Nombre de messages : 720 Age : 30 Pouvoirs : Réparation - Destruction (eclipse - non-découvert) Côté Coeur : Et un troupeau d'ange passa.... Date d'inscription : 26/04/2009
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Sujet: [San Francisco]Puis-je vous aider Mademoiselle?[Pv Hell] Ven 8 Mai - 14:18
Le soleil innonda de sa lumière l'appartement dès que j'ouvris le grand rideau. Me frottant les yeux qui avait été agressés par l'apparition d'une si violente lumière, je me dirigeais vers la cuisine, histoire de prendre un petit déjeuner très petit. J'avais beau ne plus être à l'hôpital et avoir reçu l'autorisation de recommencer à travailler, ils m'imposaient toute fois un régime très strict que je me voyais obligée de respecter à la lettre. Vivement que je n'ai plus ces fichus infirmiers sur le dos ! Est-ce trop demander de reprendre sa vie comme avant ? J'avais pourtant le présentiment que rien ne serait plus vraiment comme avant. Etrange présentiment. J'espérai qu'il s'avérerai faux. Et pourtant...il continuait de me serrer le coeur depuis des mois, comme pour encore plus m'accabler par sa véracité. Cela ne m'empechera pas d'essayer de reprendre ma vie comme si rien ne s'était passé. Le magasin, qui avait été fermé lors de mon rétablissement, rouvrait aujourd'hui. J'avais déjà confectionné plusieurs nouveaux modèles que j'avais en tête depuis un moment. Je devais également réaliser cette commande pour un casino de Las Vegas qui avait demandé mes services. J'allais devoir confectionner les nouvelles tenues du personnel. Les anciennes ne convenaient plus au patron. J'avais évidement accepté au vu de l'importante somme promise. Atrait pour le gain, autant le dire. Si ce que je lui proposerai lui plait, je serai partie pour une longue colaboration qui, a long terme, raportera énormément d'argent et de renomée au magasin.
Mais assez parlé d'argent. Je dépose mon bol dans l'évier et entre dans ma garde-robe à qui je réserve une pièce entière. La lumière s'allume dès que je rentre. Ici s'alignent des centaines de chaussures, de robes et autres sac à main. Tout est classé par couleur. Et la couleur choisie reflète généralement mon humeur. Aujourd'hui ce sera rouge. Et une robe. Après une fouille rapide, je tombe sur celle que je voulais. Elle n'a pas bougé. Rien n'a bougé. Il s'agit d'une robe rouge de ma création que j'aime beaucoup. Avec ca, j'ajouterai des bottines rouges et des colants opaques noirs. Oui ce sera parfait. Je prend un sac à main en cuir rouge avec et ce sera parfait.
Spoiler:
Je regarde l'heure. 8h05. Il me reste 10 minutes pour aller au magasin. Juste ce qu'il faut. Je remplis mon sac et ferme la porte à clé. Ma voiture perosnelle m'attend en bas. Encore faut-il que j'arrive jusqu'à elle avec toute la foule de paparazzis bloquants le passage. J'avancait, en tout cas j'essayait. Des questions fusaient de partout si bien que je n'arrivais à en comprendre aucune. Je ne voulais pas les comprendre de toute façon. J'allais être en retard à cause d'eux ! J'avais suffisament de travail à ratrapper comme ça ! Mais ils n'avaient pas l'air de comprendre que certaines personnes ont un travail qui ne consiste pas à pourir la vie des gens célèbres en leur posant des tonnes de questions en espérant piétiner son voisin en parlant plus fort que lui. Oh ca non ! Haussant le ton, je leur dit que je n'ai aps el temps de répondre à leurs questions et que je suis pressée. Le ton sur lequel je l'ai dit ne devait surement pas être très amical vu la tête que les plus près de moi ont fait. Ce court moment de répis me permi d'arriver au niveau de la voiture et je montait à l'intérieur avec joie. Lorsque je vis la voiture s'éloigner des curieux, j'émit un soupir de soulagement. Un peu de répis pour l'instant. Un coup de fil du magasin m'apprit que des paparazzis m'attendaient devant l'entrée. L'employée déclara qu'elles essayeraient de créer un passage jusqu'à l'entrée pour que je puisse passer sans trop de soucis.
Et c'est en effet ce qu'elle réussirent à faire. Lorsque je descendit de la voiture, mes employées formaient deux barrières humaines me séparant ainsi des indésirables curieux. Elles me conaissaient suffisament pour savoir que deux forcings à suivre m'auraient rendumauvaise humeur et qu'au final, ca leur serait retombé dessus. Je rentrais tête haute dnas le magasin sans adresser le moindre regard aux paparazzis. Une fois la porte passée, mes employée srentrèrent et les portes furent fermées à clé jusqu'à l'ouverture du magasin à 9h. Entre temps, j'aurai fait partir les paparazzis. Enjeu financier, ils risquaient de faire fuir la clientèle et je comptais leur dire très clairement. Observant le magasin, je m'aperçut que le ménage avait été fait régulièrement et qu'l n'y avait aps la moindre trace de poussière sur les vêtements. Bien. Très bien. Mieux que je ne pensait en tout cas. Donnant mes ordres, le magasin fut vite mis en place pour l'arrivée des clients. Les nouveautés que j'avais apportées furent mises en vitrine. Durant ce temps, je sortis affronter les paparazzis et leur fit bien comprendre que je ne répondrait à aucune de leur questions et qu'ils avaient intérêt à partir très vite avant que je n'apelle la police car ils allaient fdfaire fuir la clientèle. Je ne retranscrirais pas ici les termes exacts puisque seul le résultat compte. Et le résultat fut la disparition totale des curieux.
9h. Tout est prêt, le magasin peut ouvrir ses portes. De fidèles clients sont au rendez-vous. Je discute un peu avec chacun d'entre eux. Je les connais tous. Tous des habitués pressés de pouvoir essayer les nouveautés et heureux de la réouverture du magasin. Les heures passent et les clients défilent à la caisse. La réouverture se passe on ne peux mieux ! Je vois même un nouveau visage qui vient d'entrer. Un visage totalement inconnujusque là. Surement une curieuse de passage en ville qui veux voir le fameux magasin de vêtements Azuria. Terminant la conversation sur les toutes dernières nouveautés de Versace avec Madame Filson, je me dirige vers la nouvelle cliente et l'interpelle avec un grand sourire. Pour bien vendre, il faut mettre immédiatement en confiance. C'est en tout cas la politique de la maison. Même politique qui fait que nous avons autant d'habitués.
"Puis-je vous aider Mademoiselle ?"
Invité Invité
Sujet: Re: [San Francisco]Puis-je vous aider Mademoiselle?[Pv Hell] Ven 8 Mai - 17:11
Hell venait de descendre de l'avion qui l'emmenait pour l'Amérique du sud et qui faisait escale à sanfrancisco.Elle n'aimait pas forcèment cette ville mais puisqu'elle avait la journée autant l'occuper dans quelques chose qu'elle aimait bien.cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été faire les boutiques et sa garde-robe réclamait constamment de nouveaux vêtements.enfin tout cela était spychologique car sa garde-robe ne parlait pas mais elle aimait se le dire.L'avion avait mis plus longtemps que prévu à arriver à cause de la météo qui c'était un peu dégradée et qui avait ralenti l'avion.Se demandant si c'était elle ou juste le vrai vent elle c'était mise à stressée et son pouvoir avait fait effet ralentissant encore plus l'avion.une fois l'avion posé,elle était passée au toilette pour se remaquiller et se recoiffer.Elle détestait les petites cabines où on était super à l'ettroit dedans,en passant elle se cogna trois fois la tête.Enfin sortie de l'avion,elle déposa des lunettes de mouches sur son visage car la ville était baignée de soleil à cette heure-ci,bien qu'elle soie quelque peu matinale.
Elle marcha longtemps dans la rue en se dégourdissant les jambes.La ville était pleine de vie avec de spanneaux publicitaires et tous ceux qui qualifiait une ville d'une ville.Contrairement à New-York qui était dévastée et devenue une sorte de ghetto où tout reprenait sa place avec lenteur,San Francisco était pleine de vie et lumineuse.Elle souria et s'arrêta devant une vitre d'un magasin qui la reflétait un peu.Son tree-shit jaune décolletée et un jean tout à fait normal avec des ballerines.Elle replaça une mèche rebelle qui voletait et qui n'était pas à s aplace puis reprit son chemin.Elle avait entendu parler d'une boutique ou une couturière était arceler par les journalistes.Son magasin devait être hors de prix parce qu'elle était très célèbre mais un top qui lui valait trois mois de salaires ne valait-il pas le coup?Non bien spur,mais elle verrait bien si elle trouvait son bonheur et peut-être que son bonheur serait à son prix.Elle l'espérait franchement mais elle savait bien qu'elle révait.
Pour atteindre la boutique,elle prit un magazine people sur un kiosque et le feuilleta vite avant que le vendeur ne la chasse et troouva l'adresse du magasin de cette dernière.Elle y alla à grands pas et pour finir sa route,elle suivit les paparzzis.Elle arriva alors qu'il était encore fermé et la styliste venait juste de finir son discour.Elle décida de repasser dans une heure et pendant cette heure-là,elle flana dans les rues puis pour passer le temps,elle s'asseya sur un banc dans un parc et essaya de trouver des similitudes avec Central park avant l'explosion.Après ça,elle retourna à la boutique et observa les lieux.La boutique était splendide,mais les vêtements encore plus.Elle se dirigea tout de suite vers le stee-shirt et autre puis leva la tête quand quelqu'un lui parla.Elle espéra fortement que ce n'était pas une vendeuse car elle aimait choisir ses vêtements seule sans que quelqu'un lui colle aux basques en lui demandant si tels ou tels articles lui plaisaient.Elle souria tout de même et dit en reconnaissant la jeune femme qui avait fait une sorte de discour pour qu'ils partent.:
-Bonjour.Euh,je ne sais pas.La boutique est magnifique.C'est vous que j'ai vu parler aux paprazzis?
Décidemment,elle n'aimait pas les vendeuses,mais celle-là semblait amicale et Hell ne savait pas dire non.ce n'était pas dans son caractère et cela,elle le regrettait.Elle y arrivait quand même pour son trvail car les types qu'elle arrêtait étaient des pourritures qui ne méritaient même pas de passer par la case jugement ou remise de peine,mais elle n'avait pas le pouvoir de changer la justice,elle n'était pas présidente et au pire,les Etats-Unis n'étaient pas une dictature.
Amy LeBrassor
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Sujet: Re: [San Francisco]Puis-je vous aider Mademoiselle?[Pv Hell] Ven 8 Mai - 22:01
La femme se retourna, un peu prise au dépourvu. Elle ne ressemblait pas aux clientes habituelles. Elle semblait plutôt décontractée. Son jean, son tee-shirt jaune et ses ballerines le démontrait tout à fait. Une curieuse donc. C'était tant mieux, dès le premier jour ! Et puis ça renouvelait un peu tout ca, apportait en quelque sorte un brin de fraicheur. A force de voir toujours les mêmes têtes, ca finissait par être lassant. Certes, cela signifiait que ses créations plaisaient toujours autant et que les personnes aimait le style. Mais toucher un autre public que les habitués était tout aussi bénéfique. Autant humainement que économiquement. Parler avec des personnes qui ne vous connaisse pas le moins du monde et que vous ne connaissez pas non plus, c'est ca le vrai commerce. Un échange bref entre un vendeur et un client. Si le vendeur est bon, il peut réussir à fidéliser le client. Et petit à petit, c'est une réelle relation de confiance qui s'installe entre le client et le vendeur. Cour élémentaire de vente, première année. La base de la vente. Rien de vraiment très compliqué à vrai dire. Pas sorcier. Un enfant pourrait y arriver. Et bla bla bla. Voilà le baratin que l'on vous sort lors des cours de vente, dans n'importe quelle école, vous aurez toujours le même discours censé vous motiver. Les leçons que l'on vous apprend ensuite sont bien plus compliquées. Ce sont les méthodes pour arriver à cet relation de confiances. Elles sont bien évidement nombreuses et chacun fini par avoir sa méthode préférée. Ici, la méthode de préférence, comme je l'ai déjà dit auparavant, est la méthode de "sympathisation directe avec le client", même celui que l'on ne reverra sans doute pas. Il parle généralement autour de lui et fait donc venir d'autres clients. C'est une méthode très pratique et qui n'a pas beaucoup de désavantages si ce n'est que le vendeur doit être sûr de lui et faire preuve d'une certaine décontraction en parlant au client, comme si c'était tout ce qu'il y a de plus normal. Bref, tout est dans la méthode. C'est donc naturellement que la conversation s'installa rapidement, commençant d'abord par la réponse de la jeune cliente qui se retourna vers moi. "Bonjour.Euh,je ne sais pas.La boutique est magnifique.C'est vous que j'ai vu parler aux paparazzis?"
C'est avec un petit rire que je répondis à sa question.
"Oui, c'est bien moi qui leur ai parlé. J'espère que ca va leur passer vite. Mon retour et la réouverture du magasin est un peu le phénomène du moment, alors ils sont tous sur l'événement. J'aurai préféré ne pas avoir à en arriver à devoir hausser la voix pour qu'il partent mais ils risquaient d'empêcher les clients de pouvoir venir."
Après réflexion, si elle était de passage en ville, elle ne connaissait peut être pas encore ma tête. J'envisageai donc une présentation et lui tendit la main.
"Amy LeBrassor. Je suis la directrice de ce magasin et la créatrice de ces vêtements. C'est un plaisir de vous rencontrer. Vous êtes de passage en ville?"
Hell souria à la vendeus,eenfin à la fille qu'elle considérait comme une simple vendeuse.Pourtant en la regardant de plus près,elle était très bien habillée pour une simple vendeuse et ses vêtements étaient très très classes,sûrement trop classe pour une simple vendeuse.Le rouge lui allaitt très bien d'ailleurs mais l'instinct policier qu'on lui avait appris à dévelloper à l'école d epolice prit le dessus et elle partit dans toutes sortes de suppositions qu'elle venait appuyer par certains détails physiques qui auraient semblés normals chez quelqu'un mais pas pour la demoiselle.Elle était en manque d'enquête depuis qu'elle avait demandé à son patron de la dégrader,ce qui l'avait fait faire les yeux ronds car Hell commençait à être dans sa liste des gens qu'il verrait bien chef à sa place, en la remettant à la circulation,il n'y avait pas trop d'adrénaline là-dedans et elle ne ferait courir aucun risque à la population tandis que quand elle faisait des courses poursuites les voitures des poursuivants finissaient sur le bas côté à cause d'une sorte de mini-tempête.Pas très idéal avrait dire et maintenant elle prenait l'avion,qu'est ce qu'elle était idiote quand même,elle avait fahi faire cracher l'avion et si elle n'apprenait ps à se contrôler dans les 24 heures,c'est ce qui risquait d'arriver.En tout cas,elle n'avait pas donné sa démission ou donnait du fil à retordre à son patron car elle aimait son travail quand même.
Pendant que ses pensées vaguabondaient dans son esprit,elle inspectait par la même occasion la pièce pour voir si tout était en règle et avait envi d'aller jeter un oeil aux comptes mais ce n'étaient pas sa spécialité et surtout elle n'était pas en service ici et n'avait rien de papiers légals pour le faire.Elle se mit donc en t^te d eliste de regarder les vêtements car le but d'une boutique de vêtements étaient d'en vendre,évidemment.Elle toucha une sorte de marcel décolleté devant et un peu moins derrière.La matière était vraiment douce et Hell avait bien envi de se l'acheter,elle regarda le prix et fahit étouffer un cri qu'elle retint de justesse.Wahou,c'était à vous faire faire dépasser votre plafond à la banque.Elle souria intérieurement en pensant à cela et se tourna vers Amy.Elle resouria mais cette fois pas intérieurement quand la demoiselle dit que c''était elle la directrice de ce magasin et la créatrice des vêtements:
-Et bien enchanté,moi c'est Hell.Vos vêtements sont absolument sublimes,mais le prix est très élevé.Vous devez être connu par ici.
Elle s'étonna quand même que la police ne soit pas venu empêché les paparazzis de venir ici.Ils auraient dû s'y attendre.Ah,la police de New-York était plus performante,enfina evc les temps qui couraient et avec l'explosion,la délinquance se faisait de plus en plus florissante.La belle ville de New-York devenait un vrai squat au grand détrimant d'Hell.
Amy LeBrassor
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Le magasin tournait tranquillement. Tout se passait bien. Les clients affluaient et repartaient les bras chargés de sacs. Tout allait mieux que je ne le pensait à vrai dire. Une heure après l’ouverture, les clients commençaient déjà à passer à la caisse. J’entendais d’ici le son de la caisse s’ouvrant et de la machine lisant les codes barre. Et je m’en délectait. Même après tous ces mois d’absence, mes clients m’étaient toujours fidèles. Je m’en réjouissais à un point innommable. Mais le plus incroyable devait sans doute être que des clients n’étant encore jamais venus ici venaient faire un tour dans la boutique. Tout du moins, la cliente pour l’instant, puisqu’il n’y en avait qu’une. Pour le moment en tout cas, j’espérais. D’ailleurs, observant cette dernière du coin de l’œil, je la vis regarder un très joli marcel légèrement décolleté par devant. D’après mes souvenirs, il était en satin et avec une bande de soie en bas. Je souris légèrement quand je la vis étouffer le cri qui allait sortir lorsqu’elle regarda l’étiquette du prix. Il « tait vrai que ce n’était pas donné, mais il fallait bien s’y attendre : il s’agissait d’une création de la plus grande maison de couture de San Francisco après tout. Lorsque je fis ma présentation, elle me souria avant de se présenter à son tour et de me complimenter tout en soulevant le fait que les vêtements proposés n’étaient pas vraiment donnés.
«Et bien enchanté, moi c'est Hell. Vos vêtements sont absolument sublimes, mais le prix est très élevé. Vous devez être connu par ici.»
Je souris à l’entente du compliment et la remercia. Je ris en passant ma main dans mes cheveux lorsqu’elle déclara que les prix étaient élevés. Certes ils l’étaient, mais, et contrairement à certaines maisons, la qualité y était. On pouvait demander à n’importe le quel des habitués ici présents, jamais aucun n’a eu de problèmes de qualité avec mes vêtements. C’est ce que je m’empressai d’expliquer à la jeune femme.
«Certes, ces vêtements ne sont pas donnés. Mais il faut considérer le fait qu’il s’agisse de créations de la plus grande maison de couture de San Francisco. Et il faut avouer que la qualité vaut largement le prix. Depuis que j’ai ouvert ce magasin il y a de cela plusieurs années, je n’ai jamais reçu aucune plainte concernant la qualité de ces vêtements. Si jamais des coutures lâchent, on ne sait jamais ce qui peut arriver, ou que vous déchirez votre cher achat, vous nous le renvoyez et on vous le répare comme si rien de s’était passé. Nous avons des doigts de fées capables de réparer la moindre petite déchirure. Quand au fait que je sois connu, je pense que vous connaissez déjà la réponse à cette question au vu des paparazzis dehors et de ce que je vous ai dit plus tôt : vous êtes ici à Azuria, la plus grande maison de couture de San Francisco !»
Moi qui avais cru que cette journée serais une journée chaotique avec seulement quelques habitués, je me retrouvais à présent à ne plus pouvoir compter le nombre de clients venus dans les deux premières heures passées après l’ouverture du magasin ! Comme quoi, ma réputation était bien plus grande que ce que j’imaginais jusqu’à présent. Je m’excusai donc auprès d’Hell, puisque c’est ainsi qu’elle déclara s’appeler, et me dirigeai vers d’autres clients. Je pris des nouvelles de mes habituées, fit la connaissance des nouveaux clients. J’étais comme un poisson exotique dans l’Océan Pacifique : j’étais dans mon «truc» comme disent les jeunes. J’étais bien. Ce magasin était mon petit paradis à moi. Rien qu’à moi. Un paradis que je retrouvai après autant de temps d’abstinence. Un paradis qui m’avait tant manqué durant les derniers mois. Je passait d’un client à l’autre avec grâce et volupté telle une danseuse étoile en plein ballet. Au bout d’une demi-heure de danse, je revint vers Hell qui semblait avoir arrêté son choix.
«Alors, vous avez trouvé quelque chose qui vous plait ?»
Invité Invité
Sujet: Re: [San Francisco]Puis-je vous aider Mademoiselle?[Pv Hell] Mer 20 Mai - 18:36
Hell écoutait attentivement tous ceux que lui disait la jeune fille qui lui semblait bien sympathique . Elle retoucha le marcel jaune qu'elle avait admiré l'instant d'après et caressa le tissu . Tout ce que disait Amy était vrai , le marcel devrait tenir plus de trois ans par alors que ses vieux marcels qu'elle avait acheté dans les grandes surfaces et qui ne tenaient pas plus longtemps que six mois . Ils ne tenaient pas ses joggings . Elle se retourna d'un coup avec un grand sourire d'un coup devant Amy . Elle regarda Amy partir et dévisagea chaque personnes qui entraient dans le magasin . Ils semblaient tous être des habitués et avaient tous des magnifiques vêtements . Elle se plaça devant un miroir et se dévisagea de haut en bas . c'est vrai qu'elle avait pris des vêtements assez confortable pour l'avion car elle aimait avoir une bonne circulation pour plusieurs jours de voyages étant donné qu'il y avait des journées d'excurtions . Elle se tourna vers la porte d'entrée car , absorbée par ses pensées , elle n'avait presque pas entendu les dring dring que la porte d'entrée faisait dès qu'une personne la franchissait . Elle n'avait pas passé tant d etemps devant le miroir quand même ? Car , pour elle , il y avait à peine une minute qu'elle se dévisageait , et maintenant le magasin commençait à grouiller de monde . Elle se retourna pour chercher sa directrice et souria quand elle vit Amy jubiler de joie et sautiller presque quand elle valsait de clientes à clientes . C'est vrai que pour l'instant , Hell ne voyait que des femmes et elle n'avait pas vraiment chercher si il y avait un rayon homme . Mais c'était perdre 50% de clientèle à n'avoir pas de rayon homme .
Ses pensées partir bien vite quand elle se mit sur la pointe de spieds et découvrit l'étendue des vêtements qui n'attendaient qu'elle pour les acheter . Elle marcgait à vitesse normale mais ses pieds lui ordonnaient de courir pour en voir le plus possible et pour se décider au plus vite . Son corp lui criait de tout acheter , après qu'elle ait touché le marcel jaune au tissu si délicieu au toucher , son corp voulait le porter , voulait porter tous les vêtements présent dans ce magasin mais son compte en banque ne le permettrait pas surtout qu'après avoir acheté son billet d'avion , elle allait devoir se serrer la ceinture deux ou trois mois . Ah les bonheurs de la vie . Qu'est ce qu'elle serait bien si l'argent ne faisait pas sa loi mais malheureusement il la faisait . Elle prit un joli tee-shirt qui avait des paillettes et était fait pour sortir . Elle le colla contre elle puis le reposa considérant qu'il la grossissait un peu et qu'il ne la mettrait pas en valeur si elle sortait . Elle revint sur le marcel qu'elle avait remarqué quelque minutes avant . Son subconscient savait qu'elle l'achèterait mais elle pas encore . Elle le mit contre elle et se rendit compte qu'il lui allait parfaitement et qu'il était fait pour elle . Elle tourna en le serrant contre elle comme si elle avait une jupe ou une robe qui allait virevolter et le mit sur son bras parce qu'elle c'était convaincue toute seule . Elle regarda Amy lorsqu'elle revint:
-Oui , merci . Ce marcel jaune est vraiment magnifique . Je pense que je vais l'acheter .