Le bon samaritain [ Terminé ]

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Après quelques minutes de marche dans les décombres de la ville, Roy traversa une grande partie de New York sans s'en rendre compte réellement. En revanche, au cours de sa traversée, il sentit qu'on l'épié, il s'agissait certainement des personnes qui avait survécu, ou qui était venu ici pour retrouver leur proches, mais qui préférait resté cloîtré chez eux dans la crainte de voir Sylar et ses sbires arrivait pour finir le travail. D'ailleurs que pouvaient-ils bien pensé d'un homme seul qui parcoure la ville en ruines ? Aucune bonne réponse ne pouvait leur permettre de s'aventurer là ou le risque était le plus important. Quant à Roy, il souhaitait, bien entendu, les aidés, dans la mesure du possible, mais comment pouvait-il le faire s'il ne voyait personne, il n'était pas voyant... Donc, il continua son chemin, et tout à coup il entendit des bruits de pas se rapproché de lui, des bruits de pas, suivit de sanglots, il se retourna et vit une jeune fille arrivait vers lui en pleurant. Arrivée à sa hauteur, elle tenta de dire quelque chose, mais entre les pleures et le choc qu'elle avait du avoir, il ne comprit pas grand chose à ce qu'elle tentait de lui dire puis elle lui prit la main et le conduisit où elle souhaitait qu'il se rende. Roy se laissa guidé, tout en étant légèrement intrigué par son comportement, mais une fois quelques pas fait, il comprit ce qui la poussait à agir ainsi, en effet il vit un petit garçon qui devait avoir une douzaine d'années écrasé sous un échaffaudage. Roy commença à enlever les débrits qui ensevelissait le garçon, il arriva sans problème à enlever le plus gros, et le garçon tenta de se lever pour rejoindre la fille, qui semblait être sa soeur, mais son pied droit était toujours coincé sous une grosse poutre. Roy lui dit :

" Ca va allé, tu peux te dégagé ? "

Mais le garçon fit un non de la tête, Roy tenta, alors de le dégager mais cette dernière était bien plus lourde que les autres. Roy prit une barre de fer dans la main et dit aux deux jeunes personnes :

" Bon, je vais faire levier avec ceci, quand je vous le direz, tu enleveras ta jambes, ok ? "

Ils approuvaient et se mirent en position, Roy planta la barre de fer à quelques centimètres du pied du garçon et prit une profonde respiration, à la seconde, il leva la poutre qui bloquait le pied et fit signe aux deux autres pour qu'il l'enlève, ce qu'ils firent sur le champ. Roy fit retombait la poutre à son état d'origine et lâcha la barre de fer. Et tout en reprenant son souffle, le garçon lui dit :

" Merci de m'avoir aidé... et désolé pour ma soeur mais ma famille vient d'arrivé ici et ne maitrîse pas encore bien votre langue. "

Il avait un très fort accent russe ou polonais, enfin un accent de cette région, Roy le regarda et lui répondit :

" Pas de problème... Vous devriez vous dirigés vers l'hôpital, il ne devrait pas tarder à être remplit de médecins du pays, et si j'étais vous, je partirez loin d'ici, il n'y a plus rien que le danger dans le coin. "

Le garçon fit un signe positif de la tête suivit d'un sourire de remerciement, puis il prit la main de sa souer en lui bredouillant quelque chose dans leur langue. La fille vint jusqu'à lui et dit :

" Merci... Merci. "

Roy afficha un sourire, puis elle partit, entrainé par son frère. Roy les suivit du regard pendant un moment puis il s'assit sur les débrits un instant pour se reposer.

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Violette marchait.
Enfin, marchait, c’était beaucoup dire, pour plus de précision, on pourrait dire qu’elle avançait ,juchée sur une paire de talons compensés de 15 centimètres et qu’elle tentait de ne pas tomber. Sans pour autant que cela veuille dire qu’elle ne savait pas marcher en talons, seulement, la rue n’était pas très stable (  Bonne Excuse pour admettre qu’elle n’a pas l’habitude des talons ^^). Pour combler le tout, deux mioches lui foncèrent dessus, la renversant au passage ! C’était le comble ça tout de même … Un jeune garçon se prostra devant Violette pour l’aider à se relever en lui tendant une main secourable. Elle lui prit la main mais se releva toute seule, estimant que sa carrure était bien trop difficile à soulever pour un gosse de cet âge.

' Merci mon Gars ! '

Lui dit-elle gaiement dans un des sourires ravageurs dont elle avait le secret .
Le petit garçon et la jeune demoiselle qui l’accompagnait reprirent leur route eux aussi. Elle continua son chemin et s’arrêta brusquement pour regarder son reflet dans un morceau de miroir cassé appuyé contre un mur ; sa tenue n’avait subit aucun dégât l’ors de sa chute : Ses cheveux rose et blonds platine étaient toujours lisses et rassemblés par une grosse mèche devant son œil droit, son tee-shirt moulant rouge sang retombait toujours sur ses hanches fines et son pantalon en cuir noir n’était pas éraflé.
Même ses gants en latex n’avaient rien. Sans en avoir l’air, ces gants étaient la partie la plus importante de son habillement, en effet, ces gants étaient très longs (ils lui remontaient jusqu’aux aisselles) et comportaient de petits trous sur le bout des doigts. Bref, elle continua son chemin et tomba nez à nez avec un homme qui avait l’air particulièrement essoufflé et à bout de force. Comparé à certains « clients » que Violette avait en tant qu’agent des pompes funèbres, il avait l’air en forme.

‘ M’sieur, ça va ? Vous Avez Besoin D’aide ?’

Lui dit-elle, s’approchant de lui

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Tandis que Roy reprenait son souffle peu à peu, il regarda autour de lui s'il n'y avait rien à boire près d'ici, mais à part l'océan, il ne vit pas vraiment ce qu'il recherché. Il attendit que sa soif s'étanche d'elle même mais bon, ce n'était pas vraiment une solution, néanmoins elle pourrait peut-être se retenir le temps de trouver quelque chose de buvable ici. Soudain il fut sortit de ses pensées par une voix féminine, il leva la tête en direction de cette voix et vit une jeune femme se dirigés vers lui. Il regarda brièvement autour de lui pour voir si elle s'adressait bien à lui, et comme il n'y avait personne d'autre, il sut que c'était bien à lui qu'elle s'adressait. Il répondit, alors à sa question :

" Non merci, ça va allé je penses, je souffles un peu avant de reprendre ma route. Mais dîtes-moi, qu'est-ce qu'une jolie créature comme vous vient faire ici ? Cela ne me sembles pas très approprié de s'aventurer dans les parages, à moins que... "

Il laissa un blanc dans sa phrase, et tout en essayant de se reprendre après son effort, il tenta de deviner qu'est-ce qui pouvait bien entraîner une jeune fille ici, si ce n'est l'annonce de Sylar, sur le coup il eut peur qu'elle se révéle bel et bien être un de ses agents, mais en même temps, il ne pensait pas qu'une telle personne qui semblait remplit d'espoir et de gentillesse ait un fond si mauvais, sans s'interrogeait d'avantage sur cette jeune inconnue, il attendit qu'elle réponde à sa question. Et réalisant qu'il ne connaissait même pas son nom, il bredouilla des excuses pour se faire pardonner.

" Oh, excusez-moi, je ne me suis même pas présentait, je m'appelles Roy, Roy Brook, pour vous servir, a qui ai-je l'honneur ? "

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" Non merci, ça va allé je penses, je souffles un peu avant de reprendre ma route. Mais dîtes-moi, qu'est-ce qu'une jolie créature comme vous vient faire ici ? Cela ne me sembles pas très approprié de s'aventurer dans les parages, à moins que... "

Les Joues de Violette s’empourprèrent, « Jolie Créature » ,c’était bien la première fois ! =D !
Les « à mois que » en revanche ne signifiaient jamais rien de bon . Elle s’approcha de l’homme et alla s’asseoir à coté de lui avant de lui répondre

‘‘ Je connais bien le quartier, j’ai grandi ici ..’’

Elle réfléchit, ci cet homme avait l’air si affaibli, c’est qu’il y avait dû y avoir une bagarre ou quelque chose dans ce style. Avant qu’elle ait eut le temps de lui poser la question, l’homme enchaîna:

" Oh, excusez-moi, je ne me suis même pas présentait, je m'appelles Roy, Roy Brook, pour vous servir, a qui ai-je l'honneur ? "
‘’ Violette Moore !Ne vous excusez pas, ça ne fait rien ’’

dit elle,souriante, en se retenant de lui tendre la main . En effet, si jamais elle avait commis cette maladresse, le pauvre Roy serait en train de se tordre de douleur à l’heure qu’il est . Elle parvint donc enfin à lui poser sa question

’’ Que vous est-il arrivé pour que vous soyez dans un tel état ?’’

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La jeune inconnue se présenta à son tour :

’ Violette Moore !Ne vous excusez pas, ça ne fait rien ’’

" Ravi de faire votre connaissance. "

Enchaina-t-il, puis Violette lui présenta un sourire sincère, certainement heureuse de trouver quelqu'un en ces lieux. Puis il remarqua qu'elle semblait se retenir, pour le moment Roy n'y prêta pas plus attention, après tout, plusieurs hypothèses valables pouvait expliqué ce comportement, mais il était loin de se douter de la réelle raison à ce problème. Violette avait remarqué l'état dans lequel Roy se trouvait et lui posa directement la question sur son attitude.

’’ Que vous est-il arrivé pour que vous soyez dans un tel état ?’’

" Oh ce n'est rien, c'était simplement quelques personnes qui avait besoin d'aide, et vu que l'endroit ne grouille pas réellement de monde, je me suis tout simplement proposé. "

Bon les choses ne s'était pas vraiment passé comme il disait, mais il ne sentait pas que des explications plus approfondis intéresserait la jeune fille, et Roy n'était pas trop vantard, non, ce n'était vraiment pas sa tasse de thé, alors il fit abstraction de l'aide qu'il avait apporté au jeune garçon pour le tirer d'affaire et l'aider, lui et sa soeur.

" Puisque vous connaissez le quartier, ca ne vous dérangez pas de me montrer un endroit ou je puisse boire quelque chose de frais, c'est que j'ai énoremément soif, en fait. "

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‘‘Avec Joie !j’en serait ravie’’

Dit Violette, tout sourires ! Elle remonta donc l’avenue avec Roy, tout en faisant signe à certaines personnes qu’elle avait vaguement connu, et discutant avec ce dernier de choses et d’autres. Ils arrivèrent tous deux à un petit bistrot, assez class’.

‘‘ On ne trouvera pas mieux dans le coin, c’est le meilleur bar qu’on ai par ici ! ’’
Ils s’assirent à une table du bar, puis, alors qu’ils commandèrent, une voix appela Violette

‘‘ - Hey, Vio’ ! Je suis bien content de te revoir !

- Ah, Abe ! s’écria Violette, soudain emprunte à une expression excédée sur le visage.Il s’agissait d’Abraham, un ami de son père. A chaque fois qu’il la voyait, il ne pouvait pas s’empêcher de lui poser des questions hyper embarrassantes.

- Alors Violette, on revient du côté de ses racines ? Bonjour Monsieur

- dit Abraham, s’adressant à Roy. puis, le vieil homme se tourna vers Violette avec un air entendu

- Ne t’en fait pas Violette, je ne dirai rien à ta mère … Puis son regard s’attarda sur Roy, et il sourit .La jeune femme quant à elle ,préféra ne pas le détromper, rien ne l’agaçait plus que Abraham persuadé d’avoir raison ! Elle se contenta de sourire

- Ma petite, ça m’a fait plaisir de te rencontrer ici ! Et ne t’en fais pas pour ton ami ! je resterai muet.’’

L’homme sortit du bar, Violette, affreusement gênée se tourna alors vers Roy

‘‘ Excusez moi. Abraham est toujours convaincu de dire vrai, si seulement il savait … ‘’ Ajouta-t-elle en riant à moitié …

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Violette fut enchantée de pouvoir lui servir de guide, lui permettant ainsi de remplir le besoin que Roy ressentait le plus à ce moment. Roy, accompagné de sa nouvelle partenaire se dirigaient vers une avenue, qui semblait moins meurtris, et où la vie semblait ne pas avoir été totalement effacé puisque sur le chemin ils rencontrèrent des personnes qui ne semblait pas avoir trop souffert de l'explosion ; d'ailleurs, ces dernières semblaient avoir déjà rencontré, plus ou moins bien, Violette puisqu'elle leur fit signe à certaines d'entre elles. Enfin, Roy aperçut un petit bar qui paraissait assez classique de l'extérieur, mais après avoir passé l'entré, on aurait pu croire voir affaire avec un tout autre genre de bar. Après une inspection rapide du regard de l'établissement, il vit quelque personne, qui devait être probablement des pilliers de bar, près du comptoir et trois personnes assises dans un coin.

‘‘ On ne trouvera pas mieux dans le coin, c’est le meilleur bar qu’on ai par ici ! ’’

Roy arrêta là son inspection, ça devenait une vraie manie chez lui de toujours tout connaitre là où il allait, et ça pourrait paraître vexant pour quelques personnes si elle s'en étés rendues compte. Violette se dirigea vers une table, suivit par Roy, et s'assirent à celle qu'elle avait choisis. Soudain une voix retentit distinctement dans la salle :

‘‘ - Hey, Vio’ ! Je suis bien content de te revoir !

Roy se retourna pour voir qui s'adressait à Violette et il vit un homme âgé. Il laissa la conversation se suivre et salua le vieil homme lorsque celui-ci le fit en premier. Il vit bien que la conversation avait pour but de mettre mal à l'aise la jeune fille et Roy se contenta d'un sourire enchaîné d'un petit rire moqueur, lorsque Violette s'excusa pour l'attitude d'Abraham.

" Ce n'est rien, je connais un peu ce genre de personne et il m'arrive à moi aussi d'avoir ce genre de comportement parfois. "

Puis revenant à ce qui l'avait amené ici, il dit au barman :

" Barman, s'il vous plaît, j'aimerais de l'eau glacée, service oblige... "

Se retournant vers Violette il lui demanda, sans réellement faire attention aux paroles qu'il avait prononcé :

" Et pour vous, ce sera... Allez-y, c'est moi qui offre... "

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‘‘ Trop aimable, dit la jeune femme, eh bien ce sera une menthe à l’eau, s’il vous plaît’’
La curiosité naturelle de Violette (qui n’est pourtant pas très curieuse) fut attisée par le « service oblige » prononcé par Roy un peu plus tôt. Dans l’esprit de cette dernière, il émergea des idées plus assez étranges selon lesquelles Roy pourrait peut-être faire partie lui aussi de l’O.W.I. Elle regarda s’éloigner le serveur et lui demanda de but en blanc, pour crever l’abcès tout de suite

« Service ? Pour votre métier je suppose … Je ne savais pas que j’avais affaire à un agent de police »
Dit elle ! A ce moment précis, Violette pensait faire âne pour avoir du son, et dans sa tête, il ne pouvait être autrement que ce qu’elle s’imaginait ! C’était bien là un triste défaut que d’avoir une imagination trop débordante. Elle croisa les jambes sur son siège et étira ses doigts dans ses gants en latex qui lui tenaient de plus en plus chaud à présent. Tout ce qu’elle pouvait espérer pour remédier à cela c’est que sa menthe à l’eau soit pleine de glaçons. Cela faisait tout de même un bon moment qu’elle n’avait pas eut de nouvelle de l’organisation chargée de retrouver les Heroes, elle commençait sérieusement à s’inquiéter. L’explosion avait chamboulé bien des choses et si même l’organisation ne s’en était pas remise, alors comme les pompes funèbres où elle travaillait allaient pouvoir relever la tête. Elle regarda son vis-à-vis de ses yeux marrons et se demanda quel étrange secret il pouvait bien cacher,sans pour autant le regarder avec insistance, ce qui aurait pû le mettre mal à l’aise et elle ne souhaitait pas cela ! A vrai dire,que ce soit dans un de ses métiers comme dans l’autre, elle n’avait jamais l’occasion de rencontrer des personnes aux abords aussi sympathiques

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Violette fini par choisir une menthe à l'eau et en attendant que le serveur vienne leur apporté leur commande, elle lui posa une autre question :

« Service ? Pour votre métier je suppose … Je ne savais pas que j’avais affaire à un agent de police »

En vérité, il n'était pas du tout de service puisque son dernier client s'était volatilisé après l'explosion de New York, ce n'était qu'en fait, rien d'autre que l'habitude qu'il avait prise lorsqu'il était dans ce genre d'endroit, et cette habitude avait fini par lui être automatique, sans qu'il ne s'en aperçoive. Mais bon, maintenant la question était posée et tout en s'interrogeant à ce qu'il allait répondre, il accorda, un peu trop vite toutefois, sa confiance à Violette et lui répondit :

" Oups, désolé, en réalité, dans mon métier je veux dire... Enfin bref, pour répondré à votre question : non, pas exactement, mais ce n'est pas entièrement faux non plus puisque je suis détective, bien qu'en ce moment même je ne suis rien d'autre qu'un simple citoyen... "

Il s'interrompa un instant puisque le serveur vint leur apporté leur boisson, Roy remercia le serveur et bu aussitôt de grosse gorgée d'eau qu'on venait de lui apporter. Pendant ce temps, Violette semblait attendre la suite de ces propos et une fois sa soif étanché, il reprit :

" Excusez-moi pour cette interruption, je disais donc... ah oui voilà, je suis actuellement sans commanditaire, et ça ne risque pas d'arrivé vu l'état de la ville actuel. Mais bon, pour en revenir à ce que vous disiez, j'aurais certainement aimé être agent de police, mais dans ce cas, j'aurais du faire des choses dont je ne partage pas vraiment les opinions, donc j'ai choisis la voie facile, bien qu'elle ne soit pas si facile que ça, mais bon, au final je peux me permettre de choisir ce que je fais et ce que je ne veux pas faire. Au fait arrêtez moi, à l'avenir si je parle trop, il m'arrive par moment de devenir un vrai moulin à paroles, c'est que ça ne paraît pas méchant au premier abord mais monopolisé une conversation, surtout autour de soi-même et assez égocentrique, voir même narcissique, ne trouvez-vous pas ? Enfin, pour moi, je n'apprécie pas beaucoup ces personnages, alors n'hésité pas à m'interrompre si sa se produit. "

Après ces dernières paroles, il bu le fond de son verre tout en recommandant la même chose. Puis il reposa son verre sur la table et il regarda droit dans les yeux Violette, il avait oublié de remettre ses lunettes droit devant lui depuis un moment, combien de temps cela faisait-il, il se le demanda bien mais en essayant de se le rappelé, il eut subitement une migraine venu d'on ne sait où, sans s'interrogé plus attentivement à cette épisode, il ferma les yeux un instant, et dit à Violette :

" Bon allé, assez parlé de moi, dites-moi, et vous alors, qu'est-ce que vous faisez dans la vie ? "

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Détective, ainsi donc, Roy était détective. Violette l’écouta attentivement, tout en sirotant sa menthe à l’eau.

‘‘ Ah, fini-t-elle par dire après une longue gorgée de menthe, c’est sûr que le travail n’est pas facile à trouver, croyez moi ça touche tous les corps de métiers, dit la blonde/rose en souriant. Même ceux à qui on pourrait croire que ça profite le plus se retrouvent en congés payés. ‘’En effet, après l’explosion, toutes les personnes de son entourage avaient étés « ravis »pour elle. Selon eux, le nombre de morts ayant été catastrophiques, ils pensaient que les pompes funèbres allaient regorger de familles en pleurs venant faire incinérer (ce qui aurait été d’un humour plus que douteux =D) les êtres qui leurs étaient les plus proches. Seulement voilà, deux raisons s’opposaient à ce chiffre d’affaire miraculeux : Les survivants étaient plus que rares, et les familles survivantes l’étaient encore plus (c’est d’ailleurs pour cela que Violette se posait de sérieuses question sur le reste de sa famille encore intact !), de ce fait, peu de gens venaient les voir pour des obsèques, et les corps était enterrés pour la plupart dans la fosse commune du cimetière. La deuxième raison était que la boutique était complètement détruite..

‘‘ Ne vous en faîtes pas, vous ne me semblez nullement égocentrique ou même narcissique. Moi aussi j’ai un peu de mal avec ce genre de personne … ’’
Violette bût une gorgée de son eau. Comment expliquer à quelqu’un qui a un travail aussi intéressant que Détective qu’on est croque mort ? Quand à son travail avec l’OWI, Violette préféra ne même pas penser à en parler

‘‘ Euh, disons pour faire court que je suis l’avant dernière de 14 enfants, que j’aurais pût faire des grandes études ci mes 13 frères ne m’avaient pas..Comment dire… entraînée sur la mauvaise pente, sourit-elle, et donc j’ai quitté ma famille très tôt, et donc je suis actuellement une croque mort en congés payés pour cause de rénovation de boutique, ou reconstruction si vous voulez mon avis ! Rie de bien passionnant quoi."

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Tout en écoutant ce que disait Violette, il prit le second verre qu'on lui tendait, et le serveur en profita pour ramasser celui qui était vide, et le bu, mais cette fois plus lentement. Sa soif s'étend, pour le moment, apaisé, il pouvais boire plus lentement désormais. Il entendit alors, que Violette travaillait dans les pompes funèbres et fut très surpris à cette annonce, d'ailleurs il laissa échappé sa surprise.

" Comment ? Vous êtes employé aux pompes funèbres... Pardonnez mon étonnement mais j'aurais cru à tout sauf à ça. Et, sans être irrespectueux envers les établissements funéraires ainsi qu'à votre personne, vous n'avez jamais tenté de vivre autre chose ? Je vous le dis, cela n'a rien à voir avec vous, mais bon, admettez qu'il est assez étrange de voir une personne comme vous travaillé dans ce domaine. En même temps, quand on parle d'entreprise funéraire j'ai une vieille image qui m'apparait ou je vois un vieux bonhomme qui, passé-moi l'expression, s'ennuit à mourrir. "

Il lui répondit cela dès qu'elle eut fini de termina sa phrase, mais bon comment pouvait-il se permettre de juger quelque chose dont il n'avait, a priori, aucune connaissance, certe ce métier ne devait pas être aussi exaltant qu'il pouvait pensé, mais des personnes en vivait bien, et même agréablement bien pour certain d'entre eux. Enfin bref, il préféra ne rien ajouter, plutôt que de dire des conneries, il se les gardait pour lui-même. Et alors qu'il ne s'en était même pas rendues compte, son regard s'était arrêté dans les yeux de Violette qui avait aussi ses yeux figés, en fait sans qu'il ait sentit quoi que ce soit, son pouvoir s'était manifesté sans aucune volonté de sa part tant il était dans ses pensées. Son pouvoir hypnotique avait lentement percé l'esprit de sa camarade et l'avait soumise à sa volonté, il finit par le remarqué lorsque celle-ci afficha sur son visage une expression de vide. Aussitôt, il tourna la tête sur le coté, pour rompre le lien et chercha dans ses poches les lunettes noires, qui d'habitude caché sa vue. Une fois attrapé, il les saisit et les posa aussitôt devant ses yeux. Aussitôt il se leva et sortit rapidement du bar avant que Violette reprenne ses esprits.

* Et maintenant où vais-je ? Pourquoi fuir ? Ai-je si peu confiance en moi-même, dans ce cas, autant me tirer une balle dans la tête, car fuir, ce serait abandonné mes principes et jusqu'ici, j'ai toujours su les respecté et puis je dois quelques explications à Violette après tout... Alors... *

" Bha, alors demi-tour... "

Roy commenca à faire machine arrière, il se retourna tout en se demandant ce qu'il s'était bien passé pour qu'il n'ait rien su de ce qui se passé.

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Alors qu’elle s’apprêtait à répondre que le vieux type qui semblait s’ennuyer a mourir,c’était son patron ,Violette fût soudain prise d’une étrange sensation,comme ci sa tête venait de se vider d’un seul coup, que tout ses souvenirs,ses connaissances s‘en étaient allées, sans même prévenir. Son esprit semblait plus vide que son verre à présent et une affreuse chaleur la submergea jusqu'à la gorge, accompagnée d’un tournoiement. Quand ce qui ressemblait fort à un malaise se fut dissipé et que Violette recouvra a peu près ses esprit , elle se sépara de ses gants(non sans mal),pensant que c’était ce qui venait de provoquer son malaise,et vit Roy Derrière elle,qui apparemment s’était levé ,elle redressa la tête,tandis que des personnes l’observaient,elle s’éventa avec ses gants,les yeux toujours un peu dans le vague .

*Mais qu’est ce qui m’arrive, nom d’un chien, je n’ai pas l’air cruche moi maintenant *
Elle approcha de son front son verre qui était encore un peu froid a cause des quelques glaçons qui restaient au fond et se rendit compte de la drôle expression qu’affichait le visage de son camarade, il semblait gêné par quelque chose, mais quoi, Violette n’avait pas encore assez recouvré ses facultés mentales (^^) pour y songer. Elle attrapa un serveur qui passait par là, afin de lui demander des glaçons, ou même de la glace pilée qu’importe, mais a la grande surprise de Violette, qui était rappelons le, a moitié groggy, le jeune homme se mit à hurler sous la douleur ; ce qui acheva de réveiller correctement Violette qui se confondit en excuses, laissant croire au garçon de café qu’elle lui avait simplement mit un coup de jus, comme ça arrive a plein de monde. Sans plus penser à son malaise, elle ré enfila ses gants et se prit la tête entre les mains.

Invité

Tandis qu'il rebroussait chemin, il entendit comme un hurlement venant du bistrot dans lequel l'avait mené Violette, il y a peu. A peine eut-il franchie l'entré, qu'il vit un serveur avec une expression horrifié en direction de Violette. Au début, Roy pensa que c'était à cause de ce qui venait de se dérouler mais, le serveur ne lâchait pas ses yeux de la jeune fille qui s'était mis les mains sur la tête comme si une migraine venait de la frapper, en quelque sorte c'était à peu près ce qui s'était produit. Roy se réinstalla en face de Violette et attendit que le calme reprenne un peu dans le bar. Après un long silence où tous les regards étaient braqués sur eux, les personnes présentes reprirent leurs discussions. Néanmoins, certains d'entre devait surement parlé de ce qui s'était produit, puisque, certains regards furtifs se dirigeaient vers eux de temps à autre. Laissant cela de côté il regarda Violette, et maintenant qu'il avait mis ses lunettes, il pouvait être sur que ça ne se reproduirait pas et, il lui dit :

" Je suis désolé... Je vous ai caché quelque chose en fait, il est temps que je vous le révéle maintenant, avant qu'un autre accident ne survienne. "

Il parlait clair et distinctement, de façon à ce qu'il ne soit pas obligé de répéter ces choses, le savoir était une chose, le dire en était une autre après tout. C'était, donc, dans ce but qu'il s'exprimé intelligiblement, bien que de cette façon, les quelques curieux qui tendaient l'oreille pouvaient aisément entendre ce qui se disait, mais cela, d'abord il n'y pensa pas, et ensuite, c'était une chose dont il était temps de se débarasser ; porter un fardeau de cette nature devait être très embêtant pour ceux qui le cacher, et avec les événements qui s'étaient produits, annoncés ce genre de choses en publique pouvait paraître comme de la démence et pouvaient engendrés d'horribles conséquences, mais bon, son choix était fait désormais, et sur le moment, il abandonna son destin en révélant la vérité.

" J'ai... J'ai un don, enfin un don, disons plutôt un... pouvoir particulier qui me différencie des autres assez distinctement. "

Laissant le temps de digérer la nouvelle à Violette, il ajouta après quelques secondes d'interruption.

" Je peux soumettre les personnes à ma volonté par simple regard, comme ce qui s'est produit tout à l'heure, une fois ceci fait, je peux les contrôlé mentalement. Malheureusement je ne le maîtrise pas encore parfaitement... Et c'est de cette manière que, sans m'en rendre, je vous ai hypnotisé. "

Il avait dit ce qu'il avait sur le coeur, et ce fut pour lui, comme un poids qui disparaissait, il se sentit mieux au fond de lui-même, il avait rencontré peu de personne qui possèdait ce genre de capacité, et se confié à une personne tout à fait normal, du moins c'est ce qu'il pensait jusqu'à maintenant. Mais alors qu'il attendit de voir les réactions de Violette, il entendit une voix grave et criante, venir de derrière lui, et qui hurlait :

" C'est un monstre... C'en est un.... il en fait partis, comme Syl... "

Ne laissant pas le temps à la personne qui hurlait de finir sa phrase, Roy, qui s'était levé, regarda calmement la personne tout en ne faisant aucun mouvement brusque. Et restant immobile, il coupa la parole à ce dernier :

" NON ! Je n'ai rien à voir avec Sylar et ses monstrueux plans concernant ce monde, au contraire, je pense même qu'il est juste que nous cohabitions, encore faudrait-il que ce sentiment soit réciproque ? Mais sachez que nous ne sommes pas tous comme lui, il existe, bel et bien des personnes ayant des facultés insoupçonnés qui nous entoure, et si votre réaction est de les voir mourrir alors allez-y, je vous abandonne mon sort dans ce cas, en espèrant que ma mort puisse faire disparaitre le chagrin que vous avez, mais pensé à ceux-ci, que feriez-vous si votre père, votre mère, votre époux ou épouse ou encore vos fils était affublés d'une capacité de ce style, le tueriez-vous lui aussi, le sacrifieriez-vous sur l'autel de la peur et de l'anormalité ? "

Roy savait qu'il avait mis sa vie en jeu, c'était quitte ou double maintenant, soit ces personnes faisaient appel à leur bon sens, soit ils mettaient leurs sentiments de côtés et dans ce cas, il écrivait le dernier chapitre de son histoire. Il regardait les personnes, elles semblaient assez désorientés, et personnes ici ne semblait savoir comment réagir. Roy n'osait plus bougeait en attendant leurs réactions, ainsi que leurs décisions, il ne savait pas non plus ce que ressentait Violette à ce moment là, mais il n'osa même pas tournait la tête pour voir ce qui pouvait se lire dans ses yeux. L'ambiance était mort, malgré les personnes qui étaient présentes, et on attendit que l'un d'entre eux parle le premier, en réponse à Roy, qui sait ce qui allait se passé, et si sa se trouve, la réponse viendrez de derrière lui...

Invité

L’intervention de cet homme qui semblait croire que Roy était semblable à Sylar acheva de décontenancer cette pauvre Violette qui essaya de rassembler les petits bouts du puzzle qui se tenait en quelque sorte sous ses yeux pour le moins ébahis : Roy était un Heroes, un de ces mêmes Heores qu’elle était sensée ramener à l’organisation, pour résumer un être pourvu de capacité, tout comme elle. Elle n’en revenait tellement pas qu’au lieu de couper sa chique à l’homme qui accusait Roy de la sorte, ce qu’elle aurait fait sans même avoir a y songer, elle resta là assis, à réfléchir, allait-elle lui dire qu’elle était de par son métier, obligée de l’emmener sans aucuns doutes de force ou devait-elle fermer les yeux ? Depuis qu’elle bossait pour la compagny, elle n’avait jamais faillit a aucune de ses missions et frôlait même le « petit soldat »comme disait son père (qui n’était bien sûr au courant de rien mais qui la voyait déjà agir à son autre travail). Ainsi était-elle faite : sa dévotion allait au-delà de ce que les gens espéraient, et de ce qu’elle-même voudrait donner par moments. Soit elle était profondément ennuyée par ce qu’on lui demandait de faire et elle y mettait la plus mauvaise volonté du monde,soit cela la consumait jusqu'à ce qu’elle y soit admirablement parvenue ( C’était le cas pour son travail au seins de l’OWI ,elle pensait accomplir là une petite action pour rendre le monde meilleur ) .Là,en l’occurrence,elle ne voulait en aucuns cas livrer Roy à l’OWI , de toutes façons,se dit elle en elle-même, l’heure n’était pas à tergiverser,elle verrait bien quand le moment se présenterait si elle lui dirait ou pas . Elle se leva,non sans mal,tout en étant observée par tous les clients du bar ,et pris la parole d’une vois à moitié éteinte(elle n’avait jamais été très douée pour s’exprimer clairement devant une foule dont elle savait les avis contraires aux siens ..) :

‘‘ Pourquoi parlez vous sans savoir, cher monsieur. Seul ceux qui sont sûr de ce qu’ils avancent peuvent se permettre d’accuser si lourdement une personne, quelle qu’elle soit … Avez-vous des preuves de ce que vous venez de dire ?’’

Dit Violette d’un ton calme, enfin qui se voulait calme, car si ses frères lui avaient bien appris quelque chose c’était qu’il ne fallait jamais s’emporter avant d’y avoir songer par trois fois avant. De la part de la jeune femme, qui avait habituellement un tempérament explosif, ça relevait de l’exploits de pouvoir parler aussi sagement a une telle personne. Voyant l’homme faire une tête digne d’un anchois mariné dans sa conserve, elle se tourna alors vers les autres personnes présente dans le pub et dit :

‘‘Quelqu’un a autre chose à dire ? Personne ? Bon, dans ce cas, veuillez avoir l’extrême politesse de bien vouloir vous taire, pour rester polie …’’
Elle lança un regard interrogatif à Roy, ne sachant s’il fallait qu’elle se rasseye ou sil il était préférable de sortir …

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Alors que le silence était devenu le maitre de lieux, une voix surgit, un peu faible au début, mais elle surgit assez nettement, vus qu'il n'y avait plus aucun son qui provenait du bar. C'était une voix assez familière et qui venait de derrière Roy, bien sur, il s'agissait de Violette. Ne sachant pas trop ce qu'elle pensait de cela avant son intervention, il fut soulagé qu'elle prenne sa défense, au moins quelqu'un pensait comme lui ici. Et, alors que la voix de Violette s'était éteinte, un calme vint se posé dans l'établissement, certes, ils savaient à qui ils avaient affaires mais il allait falloir un bon moment d'adaptation pour que tous puisse faire l'effort qui leur était demandé. Puis Violette interrogea Roy d'un simple regard, d'un air de dire " Il faudrait peut-être partir, tu ne crois pas ? ". C'était peut-être la plus sage décision à prendre, car abusé du calme qui regnait, n'était peut-être pas la bonne solution à ce moment. Roy répondit d'un hochement de la tête à Violette et avant de sortir, à nouveau, il laissa un billet sur la table, pour les consommations. Ensuite, il sortit du bistrot, sans qu'aucune personne ne fasse quoi que ce soit, ils semblaient tous approuvés cette décision. Une fois en-dehors, ils marchèrent pendant un petit moment puis Roy prit la parole :

" Merci de m'avoir aidé, je ne sais pas trop quoi vous dire d'autre... Ca va la tête, au fait, encore désolé pour le mal de crâne que j'ai du vous faire subir, mais ne vous inquiètez pas, d'ici peu, ça disparaîtra . "

Roy se sentait vraiment géné d'avoir fait ce qu'il avait fait, mais bon, si sa "victime" réagissé de la sorte, peut-être que tous les autres finiront par réaliser ce qui se passait. Dans ce cas, ils pourraient accordés la clémence aux Heroes, clémence qu'ils mérités tous, enfin, plutôt, nombre d'entre eux. En effet, Roy pensa à ce Sylar et ses acolytes, qui eux se moquer bien des sentiments de ces humains, ils ne souhaitez que leurs extermination. De cette façon, difficile de leur faire confiance tant que cette menace pesait sur eux.Enfin bon, Roy avait su utilisé les bons mots pour au moins, placé un doute chez eux, ce qui leur avait permis de partir sans violence. Maintenant il continuait à marcher, accompagnée de Violette qui était à ses côtés et qui avait fait preuve d'une totale confiance envers lui, ce qui le toucha.

" Mais, au fait, pourquoi tenez-vous à m'accompagner, ce n'est pas que je me plaigne, mais vous vivez ici, et vous connaissez la plupart des personnes qui vivent ici, n'avez-vous pas peur de représailles ? "

C'est vrai, maintenant qu'elle avait fait son choix, peut-être que d'autre personne, moins bien attentionné que ceux qui était dans le bistrot pourraient tenté de se venger, cette pensée effraya un peu Roy sur le coup, car il savait qu'il y avait aussi des monstres parmis les humains et il ne voulait pas qu'elle ou des membres de sa famille soit la cible de cinglé en tout genre.

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Lorsqu’ils furent sortis, Roy remercia Violette de l’avoir défendu .De toutes façons, les saoulards qui se trouvaient dans ce bar ne pouvaient rivaliser avec aucuns des arguments qu’elle leur avaient sortis. Elle continua de marcher, les mains dans les poches, tout en se demandant si elle devait dire ou non qu’elle aussi avait des pouvoirs.
Le soit disant mal de crâne en réalité n’avait jamais existé, la blonde ne sentait pas la douleur, c’est juste l’étourdissement qui l’avait rendue si faible. Violette songea alors qu’elle n’aimerais pas avoir à se battre contre Roy ou contre une personne ayant se pouvoir là, car le sien n’était pas en mesure de rivaliser avec.

" Mais, au fait, pourquoi tenez-vous à m'accompagner, ce n'est pas que je me plaigne, mais vous vivez ici, et vous connaissez la plupart des personnes qui vivent ici, n'avez-vous pas peur de représailles ? "

‘‘ Bah, ils savent tous ici que je suis un peu bizarre … Ils connaissent tous ma famille, Abraham en est un bon exemple, heureusement qu’il n’était plus là celui-ci d’ailleurs ’’

Ajouta-t-elle en riant. Abraham encore là, son père aurait était au courant de l’incident en moins de temps qu’il ne le faut pour dire stop.
Ayant sortis ses mains de ses poches, Violette observa ses gants et fut surprise de constater que l’un d’entre eux était à moitié lacéré, elle le défit et remis sa main dans sa poche, il ne fallait absolument pas que sa main reste à l’air libre … Cela lui rappela qu’elle devait elle aussi quelques explications à Roy.

‘‘ Euh …, commença la jeune femme, j’ai moi aussi un aveux à vus faire … Le serveur au bar tout à l’heure … Je sais ce qui lui est arrivé ’’

Dit elle, laissant sa phrase en suspens. Elle venait de trahir une règle élémentaire : la discrétion. De toutes façons, aux vues de toutes les règles qu’elle avaient trahies aujourd’hui, une de plus un de moins !

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Violette répondit à Roy qu'elle avait donné l'air étrange aux personnes qu'elle cotoyait, ce qui ne le surprenait pas tellement. Elle finit par prendre un air rieur et semblait bien ne courrir aucun danger en se tenant à sa compagnie. Roy était rassuré, ce qui l'entendit le soulagea un peu, autant pour elle, que pour ceux à qui elle tient. Puis, Violette prit une voix faible, mais clairement audible, elle paraissait géné par quelque chose, alors qu'au vue des circonstance, c'était plutôt à Roy de se sentir géné, après tout, depuis qu'il l'avait rencontré, il avait risqué de lui donner pas mal d'ennuit. Et pourtant à ce moment, les rôles semblait s'inversé du moins, c'est ce qu'il ressentit, il attendit alors que Violette lui dise ce qui la tracassé.

‘‘ Euh …, commença la jeune femme, j’ai moi aussi un aveux à vus faire … Le serveur au bar tout à l’heure … Je sais ce qui lui est arrivé ’’

Sur le coup, il avait simplement pensé être lui-même responsable de l'attitude du serveur, mais quelque chose ne collait pas selon lui, car s'il était bien le responsable de l'état du serveur pourquoi celui-ci regardait aussi intensément Violette avec une expression horrifié, comme si un mal étrange l'avait rongé un moment. Roy, qui avait était déjà d'une franchise nette avec Violette, décida de lui faire part de ses doutes dès maintenant.

" Oui, je me rappel, je croyais être la raison de cette attitude, mais pour une curieuse raison, c'était vous qu'il regardait avec une certaine peur dans les yeux, serait-ce de cela dont vous souhaitez me parlé ? "

Sans réellement attendre de réponse, il attendit que Violette poursuive ce qu'elle tenait à lui dire.

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‘‘ Je, eh bien.Je.Arrh, c’est difficile à expliquer.si seulement.’’

Violette s’interrompit, voyant un chat derrière une poubelle non loin d’eux. Elle défit ses deux gants et lorsque le chat se hissa sur la poubelle, elle s’approcha tout doucement et caressa l’animal qui sembla parcouru d’un mal qui le consumait trop rapidement. Violette n’aimait pas avoir recourt à se genre de démonstration,le pauvre petit animal souffrait , se débattait et Violette ne demandait pas mieux que de le lâcher .Le petit félin en eut assez et entailla le bras de Violette assez profondément. Cette dernière ne s’en rendit même pas compte et ne le vit que quand elle aperçut les dents du chat juste à côté de son œil. Elle lâcha alors la pauvre bête et se tourna vers Roy.

‘‘ Si vous avez compris. Ne m’obligez pas à recommencer une telle démonstration …’’
Dit elle d’une voix désolée.

‘‘ Si… Si je vous ait défendu tout à l’heure en réalité c’est que je … je comprend ce que vous ressentez ..’’

Elle regarda son entaille au bras, une de plus.
Violette soupira, Roy était en réalité une des seules personnes mises dans la confidence de son pouvoir. Elle regarda le chat qui s’en allait, furieux et remis consciencieusement ses gants, en profitant pour changer celui qui était éraflé.

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Violette avait du mal à trouver les bons mots pour tenter de se faire comprendre correctement. Et alors qu'elle réfléchissait à savoir comment lui avoué la chose qu'elle tenait absolument à lui dire, un chat se montra et s'approcha des deux personnes, Violette s'approcha, à son tour, assez près pour le toucher et caressa l'animal, soudain celui-ci commença à gemir et mordit le bras de Violette, qui apparement ne ressentit pas la douleur. Pendant ce temps Roy regarda la scène, et sentit bien que lorsque Violette toucha l'animal, celui-ci était devenu malade et prit d'une forme de colère qui l'obligea à se défendre. Sur le moment, il ne comprit pas tout ce qu'il vit, mais ce mal semblait venir de Violette. Donc sans pouvoir réellement comprendre ce qu'elle avait fait à la pauvre bête, elle lui demanda de ne pas recommencé si c'était possible. A ce moment, tout ce qui trotta dans la tête de Roy était ce qu'elle avait fait, il pensait bien que le toucher était lié à la chose qui avait temporairement blessé le chat. Puis elle ajouta :

‘‘ Si… Si je vous ait défendu tout à l’heure en réalité c’est que je … je comprend ce que vous ressentez ..’’

A ce moment, il avait compris, du moins, il le pensait, c'est lorsque qu'elle touche quelque chose, eh bien cette chose ressent un étrange sentiment lui provoquant un changement d'état. Non, il devait faire fausse route, et bien que le début de ses pensées ne l'avait pas trahis, il n'avait pas trop le choix. Se cramponnant à cette idée, il s'approcha de Violette et lui dit avant de remmetre son second gant :

" Attends, je veux en avoir le coeur net... "

Il lui prit la main et soudain, un malaise s'installa dans tout son corps, c'était comme s'il était malade, une espèce de grippe carabiné ajouté à de violents coups de couteau, à l'ensemble de son corps, la douleur était indescriptible tellement elle grandissait en lui, et plus les secondes défilées, plus la douleur se faisait sentir, comme si chaque partie de son corps voulait se faire entendre par la voix de la douleur. Roy lâcha aussitôt sa main et recula de quelques pas, ses jambes lui paraîssait tellement affaiblis qu'il tomba sur ses genoux, posant les mains à terre pendant un moment, il prit quelques instants en respirant profondément, la tête face au sol. Après un moment il se releva, la douleur s'était effacé, comme si elle n'avait jamais existé. Il regarda Violette et lui dit :

" C'est bon, j'ai ma réponse... Je comprends mieux pourquoi vous travaillez avec des morts. "

Il afficha un sourire pour lui faire comprendre qu'il allait mieux à présent.

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Les yeux de Violette s’agrandissaient de terreur à mesure que Roy restait accroché à sa main. Jamais elle n’était restée en contact avec quelqu’un aussi longtemps depuis que son pouvoir s’était révélé. Enfin pas volontairement. Lorsqu’il la lâcha, elle fût soulagée et s’approcha afin de voir s’il allait bien.

‘‘ Les Mort eux, ils ne peuvent pas souffrir … Et contrairement à certains humains, ils ne se plaignent jamais, ils ne disent jamais rien de désagréable et ils ne vous jugent pas.Cela dit, la conversation est tout de même moins intéressante’’

Dit Violette en riant.
Elle affichait à présent une expression confuse, comme si elle regrettait de s’être tant livrée, mais comme elle l’avait dit, les occasions d’extérioriser ses pensées ne se présentaient pas à tous les coins de rues. Son pouvoir lui faisait peu, mais ça elle ne l’admettrait jamais devant quiconque. Elle avait déjà provoqué des paralysées temporaires à cause de ce « don », et ne voulait absolument pas que cela se reproduise. Aussi, lorsque Roy lui fit un sourire, Violette fût rassurée de constater qu’il allait mieux et lui rendit son sourire. Elle était aussi heureuse de s’être fait comprendre. Elle avait en effet constaté qu’il était très dur de faire comprendre a quelqu’un une chose qu’on ne pouvait pas soi-même ressentir. C’est comme parler d’un film qu’on a jamais vu, on peut essayer de deviner l’intrigue mais on n’arrive jamais complètement a reconstituer l’histoire véritable .Elle poussa un soupir et fouilla sa poche, désespérément à la recherche d’un pansement, qu’elle finit par trouver et qu’elle s’appliqua sur l’endroit du bras où le chat l’avait mordu, ou griffé, peu importait, ca ne ferait jamais qu’une cicatrice de plus...

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Roy resta un peu stupéfait de la découverte qu'il venait de faire, ainsi donc, il s'était livré à une personne qui elle aussi avait certaines aptitudes, décidément, à chaque fois qu'il révélait son secret, c'était sur des personnes qui partagés un secret identiques, peut-être pas le même don, mais ces personnes possèdaient un don qui les sortaient de l'ordinaire. Etait-ce cela qu'on appellait le destin ou y avait-il un grand manitou qui provoquait les rencontres tels des pions que l'on pose sur une carte et que l'on fait bougé jusqu'à ce qu'il se croise... ? Qui sait, après tout, et quel que soit la réponse à cette question, dont personne ne pouvait prédire la réponse avec certitude, les choses allaient d'elle-même et jusqu'ici, Roy n'eut pas à faire de mauvaise rencontre, c'était déjà cela, dans un territoire peu hospitalier, tout le monde ne pouvait pas en dire autant, alors pourquoi se plaindre. Il s'interrompit ici, mettant ses pensées de côté, et regardé Violette d'un oeil nouveau. Il n'y avait rien de terrifiant, ou bien effrayant dans ce regard, mais plutôt de la compassion, sans pour autant qu'il n'y ait de la pitié, la pitié était un sentiment qui perdait de plus en plus son bon côté, le laissant s'engouffrer dans le mépris ; et personne ne semblait plus apprécié cette sensation à sa juste valeur d'ailleurs. C'était donc, avec un regard compatissant qu'il observait Violette, cela ne devait pas être facile à vivre pour elle, de rester éloigné de toutes personnes, sans jamais entré en contact direct avec un autre individu. Difficile, de cette manière, à établir des relations qu'elle soient durable ou non, ne serait-ce que pour se serrer la main, ou encore s'embrasser quand on revoyait une personne que l'on aurait pu appelé un ami, sans tous ces contacts humains, qui sont le siège de toutes relations entre les Hommes ne puisse s'accomplir, alors la solitude était le seul remède. Roy se demanda alors, pendant un instant, tout en poursuivant son raisonnement, si elle vivait seul, il était plus que probable que la réponse soit affirmatif, mais il ne pouvait pas resté pantois sous peine qu'il avait rencontré une personne qui ne semblait pas être sociable, mais qui pourtant, depuis le début de leur rencontre, n'avait à aucun moment parut géné dans ses expressions. Roy interrompit le silence qui commençait à s'installait et dit, tout simplement :

" Vous... euh, je penses que l'on peut se tutoyé à présent, donc si tu le permets... Je supposes que ce ne doit pas être facile tout les jours d'avoir un pouvoir comme celui que tu possèdes. Tu... n'en a jamais parlé, n'est-ce pas ? "

Il ne s'attendait à aucune surprise à cette question mais, c'était surtout dans le but de rompre ce silence qui commençait à peser. Et puis, comme il était concentré sur ses pensées, la conversation lui avait légèrement échappée.

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" Vous... euh, je penses que l'on peut se tutoyé à présent, donc si tu le permets... Je supposes que ce ne doit pas être facile tout les jours d'avoir un pouvoir comme celui que tu possèdes. Tu... n'en a jamais parlé, n'est-ce pas ? "

‘‘ Et bien, c’est-à-dire que … Je n’en parle pas vraiment d’habitude, certaines raisons m’amènent à garder mon pouvoir secret. Mes Employeurs par exemple sont très gentil avec moi tant qu’ils me pensent ‘normale’,et si un jour ils venaient à découvrir la vérité ,je serais sûre de me retrouver à la rue . Il ne fait pas bons avoir des pouvoirs en ce moment. Et toi, est-ce que des gens sont au courant ?’’
S’enquit pour finir Violette qui, à cause de ce précédent silence, avait l’impression d’avoir parlé pendant 15 jours. Sans trop savoir comment ni pourquoi, elle se sentait libérée, comme si elle venait d’avouer une faute impardonnable, quelque chose qui la taraudait depuis longtemps. Bien que ses parents le sachent (elle leur avait dit , afin d’éviter tout accident ) ,aucuns ne semblaient montrer d’aptitudes particulières. Même ses frères n’en montraient pas . Enfin, se disant que de toutes manières elle n’était pas scientifique, elle abandonna ses sombres pensée et remis en quelque sorte les pieds sur terre. Elle se demanda à quoi Roy avait bien put songer durant le temps où ni l’un ni l’autre n’avait parlé, lui aussi n’avait pas un pouvoir facile à vivre tous les jours. Violette se passa la main dans les cheveux, les ébouriffa légèrement, sentant un léger vent rafraichissant lui glisser entre les doigts

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‘‘ Et bien, c’est-à-dire que … Je n’en parle pas vraiment d’habitude, certaines raisons m’amènent à garder mon pouvoir secret. Mes Employeurs par exemple sont très gentil avec moi tant qu’ils me pensent ‘normale’,et si un jour ils venaient à découvrir la vérité ,je serais sûre de me retrouver à la rue . Il ne fait pas bons avoir des pouvoirs en ce moment. Et toi, est-ce que des gens sont au courant ?’’

Ces derniers mots résonnèrent dans la tête, il n'y avait pas réellement fait attention à chaque fois qu'il utilisé son pouvoir, et comme celui-ci était difficile à remarquer, il supposait que peu de personne ne le connaissait réellement.

" A dire vrai, je crois que personne n'est au courant, comme mon pouvoir est quasiment indectetable, je n'ai pas eut trop de problème lorsque je l'utilisé, maintenant, à savoir si quelqu'un est au courant... Je présumes que oui, ne serait-ce que les personnes qui aurait croisé mon regard d'un peu trop près. Mis à part ces personnes je n'ai rien dit à qui que ce soit, du moins jusqu'à ce que la catastrophe n'ait lieu. Mais depuis, j'ai moins de crainte à faire part de mon don, peut-être que je veux combattre l'idée que nous autres personnes ne nous soyons pas tous comme Sylar l'a décrit dans son interview, et tenté de convaincre la populace que nous ne sommes pas tous des psychopates, bien que cela soit assez difficile à faire admettre dans leurs esprits comme nous avons pu le voir. "

Il réfléchissait pour savoir s'il n'oubiait pas quelque chose avant de passer à autre chose, si... il avait oublié sa première rencontre avec d'autres personnes lorsqu'il était revenu à New York après son explosion.

" Ah oui, j'ai rencontré d'autres personnes ayant des dons en arrivant ici, il est vrai qu'il est plus facile de parler de cela entre nous que d'en parler avec des personnes qui ne comprennent pas ce que nous vivons. "

Une fois ceci rajouté, il pensa ne rien avoir oublié et donc s'arrêta là. Puis avant que nouveau silence ne vienne s'installait, il demanda à Violette :

" Et maintenant, qu'envisages-tu de faire ? Je veux dire, maintenant que le monde sait pour nous. "

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« Ce que j’envisage, rien en particulier … Je comptais en fait essayer de continuer à vivre comme je le fais là. Bien sûr maintenant je serais sure et certaine d’être montrée du doigt, et pas seulement pour ma couleur de cheveux, mais parce que maintenant les commères du quartier vont colporter des ragots immondes à mon sujet. Cela dit, en toute honnêteté je m’en moque éperdument. Avec un peu de chance, les rumeurs n’arriveront pas jusqu'à la boutique ou je travaille et quand elle sera reconstruite eh bien, j’y retournerais … »

Dit Violette, en souriant malgré que toutes les prédictions qu’elle venait de faire n’aient absolument rien de joyeux. Lorsqu’elle disait qu’elle s’en moquait, elle le pensait vraiment. Depuis qu’elle était en âge de les comprendre, elle avait remarqué qu’elle été sujet à toutes sortes de remarque, concernant sa famille trop nombreuse, ses frères trop dissipés ; son tout petit frère trop efféminé (Selon l’avis des mémés du coin !). C’était là le désagrément de la vie dans une petite portion d’un quartier ou presque tout le monde se connaît. Elle nota aussi que Roy venait de lui dire qu’il connaissait d’autres Heroes...

« Je pense en avoir rencontré aussi, mentit elle honteusement, je ne suis pas tout à fait sure. Quelqu’un qui n’a jamais vécut ca ne peut le comprendre… Ne même plus pouvoir faire la bise à tes parents … Ne plus jamais approcher quiconque … Et pour toi ne plus regarder quelqu’un dans les yeux … Certains autres doivent avoir des pouvoirs bien plus faciles à vivre … »
Violette soupira

« Le monde sait pour nous mais il n’a encore rien vu. Le monde croit savoir mais il ne sait en réalité même pas le dixième des choses … Ci quelque chose de plus grave encore arrive, ils ne pourront que regretter les pierres qu’ils nous ont lancé et ils se rendront compte que ce n’est pas nous les monstres … »

Elle balança maladroitement ses bras le long de son corps, traduisant quand même une certaine anxiété. Avoir eut à commettre une sorte de mensonge par omission ne lui plaisait pas le moins du monde, et elle préféra oublier ce détail et contemplant ses chaussure (bien piètre façon de changer d’horizon), inclinant la tête, donnant l’impression de recevoir déjà les quolibets de ses voisins, alors qu’elle arborait un drôle de petit sourire « je-m’en-foutiste ».
Quand soudain la "Bittersweet symphony résona dans la poche de la jeune blonde qui se saisit de son portable et le colla a son oreille! elle écouta attetivement ce qu'on lui disait et raccrocha. Aprés avoir dit à Roy qu'elle aimerait bien terminer la conversation mais qu'elle devait absolument s'en aller ,elle remit son portable dans sa pohce et courrut comme une dérattée à travers la rue !