Sur la route toute la "sainte" journée ( Joe )

Joe marchait en direction de la voiture de police quand il vit la jeune demoiselle prit le pas avec son violon que Joe n’avait pas vu jusqu'à ce moment. Elle se dirigeait devant les policiers, elle était sûr d’elle et en profita pour les éliminer un par un comme une professionnel, elle usa de différents subterfuges pour les éliminer même s’il y avait des choses à corriger comme le fait qu’elle soit trop sûr d’elle aurait du paraître affolé par la présence du clown ou bien d’autre petite chose qui font la différence. La jeune fille se retourna vers Joe tout en faisant triste mine.

« Je m’apprêtais à aller acheter de quoi à manger moi ! »

Joe sourit sur cette réflexion qui était complètement en décalage avec la situation même si Joe malencontreusement avait détruit le lieu de tout ces désires. La voiture était maintenant à porter de main. Il allait donc l’amener manger quelque part. Il commença à fouiller la voiture, puis après il regarda le cadavre du policier pour prendre son insigne. Il ouvrit la portière coté passager.

Aller monte on va régler ton problème de nourriture.

Après que Joe et sa nouvelle compagnie furent installés dans la voiture, Joe saisit l’appareil qui servait pour communiquer avec le reste des voitures. Il regarda la jeune fille puis avec un rire sinistre, il s’adressa à l’appareil.

Bonsoir police de New-York, ca vous dit de jouer au chat a la souris ? Le score est de 2policier mort à 0 alors à quand la partie de chasse ? Hihihahahahaha

Joe jeta alors l’appareil hors de la voiture. Il roula alors à toute vitesse la tête hors de la voiture. Joe était tel un chien fou. Il voulait juste jouer au chien fou et ses cibles étaient les policiers de New-York. Il allait semer la terreur dans cette ville de tel manière à ce que plus rien ne puisse empêcher à joe de prendre la contrôle de la ville. Après quelque minute, ils arrivèrent en face d’un fast-food. Joe sortit alors de la voiture puis il regarda alors la demoiselle.

Reste là.

Joe saisit alors son couteau et rentra se dirigea vers le fast-food et quelque secondes après il disparu dans celui-ci. Soudain un bruit retenti, des cries de paniques des mouvements de foules les poussèrent en dehors du restaurant. On pouvait entendre des échanges de coup de feu. Puis soudainement Joe sortit du restaurant toujours avec son sourire et du sang sur ses mains. Il se dirigea vers la voiture et passa la nourriture qu’il avait prise dans le restaurant et après quelque instant. Joe repris le volant pour partir pour de nouvelle aventure.

Joe roulait à toute allure, il avait une idée encore non défini des événements mais maintenant il devait jouer avec la police. Cela risquait fortement de pimenter la monotonie de cette journée même si la rencontre avec la jeune fille avait quelque peut augmenter l’intérêt de cette triste journée. Joe voulait juste semer le chaos le plus totale. Une passion qu’il prenait trop à cœur pourront dire certaines personnes mais chacun avait son destin prés établie mais Joe voulait juste façonner le sien, juste leur montrer que tous ce qui était prévisible chez l’homme n’atteignait pas Joe. Il regarda la jeune fille qui dessinait un véritable sourire sur son visage. C’était peut être une des personnes qui pouvait comprendre son humour même si son humour pouvait être dut à leur enfance solitaire et maltraité. Il saisit délicatement les reste que la jeune fille n’avait pas mangé et après quelque minute, il était en vue d’une ville qui était à une cinquantaine de kilomètres de New-York. Joe ne faisait pas trop attention au remarques de la jeune fille jusqu’au moment ou cette dernière lui dit son nom.

"Je m'appelle Gabrielle"

Joe regarda, après tout il devait bien se présenter. La jeune fille allait peut-être bien l’accompagner pendant un petit bout de chemin. Il serait incongru de ne pas répondre et risquait un peu de la titiller.

Moi, tu vois on me donne plusieurs nom comme Malade mentale, fou furieux, assassin ou bien encore monstre mais si je me rappelle bien mes parent mon donner le nom de Joe.

Après avoir pénétrer dans la petite ville, Joe regardait autour de lui, rien. Il continuait toujours d’avancer avec la voiture de police. Ce n’était pas normal que la police n’intervienne pas. Soit ils étaient mort de peur soit ils avaient perdu leur trace. Dans les deux cas, c’était un problème fâcheux. Il fallait vite y remédier. Juste quand il finit sa réflexion, son regard de prédateur se fixa sur l’hôpital de cette ville. Le jeu allait prendre en amplification, c’était un jeu dans lequel on attendait de voir la personne qui allait montrer sa détermination et montrer ses limites. Joe roulait en direction de l’hôpital et se gara devant le bâtiment. L’orage commençait à gronder dans le ciel, la tempête était proche ce n était qu’une question de temps. Le clown sortit de sa voiture et ouvrit la portière coté passager tout en regardant Gabrielle.

Allait viens on va s’amuser un peu.

Soudain un infirmier commença à sa diriger vers eux. Joe eut juste le temps de maitre un drôle de truc à sa main. L’homme arborait la trentaine, et la marque de son duvet et la taille de ces cernes laissaient penser qu’il devait dans un état de fatigue avancé. Il se dirigea vers Joe dont’ il ne voyait pas le visage.

Vous ne pouvez pas rester la ! Sauf si vous avez une urgence.

Joe saisit alors la main de l’homme qui prit alors le jue d’une tel manière qu’il commençait rapidement à griller la partie de sa main qui avait était en contact avec l’objet. Un petit bijou de simplicité comme Joe les aimait. Joe le lâcha et il tomba par terre

Oui c’est une urgence, y a de l’orage dans l’air, maintenant té au courant. Hihihihahahahahaha

Joe allait donc ouvrir le coffre de la voiture, il avait oublié son étui avec son Thompson dans le lieu de l’accident. Il chargea son poing et fracassa le coffre de la voiture. Il prit alors le petit pistolet qu’il avait subtilisé sur le policier et rangea son petit appareil de torture dans la poche intérieur de son petit veston. Joe se dirigea alors vers l’entrée de l’hôpital. Au loin on pouvait voir, le coucher de soleil et la tempête qui n’allait pas tarder à ce lever.

[HS: j'arrive pas à mettre ta couleur ><]

[ c'est

Code:

[color=darkseagreen]Entre ici texte[/color]

]

Moi, tu vois on me donne plusieurs nom comme Malade mentale, fou furieux, assassin ou bien encore monstre mais si je me rappelle bien mes parent mon donner le nom de Joe.

Joe…Joe…C’était un prénom qui lui plaisait bien, court, et croncrès, en plus il allait plutôt bien à la cette personne même si dans sa petite tête la demoiselle l’aurait volontiers associé à un personne d’un conte de fée…Ou encore d’un jeu de carte à jouer…Mais qui ne l’aurait pas fait ? Elle arborrait toujours ce même sourire, amusée, en plein délire total, comme si on venait de l’emmenée à une foire…Ou mieux encore ! Comme si elle s’y trouvait tout simplement ! Cependant, tout comme Joe, la demoiselle attendait avec délice l’arrivé de police mais celle-ci semblait se faire plutôt attendre. Hum…Plusieurs raisons à leur discression, ils pouvaient être trop occupé, ou avoir un peu trop la trouille ou alors l’allure à laquelle Joe parcourait les routes avait fini par les semer avant même qu’ils ne puissent retrouvée leur trace. Ce qui était fortement dommage, Gabrielle aimait user de ces capacités, elle aimait pousser à bout ses limites, sentir l’adrénaline la plonger dans un tout autre monde…Oui…Elle aimait le combat et la sensation qui allait avec, elle aimait avoir peur de mourir…Cela lui permettait de faire de sa vie un tout autre univers, cela lui permettait tout simplement d’aimer…

« Hum…C’est pas juuuuste…Toute des poules mouillées… »

Subtile jeu de mot entre le soubriquet qu’on offrait généralement au flic : poulet. Et cette expression général sur les gens qui avait trop la frousse pour affronter certaine chose. Croisant alors les bras, ses joues se gonflèrent d’air, rendant son visage rond, mettant ses lèvres pareil à celle d’un poulpe, c’était son visage habituelle lorsqu’elle boudait parce que l’un de ses caprices ne se réalisaient pas.

Elle posa son front contre la vite, son chapeau haute forme se poussant légèrement sur le côté alors que ses yeux se levaient vers les ciels, sa mine boudeuse restant gravé sur son visage d’enfant, elle semblait cependant se détendre en regardant l’orage qui se profilait à l’horizon. Elle aimait les orages, elle trouvait cela extrêmement beau, cette manière qu’avait les éclairs de déchirer le ciel en plusieurs partie, le bruit assourdissant qui pouvait parfois en résulter et la pluie…Elle aimait la pluie oui…Cette manière musical qu’elle avait de tomber sur le sol, elle adorait sauter dans les flaques et mouillé au passage quelque étranger qui passait par là…
C’est alors que la voiture se stoppa, la gamine n’avait pas fait attention à leur nouvel destination, elle quitta des yeux le ciel pour observer celle-ci…Un hopital ? Joe se sentait-il mal ? Ou alors…Sa mine boudeuse s’effaça nettement, tournant ses yeux pétillants vers le clown.

Allait viens on va s’amuser un peu.

Le plaisir était tel qu’elle déclipsa sa ceinture de sécurité pour sauter avec joie vers l’extérieur…Ses deux pieds touchant le sol en même temps, elle attrappa la valisette de son violon au passage. Et oui ! Il était pas question qu’elle s’en sépare et ce sous n’importe quel prétexte. Elle ferait vivre les pires souffrances à la personne qui aurait l’audace un jour de lui détruire cette instrument. Elle remit en place son chapeau haute forme, inclinant légèrement la tête lorsqu’un homme vint à leur niveau. Sa main c’était déjà légèrement levé mais Joe s’en était charger le premier. Des soubresseaux prenaient d’assaut l’infirmier ou le médecin, une forte odeur de viande bruler apparaissait un peu plus chaque seconde, une odeur que Gabrielle n’arrivait pas spécialement à supporter. Finissant par mettre sa main contre sa bouche et son nez pour masquer du mieux qu’elle pouvait l’odeur.

Oui c’est une urgence, y a de l’orage dans l’air, maintenant té au courant. Hihihihahahahahaha

Bien que le jeu de mot était à nouveau très "lourd", Gabrielle ne pouvait s’empêcher de rire, c’était tout à fait son type d’humour. Elle observait l’homme chuter au sol, son corps inerte et à présent entièrement bruler. Elle passa une jambe par dessus son corps avant de passer la seconde pour se retrouver à côté de Joe.

« C’est ce qui s’appelle avoir le coup de foudre… »

Comment ça elle apprenait vite ? D’une certaine manière cela ne faisait-il pas déjà partie de l’état d’esprit de la gamine ? Oui…Quelque chose dormait en elle, une capacité incroyable…Quelque chose qui avait besoin de s’éveiller, de s’enflammer ! et Joe était très certainement la clé pour ce futur éveil. Alors que Joe c’était diriger vers le coffre de la voiture, Gabrielle c’était agenouillé face au corps inerte presque fasciné par la manière dont le visage de l’homme c’était déformé par la peur et la douleur. Elle trouvait cette façon étrange de crispé tout ses muscles du visage fascinante…Les parents de Gabrielle, surtout sa mère, avait toujours dit qu’en cette enfant se trouvait une artiste. Savait-elle quel genre d’artiste ?

« C’est beau… »

Murmura-t-elle sans, il le semble, s’en rendre compte alors que Joe était revenu, elle se releva, suivant l’homme…Côte à côté, ils se dirigeaient vers l’hôpital. La jeune fille se sentait très inspirée par ce coucher de soleil et par le lourd grondement qui se faisait entendre, cette lourdeur dans l’air qui présageait la tempête qui arriverait d’ici peu. Quand le duo étrange pénétrairent dans l’acceuil de l’hopital, la jeune fille devança le clown pour rejoindre l’acceuil de l’hopital…Se mettant sur la pointe des pieds pour atteindre la hauteur du bureau de l’acceuil…

« Bonjour jeune fille…Puis-je faire quelque chose pour vous ? »

Elle acquiesca d’un signe de tête et fit deux pas en arrière, ôtant son chapeau haute forme, la demoiselle fit une courbette digne de celle-ci qu’on pourrait voir lors d’une présentation d’un numéro.

« Oui ! Nous sommes ici pour animé l’hopital…Nous savons à quel point les jours peuvent être triste dans ce genre de lieu »

Directement, la femme de l’acceuil semblait presque emballer demandant une petite démonstration…

« Je suis une artiste magicienne »

Dit Gabrielle en relevant la main…

« Regarder bien ma main et compter jusqu'à trois quand je vous le dirai…Je vous ferai quelque chose d’intense ! »

Elle s’executa, fixant les mains, Gabrielle jeta un regard en coin à Joe, émettant un petit rire malicieux qui aurait pu inquiéter la jeune femme…Cependant, celle-ci se concentrait sur cette petite main levé…Le décompte se fit…
Un…
Deux…
Trois…

Et elle meurt avec effroit…

Les fils de Gabrielle était sortie à toute vitesse du bout de ses cinq doigts, lorsqu’elle prenait ses victimes par surprise, il était très rare qu’ils puissent esquiver ces fils…Pétrifier par la surprise…Et ce fut le cas pour la jeune femme qui vit un à un des lambeau de peau quitter son visage. Les hurlements se firent intense et bien que l’hôpital semblait presque désert…Peut-être à cause de l’heure…Quelqu’un vient tout de même voir ce qui se passait…

Lachant la valisette de son violon, elle libérait ainsi sa deuxième main, les fils se firent rapide, tranchant net la gorge de cet infirmier…La jeune femme de l’acceuil ayant succombé par la douleur…Gabrielle avait étrangement représenté à sa manière le visage de l’homme carbonisé qui gisait encore dehors. Ses fils revenant dans son corps, le sang se posait à nouveau sur le bout de ses dix doigts, tombant goutte à goutte sur le sol…
Se tournant vers Joe, elle s’écria

« T’en pense quoi ? »

Parlant effectivement de ce qu’elle considérait comme une œuvre…Reprenant la valisette de son violon, elle revint à côté de celui-ci…Les cris de la jeune femme avait très certainement alerté plusieurs membres du personnel qui ne se ferait pas attendre pour venir voir, comme l’infirmier, ce qu’il se passait.
Riant avec malice, la demoiselle semblait subitement aussi exciter qu’une puce, tel une gosse à l’approche de noël…

Alors tu vois avec té capacités, il ne faudrait pas directement tué ta victime, il faut que tu captes toutes ces sensations que sont la peur, pour connaitre ce que tes victimes ressentiront lors de leur mort. Tu voies et ne commence jamais par la tête, car tes victimes sont désorienter donc je te conseillerai de viser les jambes pour les empêcher de fuir et te délecter de la peur dans leur regard…

Bon on dirait bien que c’est Noël avant l’heur.

Une moue quelque peu boudeuse se dessinait sur le visage de Gabrielle…Blessée ? Non pas réellement…Disont que comme tout bon artiste narcissique et égocentrique qui se respecte, la critique était parfois très difficile à avaler…Surtout qu’il s’agissait d’un adulte et à vrai dire, Gaby n’aimait pas énormément les adultes mais aussi étrange que cela aurait pu parraître, elle fit l’impasse pour Joe et prit bien soin d’inscrire ses conseils dans sa tête…S’il souhaitait réellement la voir à l’œuvre, la voir devenir une artiste et bien…Il la verrait se perfectionner un peu plus chaque joue, il pourrait l’observer prendre exemple sur ce qu’il venait de lui dire…Elle lui montrerait de quoi elle était capable…De moue boudeuse, elle enfila le masque de la malice. Le genre de malice qui ferait froid dans le dos n’importe quel humain normalement constituer…

Fort heureuse pour Joe…Il n’était pas normalement constituer, d’ailleurs, c’était pour cela que tout comme pour Gaby, la seule chose qu’il ai du connaître lorsqu’il avait le même age qu’elle ce fut que l’abandon, la mort, la souffrance, la peine ou la tristesse…Des tas de sentiments que Gabrielle se jurait de ne plus jamais ressentir. Elle ferait de sa vie un rêve, un sombre conte dont elle écrirait elle même les pages…

Mais pour l’heure…Le spectacle devait continuer.

Gabrielle observa le clown sortir son arme à feu et pointer une infirmière avec celui-ci…Lui qui venait de lui dire de prendre tout son temps avec ses victimes venaient de montrer à Gabrielle qu’il n’était pas plus patient qu’elle. Elle attendait quelque seconde, espérant à vrai dire le voir tiré…

Ou se trouve votre Azote liquide ?! Vous avez 15 secondes sinon je refais les tapisseries avec votre sang.

De l’azote liquide ? Qu’est-ce qu’il voulait faire ? Une piste de glace improvisé ? Refroidir tout le monde ? Sans mauvais jeu de mot bien sur.
L’infirmière désigna alors l’endroit où était entreposer les produits chimiques et autre…Dont l’azote liquide demandé quelque seconde précédente par Joe…
Un bruit de détonation se fit entendre, Gabrielle sursauta, se retourna et observa le sang dégoulliné sur le mur

Oups… Hihahahahahaha

« C’est ça que tu appelle leur laisser le temps de souffrir ? »

C’était une petite taquinerie, rien d’acide ou de méchant, elle en riait elle-même d’ailleurs et elle en venait même à malicieusement lui tirer la langue mais à nouveau la lueur des yeux de Gaby avait de quoi en effrayé plus d’un…Joe disparut dans le couloir et Gabrielle fit face au personne présente qui observait la scène, tous plus effrayé les uns que les autres…[/i]

« Pourquoi tu fais ça ? »

Gabrielle se retourna, observant un médecin présent, de sexe masculin et plutôt bel homme…Celui-ci devait très certainement se sentir l’âme d’un héro…

« En quoi cela t’intéresse réellement ? Tu cherche simplement un moyen de sauver ta peau… »

Et c’était loin d’être faux, en effet…Le médecin n’avait aucunement envie de réellement la gamine qui avait effectivement de grave trouble psychologique, la seule chose qu’il souhaitait…Sauver sa propre vie…Et il le prouva en essayant en vint de foncer vers la gamine, esperant pouvoir la prendre en otage peut-être…
Tendant sa main en avant, les fils blanc et brillant de la demoiselle filèrent dans l’air, raide, tout droit dans les orbites de l’homme qui ne put que sentir ses yeux éclater et hurler avec éffroid…Ses fils revenant à ses doigts, le sang se râclant encore et encore, elle observait l’homme qui avait lacher précipitement la seringue qu’il tenait en main…Tenant à présent son visage entre ses mains, le sang coulant de ses yeux en des larmes pourpre.

C’est alors que Joe revint, l’azote pour compagnie, il gela la porte d’entrée de l’hopital alors que d’autre avait déjà appellé la police. La partie du chat et de la souris allait bientôt commencé…Il lui tendit le tuyaut de la bombonne d’azote liquide,

Tiens, amuse toi…

Observant le dit tuyau…Que pouvait elle réellement faire ? En aspergé quelqu’un ? Haussant les épaules, elle observa l’homme dont elle avait crever les yeux pendant l’absence de Joe, celui-ci criait toujours autant…

« Voyons voir ce que ça fait… »

Elle sourit au reste de l’assemblé…Aspergeant alors les pieds de l’homme, ceux-ci se figèrent aux sols, brulant par la même occasion a cause du froid intense de l’azote liquide. Esquissant un sourire en voyant cette expérience, l’homme a présent ne savait plus pourquoi hurler…Ses pieds prit dans de la glace si froide qu’elle en venait paradoxalement à bruler…Ou ses yeux lui manquant à présent terriblement. Elle regarda Joe, montrant du doigt l’homme se tortillant debout, ses mains toujours devant ses yeux…

« Tu as vu…Je fais des natures vivante… »

Petit jeu de mot sans réel intérêt par rapport au style de peinture que représentait des natures mortes…Les gens présents ne se firent pas attendre pour dégager tout simplement, se sentant plus réellement l’âme d’un héro en voyant ce que le premier de ceux-ci avait subit en voulant lui même faire le héro. Elle les laissait partir, lachant le tuyau de l’azote liquide.

« Ils sont pas drôle eux… »

Non…Eux…Ne lui produisait aucune adrénaline. Eux…Ne lui faisait nullement peur, alors que face à la porte d’entrée gelée, elle pouvait voir au travers des vitres froide les lumières bleux et rouges des girophares de la police, esquissant un sourire, on pouvait voir qu’ils étaient plusieurs voiture et le son d’un hélicoptère pouvait se faire entendre…La télévision se serait-elle inviter sur les lieux ?

Gabrielle esquissa un sourire en voyant des ombres approché de la porte gelée…Face à la petite valisette de son violon, les mains frémissante d’envie, le médecin hurlant à trois mètre d’elle, les yeux explosé et les pieds geler au sol, elle attendait…Patiemment…

« De nouveau camarade de jeu ! »

Un rire enfantin quitta la gorge de la gamine, le genre de rire qu’on aurait pu utiliser dans un film d’horreur…Un rire angoissant…Presque d’outre-tombe.
Elle jeta un œil à Joe…Attendant peut-être une éventuelle instruction de sa part, après tout…C’était lui le maître de ce jeu, lui qui venait de le mettre en place et par conséquent, c’était à lui d’en faire les règles…
Une certaine forme de respect obligeait donc Gabrielle a éventuellement attendre une demande de la part de son compagnon.

Gabrielle était sagement restée seule, observant les personnes présentent avec toujours ce même petit sourire. Personne ne semblait maintenant près à vouloir s'attaquer à elle alors que l'homme qu'elle venait de torturer en lui ôtant la vue et en le collant littéralement au sol grâce à l'azote liquide. Joe s'en était aller, une envie extravagante l'entrainant dans les étages supérieur alors que Gabrielle restait dans le hall, ses yeux tournés sur les portes gelé de l'hôpital. Elle s'en approcha, doucement, observant la fumée légère qui s'en dégageait a cause du froid. Elle alla légèrement sur la droite pour observer par la fenêtre ce qui se passait. Un petit sourire en coin en voyant tout les policiers présent et même le journaux. C'était la première fois qu'elle passait à la télé et cette idée l'enchantait réellement...Même si elle ne passait pas à la télé pour de " bonne " chose. C'est alors qu'une intense lumière l'aveugla, une explosion s'en suivit et Gabrielle cacha simplement ses yeux. Lorsque l'intense chaleur s'estompa elle observa la porte d'entrée à présent complètement détruite et Joe qui s'y trouvait non loin. Elle lui sourit, innocemment, quittant son poste d'observation pour revenir près de lui. Il revint près du nouveau jouet qu'il avait amené, prenant le tuyau de l'azote liquide...

Cours de Chimie organique aujourd’hui, Nous allons voir combien de temps le corps humain peut-il supporter l’azote liquide.

Dans un réflexe purement enfantin face à un spectacle qui lui plaisait, Gabrielle frappa plusieurs fois dans ses mains, comptant alors le nombre de seconde qui passait à voix haute...Le comptant à la manière d'une enfant « Un crocodile...Deux Crocodiles... » et ainsi de suite, ils arrivèrent à six crocodiles avant que la jeune femme meurt, Gabrielle riant de bon cœur. S'agenouillant face au corps de la jeune femme à présent décédé, elle posa le bout de ses doigts sur sa joue, le retirant immédiatement...Son corps était très froid, trop froid pour la petite Gaby qui en fut surprise. Elle quitta simplement des yeux la jeune fille, se relevant, elle se trouvait derrière Joe qui était à présent debout...Et observait quelque chose...

"Ceci n'est pas très propre jeune homme.."

Elle aurait du plutôt dire quelqu'un...Gabrielle ne fit que s'incliner très légèrement sur le côté pour voir de qui il s'agissait. C'était un vieil homme, le genre de vieil homme qui lui rappelait inéluctablement son oncle, l'homme qui n'avait pas hésiter à l'envoyer dans un pensionnat en voyant sa nièce se servir de ses pouvoirs. Il aurait été chrétien et puritain que Gabrielle aurait très certainement fini brûlée vive, accusée de sorcellerie. Fort heureusement, les temps avaient changer mais la cruauté de l'humanité n'avait été qu'en croissance hélas. Toujours derrière Joe, la demoiselle ne bougeait pas, venant même attrapé un pan de la chemise du jeune homme clown. Apeuré ? Pas vraiment, mais comme toute petite fille bien éduquée, elle n'interrompait pas les discussion des grands. Jetant un petit œil en coin, le vieil homme ne semblait même pas l'avoir remarquer. Une étrange sensation étreignant son cœur, elle ne supportait pas ce sentiment, cette impression de ne pas exister, de ne pas être vivante, que personne ne la vois ou ne la remarque. Posant une main sur son cœur, l'autre tenant un morceau de l'arrière de la chemise de Joe se serrait un peu. Il était près du corps de la femme qu'il venait de gelé de l'intérieur, l'observant fermé le yeux de la victime...Pourquoi avait-il fait ça ? Sérieusement, le regard des morts étaient ce qui faisait tout de l'œuvre...

"A vrai dire, je ne m'attendais pas à vous retrouver dans une telle situation. Le profil que vous affichez est plus qu'inquiétant Mr. Kenter. J'en viens même à m'intéresser aux motivations d'un tel acte. Confisquer des vies serait-il un moyen détourné de préserver la votre ? Quel esprit détourné peut-il donc ramener un meurtre aussi répugnant à la prestigieuse cause scientifique ? Et qu'en est-il de ces autres patients ? Combien de temps sont-ils supposés survivre à votre folie maintenant que les installations électriques sont désactivées ?"

Oh si vous saviez… Mouahahahahahah Je souhaite juste montrer que ces batards qui se croient civiliser se mangeront entre-eux à la première occasion. Je fais juste du sociale Hihahahahah

Kenter ? Elle observa Joe...C'était donc son nom...L'homme le connaissait...Gabrielle fit un geste de recul, prête à agir s'il le fallait, pour le moment, tapis dans l'ombre de Joe et jusqu'à présent pas encore remarqué par le vieil homme, elle se tenait prête...

"Un individu comme vous n'a pas le pouvoir de se rabaisser à ce genre de stupidités, d'ailleurs sans en avoir la possibilité, vous n'en avez tout simplement pas le droit. Il est dangereux de se dresser ainsi contre la banalité sociale, votre insouciance finira par vous faire tomber et par provoquer votre propre décès. Il serait préférable pour vous comme pour moi de vous préserver au chaud encore un petit bout de temps. J'ai à vous parler jeune homme. J'ai à vous sauver, j'ai la lourde tache de vous remonter, alors que vous me semblez être descendu bien bas."

Vous me parlez de droit ? Mais vous de qu’elle droit êtes vous ici ? Nous allons tous mourir un jour donc je profite de chaque moment et je ne veux pas avoir de remords mouahahahaha. Ces chiens galeux méritent tous de mourir, Je ne peux plus supporter de les voir car à leurs yeux nous ne sommes que des monstres. Ce monde méritent de voir que les monstres c’est eux qui doivent assumer leur actes. Ce monde mérite une criminalité de 1er ordre et je vais là lui offrir, ce monda brûlera c’est tous qu’il mérite. Ma vie n’a pas d’importance car je ne suis qu’un symbole qui guidera les autres…

Ce genre de stupidité ? Quand savait-il ? Descendu bien bas ? Un sourire mesquin s'afficha sur les lèvres de l'enfant, combien de foi n'avait-elle pas entendu ce genre de discours ? Elle ne supportait pas les dires de ce vieil homme sur l'instant. Ou voulait-il en venir ? Les gens mourraient un jour où l'autre...Et si Gaby et Joe ne savait pas pourquoi ils leur otaient prématurément la vie, eux...Le savait inéluctablement. Tous avait quelque chose à se reprocher ! L'innocence n'existait pas ! La colère montait dans le petit corps de la petite fille, se souvenant de la silhouette de son père pendant dans les airs à l'aide du corde autour de son cou. Cette frustration de ne pas pouvoir se souvenir du visage de celui-ci...Elle se souvint du corps dénudé de sa mère, froid, presque raide, plongé dans une eau tiède et rouge, aussi rouge que le sang qui coulait des orbites de l'homme que Gaby avait torturé quelque minute plutôt...Elle se souvenait...Cette sensation d'abandon, cette manière de ne pas pouvoir choisir quand et comment ils vont mourir...

Ahhhhh… ma tête, Vermine…

A cette annonciation, Gabrielle sortit de ses songes, observant Joe qui se tenait à présent la tête entre ses deux mains, ses gants immaculé se désintégrant légèrement...

Tu prétends donc me sauver avec ces méthodes tu fais donc partie de cette compagnie, Gabrielle aide moi…

Il n'en fut pas plus à la gamine pour quitter l'ombre de Joe, un pas sur le côté suffit à montré l'enfant...Coiffé d'un chapeau haute forme, d'une petite jupette, de bas à rayure, elle observa le vieil homme un long moment...Pensant voir un instant l'image de son oncle, reprenant tout de suite ses esprit...

« Laissez Joe tranquille ! »

Et oui...En si peu de temps, Gaby semblait s'être littéralement attacher au personnage, son originalité, sa manière d'être...Cette façon de voir la vie et de la vivre. Il aimait ses jeux, sa voix, ses gestes, son pouvoir était follement amusant...Il y avait des tas de raisons sentimentale pour laquelle elle se sentait proche de Joe...Mais il n'y avait aucune manière de réellement le décrire

« Dans la vie...Il y a les prédateurs...Et les prédatés »

Toujours cette même phrase qui revenait...Ce mot prédatés entièrement inventé de la bouche de la gamine. Un petit rire raisonna dans la pièce, un rire enfantin, elle tira malicieusement la langue au vieil homme avant de tendre une de ses mains vers celui-ci.

« Comme tu as fait il te sera fait : tes actes te retomberont sur la tête. »

C'était une manière de préciser à Arthur que si ces gens aujourd'hui mourrait de par leur faute, c'était que le destin l'avait décidé ainsi. Gabrielle montrait aussi de part cette phrase qu'elle était doté d'une intelligence croissante. Une élue parmi les médiocres comme l'avait un jour dit son oncle avant de ne découvrir les pouvoirs de sa nièce. A la fin de cette phrase, les fils de Gabrielle se dirigeait droit vers Arthur, brillant, si tout se passait comme prévu, un premier fil transpercerait son épaule droite, le second irait transpercer l'avant bras, un autre lui transpercera la main alors que deux des autres fils n'atteindront jamais leur cible. La douleur serait similaire à celle d'une aiguille brulante intégré dans le corps, traversant celui-ci.

[ Voilà, je précise donc que c'est si « tous ce passe bien » histoire de te laisser éventuellement la possibilité d'arrêter l'attaque de Gabrielle si tu le souhaite Thuthur ^^ ]

Ce vieille homme, pourquoi avait’ il fallut qu’il rencontre Joe dans l’hôpital. Joe restait allongé au sol, la douleur dans sa tête. C’était une expérience très désagréable, que Joe n’avait jamais encore vraiment supporté. Il allait tous détruire pour pouvoir enfin ne plus supporter, ses gants c’était désagrégé maintenant c’était au tour de son corps, c’était le grand bouquet finale de Joe, il allait tout emporter, ce n’était qu’une question de temps. Dieu seul pouvait savoir combien de temps mais la machine était lancée et Joe voulait gagner la partie. Joe petit à petit commencer à ce redresser, il allait tenir tête à son bourreau, il n’avait rien absolument rien contre lui, sa douleur était intense mais il arrivait à en faire abstraction, mais pendant combien de temps. Joe regardait le veillard et du sang commencer à couler de sa bouche.

Je n’ai jamais demandé des faveurs vis à vis de mon statut mais c’est vous qui venez me faire la leçon mais en me tuant vous n’êtes pas plus monstre que moi. Je ne leur rends que la monnaie de leur pièce sans eux j’aurai put être quelqu’un de normal mais vous voulez savoir comment j’ai eu ces cicatrices ? Les hommes sont tous pareils, ils méprisent la différence…Ces pour ça qu’il faut les écrasés comme la vermine qu’ils sont, tous les changements se sont effectués par le sang entre le dominer et les dominants, il est temps d’inverser la tendance.

Tout en disant son discours, la jeune Gabrielle avait tenté en vain de venir secourir Joe, Des fils c’étaient dirigés vers l’étranger mais cette attaque c’était révélé futile, il semblait douer de plus de capacité et jouer avec Gabrielle et Joe comme un enfant avec une peluche. Joe n’avait que très peu de choix qu’il s’offrait à lui céder et laisser vivre Gabrielle, faire exploser l’hôpital mais Gabrielle aurait été victime de sa folie ou bien mourir en tenant tête au patriarche. Ces mains dégageaient toujours une lumière qui ne faisait que s’accentuer, seconde après seconde Joe dégageait une lumière qui ne présageait rien de bien. Joe allait bientôt exploser ce n’était qu’une question de temps. Soudain pourtant il s’arrêta, Joe dessinait toujours son sourire même s’il était moins marqué qu’à l’habitude et la douleur était toujours dans sa tête qui le gangrénée de l’intérieur.

Il faut savoir reconnaitre savoir perdre

Joe restait perplexe, son regard tournait dans le vide, c’était la première fois qu’il avait cette terrible sensation de mal être qui lui parcourrait l’échine. Joe rirait toujours, un jour ou l’autre il aurait sa revanche et ce jour là, il lui fera manger son costume 3pièce dans les règles de l’art, de préférence avec une concoctions de gaz toxique des plus instables.


[désolé manque d'inspiration sur cette situation >< je me rattrape au suivant]

Joe venait de subir une défaite cuisante, il ne pouvait pas fuir pour ruminer dans son coin et préparer sa revanche et exterminer son adversaire non la, c’était autre chose. Il était tombé sur un plus gros prédateur que lui. Il l’avait vaincu avec une telle facilité que cela en devenait presque déconcertant mais il devait forcément lui vouloir quelque chose. Joe fut surpris car petit à petit l’étreinte qu’avait L’Homme sur Joe commença petit à petit à diminuer, Joe put alors se relevait c’était alors une douleur supportable pour lui et la jeune Gabrielle vint se réfugier dans les bras de Joe, qu’il prit dans ses bras tout en la portant et lui caressant les cheveux, Joe lui murmura alors quelque mot.

Tu as fais tous ce que tu as pu, je suis fier de toi, c’est fini maintenant….

Toutes ces paroles sont pleines de promesses mais il y a forcement un prix à payer ? Il y a toujours un prix à payer ?.... Une seconde chance, faite moi rire ca fait déjà longtemps que j’ai déjà usé toute mes cartes, si vous saviez….

Joe commença a allumé une cigarette tout en gardant la jeune demoiselle dans ces bras en repensant au différent massacre qu’il avait fait, aux différents bains de sang qu’il avait organisé. Il avait arrêté de conter ses victimes à la barre des cents, le génocide organisé à Rio, la destruction de lieu de culte,… Joe avait beau partir dans un autre pays, il y avait toujours des morts et Joe en était la cause, il arrivait parfaitement à s’imaginer les séances de torture qu’il avait mené sur des gens innocent.


Heureux… Paix… Je ne trouverais jamais cela. C’est a cause de ma différence et de ces chiens que je suis devenu le monstre que je suis… Vous ne pouvez pas imaginer ce que j’ai fait… Ce que j’ai subi pour devenir ce que je suis et vous me parler de second chance, de paix et de sérénité,… Garder vos salades pour vous, le monde change et il faut des instruments pour le faire changer dans la bonne direction.

Le patriarche évoqua alors le mot de la compagnie, cette dernière qui avait fait rater son plan de New-York,… Des agents qui ont tenté bien des fois de l’arrêter mais avec un succès plutôt mitigé. Cette chose était peut être l’une des seul que Joe était en accord avec lui, il fallait les éliminés, les éradiquer comme une simple maladie.

Je pense aussi que cette compagnie doit être éradiquée telle la vermine qu’ils sont. Ils sont pires que ces humains, ils essayent de nous enfermer pour nous contrôler. Nous ne sommes que des monstres pour elle et nous agissons de manière primitive, cette aspect de ta compagnie me plait bien mais laisser ces bâtards inférieurs qui nous voilent comme des monstres, je ne suis pas convaincu…Mais alors pas du tout...

Joe regarda alors la jeune Gabrielle qui avait tant bien que mal essayer d’aider dans sa progression mais elle n’avait pas réussi à l’aider. C’était plus qu’un jouer pour Joe, il avait adoré s’occuper d’elle durant son court moment qu’il lui avait était impartie et vivre avec une personne tout en s’amusant, il ne pouvait pas continuer comme cela il devait aller se ranger avec un plus grand prédateur et l’inconnu se trouvait être cette personne. Il regardait la jeune fille tout en disant à l’étranger.

Je pense que le destin à effectivement changer mes plans pour moi et je crois que la meilleur option qui s’offre à moi et de me joindre à vous… Cela reste ma meilleure option à ce jour…


Joe jeta sa cigarette par terre tout en éteignant avec son pied la fumée qui s’émanait de cette dernière. Soudain un bruit de voiture de police ce fit entendre, après la destruction de leur confère il avait mit un certain temps avant de revenir sur les lieux de la prise d’otage…