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| Pourquoi ? | |
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Invité Invité
| Sujet: Pourquoi ? Mer 22 Avr - 16:50 | |
| Le pluie, l'orage, tout ceci était très rare à Vegas, mais quand ça arrivait ce n'était pas trois petites gouttes de rien du tout. Voilà deux jour qu'il pleut ici. La capitale du vice était sous un vrai déluge. Aucun rayon de soleil n'avaient percé cette épaisse couche nuageuse. Le ciel n'était pas bleu mais noir, il n'y avait plus aucunes distinctions entre le jour et la nuit, seulement la pluie et les éclaires. L'aéroport avait encore accepter quelques avions, mais se n'était pas aussi bien que ça...
Le réveille de la suite 1830, c'est-à-dire la mienne, venait d'afficher sept heure. Je n'était pas seule, j'ai dû m'occuper d'un client cette nuit, un habitué du casino qui flambe tout son fric dans n'importe quoi y compris dans mes services. J'avais opter pour une décoration assez design, dans les blancs cassés, tout y était assortit, la canapé, mon lit,... Comme à son habitude ce client m'offrait des Lys Blanc avant chaque soirée, et à coté le lendemain matin je retrouvait à coté des fleurs une importante sommes d'argent. Le volume vert est plus ou moins volumineux en fonction de ses bons vouloir. Il était certainement aller retrouvé sa femme dans la nuit. Je partit donc dans la salle de bain pour prendre une douche, pour bien commencer la journée. Une fois fait, je mit quelques minutes pour choisir ma tenue du jour, aujourd'hui tailleur bleu. Pas de choses trop provocante le jour, était l'une de mes règles. En passant à coté de la table, je prie une pomme et mordis dedans. Il fallait bien que j'ai quelque chose dans l'estomac pour être d'attaque. Mais avant de franchir la porte je prit soin de mettre les billets dans un enveloppe.
Les couloirs de cette étages n'était pas particulièrement horrible, ils étaient même magnifiques. Au mur ce n'était pas du vulgaire papier peint mais de la tapisserie rouge velours avec des motifs noirs. C'était agréable au touché, comme de la moquette, mais encore plus beau et plus doux. De part et d'autre du couloir se tenait la rambarde, on aurait dit qu'un fil d'or fusionnait avec les mur. Devant ma porte, il y avait mes deux gros bras. Le patron avait tenue à se que je soit accompagné de ces deux hommes pour me sentir en sécurité, je lui avait pourtant dit que j'étais une grande fille, il n'a rien voulus savoir. Il me précisa que je devais tenir mon job de jour avec une main de fer. Je m'occupe de l'accueil des clients et de leurs séjour dans le casino. Je me doit d'être aux services des moindre caprices des personnes qui me sont attribués, et surtout à n'importe qu'elle heure du jour et de la nuit. Mais bon passons, mes deux garde du corps avait pour mission de récupéré les billets et me donner les tâches de la journée. L'enveloppe disparu dans la poche de l'un des hommes qui partit tout de suite la porter au central. Quand à l'autre il m'invita à prendre l'ascenseur. Celui-ci été spécialement réservé à cette étage appelé Passion. L'ascenseur suivait les couleur des couloirs. Les décorateurs avaient fait un travaille vraiment colossale pour cette étage. Mais fini de rêvasser sur la déco il faut travailler.
- Je doit m'occuper de quoi aujourd'hui ? - Pas de demandes particulières, tu va faire ton boulot comme d'habitude. Et en fin de matinée, tu devra t'occuper de deux clients qui vont séjourné ici. - Ok.
Les étages défilaient pour essayer d'atteindre le rez-de-chaussé. Mais je me sentais étrange à se moment là, comme une envie de je ne sais quoi. D'un regard furtif je regarda mon collègue à coté de moi. Lui ne me regardait pas, comme si il essayait de me fuir du regard. Comme pour voir si ce que je pensais été juste, je fît mine d'échapper mon trognon de pomme par terre. Étant une femme civilisé, je me pencha pour la ramasser. Je ressentis une forte envie, une petite chaleur dans le creux de mon ventre. Je ne laissais pas l'homme de marbre, il devait en avoir envie depuis un petit moment. Les secondes devenaient de plus en plus lentes, sans crier gare. Mon garde du corps se précipite sur le bouton stop. L'ascenseur eu comme un sursaut. Je savais se qu'il voulais, mais il n'allais pas l'avoir.
- T'inquiète pas, mon copain de la sécurité a coupé les caméras. Et tu la fait pour moins que ça. - Tu crois ça ?
C'est alors que je m'approcha de lui doucement, avec une souplesse toute calculée. Je m'approcha de lui, tendis mon cou. Luis ne pouvant plus se contenir, me plaque contre un des murs de l'ascenseur. C'était se que je voulais. À peine commençait-il à me toucher que mon genoux fut plus rapide que ma pensé, il se le prit en plein dans le bas ventre. Sous le choc il se tordit de douleur. Et d'une voix toute à fait cinglante et lugubre, je dit :
- On ne me touche pas, sinon tu souffres.
Pour me venger de ce geste. J'inspira chez lui une douleur vraiment horrible. C'était comme si on lui découpait sa virilité à l'épluche légume. Il hurlait de douleur, quand à moi impassible, je remit l'ascenseur en fonctionnement. Ce fût comme une délivrance, les portes m'emmenait dans le hall. Je sortit de cette endroit pour me laisser bercer par l'odeur de pluie, en laissant l'homme souffrir le martyre...
Je pouvais enfin commencer ma journée. Ma matinée se passa sans aucun autre problème. Les heures passait et moi j'étais derrière mon guichet à attendre mes fameux clients. Peu avant l'heure, on me précisa que je devait les attendes devant leur chambre. Je m'exécuta et je me posta devant la chambre numéros 3812, après les avoir accueilli j'irai mangé un petit truc dans ma chambre (elle est au même étage). Toujours le bruit de la pluie au loin, de temps à autre un petit flash me parvenait. Mais déjà j'entendais des pas approché. Ce n'était qu'un coursier qui venait de me prévenir de l'identité du client qui a réserver. Ce fût le choc pour moi, je connaissait ce client. Il va un peu souffrir, je donne l'ordre au coursier d'aller cherché mes clients et de les emmener dans la chambre, en précisant bien qu'il devait donner la clef de la chambre à la personne ayant réserver. Il parti en courant. Moi je fit jouer du passe partout pour entré dans cette fameuse chambre 3812. J'ouvris les rideau pour laissé voir le paysage de Vegas sous l'eau. J'avais pris soin de tourné le dos à la porte pour ne pas que l'homme en entrant me reconnaisse. Il fallait bien que je lui fasse mal pour se qu'il m'avait fait. |
| | | Ethan L. Sorrow
Nombre de messages : 363 Age : 31 Pouvoirs : electrokynesie avancée Date d'inscription : 28/08/2007
:::Votre Perso::: Age du perso: 28 ans Relations avec d'autres personnes: Travail: Fuyard
| Sujet: Re: Pourquoi ? Lun 4 Mai - 10:20 | |
| « Mesdames et Messieurs, Welcome to fabulous Las Vegas. Notre avion va atterir dans quelques minutes à l'aéroport de la ville, le voyage s'est passé sans encombres. La température à Las Vegas est de 20 degrés, mais la pluie et l'orage sont présentes, aussi, afin d'éviter tout incident, veuiller boucler vos ceintures et éteindre vos appareils électriques. C'était le commandant du Boeing 747 a destination de Las Vegas, merci d'avoir choisi notre compagnie aérienne »
L'avion entamait sa descente avec à son bord des centaines de passagers, la plupart en week-end dans la ville de tous les pêchés : des directeurs d'entreprises qui cherchaient à utiliser l'argent gagné dans les machines à sous des casinos, des célibataires en quêtes d'amour ou des couples d'amoureux voulant assouvir leurs désirs dans la cité du plaisir. Parmi eux, deux hommes un peu particuliers, qui n'étaient pas là pour le plaisir, mais pour leur travail, un travail un peu particulier. Ethan était assis dans son siège, un peu stressé. Il avait quitté l'hôpital de New York quelques heures auparavant et avait laissé derrière lui Lila Cruz. L'au revoir avait été bref mais intense, et étrangement, cela avait un gout d'adieu. Il ignorait s'il allait revoir la jeune femme un jour, mais ce qui était sûr, c'était qu'il n'avait ressentit que rarement ce sentiment de tristesse lors d'un départ. Il détestait s'attacher au gens, et encore plus à ceux qui lui tirent dessus, mais cette fois c'était différent. Il avait repensé a tout cela dans l'avion, alors que Waren Insidemind, un agent de Pinehearst, lui avait fait un briefing sur la situation. Waren était avocat pour Mr Petrelli, et il avait été chargé de joindre Ethan pour une mission importante : la récupération d'un agent, une certaine Meryem Braut. Les raisons du départ de cet agent étaient encore mystérieuses pour le blondinet, mais ils avaient dû partir le plus rapidement possible, et les voilà a présent dans un Boeing qui allait atterir dans l'Etat du Nevada.
Ethan avait les mains accrochées au siège, mal à l'aise. Il détestait voler, et ce depuis sa tendre enfance. Il avait prit l'habitude de parcourir les Etats-Unis d'Amérique par les routes, à moto ou en voiture, mais détestait se servir des avions pour se rendre d'un point à un autre. Au départ, il avait suggéré à Waren de se servir de ses pouvoirs pour se rendre à LV grâce aux circuits électriques de pays, mais l'idée avait été vite abandonnée, car se séparer n'était pas une bonne idée, Waren ne pouvant se rendre au Nevada autrement qu'en prenant l'avion. Le voyage aurait été moins pénible si Ethan avait été armé, mais il avait été forçé de laisser ses bijoux mortels à New-York, avec sa moto. Complètement démuni, Ethan priait pour que le voyage se termine le plus rapidement possible, et pendant tout le trajet il s'était contrôlé pour ne pas laisser échapper de son corps des décharges qui auraient pu plonger leur moyen de transport dans une chute infernale sur le territoire américain. De nombreuses fois, il avait crû qu'il craquerait, mais sa volonté l'avait fait tenir jusqu'au bout, et à présent, le pilote amorçait un atterissage qui rassurait le jeune homme.
Quelques minutes plus tard, ils étaient dans le hall de l'aéroport, sans bagages mis a part leurs portables et quelques babioles sans interêt. Las Vegas, Des souvenirs inoubliables pour le jeune homme. A l'époque, quand il était encore étudiant, il venait avec des amis quasiment chaque trimestre afin de passer des nuits folles, filles et alcool à la clé. Las Vegas était la ville du plaisir, et c'était un peu comme sa deuxième ville natale : il était né ici ou du moins, son côté pilote était né ici. Quand il n'était qu'un étudiant, Ethan avait quatre grosses passions : les filles, le football américain, la fête et surtout : la course. C'est lors d'un voyage à Las Vegas qu'Ethan avait fait sa première course de rue : dans le temps, il possédait une Nissan 350 Z et il avait courru dans le désert de Las Vegas avec des amis, et depuis, il s'était construit une réputation de pilote dans des courses illégales, et s'était fait des amis et des ennemis. Avant son départ de New-York, il avait contacté un ancien mécanicien qui avait travaillé avec lui, et qui tenait aujourd'hui un magasin de location de voiture de luxe à Las Vegas : c'était lui qui allait leur procurer un véhicule pour parcourir la jungle du jeu et de la luxure. Lorsqu'ils sortirent, le blondinet reconnu Pedro, son ami, a bord d'une magnifique Porsche Carrera GT gris metallisée.
« Parfait... Venez, on a de quoi se rendre au Monte-Cito rapidement... »
Ils s'avançèrent tous deux vers la voiture, sublime, aux formes élégantes et au moteur vrombissant. D'ordinaire, les voitures de se genre sont admirées par tous, mais à Las Vegas, on croisait facilement dix Lamborghini en cinq minutes, alors la beauté de la voiture allait passer inaperçu. Ethan salua amicalement Pedro, et après de brèves retrouvailles, la discussion s'engagea.
-Voilà ta caisse... Tu peux la garder autant que tu veux, j'te la donne.
« J'en demandais pas tant, merci... »
- J'te devais une bagnole toute façon... A cause de moi, t'a perdu une Aston Martin lors d'une tes dernières courses, c'est normal. J'l'ai un peu modifié, histoire qu'elle roule encore mieux, et j'ai ajouté ce que tu voulais sous le siège... Qu'est ce que tu vas faire avec ça?
« Certainement pas des crèpes... J'ai changé d'orientation, maintenant, j'fais de la médecine a ma façon, et je suis doué pour refaire le visage des gens, s'tu vois c'que j'veux dire. »
- Pas de problèmes... Passe me voir un de ces jours, si tu t'es pas mit toute la ville sur le dos...
Ethan acquiesça et après un court au revoir, ils démarra, Waren a ses côtés. La circulation était très dense, et après un court moment à rouler dans la ville, ils arrivèrent devant le palace qu'était le Monte-Cito. Ethan sortit alors une valise de sous le siège, et après un bref coup d'oeil, il en sortit une arme pour Waren, deux pour lui et referma la valise.
« 3 flingues et un fusil a pompe, tout y est! Avec ça j'peux vous dire qu'on va faire autre chose que du tir aux canards! »
Ils se rendirent alors à la chambre après un bref arrêt à la réception, où Ethan apprit qu'il avaient la chambre 3812. Le chemin était facile : ascenseur, long couloir et chambre, comme de partout. Le blondinet ouvrit et entra dans la salle. C'était un endroit superbe, avec une vue sur The Strip, la fabuleuse allée de la ville. Il posa alors la valise dans une armoire lorsqu'il remarqua la présence d'une jeune femme. De dos, elle regardait la pluie tomber, silencieuse. Sa silhouette fine rappelait au jeune homme quelqu'un, mais il lui était impossible de savoir qui. Elle était très belle, trop belle... D'un geste, Ethan mit une main dans son dos, prêt à sortir le Colt qu'il avait caché, puis il déclara :
« Euh on vous dérange? Non mais dites le nous... Après tout c'est pas comme si vous étiez dans notre chambre... » | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Pourquoi ? Sam 16 Mai - 9:30 | |
| Loin de moi l'envie de le faire souffrir. Trop de personne ne se rendent pas compte de la chance qu'elles ont. Moi, je ressentait la joie, la peine, tout les sentiment en clair. J'avais tant voulu que tout le monde soit heureux, comprenne qu'ils faut nous accepter nous les mutants. Nous ne sommes pas des dieux ni même sa création. Existait-il, je ne le pense pas, si un créateur nous regardait il aurait vue que le monde est devenue une vraie pourriture. Il aurait pu faire quelque chose pour nous aidez, mais rien. Donc j'en conclue qu'il n'y à personne pour régir l'univers. Si j'avais pus évité cette journée ça aurait été beaucoup mieux. Dans la vitre je voyais les deux clients entré dans la chambre. Le blond n'était que reconnaissable, mais à ça vue mon cœur hurla la mort. Un geste des clients me fît tilter, une valise noire mise dans l'armoire, pas de baguages particulier donc ils sont pas là pour le tourisme, l'air sur et convaincant. Il n'était pas là pour le jeux et encore moins pour le plaisir. Quand le client ayant réservé me vît, il eu un mouvement qui prouvait ce que j'avance. Il m'interrogea :
- Euh on vous dérange? Non mais dites le nous... Après tout c'est pas comme si vous étiez dans notre chambre... - Justement oui, tu me dérange blondinet. Après tout c'est pas comme si tu revenait dans ma vie comme par enchantement surtout que je te connaissant, tu doit cacher quelque chose derrière ton dos, qui ne doit pas être des fleurs. N'est-ce pas?
Lui répondis-je sur le même ton. Doucement je me retourna pour faire face à mes clients. Je devais tout de même leur faire passer un bon moment. Les garder dans ce bâtiment un maximum. Je connaissais un peu mon interlocuteur et savait qu'il aimait jouer. D'un mouvement calculer je pris place dans un des fauteuils et invita mes clients à s'installer.
- Je sais qui tu es, oki ? Sinon bienvenue au Monte Cito, le temple des plaisirs en tout genre. Ici vous trouverez tout ce qui vous fait envie depuis longtemps, drogues, sexe, jeux, sports extrêmes, sport automobile. En passant le propriétaire du casino organise une course réunissant les meilleurs pilote du moment. Bien sur j'ai pris la liberté de t'inscrire. Essayer d'acheter des armes ici c'est possible, mais sans que le casino le sache c'est quasi impossible. Depuis votre descente d'avions vous êtes suivit. Mr Sorrow, tu seras le numéros deux sur la grille de départ. Je sais que tu aurais préférais la numéros un mais c'est ma place. Je ne sais pas pourquoi mais mon patron attend beaucoup de cette course. Elle est organisé dans trois jours, si tu accepte de participé, je te donne l'itinéraire de la course. Sinon sachiez que je suis votre hôtesse de séjour, donc au moindre problème appeler moi, je suis dans l'un des suite de cette étages la numéros 1830. Quand je dit que je suis votre hôtesse, c'est de jour comme de nuit. J'assouvirais tout vos désirs.
Le dernier mots resta en suspens. La douce mélodie de la pluie continuait son rythme violent sur la vitre. Soudain, un éclair venait de tomber derrière moi. Plongeant ainsi, tout le casino dans trente seconde d'obscurité. Je décida de prendre les devant, je me glissa rapidement derrière le blondinet. Sans un bruit je sortit un couteau et le plaça délicatement sur la gorge de Sorrow.
- Alors tu ne me reconnais toujours pas ? Si je te dit que l'on était ensemble au lycée. Mais oui c'est vrai t'es un coureur de jupons, ou un chaud lapin comme on dit. Tu crois que c'était en me laissant en plan que j'allais t'oublier sans difficulté ?
Les lumières revinrent en nous baignant dans cette ambiance relaxante de la chambre, mais pour accentuer le coté décaler, j'inspira chez mes clients une nervosité froide.
- Alors toujours pas d'idées ? Aller je t'aide, à cette époque je t'appelais Sor'man. Aller encore un petit effort. Bon fini le suspense, je m'appelle Céleste. |
| | | Waren as Janice Random
Nombre de messages : 193 Age : 33 Pouvoirs : Télépathie avancée Côté Coeur : Rien Date d'inscription : 25/03/2009
:::Votre Perso::: Age du perso: Relations avec d'autres personnes: Travail:
| Sujet: Re: Pourquoi ? Dim 24 Mai - 9:01 | |
| « Mesdames et Messieurs, Welcome to fabulous Las Vegas. Notre avion va atterir dans quelques minutes à l'aéroport de la ville, le voyage s'est passé sans encombres. La température à Las Vegas est de 20 degrés, mais la pluie et l'orage sont présentes, aussi, afin d'éviter tout incident, veuillez boucler vos ceintures et éteindre vos appareils électriques. C'était le commandant du Boeing 747 a destination de Las Vegas, merci d'avoir choisi notre compagnie aérienne »
Ouvrant le rideau du hublot, par pur réflexe, pour regarder la ville approcher, comme si l'on zoomait peu à peu jusqu'à atteindre la taille réelle de l'objet visé, Waren se préparait mentalement à sa double mission. Il avait beau avoir exposer la situation à Ethan pendant le vol, discrètement cela va de soit, il ne savait pas comment tout allait se passer dans les détails. Ils avaient peu de temps devant eux, il fallait que le télépathe retourne rapidement au siège de a compagnie de Petrelli pour une autre mission. CEtte expédition à vegas avait presque tout d'une expédition punitive, l'aspect bourrin en moins. Rapide. Efficace.
*****
Waren sortit de l'avion, suivant le flot dense et constant des voyageurs, entre joueurs et touristes, chacun avait ses attentes. ON voyait les hommes d'affaires venu faire fructifier leur fortune dans les casinos mais aussi les jeunes innocents qui venaient à Vegas pour se marier en express et pouvoir profiter des jeux plus intéressants que certaines familles interdisent avant le mariage ... Leurs mains se cherchaient, se serraient, pleines d'attentes et d'espoirs, fébriles, fiévreuses.
Le soleil était miraculeusement absent de la ville du désert, fait notable que Waren nota quelque part dans son esprit ... on ne savait jamais ... au cas où. L'astre se cachait derrière une épaisse couche de nuages qui crachait des mois de pluies retenues, d'eau évaporée, sur les célèbres casinos. Nappant d'une légère brume trouée de lumières la ville, lui donnant un aspect irréel. Les grondements lointain de l'orage naissant se firent entendre lorsque les immenses portes de l'aéroport s'ouvrirent, laissant entrer une bourrasque humide et sèche à la fois. La pluie et les bruits de circulation remplacèrent bientôt le tumulte des voix de l'aéroport, des vies s'entrelaçant, racontées par une foule d'inconnus liant connaissance ...
Un homme les attendait visiblement puisque la portière d'une voiture de sport de luxe s'ouvrit à leur approche. Ethan lança une discussion dont Waren ne saisit que les grande lignes, trop occupé à sonder l'esprit de l'interlocuteur, à la recherche d'informations utiles. Au fur et à mesure de la discussion il visualisait des souvenirs remonter à la surface chez les deux hommes. Des images de voitures, de vitesse, des sensations grisantes lui arrivaient par paquet, maitrisés. Après les voitures, le passé, vinrent les armes. Habilement cachées. C'était normal après tout. Mais Waren préférait quand même la force de l'esprit à la force des armes. Il continuait de prier pour que tout se passe sans violence, bien qu'il ne se fasse pas d'illusion ... Puis l'homme prit congé après avoir donné les clés de la merveille et s'en alla dans une autre voiture, de luxe elle aussi.
Ce n'était pas très discret comme voiture ... mais on était à vegas, toutes les extravagances étaient envisageables sans prendre le risque d'être repéré au milieu de toutes les limousines. C'était confortable, rapide, élégant. Un très bon choix de voiture ... surtout quand il n'y a pas à payer. Waren s'installa du côté passagers, tandis qu'Ethan démarrait et prenait la direction du casino Montecito. Le télépathe regardait par les vitres teintées la vie de la ville. Les couples. Les groupes d'amis faisant la fête. Les hommes d'affaires entourés de gardes du corps se déplaçant rapidement une mallette à la main...
Waren se retourna vers son collègue et prit la parole. Ce n'était pas des questions, il n'attendait pas de réponses.
"Vous avez bien compris Mr Sorrow ? Nous nous séparons dès que nous l'avons, ça permettra de brouiller les pistes, vous resterez à Vegas quelques temps pendant que je rentrerais avec Miss Braut auprès de Mr Petrelli. JE dois être de retour dans trois jours. Pas de violence gratuite. Discrétion au possible. Pas de coup d'éclat. "
Le silence s'installa de nouveau dans l'habitacle, jusqu'à la fin du trajet. Ethan sortit les armes et lui en tendit une. Il la prit et la rangea dans sa longue veste noire en sortant de la voiture. Un voiturier vint la prendre pour la garer dans le parking u bâtiment.
Nous ne sommes pas là pour tirer sur les innocents Sorrow, faites attention à ce que vous ferez ... Je vous ai prévenu, ce n'est pas une action d'éclat, c'est discrétion maximum... autant que possible. Usage des armes le plus limité possible. Bon je vais à la pêche aux informations, je vous rejoint dans quelques minutes.
Il tourna le dos et rentra dans l'immense bâtiment. La chaleur lui sauta à la figure. Les cerveaux carburaient. C'était pire qu'une salle d'examen au bout de quatre heures. Mais cela venait put être aussi de l'extérieur. Déployant on esprit dans toutes les directions il chercha des informations, ne sachant pas trop ce qu'il devait ramener à son patron. Il décida de sonder les employés, les joueurs n'étaient sans doute pas la raison de la venue des deux agents, sinon il n'aurait pas été question spécifiquement de ce casino... Les employés ne savaient rien d'intéressant, aucun trucage dans les jeux, bizarrement. Enfin cela n'empêchait pas les clients d'y perdre beaucoup. Par moment, le télépathe percevait une dépendance au jeux, les pensées des personnes dépendantes l'attristait, elle reflétaient la misère d'esprit que pouvait parfois atteindre un homme perdu ...
Il n'y avait de toute évidence rien de très intéressant ici. Il reprendrait plus tard ses recherches. Waren se dirigea donc vers les luxueuses suites à l'étage, à l'affut de tout ce qui pouvait s'avérer intéressant. Son esprit s'évadait, sondant chaque salle, y découvrant toute sortes de choses intéressantes ... mais pas pour son travail. Arrivé à quelques mètres de la suite qu'ils occupaient, il sentit une présence dans la pièce. S'arrêtant, il examina plus attentivement.
Il "entendit" la conversation qui commençait mais ce qui l'intrigua c'était ce qu'il voyait dans l'esprit de l'intrus.
Un mur froid. Des flash de passés. Le visage d'un Ethan plus jeune. La violence. Le sexe. Le pouvoir. Autant d'images fortes et surprenante dans l'esprit d'une femme si jeune. Car il s'agissait d'une femme. Mais elle représentait une menace éventuelle, au même titre qu'un homme. Il lança alors une pensée vers l'intruse
*Mademoiselle Rain, je vous déconseille de faire quoi que ce soit. Nous ne sommes pas ici pour régler d'éventuels problèmes passés. *
*Mr Sorrow, j'aimerais qu'à l'avenir vous me préveniez de l'éventualité de telles rencontres. Je n'aime pas ce genre de surprises*
Il sentit un début de réaction chez l'individu mais l'esprit de celle ci changea brutalement. Le mur de son esprit devint noir, des tâches rouges sang apparurent dessus, éclatante, explosives. Elle attaquait l'électrokynésiste. Waren se rua alors dans la chambre en lançant son esprit pour bloquer la jeune femme.
*Et merde*
ça suffit arrêtez maintenant ! Nous ne sommes pas là pour nous battre contre vous !
Waren entra, et aperçut le couteau contre la gorge. Usant de son pouvoir, il tenta de persuader la jeune femme de se reculer et de lâcher son couteau. Lentement il lâchait son pouvoir, augmentant la puissance attendant quelque chose ses produise... | |
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