Rien est partout. (Libre)

Le genocide avait changé les regles du jeu pour bien des etres dotés de capacités spécials. Et ces changements ont bien sur affectés les humains normaux. Premierement, l'argent n'etait plus vraiment important dans la ville de New York. Les gens ne travaillaient plus, les services n'etaient plus vraiment nécessaires car les besoins vitaux prenaient la priorité. Vous aussi, vous vous fouteriez de ne pas avoir de paye si vous aurriez des types capables de vous congeler sur place ou de créer des explosions qui n'ont qu'une seule pensée, vous detruire, dans votre entourage. C'est justement pourquoi Terry n'etait pas a son travail presentement. Avec les troubles de la Grosse pomme, la compagnie qui l'avait engagé ( Morisson et Letch Placement Inc.) n'avait pas vraiment de contrat. Pas vraiment besoin d'un maximum d'employé et Terry en profita pour demissionner sans causer une panique total au bureau. Il pouvait donc se consacrer entierement a son nouveau hobbie...

Il etait justement en train de reflechir la dessu tout en marchant dans els rues desertes de Manhattan. La partie encore habitable car la moitié de la semi-ile etait detruite, seulement habité par des criminels surpuissants. Et a cette heure de la nuit, nul n'aurrait aprécié s'y retrouver. Mais le danger etait parfois partout, la corruption guetant les coeur imprudent. Terry n'aimait pas etre vu de tous et lorqu'il vit deux silhouette masculine approcher a la lueur d'un lampadair, il se cacha dans une ruelle.

En se concentrant sur son pouvoir, les perceptions de Terry vola a travers le vide des molecules d'air jusqu'au deux type. Il pouvait les voir, les entendre (et meme les sentir, l'un deux ne connaissant probablement pas les bases de l'hygiene...) comme s'il etait juste a coté d'eux.

-... Mais moi, je dis comme Amir: les humains devraient se rebeller et mettre la menace mutante hors d'etat de nuire!

- Bravo champion! Ca ne rpendrait pas grand chose pour qu'ils nous detruisent! Devine combien de type comme toi sa prendrait pour eliminer un type capable de soulever des voitures par la simple force de son esprit.

Terry comprit qu'il faisait allusion a Sylar. La video qui circulait partout dans le monde du Serial killer en train de diatriber sur la suprematie mutante etait connut de tous.

- De plus, j'ai entendut dire que certain combatent a notre coté! Ils ne son pas tous mechants...

Sur ce, l'autre sortit un couteau suisse de sa poche, en degagea la lame et taillada l'air comme s'il pourfandait des ennemies invisibles.

- Et moi je te dis que c'est pour nous mettre en confiance. Se son tous des pourritures qui doivent etre exterminé. Ils ne sont pas humains! Ils sont cap...

Il ne finit pas sa phrase, restant sur place.

-Sa va mec? T'aurrais pas du prendre tant de came! Sa te brouill...

Lui aussi, il fut interromput. Son ancien compagnon le poingnarda a plusieurs reprise avant qu'il ne tombe dans son propres fluide, au sol. L'autre resta debout, sans bouger puis commensa a danser sans raison. Terry ne etait abassourdit. La drogue etait-elle responsable de ca? Une voie sortant du noir mit fin a se doute.

- Danse ma marionnette! Danse!

Apres quelques secdone, la "marionnette" sauta dans les air puis fit le grand ecart. Au sens litteral car le corps entier se separa en deux, avec comme musique de fond le rire obsedé de la voie. Le responsable sortit de l'ombre. Il aurrait put parraitre normal mais il semblait legerement sociopathe. Terry ne pouvait le laisser se tirer sans payer pour son crime. Il devina son pouvoir, alors il decida de le suivra en silence.

Malheureusement, il fit un peu trop de bruit, le meurtrier se retournant vivement. Pour ne pas attirer les soupcsons, Terry contnua d'avancer comme si de rien n'etait. Pourvu que sa marche...

Dans se quartier de la semi ile personne n'aurait cru trouver deux cadavres d'un un qui était complètement déchiré en son milieux. Après avoir tué les hommes, Carl crampa de rire.

-Il ne faut jamais que les puppets, insulte le puppeteer!

Carl avait cette manie de souvent dire marionnette en anglais. Il regretta d'avoir fait, faire le grand écart à sa marionnette, car ça prenait énormément d'énergie. Il était assez faible en se moment il avait assez de forces pour marcher, mais s'il fallait qu'il contrôle un autre corps humain, il aurait à coup sur aucune chance d'avoir le control parfait de sa marionnette. Il quitta la scène du crime en marchant comme s'il venait à peine de sortir d'une maison. Carl entendit son poursuiveur et se retourna d'un coup sec.

-On suit le pupeteer?

Carl leva la main droite en faisant comme s'il s'adressait à un enfant en faisant non avec l'index.

-Pourquoi suis tu le marionnettiste petite puppet?

Terry en essayant de ne par se faire déjouer feint de ne pas savoir de quoi L'homme parlait et continua a marcher e en répondant d'une voie calme.

- Je sais qu'on vit des temps dur, mais on a plus le droit de marcher sur un trottoir sans avoir a s’expliqué sur sa direction? Si vous voulez vraiment savoir, je ne vous suis pas je me rends simplement à mon travail c'est tout.


-Hmmm!?

Carl avait de la misère à croire à cette histoire, il savait que trop bien, que la plus part des gens n'avaient plus d'emplois du à l'exploit de Sylar.

- Bien, alors ... au revoir!

Il traversa la rue en gardant un oeil sur l'étranger. Carl lui avait laissé les bénéfices du doute, ce qu'il ne faisait pas souvent pour quelqu'un qu'il ne connaissait pas. Il entra par la suite dans un petit restaurant ou il se vit obliger de commander un café de façon normal, du au grand écart qu'il avait orchestré plus tôt. Il en profitât pour se reposer et récupérer un peut en même temps.


Terry le suivit plus subtilement, il entra dans le petit restaurant et se cacha le visage derrière un journal. Il s'assit a une table d'où il pouvait observer l'homme qui semblait prendre chaque être vivant comme une simple marionnette, qui ne valait pas plus de considération qu'un jouet.

- Voulez-vous faire réchauffer votre café?

- Oui! Avec plaisir!

La serveuse remplit la tasse, qui était sur la table, de café frais. Carl semblait prendre plaisir à voir la serveuse le servir sans qu'il ait besoin d’utiliser ses pouvoirs. Il mit les sept cubes de sucre et les quatre laits dans son café, pour que celui-ci devienne buvable et il en prit une gorger.

La seconde qui separa la reponse de Terry de la réaction de l'inconnu lui parut interminable. L'assassin finit simplement par lui dire au revoir sur un ton loin d'etre convaincu et partit en jetant de temps a autre de petits regards par dessus son épaule. Terry ne put s'empecher de pousser un soupir. Il avait reussi a éloigner ce malade. Malgres tout, le type semblait ne semblait pas croire a son subterfuge et sa pouvait etre dangereux de le suivre. Tout en continuant sa route, Terry surveillait sa "proie". Il fut heureux de la voir entrer dans un café tres typique new yorkais. Il venait d'avoir une idée!

Terry entra de facon tres anodine, sans etre trop rapide ni trop lent. Au plus tot, il s'assit a une table et prit un New York Times pour cacher son visage. Rien de plus normal dans la megapole! Des qu'il fut un peu plus calme, le jeune mutant fut titillé par l'effluve de café qui flotait autours de lui. Terry n'avait jamais été bien mechant, n'avait jamais touché a la drogue. Mais la cafeine, quel miracle! Il en était accro depuis qu'il etait entré dans la comptabilité. Lorsque la serveuse lui demenda s'il en voulait un, il ne put s'empecher d'aquiescer. Il rapporta imédiatement son attention a l'inconnu, qui semblait épuisé...

(HJ: C'est tout se que j'ai... Est-ce qu'on rend sa libre, me semble que ça serait plus palpitant avec un ou deux autre participants. Et en plus, je serait obligé d'etre actif! ^^'

T'en pense quoi?)