La Petite Fille aux Allumettes [Morgan Hall]

Arthur Petrelli n'est plus. Mais et Pinehearst ? Et toute cette réserve de pouvoirs qui n'attendait que d'être injectée dans un corps humain ? Tout était perdu désormais. Sylar avait perdu ses pouvoirs, et probablement toutes les personnes spéciales présentes dans et autour du bâtiment avaient subit le même sort. Le serial killer ne comprenait pas l'origine de ce phénomène, mais il voulait absolument y remédier.

Il marchait toujours de ruelles sombres en ruelles sombres, évitant tout contact humain. Si jamais il était reconnu, il ne pourrait plus se défendre aussi aisément qu'à l'accoutumé. Tout d'abord il lui fallait parvenir à rentrer chez lui sans être vu, car il avait encore le visage et les vêtements couverts du sang du Patriarche et de ses sbires. Sylar s'arrêta fréquemment en chemin, vérifiant toujours que ses pouvoirs n'étaient pas revenus. Mais à chaque fois c'était une nouvelle déception.

Son appartement n'était plus loin maintenant, mais pour y arriver il lui faudrait cette fois-ci traverser une grande route, avec un traffic dense encore à cette heure. Il s'arrêta un bref instant dans les lumières, d'un côté du passage pour piéton. Son regard croisa brièvement celui d'une femme qui passait à côté de lui, mais il brisa ce lien tout de suite. Il ne fallait pas lui donner l'occasion d'être reconnu, et tout le sang qu'il avait sur lui agissait comme un gyrophare. Il sentit une main se poser sur son épaule.

" Vous êtes sur que ça va monsieur ? Que vous est-il arrivé ? Vous saignez ! "

Ne pas se retourner, ne pas la regarder. Il fallait réagir, faire quelque chose.

" Tout va bien, merci. "

- Vous êtes sur ? Vous êtes couvert de

Sylar se retourna et colla son visage près de celui de la femme en hurlant

" JE VOUS DIS QUE ÇA IRA ! "

Elle hurla avant de partir en courant. L'avait-elle reconnu ? Possible. Avait-elle eu peur ? Assurément. Sylar se mit à rire, il l'avait vraiment effrayé la pauvre. Ne faisant même plus attention au feu pour piéton, il avança sur la route. Il fit un mettre avant d'être ébloui par les phares d'une voiture, et assourdi par le klaxon de cette dernière. Il recula aussi vite que c'était humaine possible, mais trop tard. Le véhicule avait déjà commencé à freiner, mais c'est à une vitesse tout de même important que Sylar se prit son pare-choc dans la hanche. Il vola en arrière et roula sur plusieurs mètres. La douleur était insoutenable, et cette fois aucune régénération pour l'atténuer et la guérir.

Il se releva, les côtes en feu, et s'enfuit avant que l'automobiliste n'ai le temps de venir le voir. Il repris une ruelle qui débouchait sur une autre route adjacente. Là, pris par une crise de douleur, il se laissa tomber à genoux. Quand son visage arriva au niveau du sol, ses yeux virent deux petites chaussures. En relevant le regard, il vit qu'il était tombé devant une jeune fille. Il essaya de se relever, mais la douleur était trop intense, il poussa un cri et décida de rester coucher sur le dos, à côté de cette petite fille. Il serra les dents, et dit:

" Alors .... Charmante soirée pour se balader hein petite ? "

Le plus grand serial killer de l'histoire, couvert de sang, terrassé par une douleur à la hanche, couché aux pieds d'une petite fille blonde. Ain't it ironic ?

Morgan resta un long moment à regarder l'homme qui venait de tomber au sol devant elle. Il était couvert de sang et avait clairement mal. Mais elle n'était absolument pas impressionner. Elle avait vu des choses semblabe à la prison où était son père, et cela ne lui faisait plus rien. Rien de plus que si elle regardait cela dans un film la télévision.
Et puis, avec son pouvoir, plus grand chose n'arrivait à l'étonner. Apart peut-être le monde des personnes qui foumillaient dans cette grande ville comme des insectes^à la vie rêgler comme du papier à musique.

Ce ne fut qu'après ce long moment d'observation, les mains jointent devant elle sur ça robe rouge, que Morgan le reconnu. Elle l'avait déjà vu à la télévision. Mais elle n'avait pas plus pour autant. Son propre père était un criminel. Un de plus ou un de moins......

Morgan ce bessa et ce mit à genoux a côter de cette homme.

"Je vous est vu à la télévision. Vous êtes Sylar?,..., vous ne me faite pas peur, mom papa aussi est un criminel, mais lui est en prison."

Elle regarda l'endrois où il s'emblais avoir mal, ainsi que tout le sang qu'il avait sur lui. Se mordant la lèvre inférieur elle réfléchit à ce qu'elle allait faire.

"Ma maman est médecin, elle pourra vous soigner. On habite juste dans cette immeuble là au quatrième étage. Mais je ne peut pas vous aidez a y aller. Je n'arrive plus à faire descendre l'echelle de la ruelle, il faudra passer par la grande porte dans la rue."

"Je vous est vu à la télévision. Vous êtes Sylar?,..., vous ne me faite pas peur, mon papa aussi est un criminel, mais lui est en prison."

Sylar avouait qu'il était surpris, cette petite fille se montrait tout de même très brave, oser aborder de nuit un homme tel que lui en sachant pertinemment qui il était. Il lui répondit de façon ironique, la douleur étant toujours très présente.

" Ah ... bah chacun sa catégorie ... Les amateurs en prison, les pros sur le trottoir. "

"Ma maman est médecin, elle pourra vous soigner. On habite juste dans cette immeuble là au quatrième étage. Mais je ne peut pas vous aidez a y aller. Je n'arrive plus à faire descendre l'échelle de la ruelle, il faudra passer par la grande porte dans la rue "

Non seulement elle s'adressait à lui sans broncher, mais elle lui proposait également de l'aide. Alors là, Sylar en restait bouche bée. Soit elle était la petite fille la plus courageuse qu'il ai rencontré jusque là, ou c'était la plus naïve et la plus inconsciente. Il roula sur son ventre, et prit appuie sur ses bras pour essayer de se relever. Il resta bloqué à mis chemin, sentant sa hanche commencer à le torturer.

" Dis petite ... Tu veux bien m'aider un peu ? "

Avec l'aide de la petite fille, il parvint à se redresser sur ses deux jambes. Il se tenait droit, inutile d'essayer de se baisser pour refaire ses lacets, il n'arriverait plus à se relever. Il posa une main sur sa hanche.

" Bien, allons y alors. "

Il marcha lentement aux côtés de Morgan, qui l'accompagna jusqu'à son hôtel. Ils entrèrent dans le hall, et il avança le plus possible vite vers l'ascenseur. Le réceptionniste était caché derrière un journal, ils avaient de la chance. Il entra dans l'ascenseur avec la petite fille, et la laissa presser le bouton du quatrième étage. Ils arrivèrent devant l'appartement, la petite fille sortit une clef et l'enfonça dans la serrure, avant d'ouvrir la porte. Elle invita Sylar à entrer, ce qu'il fit, un air méfiant sur le visage tout de même. Une délicieuse odeur de bolognaise régnait ici, et un bruit de friture émanait de la cuisine. La mère de Morgan était sans nul doute en train de cuisiner. Il regarda la petite fille aller prévenir sa mère, tandis que lui s'approchait lentement du bureau où était posée une paire de ciseaux. On ne sait jamais, des fois que sa mère le reconnaîtrait.

(HJ; S'est un appartement pauvre pas un hôtel, la mère de Morgan s'est que serveuse et vie toute seul avec ça fille.)

Après avoir ammener Sylar dans l'appartement Morgan trotina jusqu'a la cuisine où d'après les bruits et les odeurs, sa mère cuisinait.

"Maman, il y a un blesser dans le salon"
"Morgan!!, questque tu as fait encore?, ce n'est pas un hopital ici. et je n'est plus le droit d'exercer."

Suzane suivit sa fille à contre coeur et faillit hurler quand elle vit le blesser en question., mais elle porta ses mains à ça bouche asser vite pour couvrir le son. Elle s'avait tout comme sa fille qui était cette homme. Elle l'avait vu à la télévision tout comme sa fille, et quand il s'agissait de prisonnier la mère et la fille regardaient toujours scupuleusement les informations. Espérent secrettement l'une et l'autre qu'un jour elles verraient écrite que le père de Morgan soit libre.
Elle entraina ça fille à ce mettre derrière elle.

"Morgan tu es folle. Il es dangeureus"
"Pas aussi dangereux que papa"
"Ton père est un enfant de cour à côté de lui"

Puis elle continua à l'adresse de Sylar tout en continuant de ce mette devant ça fille

"Ne lui faite pas de mal,..., en aucune manière. Ce n'est qu'une petite fille innocente,..., Ecoutez, je n'est plus le droit d'exercer, et ici ce n'est pas un hopital. On a juste une pharmacie famillial. Rien pour soigner des blaissure qui font couler autant de sang."

Elle montra la chemise de Sylar.

Sylar observa avec dédain les messes basses entre la petite fille et sa mère. Sans son ouïe sur-développée, impossible de comprendre ce qu'elles se disaient. Mais il comprit quelques bribes:

" ... dangereux ... enfant de cœur à côté de lui "

Il s'éclaircit la gorge, avant de s'autoriser à intervenir:

" Euh, excusez moi, mais je suis là, alors ce serait gentil de pas m'ignorer. "

" Ne lui faite pas de mal ... en aucune manière. Ce n'est qu'une petite fille innocente ... Écoutez, je n'ai plus le droit d'exercer, et ici ce n'est pas un hôpital. On a juste une pharmacie familiale. Rien pour soigner des blessure qui font couler autant de sang. "

Le regard du serial killer devint plus sombre, il fit un pas en avant ce qui eu pour effet de faire reculer la mère de Morgan, tout en prenant soin d'emmener sa fille avec, instinct protecteur maternel oblige.

" Alors voilà ce qui va se passer. Soit vous acceptez d'exercer à nouveau le temps de me soigner, soit je brûle votre appartement en prenant soin de m'assurer que votre fille et vous mourriez carbonisée vivantes. La douleur se situe davantage vers l'épaule. Je crois que je suis très mal tombé ... Alors remettez moi l'épaule en place, et je vous laisserais tranquille vous et votre fille. Et ne vous préoccupez pas du sang, c'est une plaie superficielle même si elle saigne beaucoup. "

Sylar avait un avantage: pour l'instant, personne ne savait qu'il avait perdu ses pouvoirs et qu'il était donc un simple humain. Son argument de poids restait donc intact: la peur.

" Marché conclu ? "

Il s'avança vers la mère et lui porta son bras démis à l'aide de son autre main. Au passage il regarda Morgan:

" Tu ne devrais pas regarder ça, et de plus je risque de t'effrayer. "

Suzan hésita, puis, les larmes au yeux hossa la tête pour dire qu'elle était d'accord. Puis Sylar montra son bras, celui où il disait avoir mal.

"Vous devriez vous assoire, ce ser plus facile pour nous deux."

Elle s'avança, pris l'épaule blesser du sérial killer et chercha l'endrois exacte de la blessure avec ses doigts. Quand ce dernier parla à Morgan elle lécha échapper une larme. et ce pinssa les lèvres. Le pouvoir de ça fille allais finalement être utile, être autre chose qu'une malédiction. Elle devait rester dans la pièce même si les choses allaient vraiment devenir moche.

"Retourne toi ma cherie,..., ça ressemblera à la fois ou des prisonniers se sont battut quand on est aller voire papa pour ton anniversaire il y a 2 ans,..., Et une fois fini tu pourras m'aider, même si je n'aime pas quand tu le fait."

Morgan se retourna et compris tout de suite ce que ça mère cachait dans ces parole. La seul chose qu'elle n'aimait pas qu'elle face, et qui pourrait aider, était son pouvoir.

"Sa ne marche pas aujourd'hui maman,..., je n'ai pas réussi a faire déscendre l'echelle se secour dans la ruel pour entré par la fenêtre."

La mère de Morgan arrêta un instant son oscultation. et tressaillit un peut.

"Bouche tes oreilles et compte jusqu'a vingt."

Susan força un grand coup sur l'épaule de Sylar pour la remettre en place.........

Morgan commença à avoir peur et tremblais derrière sa mère, elle même affoler par ce qui ce passait. Si seulement le père de Morgan était là, il saurait quoi faire.

"Vous le dite vous même!, elle n'a plus son pouvoir!,..., vous allez voler quoi?!,..., elle n'a plus rien. "

Morgan fixa les ciseaux et ce consentra de toute ces forces, autant quelle le pouvait à cette instant, mais rien ne ce passait, les ciseaux ne lui obéïssait pas et ils étaient belle et bien en métale. Elle commença alors à pleurer comme ça mère.

"Ca ne marche plus monsieur Sylar, je n'ais plus aucun pouvoir. Parter s'il vous plais. Maman arrêtera enfin d'avoir peur de moi et les autres enfants arrêterons de m'appeler; le monstre..... On auras une vie normal et vous vous êtes soigner. tout le monde y gagne"
"Elle a raison,..., on en reste là et on oublis tout,..., s'il vous plait."

"Vous le dites vous même ! Elle n'a plus son pouvoir ! Vous allez voler quoi !? Elle n'a plus rien ! "

Sylar se sentit alors l'homme le plus idiot du monde. La perte de ses pouvoirs changeaient vraiment beaucoup sa façon de voir les choses, de percevoir son environnement. La paire de ciseau se desserrait dans sa main à mesure que son hésitation grandissait. La petite fille en pleure était terrorisée, mais bravant tout de même cette peur elle s'adressa au tueur :

" Ça ne marche plus monsieur Sylar, je n'ai plus aucun pouvoir. Partez s'il vous plaît. Maman arrêtera enfin d'avoir peur de moi et les autres enfants arrêterons de m'appeler "le monstre" .... On aura une vie normale et vous vous êtes soigné. Tout le monde y gagne. "

Le serial killer resta silencieux un instant, pensant à ce qu'elle venait de dire. Une vie normale ? Lui ? Hors de question. Sylar ne voulait pas être normal, il n'a jamais voulu être normal.

" Tu ne comprends pas petite. Pour moi la normalité c'est l'exceptionnel. Je ne peux pas vivre sans être différent. Quand j'avais ton âge déjà je rêvais que quelqu'un vienne me dire que mes parents n'étaient pas mes vrais parents, et que j'appartenais à quelque chose de supérieur. Que ça te plaise de ne plus avoir ton pouvoir, c'est ton problème. Moi je préfère mourir que de passer le restant de mes jours à être un simple humain, "normal" comme tu dis. Donc non, tout le monde n'y gagne pas. Toi tu gagnes tout, et moi je perds tout. Tu comprendras que je ne puisse pas être d'accord avec ça. "

Il retourna au bureau et y déposa la paire de ciseaux.

" Néanmoins, les faits sont là. Tu ne peux plus rien m'apporter, et sans mes pouvoirs il ne m'est d'aucune utilité de te tuer, car je ne saurais même plus quoi faire après ça. "

Il s'approcha de la porte de l'appartement.

" Peut être qu'un jour tu comprendras petite fille. Je suis sur que nos pouvoirs reviendront, et quand tu seras en âge de comprendre ce don, de réaliser à quel point tu es différente, et ce pour la vie, peut être que tu me comprendras moi aussi. Mais si ce jour arrive, alors je te déconseille vivement de chercher à me retrouver, parce que si tu y parviens je ne t'épargnerais plus. "

Il ouvrit la porte de l'appartement.

" Et maintenant que je sais où vous habitez, je vous suggère également de ne plus être ici quand nos pouvoirs reviendront. Mais tout de même, merci de m'avoir soigné."

Il sortit et laissa s'échapper un "Adieu" avant que la porte ne se referme derrière lui.



[ Donc là je te laisse choisir Morgan, soit on arrête là, soit tu me rattrapes dans le couloir avec une idée de suite et on continue ]