l'antre du démon [ PV: Rick]

Alexander marchait dans les couloirs de l’OWI, il était comme dubitatif. Il n’arrivait pas à savoir ce qu’il faisait la. Il regardait chaque jour ces êtres impies par leurs vices. Ils étaient les suppos du diable, Alexander aurait tant aimé mettre fin à leur misérable vie mais ce n’était pas possible du moins pas maintenant…. Il avait conclu avec marché avec Bob mais ce dernier était mort… Laissant Mr Von Kartel perdu dans sa position actuelle dans la compagnie. Il allait pouvoir s’amuser un peu… D’après les bruits de couloir, la nouvelle personne qui dirigeait l’agence s’appelait Mme Petrelli.

L’ érmite arriva dans le level 5, c’était l’antre du démon. Alex les aurait bien tous tuer de ses mains pour montrer à Dieu sa foie en lui. Le vieil homme abordait des vêtements du genre rockeur des années 80 avec tous les cheveux qui allaient avec. De loin, il apercevait les cellules …. Alexander avait reçu des consignes simple il devait donner la nourriture au détenu. Malheureusement pour lui, l’homme était de corvée. Alexander avait servit les repas de la même façon il était rentré dans la pièce, tout en posant le plateau et referma la cage. C’était un cycle répétitif jusqu’au moment ou il vit une cage que Mr Von Kartel n’avait pas encore examiné.
L’homme rentra dans la tanière tout en posant le plateau devant l’individu. Il saisit le dossier de ce personnage. Une description bien que très effrayante.

Alors Mr Rick Baneson, vous êtes le maitre du fléau, la septième plaie d’Egypte. Votre châtiment devrait être la mort pour tous les pêchers que vous avez causé… Mais je ne suis pas dans la possibilité d’exercer le châtiment divin je ne suis qu’un messager et non l’épée de la justice divine pour le moment…Combien de personne avait vous secrètement tué ? Hein ? Combien de famille pleure la mort d’un être cher que vous avez causé !

Alors qu’elles sont vos raisons pour tant de basses de votre part. Dieu avait une vision plus positive de vous mais vous avez succombé à la folie, à la haine… Vous mériterez qu’on vous enlève tous vous pouvoirs.
Alexander restait impassible devant le jeune homme, le visage dur et âpre de l’homme ne disait rien de bon, ce n’était qu’une question de temps avec que Alexander se laisse aller au zèle auprès de la jeune âme perdu qu’il avait en face de lui.


[désolé je suis pas arrivé à faire mieux, petit blocage ça devrait être mieux une fois lancé]

Rick marchait dans sa cellule d'un pas lent et desesperé. Sa barbe avait poussée et ses yeux étaient cernés. Bref, l'image habituellle qu'on se fait d'un pathetique prisonier. Sauf qu'il avait échangé la traditionelle tenue orange des prisonier d'état americain pour les vetements bleu poudre du Level 5. On aurait crut un fou dans une asile. Rick estimait la longueur de sa captivité a deux semaines mais il était ardu de comptabiliser les jours sans avoir au moins une fenetre sur l'exterieur. Et depuis Christie, personne ne lui avait adressé la parole. Il n'était qu'un animal en cage.

Pour se divertir, Rick écrivait. Il ne voulait pas sombrer dans la folie a nouveau et garder quelques chose de concret dans sa vie le securisait. Il avait deja oublié un ans de sa vie, il ne voulait perdre se qu'il avait vecu a New York. En relisant ses écrits, le prisonnier realisa que tout au long de ses peripeties dans la Grosse pomme, un nom revenait toutle temps: Symphony K. Yardley. Elle était la du debut a la fin. Mais maintenant, des murs de béton empechait le jeune de retrouver sa douce.

Rick en était la lorsque il entendit la porte qui se débarrait. Il prit s'assit sur son lit, se rapellant un decharge de Teaser lorsque son geollier l'avait estimé trop pres de la porte pendant qu'il le service de son repas. Mais cette fois-ci, a la place de l'agent maigrichon et nerveux qui lui donnait habituellement sa nouriture, il y avait un type chevelu et vetu a la mode Rock n' roll des années 80. Si il n'aurait pas porté un cabaret recouvert de bouilli gluante, Rick aurait crut faire face a un des villains qui tentait une évasion.

Le type entrait dans la categorie " Mec qu'on ne veut vraiment aps rencontrer dans une ruelle, tard le soir". Il regarda Rick pendant une breve seconde avant de survoller son dossier. Il lui tint alors un discours digne des qui ne presentait rien de bon pour le prisonnier. Malgres tout les mots pronnoncés, Rick retenait surtout " Je te tuerais si je le pouvais!". De la voix creuse qui accompagne les long moments de silence, il lui repondut ceci:

- J'aimerais bien repondre a vos question mais la derniere année de ma vie n'est pas inscrite dans ma mémoire. J'ai été victime de mes propres capacités. La folie m'a submergée et j'ai fait des choses atroces dont je ne garde, heureusement, aucun souvenir. Il y a un mois environ, j'ai fait la rencontre d'une jeune femme qui m'a sortit de cet noirceure et j'ai put recommencer a vivre. A aimer aussi. Mais vous m'avez capturé, pour les actes que j'avais fait dans un passé incomplet et se que j'aurais put faire dans un future incertain. Comment vous senteriez vous, Monsieur, si on vous punirais pour des actes commis sans que vous en soyez conscient?

Peu importe qui il était, ce colosse barbu avait pété un plomb! Apparament, se que Rick conciderait comme de l'innocence n'avait pas la meme aspect a ses yeux. Plus le velu parlait, plus son visage se cripait en un masque haineux digne d'un mauvais film d'horreur de série B. On aurrait crut que le démon avait prit possession du corps du geollier qui était pourtant impassible quelques secondes plus tot. Il parlait de jugement divin, de redemption et de "tout puissant". Choses qui n'était pas étrangeres au vocabulaire du Maitre des virus. La mere du jeune homme était de culture irlandaise et foncierement catholique. Étant jeune, il avait été élevé et éduqué selon les vieilles croyances éclysiastiques. Avant d'avoir été enfermé, il ne se séparait que rarement d'un pendantif en forme de croix qu'il avait trouvé sous le banc d'une église abandonnée. Mais, coincé entre ses quatres murs, la croix était loin de lui.

Le visage de Rick restait froid, malgres la tempete d'émotions qui l'assaillait. A sa grande horreure, le barbu fanatique sorti un vieux revolver d'une poche de son veston de denim. L'esprit du prisonnier figea. Étrangement, malgres le fait qu'il était a la merci de chacun des agents de cette maléfique compagnie, malgres le fait qu'il representait la pire vermine au yeux de chacun d'eux, il s'était sentit en sécurité dans sa cellule. Apparament, il avait eu tort. Le colosse pointa le canon vers lui, et lui donna un discour qui ne parvint jamais au cerveau du jeune homme. La panique regnait en mettre dans son cortex, mais son visage restait sans émotions, sauf pour un léger tic nerveux au coin de ses levres.

Clic

Dans l'esprit de Rick, le calme revint. Le son lui arracha un soupire de soulagement. Sa respiration était rendu saccadé et difficile par le stress. Quand ilv it que son geollier avait l'intention de recommencer, l'instinct le poussa a parler.

- Et vous? Pourquoi... pourquoi vous n'avez pas les meme chances que moi. Chaques humains sont égaux pour le Seigneur. Peut-etre... peut-etre qu'Il souhaite ma survit, peut-etre qu'Il souhaite ma..ma repentance. Peut-etre que je vais accomplir beaucoup pour lui plus tard! Alors vous... vous devriez avoir els meme chances que moi?

La logique de se discours était discutable, mais tout de meme raisonnable. Le regard de Rick passait du regard dément de son fanatique prédateur au canon tout aussi inexpressif du revolver. Une chance sur six...