiations ne sont pas bonne pour le tain de la peau je vous recommande de l’huile de lotus.

Des gouttes de sueur parcourait le front de Mr Valherus, Il réalisa que les plantes toute autour de lui était comme attirait par Ben qui ne put s’empêcher d’aller vers elle. Il n’y pouvait rien, c’était des petites être sans défenses qui voulait voir. Lors du premier contact avec ces plantes, c’était comme si elles étaient vivante. Ben écoutait toujours ce que disait

*Des merveilles qui mériteraient de vivre dans la nature*

Les choses pouvaient paraitre normales, Ben revint s’asseoir mais une des plantes le suivit pour être au contact de ce dernier. La plante s’approchait doucement de Ben alors que ce dernier attendait la réaction de Mlle Bénédicte sur sa réponse même si ce que Ben était erroné, la plante avait survécu et elle vivait librement dans l’une des forêts qui bordent Paris.

Je dois admettre qu’il est fascinant de voir tant d’espèces si rare réunit dans un même lieu. Cela me parait comme irr…

Soudain Ben regarda sa jambe droit la plante commençait petit à petit à tenter l’ascension sur le corps de père nature. Ben était quelque peu déconcerté, il savait qu’il avait des capacités mais avec cette effet cela ne c’était jamais produit. C’était le voyage en avant qui avait fait accumuler autant d’effet sur les plantes. Si c’était mauvais signe ou bien un pallier dans son évolution. Ben releva soudainement la tête pour regarder son interlocutrice tout en essayant de finir sa phrase

Ir..rr..Euh fantastique… Mais sa ne reste que m’ont points de vue.

Invité

Elle l'écouta, passive et figée, comme la statue morte d'un musée vivant, vous énonçant son douloureux passé sous le burin du sculpteur. Enfin, ici cela serait pur mensonge de croire qu'elle avait eu un passé douloureux. Oh ! Non, son passé, pour elle-même, était on ne peu plus banal et classique. Ce n'est point une famille heureuse ni même des études aisées qui pouvaient donner à un être humain le simple désir de haïr pour mieux diriger. Le fait de vivre de l'indifférence d'autrui et d'en donner en retour lui procurait un tel équilibre que rien ne pouvait décevoir Ashley, ni même un scientifique dépourvu de sens ayant voulu faire de elle son jouet sexuel. Elle resta là, ainsi, fixant Valherus d'un regard qui ne disait rien, figé, comme le portrait immortel d'un tableau de virtuose. Si l'ombre dansait sur son visage, l'éclat de ces yeux trahirait ce qui n'était pas; mais la lumière reflétait sur son visage impassible.

Elle fit mouche. Valherus était malheureusement égaré dans ses propres préceptes. Elle en riait intérieurement mais elle avait cette envie de prononcer cette pitoyable fresque comme de mauvais goût. Elle avança vers une autre armoire et en sorti un énorme dossier. Dieu sait qui aurait eu le courage d'y jeter un coup d'oeil. Elle jeta le dossier sur la table, là où était assis Valherus.
En s'approchant de lui elle remarqua quelque-chose. La pièce était en disharmonie. Il manquait quelque-chose. Elle s'approcha du pot de fleur vide et regarda, d'un air incrédule. Elle jeta un regard en arrière, vers Valherus. Quelle idée ! Voler une plante ? Elle oublia cette idée. Elle ne devait surement pas se douter que, peut-être, pendant son absence, on avait malencontreusement laissé mourir sa plante.

Elle s'installa au bureau, ignorant la danse végétale qui se produisait en son lieu de villégiature scientia. Elle joignit ses mains sur le bureau.

"Tous les essais de collisions et d'effets quantiques sur les atomes et molécules basiques se trouvent dans ce dossier. Croyez-vous seulement une seconde que l'institut Victor Hugo ait un accélérateur de particules ? Le CERN surement, mon laboratoire aussi, par grande chance. Mais..."

Elle s'avança, et approcha son regard, légèrement.

"... Vos expériences traitent de la radiation et des particules radioactives alpha, beta et gamma ainsi que de manipulations génétiques. Ici, monsieur Valherus, si je devais inclure votre science, cela serait pour d'autres buts, plus... Mystérieux. "

Elle se leva. Elle voulu jouer sur le savoir de ce scientifique hautain. Elle s'approcha d'une plante, lui arracha une feuille et la tint devant elle, face à Valherus.

"Quel pourrait être l'impact d'une génétique quantique (elle pressa la feuille) autour du vivant ? Idée saugrenue, idée ridicule diraient les scientifiques. Mais imaginez un instant que les particules les plus petites puissent être ainsi présentes dans un être vivant, jouant ainsi le rôle de stock? Enfin... Cela est bien confus, je le conçois."

Elle déposa la feuille devant Valherus.

"Regardez ce bout de chaire végétale. Regardez en son sein, son intérieur, sa plus infime molécule. Je n'ai pris le temps de connaitre les plantes... Si vous pensez m'être utile, il faudra vous préparer à sacrifier les plantes et la vie végétale pour peut-être la rendre meilleure. Ce n'est pas en créant sur le connu et en inventant sur du déjà-fait qu'on avance. L'innovation, la technologie, la réunion des sciences, tel est le but de mes recherches, ici."

Elle savait qu'elle était vague, imprécise. Mais Ashley voulait jouer sur la logique et l'illogique. Elle voulait entrez dans son jeu toutes les constances de la critique, de la franchise scientifique et du savoir. Elle cherchait à voir qui était ce Valherus et ainsi décider de son intégrité. Un savant fou ? Non, bien sûr que non. Mais un savant idéologiste et innovant, pour sûr. Cependant, sa manière d'être et ce mystère qu'il laissait derrière lui l'importunait guère. La remarque sur l'huile de Lotus était passée inaperçue, et surtout son monologue merveilleux.

Elle réinstalla le silence autour d'elle et ferma les yeix en s'appuyant sur sa chaise, d'un air dominant.

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L’interrogatoire continuait, mais quelque chose perturbait Ben toute les frasques qu’il avait toujours dit qui arrivait à détourner l’attention des jeunes femmes qui plaçait leur physique mais c’était différent pour cette jeune femme. L’homme écoutait son discours mais l’existence d’un accélérateur était juste un prototype qui n’avait jamais été révélé au grand publique. Il était donc difficile de vraiment connaître les résultats de ces expériences mais Ben avait bon espoir ici d’enfin arriver à quelque chose de concret. L’homme était stressé, la femme n’avait pas l’air de remarquer ce qu’il se passait autour d’eux. Les plantes étaient en totale harmonie avec Ben. Le scientifique n’arrivait pas à les calmer, il n’avait pas eu de contact prolongé avec les plantes depuis la France dans le centre de recherche Victor Hugo.

Mr Valherus écoutait ce que disait la jeune femme, ses propos étaient quelque peu abstrait, Ben pour les yeux du monde était toujours passait pour un scientifique qui passait pour la plus part du temps pour quelqu’un d’incompris. Ce n’était pas un soucis après tous car seul compter le résultat. Cette homme qui n’avait jamais connu que les plantes en étaient devenu quelqu’un d’excentrique dans ces expériences en utilisant des choses que jamais personne n’aurait penser utiliser trouvant ceci d’une utilité plus que médiocre. Plus les propos de cette dernière avançait plus Ben remarquait qu’il avait des points commun avec elle. Mlle Bénédicte n’avait pas peut être autant d’amour pour les plantes mais leur but était lié. Dans ce monde gouvernait par le libéralisme et l’envie de détruire la nature peut-être que cette personne serait la plus adapté à la conserver ces plantes qu’il aimait tant.

Pendant le discours la plante ne faisait que grimper sur la jambe de Ben. Il n’avait plus vraiment le choix soit il lui expliquait soit elle comprendrait d’elle-même. C’était un choix cornélien mais il fallait agir et vite soudain Ben tendit sa main vers son enfant. La plante monta dessus tout en regardant L’homme. Il montra alors la plante à son interlocutrice.

Je pense que vous avez toute a fait raison… Vous voyez les caprices de mère nature mon offert un avantage non négligeable avec mes adversaires biologiques. Imaginait l’étendu de ses possibilités dans les expériences capables de forcer le chemin de dame nature et ainsi rendre capable cette dernière d’évoluer et de peut-être dépasser l’homme et votre accélérateur pourrait me faire réussir mon entreprise… Imaginez des plantes capables d’apprendre et d’évoluer comme l’homme et d’avoir les moyens d’obéir nous n’aurions plus besoin de rien. La nature nous fournirait tous ce que nous avons besoin pour notre survis… J’ai déjà tenté sur le centre Victor Hugo mais le projet n’était pas vraiment opérationnel et ce dernier ne fonctionna pas comme prévus.

L’homme regardait la femme tous aller se jouer maintenant même si le but de Mlle Bénédicte était différent. Le scientifique toujours l’éliminer sur place, les plantes avait des capacités que le monde n’avait encore qu’un faible savoir. Il suffisait de simple petite piqûre pour paralyser quelqu’un et pour en finir avec elle. Le monde était bien fait… Mais le but de Ben était encore plus grand il voulait rendre à césar ce qui était à césar. La nature était un être qui ne savait pas ce défendre mais maintenant ce serait finit…. Il allait apprendre à la nature à se défendre… Le monde comprendrait que l’espèce dominante n’était pas eux mais la nature.

Vous comprenez je demande juste à apprendre le plus de chose pour pouvoir réaliser le prochain stade de l’évolution imaginer des plantes capable de parler et de dialoguer voir même de penser serait quelque chose d’inimaginable. Si les plantes arrivaient à réaliser des choses que nous les humains étaient incapables de mener à bien.

La plante regardait Ben tous en avança sur l’avant bras. C’était comme un petit animal de compagnie et ce dernier caressa sous le coup de la plante comme s’il s’agissait d’un chien. Il avait toujours le même regard vis-à-vis de Mlle Bénédicte mais maintenant il attendait le verdict allait elle le traiter de monstre ou non. Au pire il allait fuir en Amazonie et voir l’étendu de ces capacités.

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Tout s'expliquait... Valherus semblait être quelqu'un de déterminé et assurément "fou", quelque part. Peut-être que Valherus apporterait intrigue et curiosité à Ashley, mais non. Elle voyait en lui un objet de succès, une gourde de vin divin. Son intelligence cachée laissait paraître un homme sûr de lui et à la limite de l'obsession. Elle l'écoutait, l'observait. Aucun scientifique ayant travaillé avec Ashley n'avait développé pareille manière de penser. Tous ne venaient que pour le travail et gagner pour vivre; mais Valherus était un de ces scientifiques vivant pour la passion, l'envie, la conquête et la réussite, quitte à tout abandonner pour son savoir. Elle su cela grâce à la manière dont Valherus présentait la chose : à côté de la plaque mais dans ses bottes. Même si au premier abord Ashley n'aurait pas besoin de ces compétences en génétique, elle pourrait cependant permettre à ce Valherus de l'aider à synthétiser des nouveaux tissus, plus résistants que tout autre tissu et ainsi, par ce biais, en faire profiter à la génétique qu'elle déciderait d'appeler "la génétique Valherienne". Un nouveau concept, un mariage de la physique et de la biologie...

Mais aujourd'hui, ce n'était pas la seule chose qu'elle pu remarquer. Un autre point se synthétisa en elle : Valherus était lui aussi différent. Elle observait ce jeu du maître et de l'esclave. La plante grimpait sur Valherus, comme un animal de compagnie demanderait quelques caresses. Elle observa les plantes alentours de manière mathématique et non paniquée : quelque chose vivait, plus que se symbolisait. Elle revint sur Valherus, le regard toujours froid et de marbre.

"Bien que votre esprit soit infesté d'idéaux quelques peu douteux, je ne peux qu'applaudir votre sens de l'initiative monsieur Valherus. Vous avez du culot de venir ici, dans un domaine opposable, proposer vos folles expériences. Peut-être que si cette plante ne vous avait pas pris pour une semblable, j'aurais résilié votre abonnement à la folie sur le champ... Mais à la vue de ce que je puis observer, il me doit de vous retenir et d'en oublier tous ces miteux scientifiques espiègle et savants que par les livres."

Elle croisa les mains à nouveau. Elle réfléchissait encore. Les plaies stigmatisées de ses mains étaient plus que visibles aux yeux de Valherus, à travers le latex des gants de laboratoire. Elle les retira.

"Monsieur Valherus..."

Elle dirigea sa paume meurtrie vers le visage de Valherus, cachant à moitié son propre visage.

"Le potentiel d'un être est infini si la douleur ressentie ne devient qu'une banale histoire de picotements agréables."

Elle toucha son propre visage.

"Et au delà des apparences vivent les idéaux les plus forts et les plus sûrs. Monsieur Valherus, vous n'êtes pas le seul à être spécial, alors gardez un peu de sang froid."

La remarque était ainsi sortie. Les idéaux que proposaient Valherus était d'un égocentrisme vénal de ses propres idées préconçues. Ashley était pareille mais elle ne répondrait des siennes que si quelqu'un d'assez fougueux se croirait au dessus des lois. Valherus était un adversaire nécessaire mais aussi un intéressant allier.

"Veuillez également demander à ma plante de rejoindre son habitat car ce n'est pas sur votre corporel lassitude qu'elle trouverait nectar de survie. Et évitez ainsi de vous faire dominer par votre propre conviction du contrôle du monde végétal. Ne donnez pas au chien le choix d'une guerre, mais le désir d'une paix"

Dans cette expression, elle voulait faire entendre l'importance de ne pas se laisser dominer par ce que l'on tente de créer. Tel le cycle de l'Elévation, curieux roman, l'humain créateur devrait garder la responsabilité de ses propres créatures.

Invité

La situation était complexe toutes les plantes étaient en harmonie avec Ben, elles attendaient qu'un seul ordre, un seul souhait et elles obéiraient mais l'homme n'avait pas pour plan de faire souffrir une quelconque personne. Il était venu pour travailler et il avait besoin de cette Mlle Bénédicte, c'était la seul personne qui pourrait le faire évoluer. La seule chose qui pourrait lui faire connaître l'étendu de ces capacités.

L'homme regardait et écoutait la démonstration de cette effectuée. Ben ne c'était absolument pas trompé sur le compte de la jeune femme. Elle aussi était passionné, c'est celle élément qui la rendait comme différente des autres femmes que Ben avait rencontré jusqu'à ce jour. C'était quelque chose d'étrange mais cela était forcément quelque chose de passager qui finirai bien par passé. Ben fit signe à la plante de retourner dans son pots et cette dernière marchait en direction du pot d'une manière maladroite. Après quelque minutes la plante eut fini son ascension.

Ben devait forcement passer pour quelqu'un de douteux mais il voulait que les plantes puissent survivre à ce monde. La nature avait été torturé, mutilé pour les bénéfices de quelqu'un. Mr Valherus avait déjà plein de projet en tête, si il pouvait créer des nouvelles variétés de plantes toxiques, il pourrait facilement détruire certaine société qui ne sont pas en règles avec dame nature.

La femme laissait quand même percevoir en doute avec les soit disant personnes qui avaient des capacités. Ben lui avait du apprendre par lui même en autodafé. Cela avait été quelque chose de difficile et de très perturbant pour Ben, il avait du tous recommencer de zéro avec son corps. La nature parlait avec lui comme s'il était au même niveau arrivant a ressentir les sentiments des êtres de la nature comme s'il était humain. Ben la regarda toujours avec son regard neutre qu'il avait fait preuve auparavant avec elle, tout en oubliant les plantes qui étaient autour de lui.

Je me suis peut-être mal exprimé mais aujourd'hui, vous êtes la seule personne qui puisse faire améliorer mes recherches et me permettent de progresser, et je pense que vous êtes la personne qui me permettraient d'atteindre mon but et ainsi être reconnu dans le monde de la science et de la recherche comme une personne reconnu pour mes capacités. J'aimerai que dans le futur, on dise Mr Valherus était une personne importante qui a fait avancé la biologie comme personne d'autre. Je me moque de l'argent, la gloire je veux juste être reconnu pour ce que je suis.

Il marqua une pause dans son discours tous en regardant la jeune femme, Mr Valherus parlait d'une voix neutre. Il n'exprimait aucun sentiment, il ne les avait jamais montré à personne. Sa mère et son oncle avaient tous fais pour qu'il n'est plus confiance en personne. Ils l'avaient fait passé pour un lépreux ou un chien galeux.

Je fais preuve de culot comme vous dites car vous êtes mon unique option. J'ai eu beau regardé les autres centre de recherches qui sont installé à travers le monde, vous êtes les meilleurs. Les autres ne m'intéresse pas, je veux évolué, je veux apprendre car la clé de ce monde reste la connaissance et le savoir. Je ne veux pas la guerre, je veux que le monde soit un havre de paix. Imaginez une seule seconde, un jardin d'Eden ou le monde n'aurait plus besoin de détruire la planète pour survivre.

D'un geste de la main, il remit ses lunettes de vue qui commençait à descendre sur le nez de Ben. Mr Valherus dessinait un léger sourire sur son visage comme s'il était fier de ce qu'il venait d'argumenter mais effectivement il était fière.

Invité

L’ambiance était au calme dans le bureau d’Ashley. Au calme. Pour le reste, une atmosphère rude et directe se faisait quand même ressentir. Par delà les murs une tension intérieure se faisait ressentir, oppressante en ces lieux. Elle devinait, calculait, supposait. Choses anodines, faits exceptionnels ; tous contribuaient à élever en Ashley plus de contraintes que de relâchement. Ses nerfs répondaient aux réponses de Valherus, à chaque seconde qui passait. Et chaque réponse fournie par son visiteur attribuait à vouloir en savoir plus tout en esquissant un chouia de lucidité quant aux propos de Valherus. Il évoquait ses idées, ses hypothèses et ses envies. Il invoquât l’aide d’Ashley comme un pain qui tombe du ciel devant une personne affamée. Là se plaçait le bémol dans cette lente et cruelle marche pour la domination.

Il envisageait ses propres désirs et ses mystérieux desseins. Il ne tenait point en compte l’aspect objectif de sa demande. Tout baignait de subjectivité exagérée. Elle voulait y répondre, mais elle laissa un temps de pause pour que Valherus continue son discours peu orthodoxe sur le désir et la vanité personnelle. Ashley, jamais, ne faiblissait sur les regards hautain et suffisant qu’on lui portait. Souvent l’interlocuteur était soumis par une simple parole sortie des lèvres d’Ashley. Mais elle attendait alors que Valherus ventait ensuite les mérites de travailler dans ses labos. Typique d’une motivation banale – possible mensonge échappatoire et clairement non fondé. Elle prit la parole. Même si l’ironie se ressentait en Ashley, ces quelques mots tintaient comme des compliments doux et humides.

« Je constate votre acuité personnelle très développée. Un atout majeur dans vos relation avec vos propre désirs et propres envies. »

Elle laissa une pause, pour laisser le temps à Valherus de peut-être comprendre l’ironie.

« Je constate votre engouement à dédaigner mes propres objectifs. Je constate (elle parla d’une voix autoritaire) votre culot de ne citer que vous-même. Je constate et décris également la façon dont vous m’effacer de vos objectifs personnels. Vous avez besoin de moi mais cela devra être votre nom affiché sur un article scientifique redevable, car vous le souhaitez. Limite, vous m’égorgez le sens de la parole alors que je n’ai même pas eu le temps de réfléchir à votre désir scientifique. Ainsi, monsieur, vous vous appliquez à me tenir tête sans même connaître mon unique prénom, sans même mesurer la fausse inférence de vos paroles toujours personnellement dirigées. Ecoutez bien monsieur »

Elle s’avança et fixa Valherus dans les yeux.

« Je vois en vous une détermination sûre et efficace. Mais je crains, ici-même, que mettre en conflit partagé et altruiste nos deux compétences est une idiotie de votre part ; déjà alors vous me décevez d’une telle opinion d’ego poussif. Si vous désirez arriver à vos propres résultats, cela sera avec mon aide et mon approbation. Je crois qu’ici nous sommes assez avancés pour pouvoir mettre à terme l’inachèvement de votre travail. Mais mon désire est, ici, que je ne doive pas être dupe de ma propre vanité et de mon propre orgueil que je reconnais. Regardez moi et vous comprendrez que mes résultats sont de mes propres et uniques mains. Mais s’il s’agit d’un partage, monsieur, prenez en vous l’assurance que le crédit ne sera pas seulement accordé pour vous. Il serait dommage de perdre le contrôle de son propre pouvoir savant alors qu’il peut être tout à fait sublime et partagé, et donc contrôlé. »

Elle fixa Valherus longuement. Elle se tourna ensuite vers les machines, tout en se levant. Elle semblait avoir oublié Valherus, comme si elle le laissait réagir de sa manière aux propos secs et criants d’Ashley.

Invité

L’homme restait figé et écouté les propos de cette jeune femme. Il n’arrivait pas à détacher son regard et buvait littéralement ces paroles de la Mlle Bénédicte. Mr Valherus avait cru rêver, pendant un instant. Il est vrai que la scientifique méritait tous les égare et que Ben lui devait attendre sont heure de gloire. Ce n’était qu’une question de temps. Il devait juste attendre pour le moment elle était la personne qui dominait et il allait se soumettre pour la poursuite des événements. Une seule chose importait, c’était l’avancé de ses travaux, qu’importe le prix à payé même pour vivre dans l’ombre de quelqu’un, Ben pourrait toujours regarder sa progéniture avec fierté en lui disant qu’il a élaboré tel ou tel technique. L’homme restait assit en face de cette personne qui détenait les clés de son avenir et de son destin.

Je suis tous à fais désolé, je veux juste travailler et faire avancé la science si c’est un autre nom que le mien qui doit être cité alors pourquoi pas… De toute façon, moi ou un autre qu’elle importance ? Je veux juste participer à cette avancé de l’être humain sur le chemin de la science. La reconnaissance après tous ne serait’ elle pas secondaire ? Je préfère participer dans l’ombre que d’être dans la lumière sans progrès. C’est la ma vision des choses sur le monde actuel… Veuillez m’excuser pour cette arrogance dont j’ai fait preuve… Si vous voulez je peux partir sur le champ… Je comprends qu’une personne de votre niveau et de votre importance à d’autre chose à faire que de s’occupé d’une personne comme moi…

L’homme restait en face de la jeune femme il voyait son dossier, intact sur le bureau de son possible futur chef de labo, en général il avait toujours fais bonne impression. Aujourd’hui c’était différent, il avait du montré une partie de sa véritable nature mais quelque chose sommeiller en lui, quelque chose qui ne demandait juste qu’a se montrer. Il était un savant mais posséder par une idéologie qui devait probablement dépasser cette jeune femme. L’homme deviendrait bientôt un symbole mais de quoi c’était au destin de le décider. Il devait juste trouver quoi ? Un masque, mais de quoi ? Clown ?superman ?Dark Vador ?… Il y avait tellement de possibilité… Que Ben ne savait jamais quoi choisir… Un jour peut être il trouverait et cette chose qui l’habite pourrait entièrement prendre possession de lui.

Mlle je pense que vous pouvez m’apportez tous ce que je désire pour progresser dans la voie qui est mienne est si pour cela je dois me soumettre à votre volonté ce n’est pas un prix si cher à payer pour avoir le luxe de la réussite. Je ne vis pas pour l’argent, je vie juste pour travailler et faire évoluer le monde dans lequel nous vivons. C’est un monde dur certes mais un monde avec lequel j’ai plaisir à voir tourner. Ce serait que d’horreur que de ne pouvoir participer à l’évolution de l’humanité non ? Ce monde qui est le notre peut se montrer parfois si remarquable et parfois si destructeur… Je ferai n’importe quoi pour rentrer dans cet engrenage mortel pas vous ?

Le défit était lancer. Allait’ elle participé à son avenir ou bien le laisser vagabonder tel un chien errant en recherche de savoir. Ben était sûr que son destin se trouvait ici, ce n’était que la première marche qui composait son grand dessein que les dieux avaient dessiné pour lui. Le monde se révélerait bientôt pour lui, il fallait juste bouger la première pièce de l’échiquier et attendre la contre attaque du destin.

Invité

Elle tapota des doigts, silencieusement, tout en écoutant de manière attentionnée et intéressée Mr Valherus. Néanmoins, au profond d’elle même, elle ressentait un chantage poussé et fort peu déguisé. Mais le flux de paroles de l’homme continuait de couler dans cette pièce, blanche stérile. Elle restait muette pendant qu’il parlait ; elle ne voulait pas l’interrompre, ô grand Dieu, non. Cet homme était d’un mystère si étalé qu’elle prenait un malin plaisir à le sonder et à le pousser vers ses derniers retranchements. Et désormais, il s’étendait en propos personnels et ne lâchait pas prise quant à sa promesse de suivre ses propres idéaux. Il eut même l’obligée galanterie de lui renvoyer une question à propos de toute cette évolution possible et réalisable. Mais elle resta muette, ne trouvant pas utile de s’étaler elle-même. Il comprendrait en temps et en heure les véritables conception du monde que se suggérait Ashley.
Ses doigts s’étaient arrêtés de tapoter sur le bureau. Elle pris du bout des doigts une feuille qui traînait, provenant du dossier de Valherus. Elle la lu, silencieusement. Un sourire invisible s’indiqua en elle. Il avait fait de sacrées bonnes choses, toutes les plus étonnantes. Mais elle déposa la feuille. Restant silencieuse, elle décia, à nouveau à se relever et à effectuer une manipulation sur l’une des machines. Les lumières devinrent rouges, comme une salle à photos. Un bruit mécanique assez sourd mais bruyant se fit entendre et un genre de générateur se mit en route. Elle avait enclenché une machine inconnue aux yeux de Valherus. Elle se retourna

« PMA XR-eV 100 000 »

Elle fixa la machine et y déposa sa main.

« Particles Micro-Accelerator X-Ray-electro-voltage 100 000. Un bijou de technologie, non encore présenté et unique au monde. Est-ce que cela remplit votre question d’ambition ? Certes, ce n’est pas un accélérateur comme présenté au CERN ou ici – faisant dans le gigantesque - mais, celui-ci m’a permis énormément de choses pour un faible coût. Et c’est ici que je fait mes expérience particulo-moléculaire sur les molécules polaires. Entre autre, sur l’eau. Et qui dit eau, dit organique et inorganique. Un peu plus grand et, vous pourriez tester vos propres expériences sur des organismes plus résistants et voir si ils résistent aux flux de rayons X et aux flux de particules accélérées. »

Elle le regarda tout en s’asseyant.

« Je connais votre ambition, monsieur Valherus. »

Elle le fixa intensément, réajustant ses lunettes. La lumière rouge de la pièce et le bruit sourd qui l’emplissait donnait à la scène une certaine oppression mutuelle. La machine, ressemblant étrangement à un énorme boîtier, affichait un écran où défilaient des graphiques très complexes.

« J’ai ma propre ambition. »

Elle s’était décidée à répondre.

« Il y a des gens qui ne méritent pas la gloire monsieur Valherus. »

Elle se releva. Elle tendit la main. Et toujours indifférente et sévère, si pas orgueilleuse, elle tint ces paroles.

« Mais d’autre qui y on droit malgré leur folie. Vous ne retournerez pas en Europe cette fois. »

Invité

Ben resta attentif à la présentation de ce nouveau joujou qu’il allait pouvoir utiliser s’il restait ici. Cette machine était peut être une des clés qui allaient diriger une partie de son destin il se contenta de regardait uniquement cette machine des dieux. La femme parlait de ses capacités et soudain il remarqua la possibilité. Ben restait admiratif en face d’une telle machine. Soudain la jeune femme commença une réplique qui commença à ravir Mr Kenter. Il allait enfin pouvoir réaliser une partie de ses rêves pouvoir montrer au monde l’étendu de ces talents même si un mot faisait bloqué Ben. Le mot « folie », Il n’était pas fou, le scientifique était juste à l’avant de la vague et c’est ainsi que tous les hommes qui ont fait avancé l’humanité on était perçu par les autres. Maintenant quand on regard le passé on les admire on les prend pou des hommes grands qui ont marqué leur histoire.

Ben serra la main de sa nouvelle patronne tous en sortant d’un geste vif une liste de tous ce qu’il avait besoin pour ses travaux. Cette liste était farfelu, car il y avait tous et n’importe quoi. Ses recherches visaient les plantes mais il avait demandé différentes espèces d’animales mais pas des rats comme tous les scientifiques non il voulait des lézards, des salamandres. Il y avait différentes très compliqué à rassembler comme du plutonium ainsi que différente plantes rares qui ne pouvait se trouver uniquement dans un musée ou dans des centres agrées. Après tous Ben pouvait bien passé pour un fou, s’il arrivait à concrétiser ses travaux.

Merci, j’ai fais une liste un peu exhaustive de ce que j’ai besoin, il est possible que j’ai besoin d’autre chose… Je vous ferai par de mes nouveaux besoin si jamais la nécessité s’en ferait sentir… Je préfère l’air de New-York que celui de Paris, je ne sais pas pourquoi mais je sens qu’enfin le vent s’apprêt à tourner peut être l’heur d’un changement mais je dois juste vous dire une chose je ne suis pas fou non… Je suis juste à l’avant de la vague.

L’homme commençait à se relevait en face de cette machine qui attirait son regard. Il était obnubiler par cette machine, il réfléchissait aux possibilités. Les plantes pourrait évoluer, il n’y avait plus aucun doute.

*avec ca, tous sera bien… Je pourrais enfin donner aux plantes ce qu’elle mérite. Si j’arrive à leur crée un libre arbitre, ils pourront lutter contre les humains… La paix a marché pendant un temps… Mère nature devait avoir la capacité de ce défendre… Et ainsi réclamait sa place au soleil.*

L’homme commença à barbouiller différentes notes sur son calepin. L’heure était au travail et non pas à se reposer sur ses lauriers. Il était prêt à tous pour arriver à ses fins peu importe le temps que cela allait lui prendre. Les travaux d’hercule n’était rien comparait aux futurs travaux de Ben.

J’espère que cela ne vous dérange pas si je travail sur le champ… J’ai pris trop de temps de retard… Il faut que mes recherches avancent maintenant.

Invité

Le goût de l’impertinence et de l’impolitesse raisonnait au profond de Valherus. Ses exigences, demandées sans sommation, n’étaient aux yeux d’Ashley que de simples ordres. Elle ne supportait pas l’insubordination et ce trait de conversation fit monter en elle une certaine colère, gorgée de mépris soudain. Mais elle ne pouvait refuser pareille aide. De faits et de paroles, cet homme était un scientifique prometteur mais un rival sûr et certain aux yeux d’Ashley. Telle perspective mettait Ashley en halène et, se pinçant les lèvres pour elle-même, elle jugea la situation pleine d’opportunités. Ainsi monsieur Valherus voulait toute une série d’objets, des plus anodins aux plus folkloriques. Elle avait remarqué l’intérêt que Valherus portait pour la machine qui fonctionnait derrière eux. Pouvant allègrement se passer de l’outil présent pour un temps, elle ne se refusa pas de lui proposer la machine, ce qu’elle fit. Cependant elle mettait un point d’honneur de pouvoir la récupérer à tout instant.
Tout au long de la conversation Ashley avait gardé un comportement au delà de toute sympathie et de toute bonne considération, plongée dans son orgueil, qu’elle se connaissait. Elle souriait en son intérieur. Elle plongea dans sa poche et en sorti la clé électronique d’un local jadis occupé par un scientifique désormais hors des prétentions d’Ashley. Elle prit un ton autoritaire :

« Monsieur Valherus, ne prétendez pas être chef et maître de vos travaux et faire selon vos aises. Ne prétendez pas non plus avoir accès à tous mes travaux sans ma propre autorisation. Cette pièce ici est interdite d’accès à tout personnel sans mon approbation, même pour vous. Ce n’est pas la mise à disposition d’un local unique pour vous que je veux être témoin de votre taux d’assurance personnelle. Vos travaux seront fait selon votre bon vouloir et votre propre décision. Mais que ceux-ci n’interfèrent nullement avec le jugement qu’ont les gens sur ce laboratoire. Je suis moi-même expérimentatrice de phénomènes au delà de la physique actuelle, mais ce n’est pas une raison pour créer le grabuge monsieur. Je tiens à garder mon laboratoire en état. Et vu votre don à manipuler les plantes et de les diriger selon votre aise, n’allez pas m’envahir de créatures incapable de comprendre qu’elles peuvent être nuisibles. »

Elle lui passa la clé magnétique.

« Les même propos sont égaux pour vous. Personne dans votre local sans mon autorisation, les autres scientifiques présents ne doivent pas interférer avec vos travaux, pour cette même raison de jugement. Vous êtes seul pour l’instant ; cela sera moi qui viendrai vers vous. (elle fit ne pause) Un visiteur inopportun dans votre laboratoire ? Appelez-moi directement avec ceci (elle jeta un petit appareil de la taille d’une boite d’allumettes avec un petit bouton dessus). »

La sympathie qu’elle montrait à Valherus était un dessein prévu et elle voulait prendre sous son aile ce scientifique. Mais elle devait garder toute crédulité et ainsi petit à petit sympathiser avec sa science. Etrange bonhomme et curieux scientifique mais excellent savant…